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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F "Le madre de Dios"
#24
COPS #2<!--/sizec-->

Rapport sur les affaires en cours
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Depuis l'opération au cimetière de Palos Verde et l'arrestation du professeur Alvarez, nous avons dû traiter simultanément plusieurs affaires. Voici l'état d'avancement de chacune d'elle.


L'enlèvement de Madame le Maire de L.A.

Madame le Maire a été enlevée dans une voiture verte, son chauffeur, Andreï Sokolnikov (?) ayant été assommé aux toilettes de la mairie, par un individu irlandais roux, qui a pris sa place. Tous les effectifs des COPS ont reçu de l'ordre de considérer cette affaire comme prioritaire.
La voiture a été abandonnée avec les clefs sur le contact dans Hollywood, puis trouvé par un jeune Chicano, qui s'en est servi pour une course dans le désert de Mojave avec ses amis puis l'a emmenée à la casse et l'a écrasée.

Les services du Computer Division ont trouvé une photo permettant d'identifier l'endroit où le maire était détenu. Une opération mobilisant une centaine de SWAT et de COPS a été montée pour investir l'immeuble où le premier magistrat de la ville était détenu, mais elle ne s'y trouvait en fait pas. La photo était un montage. Cependant, il s'agissait d'un sosie sur la photo et il fallait que quelqu'un sache donc comment le maire serait habillé le jour de son enlèvement...

Nous savons qu'après avoir quitté la voiture verte, le maire a été transféré dans un van rouge appartenant au gang des Irlandais. Ces Irlandais devaient opérer un achat d'armes auprès d'un gang d'Africains. Mais le suspect roux a été tué par un sniper alors que nous tentions d'arrêter ce trafic : je n'ai pas pu sauver le suspect et les deux gangs en présence se sont attaqués à nous. Le SWAT n'a laissé aucun survivant.

Nous avons compris que le responsable en communication du Maire, détaché auprès du COPS, M. Herman Schneider avait monté au départ un faux enlèvement, avec le consentement du Maire, pour une opération de promotion des forces de l'ordre. Il s'avère que les Irlandais ne se sont pas arrêtés là.
Herman Schneider a été tué chez lui et jeté dans sa piscine.
Trois suspects, messieurs Hu, Fu et Chu ont été trouvés chez la victime. Ils étaient vraisemblablement par un certain Ho-Chi-Minh, de China Town, pour punir Schneider d'avoir frappé une prostituée chinoise, Petite Orchidée. Ils venaient pour tabasser Schneider mais ne sont sans doute pas coupables du meurtre.
Avec l'aide de l'agent Jade (qui travaillait en parallèle sur l'affaire du tueur en série appelé le Catalyseur), nous avons interrogé le patron du restaurant "Le canard futon" où les trois hommes de main ont été recrutés, puis M. Ho Chi Minh, qui a refusé de répondre à nos questions et a appelé son avocat. Nous n'avons pas insisté car cette piste était un cul-de-sac, les trois Chinois n'ayant sans doute pas tué M. Schneider.


L'enlèvement des prisonniers de droit commun

Un convoi de prisonniers de droits communs "no-name" devait être transféré de San Francisco au tribunal de L.A. pour examen de leurs dossiers : la prise d'indépendance de l'Etat de Californie a effacé les dossiers de ses prisonniers.
L'agent Natz et moi étions chargés d'assister les policiers chargés du transfert de ces détenus.
Il y avait le fourgon, précédé de deux motards et suivi de notre voiture.

Sur la freeway, notre voiture a été attaquée par une grosse voiture de quatre dangereux gangsters, dont il s'est avéré qu'ils étaient rendus psychotiques par la drogue. Un carambolage s'en est suivi. Nous sommes sortis du véhicule pour appréhender ces gangsters. Fusillade : nous en avons tué deux et blessé deux autres.
Nous sommes repartis à la poursuite du fourgon : celui-ci avait été attaqué à la roquette. Quand nous sommes arrivés, les deux motards gisaient au sol et un individu en noir tuait de sang-froid, sous nos yeux, un policier. Les prisonniers n'étaient plus dans le fourgon.
Malgré nos sommations, l'individu ne s'est pas arrêté : nous lui avons infligé deux blessures par balle mais il a réussi à disparaître dans un van blanc sans immatriculation. Le van a rapidement disparu.
L'enquête a permis de déterminer que les prisonniers avaient été obligés de suivre les attaquants.

Ensuite, sachant qu'il y avait en plus du van blanc un camion frigorifique, lui aussi sans immatriculation, nous avons cherché qui avait loué récemment des camions frigorifiques. Comme par hasard, il s'est avéré que la société Hélix avait loué un tel véhicule dans la semaine passée.

Un des prisonniers est réapparu plus tard dans Norwalk (?), transi de froid incapable de parler. Une recherche sur l'endroit d'où il pouvait venir nous a permis de soupçonner qu'il avait été emmené dans la ville puits proche de là.
Une descente dedans nous a fait rencontrer une milice locale, les Black Rats, à qui nous demandions des informations sur un groupe appelé The Hive. La police scientifique nous a aussi appris que des manipulations génétiques étaient soupçonnables, ainsi que la pratique de la "mémétique" (la police scientifique se renseigne actuellement sur ce terme).
Il paraissait évident que les prisonniers avaient été enlevés pour servir de cobayes à des expérimentations "scientifiques" plus que douteuses. D'où de forts soupçons sur Helix Corporation.


Helix Corporation (suite)

Nous avons rencontré un certain M. Johnson, des services secrets, qui nous a informés que Helix était soupçonné de travailler pour l'Union américaine et que le directeur de cette entreprise était en contact avec un espion infiltré au gouvernement californien !
On nous a demandé la plus grande discrétion. M. Johnson a précisé que c'était pour cette raison qu'un mandat n'avait pu être délivré pour fouiller Helix, car cela aurait alerté la "taupe" au gouvernement.

Il nous fallait obtenir des preuves de ce qui se tramait à Hélix. Nous avons repéré, parmi le personnel, Mme Amos, femme de ménage, dont le mari, Georges Amos, passera en commission le 8 janvier pour une libération conditionnelle. Nous avons contacté l'agent de probation pour obtenir sa clémence sur Amos.
Nous avons ensuite contacté Mme Amos, qui a accepté d'introduire un dispositif d'écoute sur la ligne de son patron, M. Dubois, en échange d'une aide à son mari (qui a déjà purgé huit ans de prison et en a encore théoriquement deux à passer).
L'écoute des conversations de M. Dubois a revélé que celui-ci était bien en contact avec un homme dont il recevait des ordres, et qui se désolidarisait de lui. Isolé, vulnérable, M. Dubois va devoir affronter seul l'ensemble des charges qui pèsent contre lui. Aussi est-il temps de le contacter pour lui proposer de nous livrer son contact en échange d'une certaine clémence dans la peine qu'il encourt.
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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F &quot;Le madre de Dios&quot; - by Darth Nico - 21-12-2008, 04:18 PM

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