28-06-2003, 11:24 AM
:LeLudwig: Internationale et la Metro
Mayer présentent...
une exclusivité www.sdm-jdr.fr.st...
ALADAX LUCINIUS et SPALINGER FELIAS, version 1992 !
Voilà donc l’histoire, très incomplète, d’Aladax Lucinius version 1992 ! Je devais être en 6e ou 5e quand j’ai écrit ce texte. A l’époque, j’étais fan de Jules Verne (je venais de lire Michel Strogoff avec passion) et cela se sent dans certaines tournures de descriptions et certains traits d’humour plus ou moins drôles. Je n’avais cependant pas les épaules de conduire un récit sur 200 pages, donc je me suis arrêté au bout de quelques pages. Par ailleurs, je ne retrouve pas la première page, hélas !...
Ça me fait bien sourire de retrouver ma vieille écriture, et de lire les noms de Lucinius et Felias, qui étaient un comte vampire et son domestique.
Je vous ai tapé ce texte en étant aussi fidéle que possible à la version papier, et en laissant évidemment les incohérences, les fautes de grammaire et d’orthographe etc., qui font tout le charme de ce texte. J’étais en particulier en souffrance sur les accents, je m’en souviens très bien !
Vous pourrez comparer avec mes résumés de Vampire !
Enfin, vous jugerez vous-mêmes si tout cela est bien conforme aux règles de la Mascarade !
[size=1][Manque une page. Nous sommes au 2e chapitre. Dans le 1er, Lucinius et Felias nous étaient présentés au château. Le comte prenait le repas que lui apportait son domestique.]
« C’est un village de 1838 habitants, dont 1739 vampires. Il reste donc 99 habitants non-vampires qui se répartissent ainsi :
- 40 Moutons
- 32 vaches
- 10 coqs et poules
- 5 moutons
- 8 chats
- 4 chiens
La mairie est aussi un musée d’horloges allant de l’antiquité à maintenant. La ville possède un théâtre gothique et un cimetière (qui est en fait l’endroit où dorment les habitants)
Le « ROYAL VAMPIRE CLUB » se trouve dans le centre ville.
Lucinius, une fois arrivé, frappa à la porte de bronze et un portier vint lui ouvrir.
- Qui êtes-vous ? demanda -il.
- Aladax Lucinius de Morvax.
- C’est vous ? ! Entrez !
Le portier lui fit traverser un long couloir. Il arriva enfin dans la pièce ou se trouvent les membres du club.
La pièce était vaste et haute de plafond.
Plusieurs tableaux décorent les murs en brique rouges. Une vieille horloge battait méthodiquement les secondes. Seul quelques bougies éclairaient la pièce. (Car si les vampires sont exposés à trop de lumière, ils tombent en poussière).
La table en bois sculptés est recouverte d’une nappe de velours. Sur cette nappe étaient posés un jeu de l’oie et un jeu d’échec.
Le président tourna son regard au moment où Aladax entra.
- Messieurs, vous m’avez demandé. Me voici ! dit le comte.
- Bonjour, Mr Lucinius ! Asseyez-vous et retirez votre manteau. Je vais vous expliquez notre demande, repondit le president.
Aladax obtempera et demanda :
- Puis-je avoir un verre de sang chaud, il faisait froid, dehors.
- Entendu ! Mais voici la raison pour laquelle vous deviez venir. Connaissez-vous Alexandrovitch Lucinius ?
- Oui, c’est mon arrière grand-père !
- Comment est-il mort ?
- Brulé par des Americains. Ces cendres sont dans la mairie d’un village perdu.
- Nous voulons ces cendres.
- Pourquoi ?
- Parce qu’elles nous appartiennent.
- Je ne vais pas aller me faire bruler pour des cendres ! !
A ce moment un homme fut introduit par le portier.
- Le notaire Zacharius Maria dit ce dernier.
- Bonjour, Mr Maria ! dit le président [avec] un regard complice au notaire.
è Bonjour ! Mr Aladax vous irez, ou bien votre comté vous sera retiré !
- Comment cela ! ? ! s’écria Lucinius.
- C’est la seule façon de prouver que vous êtes de la famille Lucinius. Votre sang mêlé à ses cendres le ressusciterons. Si dans 2 mois et 10 jours vous n’êtes pas de retour, je confisquerai ce chateau !
- Au profit de qui ?
- Du comte Argusius que je reprêsente.
- J’irai en Amerique et je ramenerai ces cendres sur un plateau d’argent ! ! repondit [t-il] ironiquement.
Lucinius se leva, salua et sortit vers son chateau.
[b]III
Difficulté à la gare de Storcoff-Storm
- Spalinger !
- Maître ?
- Preparez les bagages. Nous partons en Amerique.
- En Amerique ? ! Quand ?
- Dans 3 heures maximum !
Aladax mit Spalinger au courant de la situation rapidement.
Et 2h47 plus tard, ils partaient vers la gare de trains la plus proche.-
- Monsieur ?..
- Oui ?
- Comment allons-nous vers la gare ?
- A pieds !
Ils marchaient depuis une demi-heure quand il commença à pleuvoir. Ils deciderent de s’arrêter pour la nuit. Ils avaient dans leur sac de quoi manger, 250000 Francs et des habits de rechange.
- Le jour va se lever, monsieur.
- C’est vrai, Spalinger. Dormons.
Je vais profiter de leurs sommeil pour citer les particularités d’un vampire.
- Ils se nourrissent de sang.
- Ils ne se reflêtent pas dans un miroir
- Ils n’ont pas d’ombre.
- Ils peuvent se transformer en chaive-souris.
- Ils ne sont vulnérables qu’a trois choses :
Le feu. Ils peuvent être brulés.
Le soleil qui les réduits en poussière.
Enfin, un pieu de bois dans le cœur est leur dernier point faible.
- Quand une personne est mordu par un vampire, elle se vampirise à son tour.
- Ils ont une peur indescriptible des croix et de l’ail.
- Les vampires ont deux longues canines qui leur servent à mordre les victimes.
Le lendemain, Félias et Lucinius arrivaient enfin à la gare de Storcoff-Storm.
Mais cette gare était vide. Tout était saccagé, massacré, incendié.
- Nous ne pouvons pas partir, monsieur dit Spalinger
- C’est l’œuvre d’une bande de pillards ! dit froidement Aladax.
- Que faire, monsieur ?
- Attendre un train. Les rails sont en bonne état.
Et ils attendirent. Mais 3 heures plus tard, un grand homme arriva.
Il était vêtu d’un manteau de fourrure.
De grandes bottes lui montaient jusqu’aux genoux.
Ses épaules carrées et larges, sa musculature bien développée faisaient penser à un chasseur ou chef d’une bande de pillards.
- Qui êtes-vous ? demanda t-il
- Aladax Lucinius, Vampire.
Pendant ce temps, Felias fouillait la gare à la recherche de quelque chose ou quelqu’un pour les aider. Il avait cherché dans la salle d’attente, sur le quai, dans le parking de carrioles.
Mais tout se revela vide de tout objet digne d’intêret. Il se décida à visiter un train saccagé comme le reste du batiment.
Les banquettes déchirées ou calcinées ne donner vraiment pas envie de s’asseoir. Des bouts de carreaux brisés trainaient par terre. Au bout de trois wagons, il trouva enfin une valise. Il l’ouvrit le cœur battant et pur constater que le proprietaire était un prestidigitateur. Des cartes, une baguette, des boules en plastique, un chapeau haut de forme, des fleurs en papier, trois cordes, un grand drap noir roulé mais plus important : des sabres et des épées.
Spalinger choisit une épée espagnole et un sabre russe pour Aladax.
Il continuait sa fouille de la valise : des petites boites en cartons, des balles en mousses… plus rien d’interressant.
Dans le dernier wagon, il trouva une cassete noire, fermé par un cadenas qu’il fit sauter grâce à son épeé. A l’intérieur, ô merveille, des liasses de dollars et 4 rubis.
Il fit un compte rapide qui lui fit estimer à 5280 dollars la valeurs des liasses de billets.
Il revint en courant vers son maître.
Pendant ce temps, les présentations continuaient entre le comte et l’homme.
- Un vampire ! Ah ah ah ah ! dit en partant d’un énorme rire.
Le comte resta froid.
- Vous ne croyez pas au vampire, monsieur ? demande Lucinius
- Si, ahahah ! Mais les vampires, ahah, j’en fais de la purée ! cria t-il en continuant de rire.
- Vous me parlez peut-être des chauves-souris nommées « Vampires » dit calmement le vampire.
- Oh que non ! Et par ma barbe rousse, je vous defie en duel !
Aussitôt des dizaines d’hommes sortirent des fourrés tout prêts et crierent :
- Vive le chef ! !
- Voici mes brigands, Monsieur le comte ! Alors, vous combattez ?
- Je relève le défi ! Mais je veux connaître le nom de mon adversaire ! ! répondit courageusement Lucinius.
A ce moment, Spalinger Felias revenait vers son maître.
- Monsieur, monsieur ! J’ai découvert… euh, qui sont ces gens ? s’interrompit Félias.
- Des brigands, et le chef dont je ne connais toujours pas le nom veut se battre avec moi.
- Ah ! La vie est bien faite ! Je veux de trouver ce sabre pour vous !
- Très bien, Spalinger !
Il se tourne vers le chef et continue :
- Voilà mon arme. Quelle sera la vôtre et quel vôtre nom ?
- Je m’appelle Boris et mon arme sera un pieu ! !
A cette dernière réponse le comte tressaillit. Un pieu !
Ainsi, Boris connaissait le point faible des vampires.
IV
Le fer contre le bois
Les deux adversaires se regardaient.
Il fut convenu que le duel partirait au coup de feu de Spalinger.
Le sabre d’Aladax appartenait à un officier russe du tzar. La lame était étincelant, en parfait état.
Le manche était recouvert d’une feuille d’or gravé au nom de l’ancien propriétaire : Marco Milani.
(C’est de toute evidence un italien qui venait présenter ses tours en Transulvanie.)
Boris possedait comme arme un vulgaire bout de bois (mais quel bout !
, pointu à l’une des extremités
Son diamêtre s’estimait à environ 8 cm. La longueur approchait les 50 cm.
Spalinger dirigea son arme vers le ciel et tira.
Boris fut le plus rapide, il se précipita sur le vampire la pointe en avant. Ce dernier arreta net la pointe avec le plat de sa lame. Puis, d’un mouvement rapide, et avec une force extraordinaire, il coupa le pieu en deux et repoussa le brigand avec un crochet du gauche (sa main droite étant occupé par le sabre).
Boris se rua sur Lucinius et commença à le taper de toute part. Le vampire ne sentait presque rien puisqu’il n’est vulnérable qu’aux trois choses citées page 6.
- Vous ne savez pas vous battre, Boris.
Le denommée tenta de lui enfoncer une moitié du pieu dans le cœur, mais le comte de Morvax mit sa main en avant et le pieu transperça la main.
Le colosse retira l’arme en bois fit quelques pas en arriere et lança les deux bouts du pieu sur son adversaire qui se baissa et evita les deux pieu. En deux bonds en avant, le vampire était au corps à corps avec le chef. Il ouvrit la bouche toute grand en laissant apparaître ses dents pointues qui s’enfoncerent dans l’épaule gauche du bandit qui poussa un cri de douleur.
Aladax Lucinius leva son sabre vers le ciel.
Un instant, la lame brilla sous la lumière lunaire. Boris n’eut que le temps de voir une lame arriver sur sa gorge et lui couper en deux. La tête roula au pied des brigands terrifiés. Le gagnant rejoignit tranquillement son domestique. Mais la meute s’était ressaisit, et, armés de pieu les voleurs se précipitêrent sur les deux vampires.
V
Fuite à tir d’aile
Lutter contre ces bandits, c’était lutter à 2 contre 80.
- Fuyons à tir d’aile ! cria Félias
- Prenez la cassette, je prend le sac ! ordonna Lucinius.
- Aussitôt, ils s’enroulêrent dans leur cape. Il y eut un bref nuage de fumée et 2 magnifiques chauves-souris, dites « Vampires », portant en leurs dents un sac et une cassette, décolerent
- Les pieux pleuvaient sur les animaux ailés.
- Mort aux vampires ! criez et repetez la meute
- Cette dernière gagnait du terrain car les deux vampires était alourdis par leurs sacs.
- Lachez chette cachette, Chpalinger ordonna Aladax gêné le sac qu’il tenait dans sa bouche. Rien n’aurait pu les sauver des pieux si une nuée de chauves-souris n’étaient arrivé.
- Un nuage venu de nulle part.
- Chauvé, Chpalinger cria le comte.
Les chauves-souris fonderent sur les brigands
Plus de la moitié s’écroulêrent mordus de partout.
Le carnage aurait pu continuer longtemps si un sifflement ne rappela les vampires volants
Aladax et Felias se poserent et reprirent leurs aspects normaux.
Un vieux vampire vint les saluer.
Il portait une barbe blanche, une veste de chasse en cuir et de grosses bottes terreuses.
- Venez chez moi - leur proposa t-il.
- Entendu, mais pas longtemps nous sommes pressés
Le chemin conduisit rapidement à la maison de l’homme. Ce n’était qu’une batisse en bois et toit de chaume. A l’interieur, une table, une chaise, un lit et une cheminée constituaient les seuls meubles de la pièce.
- Puis-je vous offrir à manger ? demanda l’homme.
- Moi, je veux bien. Comment dressez-vous ces chauves-souris ? dit Spalinger.
- Pas le temps de discuter ! Ou est la gare la plus proche ? interrompit Aladax.
- A 5 heures de cheval d’ici. répondit le dresseur
- Parfait ! Nous partons tout de suite !
- Maintenant ? Eh bien, au revoir, messieurs dit l’homme.
- Avez-vous des chevaux ? interrogea Spalinger.
- Oui, quatres.
- Très bien ! s’exclama Lucinius. Combien voulez-vous pour ces chevaux ?
- 2500 dollars chacun. Répondit le dresseur de chauves-souris
- Voilà 7000 dollars pour les deux chevaux.
- Aussitôt, ils sortirent est prenerent les montures.
- Au revoir, monsieur. dit Lucinius.
Il donna un coup de talon et ils partirent.
VI
Contre les loups
Voilà déjà deux heures qu’ils étaient parti en marchant, régulièrement au trot.
Ils s’enfonçaient maintenant dans la forêt couverte de neige.
- Monsieur, quel sera notre itineraire ?
- Nous devons aller dans le Nevada, à Redcity, plus précisément. Nous prendrons le train jusqu’à Munich où nous changerons de train pour Paris où nous dormirons. Ensuite jusqu’à la Rochelle. Puis en paquebot jusqu’à New-York. De New-York à Amarillo en 3 jours. Et enfin Amarillo à Red-City. Mais, c’est plus dure que cela ne paraît.
- Tant que ça ?
- Oui. Il faut compter avec les attaques de sioux, de bandits.
- Des loups ! ! s’écria Spalinger.
En effet des loups venaient de surgir du bois.
Les crocs prêts à entrer en action. La bave à la bouche. Les yeux féroces.
- Il faut sauver les chevaux, monsieur !
- Exact !
Ils sautèrent à bas de leurs montures et prirent leurs armes.
Les loups sauterent sur les deux vampires.
Un vieux mâle sauta sur Spalinger qui le mordit et le vampirisa. Aussitôt, il combattit les autres et en vampirisa d’autres.
Aladax ne vampirisa pas, mais taillader en morceaux. Le chemin se transforma en mare de sang. Au fur et à mesure, le scène se transforma en véritable boucherie.
Les loups commençant à s’entretuer avec les loups vampirisé.
- Quel scène agréable, monsieur !
- Oh que oui ! Tout ce sang pour nous
Cela aurait duré longtemps, car Spalinger et Lucinius reprenait de l’energie à chaque fois qu’ils aspiraient le sang. Mais à la fin, les loups s’enfuirent. Seul un loup restait.
C’était le seul qui n’était pas blésse. Il portait dans le cou deux traces de dents, c’était donc un loup-vampire.
- Que fait-on avec celui-là ? dit Spalinger en désignant le loup qui restait immobile en regardant les deux hommes.
- Avez-vous déjà eu un chien, Spalinger.
- Oui. Un berger-allemand vampire et un huskie. »
Eh voilà ! C'est déjà fini !
:(
C'est émouvant de retrouver un petÿ texte de newbie !
Regarde Willo, comme tu as perverti l'honnête et dévoué Felias !
Hmm... quand est-ce que Aladax 2003 apprend à se transformer en chauve-souris ?

"La puissance que tu as acquise, sers t'en pour faire le bien. "

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Voilà donc l’histoire, très incomplète, d’Aladax Lucinius version 1992 ! Je devais être en 6e ou 5e quand j’ai écrit ce texte. A l’époque, j’étais fan de Jules Verne (je venais de lire Michel Strogoff avec passion) et cela se sent dans certaines tournures de descriptions et certains traits d’humour plus ou moins drôles. Je n’avais cependant pas les épaules de conduire un récit sur 200 pages, donc je me suis arrêté au bout de quelques pages. Par ailleurs, je ne retrouve pas la première page, hélas !...
Ça me fait bien sourire de retrouver ma vieille écriture, et de lire les noms de Lucinius et Felias, qui étaient un comte vampire et son domestique.
Je vous ai tapé ce texte en étant aussi fidéle que possible à la version papier, et en laissant évidemment les incohérences, les fautes de grammaire et d’orthographe etc., qui font tout le charme de ce texte. J’étais en particulier en souffrance sur les accents, je m’en souviens très bien !
Vous pourrez comparer avec mes résumés de Vampire !

Enfin, vous jugerez vous-mêmes si tout cela est bien conforme aux règles de la Mascarade !


[size=1][Manque une page. Nous sommes au 2e chapitre. Dans le 1er, Lucinius et Felias nous étaient présentés au château. Le comte prenait le repas que lui apportait son domestique.]
« C’est un village de 1838 habitants, dont 1739 vampires. Il reste donc 99 habitants non-vampires qui se répartissent ainsi :
- 40 Moutons
- 32 vaches
- 10 coqs et poules
- 5 moutons
- 8 chats
- 4 chiens
La mairie est aussi un musée d’horloges allant de l’antiquité à maintenant. La ville possède un théâtre gothique et un cimetière (qui est en fait l’endroit où dorment les habitants)
Le « ROYAL VAMPIRE CLUB » se trouve dans le centre ville.
Lucinius, une fois arrivé, frappa à la porte de bronze et un portier vint lui ouvrir.
- Qui êtes-vous ? demanda -il.
- Aladax Lucinius de Morvax.
- C’est vous ? ! Entrez !
Le portier lui fit traverser un long couloir. Il arriva enfin dans la pièce ou se trouvent les membres du club.
La pièce était vaste et haute de plafond.
Plusieurs tableaux décorent les murs en brique rouges. Une vieille horloge battait méthodiquement les secondes. Seul quelques bougies éclairaient la pièce. (Car si les vampires sont exposés à trop de lumière, ils tombent en poussière).
La table en bois sculptés est recouverte d’une nappe de velours. Sur cette nappe étaient posés un jeu de l’oie et un jeu d’échec.
Le président tourna son regard au moment où Aladax entra.
- Messieurs, vous m’avez demandé. Me voici ! dit le comte.
- Bonjour, Mr Lucinius ! Asseyez-vous et retirez votre manteau. Je vais vous expliquez notre demande, repondit le president.
Aladax obtempera et demanda :
- Puis-je avoir un verre de sang chaud, il faisait froid, dehors.
- Entendu ! Mais voici la raison pour laquelle vous deviez venir. Connaissez-vous Alexandrovitch Lucinius ?
- Oui, c’est mon arrière grand-père !
- Comment est-il mort ?
- Brulé par des Americains. Ces cendres sont dans la mairie d’un village perdu.
- Nous voulons ces cendres.
- Pourquoi ?
- Parce qu’elles nous appartiennent.
- Je ne vais pas aller me faire bruler pour des cendres ! !
A ce moment un homme fut introduit par le portier.
- Le notaire Zacharius Maria dit ce dernier.
- Bonjour, Mr Maria ! dit le président [avec] un regard complice au notaire.
è Bonjour ! Mr Aladax vous irez, ou bien votre comté vous sera retiré !
- Comment cela ! ? ! s’écria Lucinius.
- C’est la seule façon de prouver que vous êtes de la famille Lucinius. Votre sang mêlé à ses cendres le ressusciterons. Si dans 2 mois et 10 jours vous n’êtes pas de retour, je confisquerai ce chateau !
- Au profit de qui ?
- Du comte Argusius que je reprêsente.
- J’irai en Amerique et je ramenerai ces cendres sur un plateau d’argent ! ! repondit [t-il] ironiquement.
Lucinius se leva, salua et sortit vers son chateau.
[b]III
Difficulté à la gare de Storcoff-Storm
- Spalinger !
- Maître ?
- Preparez les bagages. Nous partons en Amerique.
- En Amerique ? ! Quand ?
- Dans 3 heures maximum !
Aladax mit Spalinger au courant de la situation rapidement.
Et 2h47 plus tard, ils partaient vers la gare de trains la plus proche.-
- Monsieur ?..
- Oui ?
- Comment allons-nous vers la gare ?
- A pieds !
Ils marchaient depuis une demi-heure quand il commença à pleuvoir. Ils deciderent de s’arrêter pour la nuit. Ils avaient dans leur sac de quoi manger, 250000 Francs et des habits de rechange.
- Le jour va se lever, monsieur.
- C’est vrai, Spalinger. Dormons.
Je vais profiter de leurs sommeil pour citer les particularités d’un vampire.
- Ils se nourrissent de sang.
- Ils ne se reflêtent pas dans un miroir
- Ils n’ont pas d’ombre.
- Ils peuvent se transformer en chaive-souris.
- Ils ne sont vulnérables qu’a trois choses :
Le feu. Ils peuvent être brulés.
Le soleil qui les réduits en poussière.
Enfin, un pieu de bois dans le cœur est leur dernier point faible.
- Quand une personne est mordu par un vampire, elle se vampirise à son tour.
- Ils ont une peur indescriptible des croix et de l’ail.
- Les vampires ont deux longues canines qui leur servent à mordre les victimes.
Le lendemain, Félias et Lucinius arrivaient enfin à la gare de Storcoff-Storm.
Mais cette gare était vide. Tout était saccagé, massacré, incendié.
- Nous ne pouvons pas partir, monsieur dit Spalinger
- C’est l’œuvre d’une bande de pillards ! dit froidement Aladax.
- Que faire, monsieur ?
- Attendre un train. Les rails sont en bonne état.
Et ils attendirent. Mais 3 heures plus tard, un grand homme arriva.
Il était vêtu d’un manteau de fourrure.
De grandes bottes lui montaient jusqu’aux genoux.
Ses épaules carrées et larges, sa musculature bien développée faisaient penser à un chasseur ou chef d’une bande de pillards.
- Qui êtes-vous ? demanda t-il
- Aladax Lucinius, Vampire.
Pendant ce temps, Felias fouillait la gare à la recherche de quelque chose ou quelqu’un pour les aider. Il avait cherché dans la salle d’attente, sur le quai, dans le parking de carrioles.
Mais tout se revela vide de tout objet digne d’intêret. Il se décida à visiter un train saccagé comme le reste du batiment.
Les banquettes déchirées ou calcinées ne donner vraiment pas envie de s’asseoir. Des bouts de carreaux brisés trainaient par terre. Au bout de trois wagons, il trouva enfin une valise. Il l’ouvrit le cœur battant et pur constater que le proprietaire était un prestidigitateur. Des cartes, une baguette, des boules en plastique, un chapeau haut de forme, des fleurs en papier, trois cordes, un grand drap noir roulé mais plus important : des sabres et des épées.
Spalinger choisit une épée espagnole et un sabre russe pour Aladax.
Il continuait sa fouille de la valise : des petites boites en cartons, des balles en mousses… plus rien d’interressant.
Dans le dernier wagon, il trouva une cassete noire, fermé par un cadenas qu’il fit sauter grâce à son épeé. A l’intérieur, ô merveille, des liasses de dollars et 4 rubis.
Il fit un compte rapide qui lui fit estimer à 5280 dollars la valeurs des liasses de billets.
Il revint en courant vers son maître.
Pendant ce temps, les présentations continuaient entre le comte et l’homme.
- Un vampire ! Ah ah ah ah ! dit en partant d’un énorme rire.
Le comte resta froid.
- Vous ne croyez pas au vampire, monsieur ? demande Lucinius
- Si, ahahah ! Mais les vampires, ahah, j’en fais de la purée ! cria t-il en continuant de rire.
- Vous me parlez peut-être des chauves-souris nommées « Vampires » dit calmement le vampire.
- Oh que non ! Et par ma barbe rousse, je vous defie en duel !
Aussitôt des dizaines d’hommes sortirent des fourrés tout prêts et crierent :
- Vive le chef ! !
- Voici mes brigands, Monsieur le comte ! Alors, vous combattez ?
- Je relève le défi ! Mais je veux connaître le nom de mon adversaire ! ! répondit courageusement Lucinius.
A ce moment, Spalinger Felias revenait vers son maître.
- Monsieur, monsieur ! J’ai découvert… euh, qui sont ces gens ? s’interrompit Félias.
- Des brigands, et le chef dont je ne connais toujours pas le nom veut se battre avec moi.
- Ah ! La vie est bien faite ! Je veux de trouver ce sabre pour vous !
- Très bien, Spalinger !
Il se tourne vers le chef et continue :
- Voilà mon arme. Quelle sera la vôtre et quel vôtre nom ?
- Je m’appelle Boris et mon arme sera un pieu ! !
A cette dernière réponse le comte tressaillit. Un pieu !
Ainsi, Boris connaissait le point faible des vampires.
IV
Le fer contre le bois
Les deux adversaires se regardaient.
Il fut convenu que le duel partirait au coup de feu de Spalinger.
Le sabre d’Aladax appartenait à un officier russe du tzar. La lame était étincelant, en parfait état.
Le manche était recouvert d’une feuille d’or gravé au nom de l’ancien propriétaire : Marco Milani.
(C’est de toute evidence un italien qui venait présenter ses tours en Transulvanie.)
Boris possedait comme arme un vulgaire bout de bois (mais quel bout !

Son diamêtre s’estimait à environ 8 cm. La longueur approchait les 50 cm.
Spalinger dirigea son arme vers le ciel et tira.
Boris fut le plus rapide, il se précipita sur le vampire la pointe en avant. Ce dernier arreta net la pointe avec le plat de sa lame. Puis, d’un mouvement rapide, et avec une force extraordinaire, il coupa le pieu en deux et repoussa le brigand avec un crochet du gauche (sa main droite étant occupé par le sabre).
Boris se rua sur Lucinius et commença à le taper de toute part. Le vampire ne sentait presque rien puisqu’il n’est vulnérable qu’aux trois choses citées page 6.
- Vous ne savez pas vous battre, Boris.
Le denommée tenta de lui enfoncer une moitié du pieu dans le cœur, mais le comte de Morvax mit sa main en avant et le pieu transperça la main.
Le colosse retira l’arme en bois fit quelques pas en arriere et lança les deux bouts du pieu sur son adversaire qui se baissa et evita les deux pieu. En deux bonds en avant, le vampire était au corps à corps avec le chef. Il ouvrit la bouche toute grand en laissant apparaître ses dents pointues qui s’enfoncerent dans l’épaule gauche du bandit qui poussa un cri de douleur.
Aladax Lucinius leva son sabre vers le ciel.
Un instant, la lame brilla sous la lumière lunaire. Boris n’eut que le temps de voir une lame arriver sur sa gorge et lui couper en deux. La tête roula au pied des brigands terrifiés. Le gagnant rejoignit tranquillement son domestique. Mais la meute s’était ressaisit, et, armés de pieu les voleurs se précipitêrent sur les deux vampires.
V
Fuite à tir d’aile
Lutter contre ces bandits, c’était lutter à 2 contre 80.
- Fuyons à tir d’aile ! cria Félias
- Prenez la cassette, je prend le sac ! ordonna Lucinius.
- Aussitôt, ils s’enroulêrent dans leur cape. Il y eut un bref nuage de fumée et 2 magnifiques chauves-souris, dites « Vampires », portant en leurs dents un sac et une cassette, décolerent
- Les pieux pleuvaient sur les animaux ailés.
- Mort aux vampires ! criez et repetez la meute
- Cette dernière gagnait du terrain car les deux vampires était alourdis par leurs sacs.
- Lachez chette cachette, Chpalinger ordonna Aladax gêné le sac qu’il tenait dans sa bouche. Rien n’aurait pu les sauver des pieux si une nuée de chauves-souris n’étaient arrivé.
- Un nuage venu de nulle part.
- Chauvé, Chpalinger cria le comte.
Les chauves-souris fonderent sur les brigands
Plus de la moitié s’écroulêrent mordus de partout.
Le carnage aurait pu continuer longtemps si un sifflement ne rappela les vampires volants
Aladax et Felias se poserent et reprirent leurs aspects normaux.
Un vieux vampire vint les saluer.
Il portait une barbe blanche, une veste de chasse en cuir et de grosses bottes terreuses.
- Venez chez moi - leur proposa t-il.
- Entendu, mais pas longtemps nous sommes pressés
Le chemin conduisit rapidement à la maison de l’homme. Ce n’était qu’une batisse en bois et toit de chaume. A l’interieur, une table, une chaise, un lit et une cheminée constituaient les seuls meubles de la pièce.
- Puis-je vous offrir à manger ? demanda l’homme.
- Moi, je veux bien. Comment dressez-vous ces chauves-souris ? dit Spalinger.
- Pas le temps de discuter ! Ou est la gare la plus proche ? interrompit Aladax.
- A 5 heures de cheval d’ici. répondit le dresseur
- Parfait ! Nous partons tout de suite !
- Maintenant ? Eh bien, au revoir, messieurs dit l’homme.
- Avez-vous des chevaux ? interrogea Spalinger.
- Oui, quatres.
- Très bien ! s’exclama Lucinius. Combien voulez-vous pour ces chevaux ?
- 2500 dollars chacun. Répondit le dresseur de chauves-souris
- Voilà 7000 dollars pour les deux chevaux.
- Aussitôt, ils sortirent est prenerent les montures.
- Au revoir, monsieur. dit Lucinius.
Il donna un coup de talon et ils partirent.
VI
Contre les loups
Voilà déjà deux heures qu’ils étaient parti en marchant, régulièrement au trot.
Ils s’enfonçaient maintenant dans la forêt couverte de neige.
- Monsieur, quel sera notre itineraire ?
- Nous devons aller dans le Nevada, à Redcity, plus précisément. Nous prendrons le train jusqu’à Munich où nous changerons de train pour Paris où nous dormirons. Ensuite jusqu’à la Rochelle. Puis en paquebot jusqu’à New-York. De New-York à Amarillo en 3 jours. Et enfin Amarillo à Red-City. Mais, c’est plus dure que cela ne paraît.
- Tant que ça ?
- Oui. Il faut compter avec les attaques de sioux, de bandits.
- Des loups ! ! s’écria Spalinger.
En effet des loups venaient de surgir du bois.
Les crocs prêts à entrer en action. La bave à la bouche. Les yeux féroces.
- Il faut sauver les chevaux, monsieur !
- Exact !
Ils sautèrent à bas de leurs montures et prirent leurs armes.
Les loups sauterent sur les deux vampires.
Un vieux mâle sauta sur Spalinger qui le mordit et le vampirisa. Aussitôt, il combattit les autres et en vampirisa d’autres.
Aladax ne vampirisa pas, mais taillader en morceaux. Le chemin se transforma en mare de sang. Au fur et à mesure, le scène se transforma en véritable boucherie.
Les loups commençant à s’entretuer avec les loups vampirisé.
- Quel scène agréable, monsieur !
- Oh que oui ! Tout ce sang pour nous
Cela aurait duré longtemps, car Spalinger et Lucinius reprenait de l’energie à chaque fois qu’ils aspiraient le sang. Mais à la fin, les loups s’enfuirent. Seul un loup restait.
C’était le seul qui n’était pas blésse. Il portait dans le cou deux traces de dents, c’était donc un loup-vampire.
- Que fait-on avec celui-là ? dit Spalinger en désignant le loup qui restait immobile en regardant les deux hommes.
- Avez-vous déjà eu un chien, Spalinger.
- Oui. Un berger-allemand vampire et un huskie. »
Eh voilà ! C'est déjà fini !

C'est émouvant de retrouver un petÿ texte de newbie !

Regarde Willo, comme tu as perverti l'honnête et dévoué Felias !

Hmm... quand est-ce que Aladax 2003 apprend à se transformer en chauve-souris ?



