05-10-2005, 10:53 PM
^Tales of the Scud^
Ils avaient prévenu le duc Lepto que les dangereux membres de la Salamandre, affiliés aux Séparatistes, représentaient une menace pour le secteur de Farfax. Le duc avait dit qu'il tenait son armée prête -il avait besoin d'un coup d'éclat pour marquer son accession au pouvoir et il tenait enfin l'occasion, grâce à nos héros !
Farrell accompagna McRye et l'un des clones dans l'ARC-170, tandis que Sadubal et Kyrian Tel prenaient leur propre chasseur Jedi.
Le survol de cette petite planète aux maigres continents noirs, leur permit de scanner toutes les profondeurs de mers étranges, remplies d'une foisonnante vie des profondeurs. Mais ce fut dans la lueur incertaine d'une aube grise, parmi une couche nuageuse, qu'ils découvrirent un patrouilleur en vol. Et Farrell le reconnut aussitôt pour être le navire de surveillance de la Salamandre.
Mais les senseurs ne trouvaient guère de trace d'activité sur la planète, sinon venant d'un petit temple en surface, dont Farrell dit que ce n'était qu'un monastère reculé, où on allait peu souvent.
Le patrouilleur aperçut le détachement des Loyalistes : il était entouré de plusieurs chasseurs mercenaires. Mal leur en prit, ce jour-là, de vouloir rivaliser avec l'un des as de la flotte républicaine. Tandis que Farrell se cramponnait à son siège, McRye partait dans un fulgurant combat tournoyant, rapide comme des coups de sabres, que les pilotes ennemis furent incapables de suivre -ils furent donc pulvérisés en un clin d'oeil, pendant que Kyrian et Sadubal tournaient autour du navire, en lui ordonnant de se rendre.
McRye criait victoire mais n'apercevait toujours pas la flotte ennemi. Il partit vers l'autre face de la planète, avide de combat. Le duc Lepto s'était mis en route : d'ici peu, le secteur serait occupé par l'armée républicaine.
Les deux Jedi furent admis à bord du vaisseau, qui ouvrit grand son arrière pour laisser les deux chasseurs se poser dedans.
Sabre à la main, les deux Jedi approchèrent posément de leur comité d'accueil.
Il y avait là deux hommes portant les tatouages de la Salamandre, la peau blême, des marques violacées partout sur la peau, dans leurs habits très serrés, à haut col. A leurs côtés, quelques droïds de combat, désarmés. Les "Salamandres" posèrent leurs sabres devant eux. Kyrian les fit voler jusque dans sa main.
Satisfait, il leur ordonna de neutraliser leurs droïds : ils s'exécutèrent et les soldats métalliques tombèrent sur le sol, lourdement.
Dans l'air lourd du soir, McRye volait, entre ciel et espace mais ses senseurs ne renvoyaient nul écho. Déçu, il fit demi-tour. Il était en communication avec Tel qui lui expliquait qu'ils avaient pris pied à bord du vaisseau ennemi, sans difficulté.
Soudain, le communicateur transmit le bruit caractéristique de sabres-laser qui s'allument !
Sadubal avait vu au dernier moment les sabres qui tombaient des manches des deux Séparatistes. Ils se précipitèrent sur les Jedi, mais ceux-ci les reçurent, avec leurs armes déjà à la main. Les quatre lames se heurtèrent dans un fracas de lumière et quand les deux éclats retombèrent, les deux Salamandres s'écroulaient à terre ensemble.
Sadubal et Kyrian regardèrent mourir ces deux misérables qui avaient finalement préféré aller à la mort que de se rendre.
Peu de temps après, la flotte du duc Lepto arrivait dans le secteur et en prenait officiellement possession, au nom de la République, sans coup férir.
Le malin gouverneur de Farfax eut tôt fait de transformer cette expédition sans gloire en une belle conquête pour le secteur. On applaudissait le duc Lepto, on le félicitait de cette victoire si aisée.
Nos héros se tinrent à distance d'une telle cuisine électorale. Ils rentrèrent sur Gondwana, dans leur jungle épaisse, sauvage, protectrice aussi, loin des beaux palais des gens civilisés. Quand il reposait pied sur la terre de la planète qu'il gardait, Sadubal semblait un autre homme, plus fort, plus profond. Et cela tenait sans doute aux regards de respect presque religieux que lui renvoyaient les gens de l'énorme jungle impénétrable. Il s'imposait comme le maître en son domaine, face à ces millions et millions d'arbres et de plantes exubérants. Les tribus battaient le tambour pour lui et de vallée en vallée, son nom se repercutaient, par dessus fleuves et montagnes, pour invoquer le nom des anciens dieux et leur dirent que leur fils veillait sur leur planète -pour les implorer de garder la Grande Ame, Thembee, longtemps auprès d'eux et lui prêter la force des plus grands prédateurs des profondeurs grasses et pourries de la jungle -que dure la transe, le rêve, l'exaltation que le seigneur du palais sauvage faisait naître...
Ce soir-là, les Jedi contactèrent Coruscant pour rendre compte de leur mission. Saesee Tiin jugea qu'il était temps pour Kyrian de rentrer. Selon le souhait de Mace Windu, Sadubal gardait toujours Gondwana et ses secrets inavouables -le corps endormi de maître Vosta Fangu- et se chargerait de prévenir en cas d'attaque de la Salamandre. Mais "Thembee", confiant dans l'entraînement de maître Windu, dans la puissance du Vaapad et de la Force, ne redoutait pas de voir arriver ce Darth Hawat qui restait dans l'ombre, avec son acolyte Zegmor...
Le soir, sur la terrasse du palais, tandis qu'un soleil rougeoyant, découpé par les nuages, descendait s'abîmer sur la jungle dans le ciel sanguinolent -dans la paix inquiétante de la nuit tombante, quand les êtres nocturnes s'éveillent-, les deux Jedi discutèrent de ce qu'il convenait de faire quant à Farrell.
Kyrian Tel pensait le laisser sur Gondwana mais Sadubal pensait qu'il était mieux de le ramener sur Coruscant.
- Cet endroit est si reculé dans la galaxie, Kyrian... Il est temps que Farrell comparaisse devant le conseil Jedi. Ici, je suis seul, avec ces tribus incultes, la Salamandre qui rôde dans les profondeurs voisines de l'espace, loin de tout... Farfax et le palais du duc Lepto sont le dernier rempart de la civilisation ! Rends-toi compte, mon ami, que la Porte de Farfax constitue une frontière entre la République et... l'espace profond !... Crois-moi, il est temps de déterminer l'avenir de Farrell. S'il peut devenir Jedi, tu deviendras son maître. Mais c'est au Conseil d'en décider.
- Oui, tu as raison. Je vais donc rentrer et t'abandonner une fois de plus, sur ce monde perdu...
- Je voudrais que cette guerre se termine, Kyrian... Je sens le mal s'épaissir, à mesure que les mois passent... Il y a ce maître occulte dont nous recherchons l'identité... Serait-ce Hawat ?... Je l'ignore, tout comme toi... Mais d'autres mystères me préocuppent. Qu'est-il arrivé à Vosta Fangu, pour qu'il s'abandonne ainsi aux ténèbres ?... Et plus encore, regarde là-bas, derrière les quelques étoiles déjà visibles. C'est un phénomène étrange, que j'aperçois à la tombée de la nuit. J'ai parlé à des sorciers du peuple de Gondwana, qui observent les étoiles et connaissent bien cette ceinture d'astéroïde là-bas. Ils disent qu'elle cache un royaume oublié, profond, où bas le coeur puissant de l'univers... La Force est cachée là-bas, Kyrian mais je n'ai pas le loisir d'aller explorer. Si la guerre était finie, nous pourrions nous approcher de cet endroit si étrange. Comme cela serait plus passionnant que nous battre contre toutes ces machines !
Kyrian écoutait Sadubal parlait, et entendait cette voix qui grondait, pareille au tonnerre lointain avant l'arrivée des pluies. Il comprenait que les sorciers de Gondwana aient senti vibrer en lui une telle puissance, qu'ils aient vu en lui un homme supérieur, que leur imagination ait fabulé jusqu'à en faire l'incarnation de quelques-uns des démons de la nature. Il se dit qu'il se souviendrait toujours de ce crépuscule, où vibrait dans l'air frais du soir la voix de Thembee, la grande âme qui peut percer les secrets de cette nature violente, des jungles et des volcans de Gondwana... Quand il parlait, tout se mettait à vibrer de sa voix, la réalité même se mettait à trembler, mais lui-même, Sadubal n'avait guère conscience de ce phénomène, pas plus que la vague qui roule et déferle sur la terre...
Le lendemain, McRye, Kyrian Tel et Farrell remerciaient Sadubal pour son hospitalité. Un court voyage les amena à Farfax, où ils dirent au revoir au Duc Lepto. Après quoi, ils firent un détour pour éviter la Porte, toujours tenue par le techno-Syndicat. Mais c'était un verrou que le capitaine McRye entendait faire tomber bien vite !
Après cela, ils furent en territoire familier. C'est comme s'ils respiraient un air plus paisible, plus connu, après leur expédition dans la Bordure Extérieure, cette région incertaine, d'où semblait pouvoir surgir à tout moment des dangers fantastiques.
Enfin, ils purent admirer, dans le crépuscule, les milliers de bâtiments gigantesques de Coruscant, dorés par le soleil qui disparaissait. L'intense trafic lui-même était agréable à retrouver. La routine n'avait pas trop changé, ici, malgré la guerre et les privations. Il était bon de retrouver la planète-mère de la République, loin de la guerre et des régions envahies par les Séparatistes.
A suivre...
Ils avaient prévenu le duc Lepto que les dangereux membres de la Salamandre, affiliés aux Séparatistes, représentaient une menace pour le secteur de Farfax. Le duc avait dit qu'il tenait son armée prête -il avait besoin d'un coup d'éclat pour marquer son accession au pouvoir et il tenait enfin l'occasion, grâce à nos héros !
Farrell accompagna McRye et l'un des clones dans l'ARC-170, tandis que Sadubal et Kyrian Tel prenaient leur propre chasseur Jedi.
Le survol de cette petite planète aux maigres continents noirs, leur permit de scanner toutes les profondeurs de mers étranges, remplies d'une foisonnante vie des profondeurs. Mais ce fut dans la lueur incertaine d'une aube grise, parmi une couche nuageuse, qu'ils découvrirent un patrouilleur en vol. Et Farrell le reconnut aussitôt pour être le navire de surveillance de la Salamandre.
Mais les senseurs ne trouvaient guère de trace d'activité sur la planète, sinon venant d'un petit temple en surface, dont Farrell dit que ce n'était qu'un monastère reculé, où on allait peu souvent.
Le patrouilleur aperçut le détachement des Loyalistes : il était entouré de plusieurs chasseurs mercenaires. Mal leur en prit, ce jour-là, de vouloir rivaliser avec l'un des as de la flotte républicaine. Tandis que Farrell se cramponnait à son siège, McRye partait dans un fulgurant combat tournoyant, rapide comme des coups de sabres, que les pilotes ennemis furent incapables de suivre -ils furent donc pulvérisés en un clin d'oeil, pendant que Kyrian et Sadubal tournaient autour du navire, en lui ordonnant de se rendre.
McRye criait victoire mais n'apercevait toujours pas la flotte ennemi. Il partit vers l'autre face de la planète, avide de combat. Le duc Lepto s'était mis en route : d'ici peu, le secteur serait occupé par l'armée républicaine.
Les deux Jedi furent admis à bord du vaisseau, qui ouvrit grand son arrière pour laisser les deux chasseurs se poser dedans.
Sabre à la main, les deux Jedi approchèrent posément de leur comité d'accueil.
Il y avait là deux hommes portant les tatouages de la Salamandre, la peau blême, des marques violacées partout sur la peau, dans leurs habits très serrés, à haut col. A leurs côtés, quelques droïds de combat, désarmés. Les "Salamandres" posèrent leurs sabres devant eux. Kyrian les fit voler jusque dans sa main.
Satisfait, il leur ordonna de neutraliser leurs droïds : ils s'exécutèrent et les soldats métalliques tombèrent sur le sol, lourdement.
Dans l'air lourd du soir, McRye volait, entre ciel et espace mais ses senseurs ne renvoyaient nul écho. Déçu, il fit demi-tour. Il était en communication avec Tel qui lui expliquait qu'ils avaient pris pied à bord du vaisseau ennemi, sans difficulté.
Soudain, le communicateur transmit le bruit caractéristique de sabres-laser qui s'allument !
Sadubal avait vu au dernier moment les sabres qui tombaient des manches des deux Séparatistes. Ils se précipitèrent sur les Jedi, mais ceux-ci les reçurent, avec leurs armes déjà à la main. Les quatre lames se heurtèrent dans un fracas de lumière et quand les deux éclats retombèrent, les deux Salamandres s'écroulaient à terre ensemble.
Sadubal et Kyrian regardèrent mourir ces deux misérables qui avaient finalement préféré aller à la mort que de se rendre.
Peu de temps après, la flotte du duc Lepto arrivait dans le secteur et en prenait officiellement possession, au nom de la République, sans coup férir.
Le malin gouverneur de Farfax eut tôt fait de transformer cette expédition sans gloire en une belle conquête pour le secteur. On applaudissait le duc Lepto, on le félicitait de cette victoire si aisée.
Nos héros se tinrent à distance d'une telle cuisine électorale. Ils rentrèrent sur Gondwana, dans leur jungle épaisse, sauvage, protectrice aussi, loin des beaux palais des gens civilisés. Quand il reposait pied sur la terre de la planète qu'il gardait, Sadubal semblait un autre homme, plus fort, plus profond. Et cela tenait sans doute aux regards de respect presque religieux que lui renvoyaient les gens de l'énorme jungle impénétrable. Il s'imposait comme le maître en son domaine, face à ces millions et millions d'arbres et de plantes exubérants. Les tribus battaient le tambour pour lui et de vallée en vallée, son nom se repercutaient, par dessus fleuves et montagnes, pour invoquer le nom des anciens dieux et leur dirent que leur fils veillait sur leur planète -pour les implorer de garder la Grande Ame, Thembee, longtemps auprès d'eux et lui prêter la force des plus grands prédateurs des profondeurs grasses et pourries de la jungle -que dure la transe, le rêve, l'exaltation que le seigneur du palais sauvage faisait naître...
Ce soir-là, les Jedi contactèrent Coruscant pour rendre compte de leur mission. Saesee Tiin jugea qu'il était temps pour Kyrian de rentrer. Selon le souhait de Mace Windu, Sadubal gardait toujours Gondwana et ses secrets inavouables -le corps endormi de maître Vosta Fangu- et se chargerait de prévenir en cas d'attaque de la Salamandre. Mais "Thembee", confiant dans l'entraînement de maître Windu, dans la puissance du Vaapad et de la Force, ne redoutait pas de voir arriver ce Darth Hawat qui restait dans l'ombre, avec son acolyte Zegmor...
Le soir, sur la terrasse du palais, tandis qu'un soleil rougeoyant, découpé par les nuages, descendait s'abîmer sur la jungle dans le ciel sanguinolent -dans la paix inquiétante de la nuit tombante, quand les êtres nocturnes s'éveillent-, les deux Jedi discutèrent de ce qu'il convenait de faire quant à Farrell.
Kyrian Tel pensait le laisser sur Gondwana mais Sadubal pensait qu'il était mieux de le ramener sur Coruscant.
- Cet endroit est si reculé dans la galaxie, Kyrian... Il est temps que Farrell comparaisse devant le conseil Jedi. Ici, je suis seul, avec ces tribus incultes, la Salamandre qui rôde dans les profondeurs voisines de l'espace, loin de tout... Farfax et le palais du duc Lepto sont le dernier rempart de la civilisation ! Rends-toi compte, mon ami, que la Porte de Farfax constitue une frontière entre la République et... l'espace profond !... Crois-moi, il est temps de déterminer l'avenir de Farrell. S'il peut devenir Jedi, tu deviendras son maître. Mais c'est au Conseil d'en décider.
- Oui, tu as raison. Je vais donc rentrer et t'abandonner une fois de plus, sur ce monde perdu...
- Je voudrais que cette guerre se termine, Kyrian... Je sens le mal s'épaissir, à mesure que les mois passent... Il y a ce maître occulte dont nous recherchons l'identité... Serait-ce Hawat ?... Je l'ignore, tout comme toi... Mais d'autres mystères me préocuppent. Qu'est-il arrivé à Vosta Fangu, pour qu'il s'abandonne ainsi aux ténèbres ?... Et plus encore, regarde là-bas, derrière les quelques étoiles déjà visibles. C'est un phénomène étrange, que j'aperçois à la tombée de la nuit. J'ai parlé à des sorciers du peuple de Gondwana, qui observent les étoiles et connaissent bien cette ceinture d'astéroïde là-bas. Ils disent qu'elle cache un royaume oublié, profond, où bas le coeur puissant de l'univers... La Force est cachée là-bas, Kyrian mais je n'ai pas le loisir d'aller explorer. Si la guerre était finie, nous pourrions nous approcher de cet endroit si étrange. Comme cela serait plus passionnant que nous battre contre toutes ces machines !
Kyrian écoutait Sadubal parlait, et entendait cette voix qui grondait, pareille au tonnerre lointain avant l'arrivée des pluies. Il comprenait que les sorciers de Gondwana aient senti vibrer en lui une telle puissance, qu'ils aient vu en lui un homme supérieur, que leur imagination ait fabulé jusqu'à en faire l'incarnation de quelques-uns des démons de la nature. Il se dit qu'il se souviendrait toujours de ce crépuscule, où vibrait dans l'air frais du soir la voix de Thembee, la grande âme qui peut percer les secrets de cette nature violente, des jungles et des volcans de Gondwana... Quand il parlait, tout se mettait à vibrer de sa voix, la réalité même se mettait à trembler, mais lui-même, Sadubal n'avait guère conscience de ce phénomène, pas plus que la vague qui roule et déferle sur la terre...
Le lendemain, McRye, Kyrian Tel et Farrell remerciaient Sadubal pour son hospitalité. Un court voyage les amena à Farfax, où ils dirent au revoir au Duc Lepto. Après quoi, ils firent un détour pour éviter la Porte, toujours tenue par le techno-Syndicat. Mais c'était un verrou que le capitaine McRye entendait faire tomber bien vite !
Après cela, ils furent en territoire familier. C'est comme s'ils respiraient un air plus paisible, plus connu, après leur expédition dans la Bordure Extérieure, cette région incertaine, d'où semblait pouvoir surgir à tout moment des dangers fantastiques.
Enfin, ils purent admirer, dans le crépuscule, les milliers de bâtiments gigantesques de Coruscant, dorés par le soleil qui disparaissait. L'intense trafic lui-même était agréable à retrouver. La routine n'avait pas trop changé, ici, malgré la guerre et les privations. Il était bon de retrouver la planète-mère de la République, loin de la guerre et des régions envahies par les Séparatistes.
A suivre...
