Forum du Mamarland
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Notes concernant les évènements récents... - sdm - 06-07-2003

"Storm,
In the morning light,
I feel,
No more can I say,
Frozen to myself.


Bon sang, la voix de Beth me déchire toujours autant les tripes. C'est bon signe j'imagine, ça veux dire que je suis encore un peu humain. Malheureusement pour moi, pas de lumière matinale pour me réchauffer après une nuit à jouer avec le Diable. Juste les flammes artificielles des explosifs qui fleurissent sur mon chemin.

Retour en arrière. La scène : ce bureau. La date : il y a deux semaines. Les protagonistes : Lucinius, moi et l'hôte indélicat. Je ne sais pas ce qui est le plus déplaisant chez les Nosfératus, de leur visage grotesque ou de leur sale manie de vouloir se meler de tout et en particulier de ce qui ne les regarde pas. Mais en fait je crois que ce que j'exècre par dessus tout c'est l'arrogance qui suinte de ces connards pour penser que je ne vais pas repérer leur manège minable. Félias pense vraiment que son déguisement d'ombre racheté à un magicien de supermarché va m'empécher de sentir qu'il écoute ma conversation avec Lucinius ? Tellement pathétique que je décide de le laisser filer après sa petite crise d'adolescence où il éructe son mépris du Toréador et un tas d'autres choses moins pertinentes...Enfin tout n'est pas sans intérêt, le rat d'égout nous lache quand même qu'on ferait mieux d'aller dire au revoir à "notre ami" à Roissy. J'ai moins d'amis que d'eau bénite dans les veines mais les rares contacts qui me restent me seront utiles en temps et en heure donc pas question de laisser courir.

Comme le Dégénéré veux venir aussi je dois voler une voiture, la nuit est trop calme alors je choisi la caisse d'un dealer hystérique histoire d'égayer le voyage. Mais finalement dès qu'Aladax hausse le ton le caïd de banlieue se souvient qu'il ne tient pas tant que ça à son héro. A Roissy les choses se compliquent, deux vols spéciaux sont prêts à décoller, un pour Moscou et l'autre pour Kaboul, et pendant ce temps le vol pour Melbourne connait...quelques problèmes...Aladax se charge de Kaboul et moi de Moscou mais il y a encore toute une foule qui se presse dans les aérogares. Si je mets le pied dedans je sais ce qu'il va se passer, d'abord ils vont me laisser entrer mais un peu plus loin ils se refermeront sur mon passage, l'air de rien et l'oeil faussement rivé sur le tableau des vols ils se rapprocheront, je vais être peu à peu encerclé par ces formes anonymes, je vais sentir la masse grouillante et moite se rapprocher avec une lenteur oppressante pour exécuter leur sentence, je vois d'ici leur regard en coin qui me juge sans procès, coupable ! Coupable d'exister à leurs yeux ! Il vaut mieux pour moi rejoindre l'avion de Moscou par les pistes...

Justement c'en est une fausse de piste, des caïnites oui mais pas le bon, Aladax m'appelle alors pour me dire qu'il a plus de succès et qu'il est tombé sur François. Arrivé là-bas je vois que le Ventrue ne semble pas en danger et part en voyage de son plein grés. Nous discutons quelques minutes, il nous apprend qu'il est à la recherche de son Sire que la rumeur prétend mort. Comme je suis arrivé dans une impasse à Paris, je décide de le suivre dans son expédition, accompagné en cela par Aladax. Nous prenons place dans l'avion de François et peu après le décollage je sombre dans un demi sommeil où j'entraperçois les ombres d'un autre monde. Je suis réveillé pour de bon par un grand fracas, les lumières de l'appareil virent toutes au rouge, par dessus le bruit des alarmes j'entends Loren me dire que nous avons été touché par un missile au dessus du désert irakien. L'avion n'est pas prévu pour survivre à un tel traitement et nous perdons rapidement de l'altitude. Enfin le pilote nous pose du mieux qu'il le peut, c'est-à-dire en évitant juste que notre appareil ne se désintègre sur le sable. Pas le temps de s'attarder tout de même dans la carcasse en flamme ni de s'apitoyer sur le sort des membres de l'équipage tous morts évidemment.

Comme un malheur ne vient jamais seul, le soleil est sur le point de se lever et dans ces contrés cela ne nous laisse que quelques minutes pour trouver un abris avant qu'il ne s'élève dans le ciel comme une balle incandescente d'un putain de beretta. Je rejoins donc la Terre pendant que les deux coureurs de salon creusent avec l'energie du désespoir dans le sable pour se protéger. Et ils y réussissent puisque le soir suivant je les vois émerger l'air misérable de leur gangue de sable. Nous nous mettons en marche sans trop savoir où aller mais c'est à croire qu'on ne meurt dans les déserts que dans les livres car nous croisons bientôt la route d'une caravane qui va nous permettre de nous approcher du prermier village. Le rythme de vie de ces nomades qui évitent le soleil brulant pour avancer nous facilite la tâche. Mais si le chameau est un animal remarquable nous attendons impatiemment de mettre la main sur un véhicule motorisé. L'occasion se présente dans le village où nous entrons après avoir quitté la compagnie des bédouins, sous la forme d'un camion usé mais increvable. Le voler est un jeu d'enfant, et après avoir fait déguerpir celui qui dormait à l'arrière nous mettons le cap vers Bassora, malheureusement cette saloperie tombe en panne d'essence pas très loin de notre point de départ. Nous retournons donc sur nos pas pour récuperer cette fois un véhicule plus durable.

Prévenu par le môme les villageois nous attendent avec une certaine mauvaise humeur, je laisse les spécialistes de la diplomatie s'expliquer pour ma part je préfère prendre les chemins détournés. Je prépare même un déjeuner pour François en lui laissant ce qui doit être la seule femme blonde à 100 km à la ronde, inconsciente dans un coin sombre. Ce que nous pouvions pas savoir c'est que ce village est la chasse-gardée d'un caïnite qui voit d'un mauvais oeil notre présence ici. Nous nous quittons tout de même sans violence avec la permission de prendre un camion et des jerricans d'essence. On ne peut pas enlever à cet Assamite son attachement à son troupeau car le voilà qui sabote notre camion juste pour récupérer le "repas" de François. Heureusement il se contente de lui donner une leçon en l'ouvrant en deux avec sa lame infectée puis il repart vers son village avec son bien. Après une réparation sommaire nous repartons vers Bassora, là il nous faut attendre que le Ventrue retrouve ses forces. Enfin au bout de cinq jours à tromper l'ennui en rodant la nuit dans les rues nous pouvons reprendre notre route vers le premier aéroport, au Koweit.

Malgré la surveillance des marines nous réussissons sans trop de difficulté à passer la frontière à pied puis à rejoindre la première ville du pays. Là les as de la négociation molle dénichent un appareil et un pilote prêt à partir dans la nuit. Le voyage est moins confortable que dans l'avion luxueux et ultra-moderne du Sang-Bleu mais au moins nous arrivons à destination quelques heures plus tard sans incident. A Kaboul nous suivons Loren chez un Caïnite de haut rang dénommé Khamad qui se trouve être le Sire d'Ibn-Azul le propre Sire de Loren. Le Toreador et le Ventrue ressemblent à deux gosses dans une boutique à l'approche de noël dans le palais sous-terrain de l'ancêtre, ils sont comme des poissons dans l'eau au milieu de toutes ces dorures et ces babioles, Lucinius surtout qui semble se régéner au contact du marbre et à la lumière du cristal. Moi je reste là à caresser un tigre en les écoutant échanger des propos superficiels avec le maître des lieux. Je me demande s'ils savent tous pourquoi ils sont ici... J'ai un sentiment étrange une sorte de malaise en les voyant si sûr d'eux, si intégrés à la société de leurs semblables, pourquoi suis-je à ce point différent ? C'est plus en tout cas que je ne peux supporter et je sors prendre l'air avant l'arrivée du jour. Ce que nous a révélé Khamad cependant est très intéressant, Ibn-Azul lutte depuis maintenant 250 ans contre une organisation qui prone une vision extrémiste des idéaux de la Camarilla. Là où celle-ci ne cherche qu'à se dissimuler pour exister, la Toute-Vie renie jusqu'à la nature vampirique et souhaite préserver toute existence humaine ou animale, en éliminant pour cela les caïnites déviants. L'organisation n'est ni soutenue ni combattue par les Princes en place qui y voient selon les cas un outil bien pratique, un phénomène mineur, ou une menace trop grande pour être attaqué de front. Dans les rues chaotiques de Kaboul il n'y a pas de repos possible, je repère au coin d'une rue un visage de femme que j'avais déjà noté à Bassora. J'intercepte l'apprentie fileuse et l'interroge poliment. Elle est chargée de nous surveiller moi et Loren pour le compte de la Toute-Vie. Je me demande bien pour qui se prennent ces fils de putes pour s'arroger le droit de juger ma nature. Après lui avoir fait douleureusement comprendre de ne plus y revenir je laisse partir l'observatrice, s'ils pensent m'effrayer avec leurs stupides menaces il faudra qu'ils revoient leur stratégie. Le lendemain nous partons vers Jerusalem où se trouve Ibn-Azul d'après Khamad qui nous fourni un avion pour l'occasion.

En sortant de l'aéroport israélien nous tombons d'accord sur une constation, nous n'avons pas la moindre foutue idée de l'endroit où le Ventrue pourrait se trouver. C'est un Gangrel rencontré du coté palestinien de la ville qui me donnera la réponse, il a croisé au détour d'une bagarre un caïnite qui correspond au profil de notre recherche et me propose de m'amener à lui la nuit suivante. Je préviens les enquéteurs des beaux quartiers pour qu'on se retrouve là-bas. Son repaire se trouve dans les sous-sols d'un hotel de luxe, non loin de l'aéroport duquel sommes arrivés la veille. Quelle assemblée surprenante. Il y a autour du Sire de Loren un représentant de chaque clan de la Camarilla ainsi qu'un ou deux congénères à moi, quand je rentre dans la pièce j'ai du mal à réprimer un sourire en pensant qu'ils passeraient sans problème pour une troupe de théatre de rue. Ibn-Azul nous explique que nous arrivons après la bataille, lui et sa coterie ont mis fin à l'installation de la Tout-Vie dans la ville. Il nous confirme par contre l'infiltration de nombreux rouages de la Camarilla européenne, il nous donne également le nom de l'un des dirigeants de l'organisation qui se font appeler les ordonnateurs. Le nom de Félias est aussi laché au cours de la conversation. Je tends l'oreille quand il parle avec Lucinius de la Comtesse Bathory qui était d'après lui une ancienne membre de la Toute-Vie repentie. L'aurait-on assassiné pour la faire taire. Kruegger a certainement dû avoir à faire à cette secte, il représente une bien belle arme pour un règlement de compte. Le bout du monde nous ramène donc à Paris, c'est là que mon enquête continue. Avant de partir, au moment de quitter Ibn-Azul, la même douleur diffuse me prend quand je vois le respect qui se dégage de la relation entre Loren et son Sire. Lui n'a pas à se battre contre des chimères, est-ce une bénédiction, est-ce une malédiction, je ne sais pas encore, mais je sais la douleur et le désespoir.

Le retour vers la France se passe sans encombre mais dès que je pose le pied dans mon bureau à Paris les problèmes reviennent à la charge. Félias, de plus en plus désagréable, me ricane au téléphone et me défie de venir dans mon antre à Vincennes. Je ne suis pas un monstre mais il faut savoir s'arrêter quand on me menace. La colère me fait grincer des dents, cette fois il n'y aura pas de survivants. Je passe un rapide coup de fil pour mettre Aladax et François au courant de la situation. Le feulement de ma moto entre en résonnance avec le grognement de la Bête dans mon âme. Attaquer un adversaire sur son terrain est une grave erreur quand vous ne savez même pas estimer sa véritable force, je vais graver ça dans la tête de ce Nosfératu à coup de griffes. J'étudie d'abord la scène, une seule présence est visible, une gueule d'amour planqué dans un arbre pas loin de l'entrée des sous-terrains. Je m'approche de lui et apercois qu'il tient une arbalète au phosphore. Alors comme ça on pique dans les surplus de l'Inquisition. Juste au moment où j'atteins en silence le pied de l'arbre Félias et Bébert sortent de mon antre. Décidement ils se croient le 14 juillet, Bébert porte rien moins qu'un lance-flamme. Le sieur Spalinger se moque de moi et me promet une mort douleureuse, ils sont à trois contre un, et possède l'équipement le plus efficace pour lutter contre notre engeance. Je pourrais avoir peur. Mais la Bête hurle, elle sait. Je bondis dans l'arbre comme aucun animal ne pourrait le faire et décapide d'un coup le vampire trop lent pour réagir. Duel inégal entre le prédateur et la proie. Félias se précipite vers moi la bave aux lèvres, pendant que Bébert tente de m'envoyer en enfer par la voie enflammée. J'esquive le jet mortel du second et tombe sur le premier, les griffes en avant et le feutre fumant. Dommage que je n'ai pas le temps de savourer cette petite seconde où je lui ouvre les entrailles et où dans ses yeux éclate l'effroie devant l'énormité de son erreur à mon sujet. Loren et Lucinius arrivés en soutient tirent sur la bonbone du lance-flamme mais sans parvenir à la faire sauter, il faut que je libère une main des boyaux de Spalinger pour prendre mon magnum et transformer moi-même Bebert en torche hurlante.

L'ancien serviteur d'Aladax gît à mes pieds en se tordant de douleur. Les Nosfératus savent toujours les petits secrets les mieux gardés et celui-là va tout me dire avant que je ne lui arrache la langue. Nous l'embarquons dans la voiture de François pour rejoindre un coin calme. Une chambre miteuse d'un hotel du XXème fera l'affaire. Le type de l'accueil pionce comme un bébé pendant que nous entrainons notre prisonnier vers une chambre vide. Là je m'occupe de faire parler notre hôte que nous avons attaché à un mur. Je ne suis pas un monste je l'ai déjà dit mais putain certains cris sont doux à mon oreille. Nous lui faisons cracher le morceau sur l'organisation, ses membres parisiens, ses dirigeants, la totale. Encore une fois Lucinius aborde le thème qui m'interesse le plus, mais contrairement à Ibn-Azul, Félias nous affirme que la Comtesse n'avait quitté l'organisation que pour la facade et n'avait en réalité jamais cessé ses activités. Quand je lui demande ce que Kruegger vient faire là-dedans il hausse presque les épaules, ou ce qu'il en reste, et me dit que lui et la Comtesse était ennemi de longue date et que l'affaire n'était que la suite de leur affrontement. Il nous affirme en plus que Kruegger n'aurait pas terminé son oeuvre et que la caïnite aurait survécu. Encore une fois je suis devant un cul-de-sac, s'il dit la vérité il n'y a personne derrière mon Sire, personne pour me donner les réponses que lui ne peut plus me fournir. La haine m'envahi peu à peu et je redouble de hargne dans l'interrogatoire, le Nosfératu nous nargue une dernière fois en nous disant que Benedict est actuellement dans mon antre et qu'il y mourra bienôt, une griffe vissée dans le poumon lui fait ravaler son sourire, il crache alors que je ne vaux pas mieux que mon Sire et que ma mort sera un bienfait pour tous. Il ment lui aussi...je ne suis pas Kruegger, je ne suis pas fou...

L'accusation a au moins le mérite de me calmer. Je questionne du regard Lucinius pour savoir s'il a une dernière parole pour son ancien serviteur, il me fait signe d'une moue résignée que ce n'est pas le cas et sort de la chambre suivi par Loren. Je me retrourne vers le Vampire à moitié mort, la Bête a rejoint sa tanière et c'est sans un sourire que je mets fin à son existence. Nous nous remettons en route vers Vincennes pour savoir si le rat avait dit la vérité. Une fois sur place je guide mes compagnons dans les couloirs obscurs où je vis. Arrivé devant mon antre je m'arrête net, la situation s'imprime sur ma rétine, la chaise vide au centre de la pièce, les cordes détachées au pied de celle-ci, les explosifs dans un coin sombre, les cellules de déclenchement disposées sur le sol et enfin les pas lourds d'Aladax et de François qui s'écrasent inéxorablement vers les cellules en question. La déflagration est assourdissante et le souffle nous projète contre les murs. Je me relève sans dommage tandis que Loren tente d'eteindre les flammes qui lui lèchent le dos. Benedict sortant d'on ne sait où nous rejoint alors et aide le Sang-Bleu paniqué. Aladax, lui, a souffert plus gravement de l'explosion et gît sur le sol, en torpeur. Benedict se propose de l'emmener chez Tropovitch où ils prendront soin de lui, Loren encore sonné décide de rentrer directement chez lui. Je ne suis pas d'humeur à discuter, j'approuve et quitte les lieux. La nuit se terminera sous peu mais la faim me tenaille, j'erre dans le bois de Vincennes en me nourissant à toutes les jugulaires qui se présentent. Je tombe enfin sur une vieille connaissance, Jim Jarell, qui me fait part de son irritation de voir le foutoir que je mets à quelques pas de son territoire. Il ne semble pas trop hostile tout de même, presque...amical. Il me dit avant de partir que je commence à me faire remarquer dans le clan. La belle affaire. Je passe la journée endormi dans la Terre, puis regagne ce bureau le soir tombé pour me noyer dans le blues.

Quelle saloperie d'ironie, plus je cherche à comprendre mon existence et plus je ressemble à Kruegger. Y-a-t-il au moins un autre chemin ? C'est son Sang qui coule dans mes veines, que puis-je faire contre ça. S'il n'y a rien à savoir. Rien à comprendre. Je ne pourrai pas revenir en arrière, faire semblant. Je ne pourrai pas me mentir. Qu'est-ce-que je vais devenir putain. Si... Si Benedict avait raison...Non, c'est stupide, il boit du sang comme nous tous et tôt ou tard il tuera ses proies. Il a forcément tort...

En tout cas, si je ne sais pas comment tout cela va finir, je sais que le jour venu, j'en emporterai plus d'un avec moi dans la tombe.

...
Ohh, can't anybody see
We've got a war to fight
Never found our way
Regardless of what they say

"


Notes concernant les évènements récents... - Darth Nico - 06-07-2003

Applause

Je n'ai lu que le début pour le moment, mais ça m'a l'air de la meilleure eau !
L'eau bien noire et croupie des nuits suintantes d'angoisse et de peur bestiale... Terreur

Applause biggrin

Je vais moi-même finir le résumé de la dernière fois, avant de lire le tien en entier. Wink


Notes concernant les évènements récents... - sdm - 07-07-2003

merci, j'aime être méchant
twisted

Normalement mon prochain sera plus court, j'ai passé mon temps à me chamailler avec Béné 8)

En tout cas 2 textes sur la même campagne ça rox, c'est le MJ qué content biggrin


Notes concernant les évènements récents... - Gaeriel - 07-07-2003

Applause un joli résumé en plus très long

ca nous fera des beaux souvenirs d'obscures nuits passées dans le monde à rechercher ceux qui veulent nous tuer!!!!


Notes concernant les évènements récents... - Darth Nico - 07-07-2003

Quote:merci, j'aime être méchant  
twisted  

Normalement mon prochain sera plus court, j'ai passé mon temps à me chamailler avec Béné  8)  

En tout cas 2 textes sur la même campagne ça rox, c'est le MJ qué content   biggrin

Il faut être méchant. C'est comme ça qu'on fait du bon résumé de Vampire. fache Virus


Notes concernant les évènements récents... - Darth Nico - 07-07-2003

Je sais que je vais payer cher de te demander cela, Seb, parce que tu vas railler sous cape mon ignorance mais... Spamafote
De qui est la chanson que tu cites en début et fin de ton résumé ?
Whistle

EDIT
Oups désolé... J'ai vu que c'était Beth. 8)
Tiens bah tu vas être étonné, mais figure-toi que je les ai vus en concert !
:shock:
Eh bien oui ! Parfaitement !
Trop_fort
C'était à Sceaux.
D'ailleurs la chanteuse est plutôt mignonne. Whistle Elle ferait une belle Caïnite. smile Et leur musique est bien.
Ils étaient en première partie de [b]Kaolin. Chicagoblues


Notes concernant les évènements récents... - sdm - 07-07-2003

Portishead en première partie de Kaolin ? Clever C'était il y a longtemps alors.
Tu es sûr qu'on parle de la même chose, moi c'est Beth Gibbons la chanteuse de Portish ?

En tout cas la chanson c'est "Roads" qui est à mon humble avis dans sa version live à NY une des plus belles, de chanson, depuis 3 millénaires Chinese


Notes concernant les évènements récents... - Darth Nico - 07-07-2003

Ah ben non, y'a confusion en fait. Hum

Beth dont je parlais, c'est le nom du groupe. :LeLudwig:
C'est vrai que Portishead en première partie de Kaolin, c'est Jimi Hendrix en première partie de Téléphone. Wink

Euh, tu connais Kaolin ?
C'est un copain qui m'a emmené. Ils ont sorti un album je crois, et ils en préparent un second. C'est sympa. smile

Faudra que je prenne la version dont tu me parles. Chicagoblues

EDIT
Ayé ! J'ai lu en entier ton texte. C'est glauque et c'est bon !
Corso s'enfonce dans la boue... Il va falloir le sortir de là. 8)
J'ai qqes corrections et ajouts à faire sur l'interrogatoire de Felias. Je vais rajouter ce que j'ai noté sur papier.


Notes concernant les évènements récents... - CROM - 21-10-2004

Un sujet sur lequel j'avais jamais posté? Pas possible!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :shock: