12-09-2008, 05:18 PM
(This post was last modified: 12-09-2008, 05:41 PM by Darth Nico.)
EXIL
Dans la nuit éternelle d’Exil,
Les lampes grasses brûlent, timides.
Les mitiers plongent dans la brume au bout de leurs fils
Et les passerelles rouillent dans l’air humide.
Créatures, anges, gouffres, orages :
L’insondable noirceur de l’océan
Noie les explorateurs du large.
Les ballons – taxis sont des dessins d’enfant.
L'acier chauffe, la vapeur brûle et fuit.
Dans les profondeurs gisent des tombeaux anciens.
Chaque jour on bâtit des édifices cyclopéens
L'avenir est au Progrès, et la machine est dans l'esprit.
Rêves d'androïdes, humanoïdes des nébuleuses...
Trams, Cité des métamorphoses industrielles
Lune branchée à l’électricité universelle !
L’insomnie règne et l’angoisse creuse
Des cauchemars hypersensibles
Dans Exil, dédale de l’acier et du vide.<!--sizec--><!--/sizec-->
Dans la nuit éternelle d’Exil,
Les lampes grasses brûlent, timides.
Les mitiers plongent dans la brume au bout de leurs fils
Et les passerelles rouillent dans l’air humide.
Créatures, anges, gouffres, orages :
L’insondable noirceur de l’océan
Noie les explorateurs du large.
Les ballons – taxis sont des dessins d’enfant.
L'acier chauffe, la vapeur brûle et fuit.
Dans les profondeurs gisent des tombeaux anciens.
Chaque jour on bâtit des édifices cyclopéens
L'avenir est au Progrès, et la machine est dans l'esprit.
Rêves d'androïdes, humanoïdes des nébuleuses...
Trams, Cité des métamorphoses industrielles
Lune branchée à l’électricité universelle !
L’insomnie règne et l’angoisse creuse
Des cauchemars hypersensibles
Dans Exil, dédale de l’acier et du vide.<!--sizec--><!--/sizec-->