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Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - Darth Nico - 01-06-2003 Merci Willo pour cette partie ! ![]() J'ai trouvé ça ![]() ![]() ![]() On a fait du bon roleplay. Le Prince, Ming-Li-Foo ![]() ![]() La Bête progresse... ![]() En tout cas, je suis chaud pour me refaire une partie d'ici peu de temps ! ![]() Note pour Fredo : Lucinius est passé de 7 à 6 en Humanité, et Corso est tombé à 5 ! Benedict est encore à 8, mais Willo ne va pas tolérer ça longtemps à mon avis ! ![]() ![]() François Loren va nous trouver changés... ![]() ![]() Juste un oubli dans le résumé : je ne me souviens plus comment Benedict en est venu à se battre contre Krugger ? :shock: Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - Darth Nico - 01-06-2003 :demoniaque: [b][size=18]Journal d'Aladax Lucinius, nuit du 30 au 31 mars 2003. :demoniaque: "A l'heure où j'écris ces lignes, la Bête s'est rapprochée de moi. Ma vie est plongé dans un affreux chaos. Je suis dans le métro ligne 1. Je viens du Père-Lachaise, et je rejoins un drôle d'ami, qui s'est avancé trop loin dans les hautes eaux de la Bête, et qui perd pied avec l'humanité. Le Brujah Benedict ne tardera pas à nous rejoindre : il ne restera pas dans la crypte à écouter de la mauvaise musique avec des Vampires dont il ignore tout. Je remonte une nuit plus tôt. ![]() Je n'ai pas de nouvelles de Lisbeth depuis le début de l'année. Fin février elle avait été aperçue aux catacombes. J'ai enfin réussi à me décider à faire appel aux services du détective Corso. J'ai appelé également Benedict, qui habite toujours à l'hôpital Pompidou, qui se nourrit de poches de plasmas et dort dans les tiroirs de la morgue. Je les retrouve dans un bar égyptien du 20e. Corso a l'air d'apprécier cet endroit interlope. Beaucoup d'humains, quelques caïnites. A une table voisine, un Malkavien rit, chante, vomit. Il a l'air d'entendre tout ce que nous racontons. Je parle à Benedict et Corso de la mort de la comtesse Bathory, à l'opéra de Paris, puis de l'enlèvement de Lisbeth. Je passe sur nombres de détails. Nous allons commencer par les catacombes. Je veux en dire plus à mes deux alliés, mais pas dans cet endroit. Ce sont des choses trop importantes, qui ne peuvent pas tomber dans l'oreille du premier consommateur venu. ![]() Nous nous rejoignons à l'entrée de mon repaire, dans une galerie de stockage du Louvre. La porte de chez moi est grande ouverte. Nous sortons nos revolvers : j'appelle mon domestique Felias : pas de réponse. Nous entrons. Tout est en ordre. Nous fouillons et nous trouvons un carte de tarot divinatoire (le serpent -signe des Sethites ?), et dans mon cercueil, une rose. J'ai deux messages sur mon répondeur : l'un de Felias, qui me dit qu'il me recontactera bientôt ; l'autre d'un type que je connais pas, qui halète comme un fauve et qui me dit de venir à Thoiry pour retrouver Lisbeth. Corso me dit que quand je l'ai appelé, il a eu l'impression que sa ligne était sur écoute. Il démonte mon appareil téléphonique : un snooper très perfectionné y a été habilement dissimulé. Depuis combien de temps espionne t-on mes conversations ??? Felias n'est pas là, il est injoignable sur son portable. Nous continuons à fouiller minutieusement. Soudain, Corso, et moi juste après, entendons un bip dont la fréquence augmente lentement. Corso dit d'une voix blanche : - Lucinius, sortons d'ici. J'ai compris : nous nous ruons dehors et nous fuyons ventre à terre vers les galeries de stockage. Le Brujah a mis une seconde de plus à réagir, mais il nous dépasse à la course en quelques enjambées. Nous ne sommes pas encore sortis qu'une explosion souffle tout mon repaire et nous jette à terre. Une brûlure me prend dans tout le dos ! Je prends feu, je me roule à terre, je hurle comme un possédé ! L'ardent douleur m'agrippe tout le corps ; Corso recule, en me pointant avec son revolver. La bête en moi, excité par la morsure du feu, me dit de lui sauter à la gorge. La frénésie monte en moi, je parviens à me contrôler, Benedict arrive et m'arrose de neige carbonique. Je reste prostré à terre. Nous entendons déjà les sirènes de police et de pompiers qui approchent du Louvre. Nous sortons des galeries, nous passons dans des salles de réception Toréador : on nous rejette comme des mal propres. J'ai mes vêtements brûlés, je ressemble à un bonhomme de neige carbonique ; Corso a l'air d'un loup aux poils roussis et Benedict a une allure brute qui déplait aux prétentieux et sophistiqués personnages du lieu. ![]() Eux deux partent vers la rue de Rivoli. Encore possédé par la frénésie et la douleur, je sors de la cour du Louvre, je titube sur le quai comme un ivrogne ou un malade mental qu'on voudrait guérir par électrochoc (comme Artaud), et je finis par me jeter dans la Seine, devant quelques passants effrayés. Je me laisse couler comme une pierre. Je sens à peine l'eau pouacre et le froid qui m'étreint, pas plus qu'un homme sur le billard ne sent son membre sous anesthésie locale. Je me laisse dériver longtemps. Je ressors de l'eau par une échelle, pas loin de l'île Saint-Louis. Corso est là, dans un véhicule volé (une Clio blanche), avec Benedict; Il m'explique ce qui s'est passé depuis leur départ du Louvre : ils ont volé une voiture rue de Rivoli. A l'intérieur, un vampire asiatique, un, Kuei-Jin, au corps d'enfant, vieux de 150 ans. Ce type, qui se fait appeler André Fu, est le coupable de la destruction de mon repaire. Mais il en avait contre un Toréador vieux de 600 ans. Autrement dit : le Prince Villon ! Histoire de vengeance semble t-il. Corso et Benedict ont emprunté le véhicule du terroriste, ont roulé jusqu'à Aubervilliers, ont quitté là ce fou, et ont volé un autre véhicule. Nous avions prévu de nous rendre à Thoiry, mais il se fait tard. Nous passons en voiture rue Saint-Denis, et je monte voir quelques filles pour leur prendre du sang. Un barrage de flics nous arrête : par chance, nous avons juste à souffler dans le ballon. Les flics, qui ont sûrement une cuite à finir, nous laissent passer, bien que nous n'ayons pas les papiers du véhicule ! Version officiel du Louvre : explosion au gaz, par inadvertance d'un habitant. Les services de communication de la Camarilla doivent être sur le pied de guerre. Nous revenons au Louvre, pour parler au Prince. Coup de chance, il voulait justement nous convoquer. Je suis sale, mes habits puent l'eau de la Seine, je suis vêtu comme le dernier des Parias. Un Brujah me donne des habits de rechange et nous sommes introduits dans le cabinet du Prince. Celui-ci affiche un air dégoûté en voyant notre allure. Nous sentons encore le roussi de l'explosion ! Le Prince exige des explications. Je lui explique timidement que j'ai eu l'honneur de voir exploser chez une bombe qui lui était destiné. Corso et Benedict prennent alors la parole, et racontent au Prince ce qu'ils ont appris du Kuei-Jin. Le Prince écoute, s'agace de cette information et nous congédie. Il ne montre pas d'émotion particulière à savoir que l'on a attenté à sa vie, au cœur du Louvre ! Nous repartons. Je suis d'une humeur détestable. Corso et Benedict se montrent toujours odieux avec moi quand nous sommes chez Villon. Ils trouvent que je m'aplatis devant le Prince, ils ironisent sur ma condition de courtisan. J'en ai plein les bottes littéralement ! Je les quitte et je vais à pied au manoir Tropovitch, à Montmartre. LA bête les emporte ! J'ai tout perdu ! Lisbeth, mon repaire, mon domestique, mes biens ! Je suis accueilli de façon exquise au manoir Tropovitch, par le domestique. Mon sire est absent : il est à Varsovie pour la semaine. Je vais me coucher sans tarder. ![]() Le lendemain soir, le domestique me donne des habits neufs, une carte bleue, du sang. Il se montre parfait avec moi. Quel plaisir d'avoir cet appui de mon Sire ! Ragaillardi, de meilleur humeur que la veille, je rappelle Benedict. Nous nous rendons au bureau de Corso. Celui-ci a passé une nuit désagréable dans sa crypte : des poils se trouvaient dans mon cercueil au Louvre et ces mêmes poils étaient chez Corso à Vincennes. Avec la Clio Blanche, nous partons vers le parc animalier de Thoiry sans tarder. Une heure et demie de trajet. Nous arrivons à 22h30. Tout est calme dans l'immense nuit. Le parc est fermé. Nous allons voir le gardien, à l'entrée, dans sa loge à l'éclairage jaunâtre. Moyennant baratin et finance (100€ de ma poche), ils nous laissent rentrer pour aller faire un tour. Nous suivons l'intuition de Corso et nous allons vers le domaine des lions. Plusieurs femelles s'approchent de la voiture et reniflent. Nous serions-nous trop approchés des petits ? Corso embraye alors, et décide d'utiliser notre faible véhicule comme 4x4 ! Il fonce comme pour un safari à travers le domaine des fauves ! Benedict et moi sommes ballottés, la voiture tremble mais tient le coup. Nous arrivons près d'une grotte artificielle. Nous stoppons, tous feux éteints. Nous sortons. J'ai tout juste le temps de voir une silhouette poilue qui s'enfuit, et une deuxième qui reste à l'entrée à nous attendre : un Nosfératu. Je signale à Corso la 2e silhouette. Le Nosfératu est le maître des lieux. Nous discutons avec lui pour lui tirer les vers de son nez sale. Nous finissons par comprendre qu'il y a un 2e Caïnite ici, qu'il a abrité une Caïnite pendant quelques temps. Le Nosfé essaye de jouer au plus fin, mais Corso a bien repéré des traces dans l'herbe. Nous comprenons que la créature poilue a emmené Lisbeth, qui séjournait ici, contre son gré, depuis quelques temps. Depuis quelques minutes que nous parlons, nous avons remarqué que toutes sortes d'animaux se sont approchés de nous : loups, lions, chimpanzés, ours !... ![]() L'affreux Nosfératu suggère alors qu'il a un paquet pour moi, ainsi qu'un renseignement. Cet être difforme veut en échange que je délie Felias de son lien du sang et que je boive de son propre sang. Quel marché écœurant ! Ce misérable batard d'égoût doit être de la famille de Bébert ! Je me résous, sachant que si je refuse, nous serons venus pour rien. Felias a bien baissé dans mon estime ces derniers temps. Il n'a pas été là alors que j'aurai eu besoin de lui de manière urgente : qu'il se débrouille seul maintenant, qu'il retourne à la boue d'où je l'ai tiré ! Je demande au Nosfératu de faire éloigner les fauves. Il accepte. Je promets alors de libérer Felias et je bois une gorgée du Nosfératu. Il me donne alors une lettre : dedans, une photo de Lisbeth, un pieu dans le cœur, dans un cercueil. Et son renseignement : aller voir dans le pavillon des lémuriens. Nous partons sans tarder. Sur ordre du Nosfé, un chimpanzé s’est accroché à la jambe de Benedict. J'ai le malheur de lui demander comment s'il s'en servira comme domestique, ou comment il veut l'appeler... Le pavillon en question est une sorte de serre, avec de grands arbres, une végétation dense avec de petits chemins pour circuler. Nous partons chacun de notre côté. J'apprendrai plus tard que Corso et Benedict ont découvert le cercueil qui était sur la photo, vide. Et moi, j'ai rencontré la bête poilue qui s'est enfuie en nous voyant arriver, qui a laissé des poils chez moi et Corso et un message sur mon répondeur. Ce Caïnite ne connaît plus l'humanité que comme un naufragé, emporté au large, voitl es côtes qui s'éloignent vers l'horizon brumeux. Il ressemble à Jack Nicholson en loup-garou. Il est bestial, il parle encore, mais comme un homme possédé par un totem animal. ![]() Il a capturé Lisbeth pour l’emmener avec lui. Il a compris qu’elle ne serait jamais heureuse sans moi, alors il m’a attiré ici, pour que nous partions tous les trois. Il brandit alors un pieu, je me jette à terre en criant « Krugger ! ». J’esquive son coup, il brandit à nouveau son arme, je cris « Corso ! » et la seconde d’après, le bois me perce la cage thoracique ! Ce qui s’est passé pendant que j’étais en torpeur, Corso et Benedict me l’ont appris plus tard. Ils sont arrivés, alertés par mes cris. Krugger a ri de toutes ses dents de fauve en voyant arriver son infant. Il était hors de question pour mes deux alliés de laisser le Sire partir avec moi. Corso recherchait Krugger pour savoir pourquoi il avait été Etreint. Le détective avait maintenant sa réponse : son Sire était devenu un prédateur incontrôlable. Corso comprit qu’il ne pouvait plus le raisonner. Et il voulait prouver à son Maître qu’il était devenu un vrai Gangrel. Krugger a ri encore, face à l’audace de son infant. Il a alors proposé un marché à Corso : ils allaient se battre. Si l’élève prenait l’avantage, Krugger partirait seulement avec Lisbeth. Sinon, Corso viendrait avec lui, en Australie, à Kamberra ! Corso accepta, demanda à Benedict de reculer de quelques pas, et sortit ses griffes dont les blessures sont mortelles comme celles du soleil. Les deux Gangrels se mirent en position de combat, face à face. Benedict dut assister à l’affrontement de deux fauves surnaturels. Corso a frappé à plusieurs reprises, lacérant sans pitié son Sire, il a perdu énormément de sang pour devenir un fauve et survivre aux coups de Krugger, qui auraient dû lui être fatals. Au terme de quelques échanges furieux, Corso a réussi à enfoncer profondément ses lames dans la chair maudite de Krugger, lui infligeant une grave blessure. Ricanant de manière sinistre, Krugger a reconnu que Corso avait fait bien des progrès... ![]() Benedict, quant à lui, refusait de voir Krugger partir avec ma chère et tendre, mais hésitait à engager le combat, tant le précédent affrontement entre le maître et l'élève et le maître avait été impressionnant :jedis: ![]() C'était la goutte qui fit déborder le calice. Fou de rage, Bénédict dégaina son arme, un Magnum automatique. Mais le Gangrel était plus rapide et taillada ce dernier d'un magistral coup de griffes, le blessant grièvement. Plus mort que non-vivant, Bénédict parvint à rester debout et tira plusieurs coups sur son adversaire. Les balles semblaient inefficaces sur la bête qu'il avait en face de lui, mais la dernière salve sembla le destabiliser: il est vrai que Benedict venait de luii décharger une véritable rafale, plus digne d'un Uzi que d'un révolver ! Krugger pissait le sang, mais ses dernières blessures se régénéraient sous les yeux de Corso et Bénédict. Krugger ricana, et reprit Lisbeth sur son épaule. "Vous vous débrouillez bien, mais pas assez pour me tuer. Quand vous serez prêts, venez donc me rendre visite, à Camberra". Il disparut alors... Corso jura qu'à la prochaine rencontre, l'un des deux y resterait... Avant de partir avec ma Lisbeth sur son épaule, Krugger m’a alors enlevé mon pieu du cœur et m’a lancé vers Corso. Je suis sorti peu à peu de ma torpeur. Nous sommes partis vers la voiture. Epuisés, Corso et moi sommes allés boire le sang de ros zébus, qui n’étaient pour nous que des outres pleines de ce précieux liquide vital. Corso a bu tout l’animal, et moi aussi, j’ai aspiré toute la vie de cet animal, le laissant quelques secondes haletant, agonisant et pathétique, avant de le vider entièrement. Nous avons laissé deux carcasses vides, et une partie de notre humanité, qui s’est envolée comme un souffle alors que nous aspirions le sang animal. Les deux bêtes se sont effondrées lourdement et nous avons laissé le troupeau en deuil. Corso était d’une humeur massacrante : jamais il n’avait tant ressemblé à Krugger ! Il fonçait sur l’autoroute. Benedict s'est mis alors à vouloir le raisonner, à défendre le principe d'humanité : un Vampire étant un être plus fort a des responsabilités supérieures. Le visage de Corso s'est défiuré dune grimace mauvaise, kruggerienne : "Vous ne sentez jamais la bête en vous, Benedict ?" a insinué Corso. Benedict a répété qu'il ne fallait pas se laisser aller à la Bête, mais Corso ricanait malement de ces sermons. Au milieu des deux, je ne savais que faire. Je disais à Benedict que s'il s'était lancé, courageusement, contre Krugger, c'était peut-être aussi pour satisfaire l'appétit de la Bête... Par ailleurs, je ne me rangeais pas à la position de Corso. Pas question de devenir une brute simiesque ! ![]() Nous avons été rejoint par une limousine noire. Corso a fait une queue de poisson et la limousine est venu s’écraser contre l’arrière de notre voiture. Le détective, des traits de lubricité cruelle peint sur le visage, est allé vers les occupants de la limousine. Des Sethites. Le conducteur nous avait déjà suivis la veille, depuis le café égyptien jusqu’au Louvre. Les serviteurs du Serpent sont décidés à faire payer à Corso la mort de Muhammad ! Ils repartent sans que la rencontre dégénère. Notre voiture n’est plus utilisable : Benedict fait du stop. Un couple de petits vieux accepte de nous prendre. Nous dégoulinons de sang, nous sommes sales, nous sentons la carne et le fauve. Nous avons croisé au parc le cadavre du gardien, qui a eu la visite de Krugger. Les deux petits vieux nous baratinent pendant le voyage. Corso est à bout de nerfs. Il ne supporte pas la mielleuse petite vieille qui nous montre ses photos de famille. Le jour ne tardera pas à se lever. Corso demande qu’on s’arrête. Encore quelques minutes, et il aurait trucidé les deux vieux. La bête rue et tremble en lui, comme un cheval enragé. Il sort de la voiture, marche,s’enfonce dans les bois, où il va aller s’enterrer pour la journée. Les petits vieux, voyant que nous sommes blessés, nous déposent dans un hôpital à quelques kilomètres de Paris. Nous rencontrons à la morgue une coterie qui nous permet de passer le jour. Le lendemain, nous partons avec eux vers le père Lachaise, pour une soirée satanique. Corso rejoint Paris grâce à des punks dégonflés qui veulent visiter la foire de Paris. Je ne reste pas longtemps à la soirée. L’ambiance et la musique sont mauvaises. Je pars en métro, rejoindre Corso à son bureau. Je dois lui parler, de la bête en nous, de Lisbeth, de Krugger et des desseins machiavéliques d’un vieux Caïnite tapi sous la galerie de l’évolution, le Sieur Hiéronymus Lucien, banni de la Camarilla depuis le meurtre à l’Opéra de Paris… [i]A suivre... ![]() Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - sdm - 01-06-2003 Quote:[Ici combat de Benedict. Comment ça a commencé, je ne me souviens plus ?] Là je peux intervenir ![]() "Finalement, vous les Brujah ne valez pas mieux que les Toreadors !" Objectif : chauffer à blanc un Brujah Résultat : 100% d'efficacité :P Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - sdm - 01-06-2003 ![]() J'adore toujours ces résumés à la première personne, j'adore cette ambiance, bref j'adore :pano_Nico_strofort_in_memoriam_le_site_des_panos: Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - Darth Nico - 01-06-2003 Mici bocou ![]() J'adore moi aussi et de plus en plus l'ambiance Vampire ! J'ai attrapé le ![]() ![]() C'est roulaize über-alles of da kick ban RoxXor ! 8) Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - Darth Nico - 01-06-2003 Fais gaffe Seb, si tu perds encore des points d'humanité et que tu succombes trop à la frénésie Gangrel, tu vas finir par ressembler à ça : ![]() ![]() Après SW, SR, Vampire et 40k, on pourrait se lancer dans le jeu de rôle Doom. http://www.devermore.net/surbrook/doomedhe...o/doomhero.html Un jeu en finesse. ![]() Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - CROM - 02-06-2003 Félicitaions Nico! J'aurais pas fait mieux. Voici donc un bref résumé du combat entre le brujah et le gangrel : Benedict, quant à lui, refusait de voir Krugger partir avec ma chère et tendre, mais hésitait à engager le combat tant le précédant affrontement entre le père et le fils avait été impressionnant. Le seigneur gangrel provoqua alors le malheureux par un "finalement, les Brujah ne vallent pas mieux que les Toréadors". C'était la goutte qui fait déborder le calice. Fou de rage, Bénédict dégaina son arme. Mais le Gangrel était plus rapide et taillada ce dernier d'un majistral coup de griffes, le blessant grièvement. Plus mort que non-vivant, Bénédict parvint à rester debout et tira plusieurs coups sur son adversaire. Les balles semblaient inefficaces sur la bête qu'il avait en face de lui, mais la dernière raffale sembla le destabiliser. Krugger pissait le sang, mais ses dernières blessures se régénéraient sous les yeux de Corso et Bénédict. Il ricanna, et repris Lisbeth sur son épaule. "Vous vous débrouillez bien, mais pas assez pour me tuer. Quand vous serez prêts, venez donc me rendre visite à Camberra". Il disparut alors... Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - Darth Nico - 02-06-2003 Ayé ! J'ai inclus le texte de Willo (avec qqes petites corrections) dans mon résumé, et j'ai ajouté des ![]() J'ai fait qqes ajouts et corrections dans tout le passage en violet. Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - sdm - 02-06-2003 comme d'hab tes textes me donne envie d'écrire quelques bafouilles, dès que j'ai le temps (là je bosse ![]() Je m'automotive sur l'ambiance de Vampire The Masquerade ![]() Dire que les auteurs de Fallout et Arcanum prépare le prochain jv de la série !! ![]() Journal de Lucinius #3 : Les prédateurs de Thoiry - CROM - 03-06-2003 Oooooooohhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!! Mmmmmmmmmmmmmmmmm, le prochain Vampire!!!!!!!!!!!!! |