11-09-2004, 02:15 PM
LA VOIE DU SHUGENJA
Compilé d'après des aides de jeu Web
La journée d’un shugenja, Isawa Sadako
Heure du soleil (6-8h) : le shugenja se lève et médite avec les kamis pendant une heure, après il va se baigner et prendre son petit déjeuner.
Heure de la Lune (8-10h) : le shugenja s’arrête à un temple et y laisse une petite offrande, après il va à la bibliothèque travailler sur un nouveau sort d’air.
Heure d’Hantei (10-12h) : à la fin de la matinée, Sadako et ses collègues vont pratiquer leurs arts d’invocation des kamis.
Heure d’Akodo (12-14h) : un repas assez long avec son amie d’enfance Tomiko.
Heure de Doji (14-16h) : Sadako retourne étudier pour essayer de créer ce nouveau sort d’Air. Il pense pouvoir l’offrir à son école après encore 6 mois de recherche.
Heure de Shiba (16-18h) : Le shugenja va faire un tour hors de la forteresse, bénissant les paysans et visitant les champs.
Heure de Bayushi (18-20h) : après le dîner, Sadako prend des notes sur ses recherches et transcrit certains passages sur des parchemins qui seront son rapport à la bibliothèque des Isawas.
Heure de Shinjo (20-22h) : à la fin de chaque jour, Sadako passe deux heures en méditation en remerciant les kamis.
Heure d’Hida (22-24h) : retournant dans ses quartiers, il se baigne et se couche.
L'apprentissage des shugenja
Environ un rokugani sur 10 naît avec le don qui lui permet d’entrer en contact avec les esprits, la proportion étant variable selon les clans et les familles : les Isawa ont une proportion de 90 % contre moins de 1 % pour la famille Matsu.
Le don est lié au sang, et le sang de certaines familles est plus prompt que d’autres à offrir des enfants possédant le pouvoir de devenir Shugenja que d’autres.
Mais au-delà du sang vient l’éducation : certaines personnes naissent avec le don, mais n’apprennent jamais à s’en servir : dans le meilleur des cas ils apprennent par eux-mêmes (comme les shugenjas ronins) ou taisent à jamais leur contact avec les esprits. Ces dernières personnes possèdent souvent alors ce que les gens du commun appellent un don inné, une bénédiction des fortunes. Ils ne pourront jamais devenir shugenja, car il s’agit d’un entraînement long et difficile, qui coûte la vie à de nombreux apprentis.
Sur 100 apprentis, à peine la moitié arriveront à devenir des shugenjas corrects, le reste étant condamné à pratiquer les prières et les rituels les plus simples en tant que shugenja de rang 1 voir juste d’aide. 10 % ne survivront pas aux terribles épreuves de leur apprentissage.
Tous les clans possèdent des shugenjas expérimentés dont la fonction est d’arpenter les Shiro et les villes afin d’étudier les enfants pour savoir s’ils possèdent le don ou pas.
Compilé d'après des aides de jeu Web
La journée d’un shugenja, Isawa Sadako
Heure du soleil (6-8h) : le shugenja se lève et médite avec les kamis pendant une heure, après il va se baigner et prendre son petit déjeuner.
Heure de la Lune (8-10h) : le shugenja s’arrête à un temple et y laisse une petite offrande, après il va à la bibliothèque travailler sur un nouveau sort d’air.
Heure d’Hantei (10-12h) : à la fin de la matinée, Sadako et ses collègues vont pratiquer leurs arts d’invocation des kamis.
Heure d’Akodo (12-14h) : un repas assez long avec son amie d’enfance Tomiko.
Heure de Doji (14-16h) : Sadako retourne étudier pour essayer de créer ce nouveau sort d’Air. Il pense pouvoir l’offrir à son école après encore 6 mois de recherche.
Heure de Shiba (16-18h) : Le shugenja va faire un tour hors de la forteresse, bénissant les paysans et visitant les champs.
Heure de Bayushi (18-20h) : après le dîner, Sadako prend des notes sur ses recherches et transcrit certains passages sur des parchemins qui seront son rapport à la bibliothèque des Isawas.
Heure de Shinjo (20-22h) : à la fin de chaque jour, Sadako passe deux heures en méditation en remerciant les kamis.
Heure d’Hida (22-24h) : retournant dans ses quartiers, il se baigne et se couche.
L'apprentissage des shugenja
Environ un rokugani sur 10 naît avec le don qui lui permet d’entrer en contact avec les esprits, la proportion étant variable selon les clans et les familles : les Isawa ont une proportion de 90 % contre moins de 1 % pour la famille Matsu.
Le don est lié au sang, et le sang de certaines familles est plus prompt que d’autres à offrir des enfants possédant le pouvoir de devenir Shugenja que d’autres.
Mais au-delà du sang vient l’éducation : certaines personnes naissent avec le don, mais n’apprennent jamais à s’en servir : dans le meilleur des cas ils apprennent par eux-mêmes (comme les shugenjas ronins) ou taisent à jamais leur contact avec les esprits. Ces dernières personnes possèdent souvent alors ce que les gens du commun appellent un don inné, une bénédiction des fortunes. Ils ne pourront jamais devenir shugenja, car il s’agit d’un entraînement long et difficile, qui coûte la vie à de nombreux apprentis.
Sur 100 apprentis, à peine la moitié arriveront à devenir des shugenjas corrects, le reste étant condamné à pratiquer les prières et les rituels les plus simples en tant que shugenja de rang 1 voir juste d’aide. 10 % ne survivront pas aux terribles épreuves de leur apprentissage.
Tous les clans possèdent des shugenjas expérimentés dont la fonction est d’arpenter les Shiro et les villes afin d’étudier les enfants pour savoir s’ils possèdent le don ou pas.