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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F "Le madre de Dios"
#30
COPS #3<!--/sizec-->

Rapport sur les affaires en cours<!--/sizec-->

Certaines affaires ont trouvé une conclusion, d'autres sont dans une impasse.

L'enlèvement de madame le Maire

Le matin, nous assistons à la fusillade au cours de laquelle le clan des vendeurs d'armes irlandais trouve la mort, piégés par un sniper embusqué. Je ne parviens pas à protéger le principal suspect de l'enlèvement du maire.

Dans l'après-midi, nous retrouvons une piste, grâce à l'agent Ice-Heart, elle-même d'origine irlandaise : un pub, le Shamrock, où les Irlandais se retrouvent. Les agents Ice-Heart, Reito et moi-même nous y rendons. Le patron, M. Rileh (?), serait prêt à nous aider mais il veut en échange un marché impliquant un transport de colis. Opération manifestement illégal. Je lui fais comprendre que s'il veut faire transporter des documents, il n'a qu'à s'adresser à DHL !
La poigne de l'agent Ice-Heart finit de convaincre M. Rileh de ne plus faire entrave à l'action du COPS : il finit par nous donner trois adresses de planques où les gangs Irlandais se retrouvent.
L'agent Ice-Heart part à Palos Verde (avec nos encouragements pour la visite de cette charmante jungle), l'agent Reito à Hollywood et moi-même à Norwalk.

A Palos Verde, rien, la planque est vide. Juste des babouins qui s'ébattent dans la jungle. A Norwalk, pas d'Irlandais mais, avec l'aide de mes amis du SWAT, nous découvrons un laboratoire de drogue, tenu par un gang d'Africains. C'est toujours ça de pris : nous les arrêtons sans avoir à tirer un coup de feu. Belle prise, mais cela ne nous met pas sur la piste du maire.
A Hollywood, l'agent Reito découvre un endroit qui a été vidé. Des traces de la maire manifestement : une chaise, avec des liens et un pot de chambre plein... La Scientifique est convoquée sur les lieux.
Le COPS fait alors appel à la police locale pour localiser ceux qui seraient passés récemment dans cet entrepôt. Ce n'est que le lendemain que l'agent Reito et moi, nous joignant aux hommes effectuant cette enquête de voisinage, entendrons parler d'un latinos résidant à l'Hotel California, qui serait passé dans l'entrepôt récemment.
Nous nous rendons à cet hôtel : des cris de femme à l'intérieur d'une chambre. Nous enfonçons la porte : un homme est sur un canapé, une femme en furie est sur lui, attachée par la cheville au radiateur, prête à le poignarder. La femme est de dos. L'agent Reito a la bonne intuition de ne pas tirer et de neutraliser la tueuse en puissance.
Nous découvrons alors que c'est... le maire en personne !
Mais défigurée par la fatigue et la rage... Pourtant, des voisins la reconnaissent, ébahis ! Je fais aussitôt bouclier l'immeuble et j'appelle le lieutenant Hawkins.
Nous apprenons alors que l'homme qui l'a enlevée, Pedro Sanchez, l'a trouvée dans l'entrepôt et l'a emmené pour lui servir d'esclave domestique ! Et il a découvert sa victime par hasard, en promenant son chien !

Voilà donc la plus grave affaire du moment résolue : le dernier kidnappeur sous les verrous et les Irlandais six pieds sous terre, de même que leur complice, le conseiller en communication du Maire, que nous avions retrouvé noyé dans sa baignoire !
Reste à élucider deux mystères : qui a tué le conseiller Herman Schneider ? Qui était le sniper ayant tué les Irlandais ?...
Mais l'essentiel est fait : pour Noël, L.A. a retrouvé son maire !


La Mangouste

Depuis plusieurs jours, les agents Akechi, Jade et Black Dog étaient sur la piste d'un psychopathe sanguinaire surnommé le Catalyseur. Après avoir réussi à arrêter ce dernier dans les égouts de Palos Verde au terme d'une opération particulièrement difficile, l'agent Black Dog profitait d'un repos à l'hôpital.
Le lendemain matin de son admission, on signalait une coupure de courant et juste après, on retrouvait un patient mort dan sa chambre. Alertés par notre collègue, l'agent Reito et moi arrivons sur les lieux, pour découvrir, à notre grand désespoir, que la victime est le mercenaire allemand que nous avions arrêté chez les Alvarez, et qui avait accepté de parler.
Le tueur a provoqué la panne pour s'introduire dans la chambre : l'agent Reito découvre au sous-sol une bombe "froide" (électromagnétique) équipée d'un système de décompte ; et grâce aux bandes de surveillance, nous découvrons le coupable : ce n'est autre que cette femme, la Mangouste, qui avait tué sous mes yeux un collègue, lors de l'enlèvement des prisonniers de droit commun !
Et celle-ci, déguisée en infirmière, sortait tranquillement de l'hôpital au moment où nous arrivions en voiture !

Une vérification dans nos dossiers nous confirme qu'elle n'est pas dans nos fichiers. Aucune piste sur elle pour le moment.


Les dossiers de Hélix Corp.

Autre mauvaise nouvelle : alors que nous avions fignolé un dossier en béton contre Helix et son directeur, M. Bertrand Dubois (avec des charges allant de l'intelligence avec l'ennemi à la mise en danger des citoyens de LA en passant par le transport de produits bactériologiques), nous apprenons le suicide de ce dernier !
Dubois, qui venait d'être "lâché" par son contact (sans doute une taupe américaine) a choisi d'en finir. Une visite à son domicile nous permet de constater qu'il s'est tiré une balle dans la bouche ; cependant, l'étude balistique superficielle permet de détecter une anomalie : la balle n'est pas ressortie selon un angle conforme à sa direction d'entrée. Ce suicide pourrait ne pas en être un.
Sur la base de ce soupçon, nous n'avons pas de mal à obtenir un mandat de perquisition chez Helix. Sur place, nous récupérons tous les dossiers dans les cartons et faisons une copie de tous les fichiers de M. Dubois. Les bras chargés, nous repartons au QG.

En route, nous sommes appelés pour un 10-99 : une secte est sur le point de se suicider sur le toit d'un immeuble.
Nous arrivons au pied du building : les hélicoptères des médias tournent dans le ciel, ne perdant rien de la cérémonie ! Quelques policiers sur place vont nous prêter assistance. Nous montons sur le toit et approchons à couvert, sûrs que nous sommes en direct sur la plupart des chaînes de télévision !
Il y a une dizaine de personnes en toges blanches, avec leur gourou et deux gardes du corps armés pour ce dernier. Ils psalmodient des incantations sur la fin du monde.
Vu l'importance qu'attache le COPS à son image de marque, nous n'avons vraiment pas le droit à l'échec devant des millions de téléspectateurs !

En m'approchant, je suis repéré par un des gardes du corps qui me braque. Une chance, j'attire toute l'attention à moi, car Reito et les autres collègues n'ont pas été vus. Nos armes sont équipées de balles paralysantes, car nous n'avons pas l'intention de faire un carton devant les caméras !
Reito, sur mon ordre, tire sur le second garde du corps et j'assomme à mon tour le second. Voilà la secte désarmée. Les policiers et Reito parviennent à secourir plusieurs personnes ; mais il en reste une, au bord du vide, dans un état de transe.
Elle est dans une situation extrêmement délicate. Je pose mon arme à terre et je m'approche doucement d'elle. Elle n'a qu'un pas à faire pour se jeter dans le vide... J'approche encore de quelques pas. Soudain, je me jette sur elle et la plaque à terre. En douceur !
C'est réussi !
Je l'emmène en vitesse et nous faisons descendre tout ce joli monde. En bas, les journalistes sont déjà là pour nous interroger. Je passe en baissant ma visière de casquette et je laisse le soin de la communication à mon ami Reito, bien plus télégénique !

Après ce bel exploit, nous repartons au QG, où on est aux anges que toutes ces belles images passent à la télévision.
Nous nous replongeons dans le dossier Helix : il va falloir du temps pour en extraire l'essentiel. Et il y a toutes les chances qu'il ne nous apprenne presque rien, puisque Dubois a eu largement le temps de tout faire disparaître, sachant que la police était après lui depuis l'incident du Madre de Dios.

Concernant le professeur McNamara (dont on avait retrouvé du sang sur le seul prisonnier de droit commun retrouvé), toujours pas de piste dans la ville-puits. Le prisonnier lui-même est encore en état de choc. Quant au professeur Alvarez, le médecin de bord du Madre de Dios, il est toujours en zone de décontamination. Autant d'impasses pour la suite de notre enquête, au moins pour le moment.

Un espoir, toutefois : le contact de Dubois venait d'un poste au ministère de la Santé. Pas étonnant, avec ce transport de matières bactériologiques. Si nous pouvons obtenir du ministère qui a appelé Helix, nous nous approcherons de la taupe. Mais comment s'y prendre pour ne pas donner l'alerte en demandant ce numéro ?...


Le champagne de l'ambassade de Russie

Le Catalyseur, ce tueur psychopathe dont s'occupait nos collègues, avait laissé une liste annonçant de façon codée ses prochains meurtres. Nous avions appris que le frère de l'agent Jade avait été enlevé par ce tueur mais que celle-ci avait réussi à le délivrer des canalisations où il avait été emprisonné. Néanmoins, pour le délivrer, il avait fallu détourner les conduites d'eaux vers des évacuations secondaires, ce qui avait occasionné plusieurs dégâts en ville, mais pas de morts.

Le dernier meurtre annoncé par le Catalyseur concernait selon nos collègues un membre du gouvernement ou une personnalité politique importante. Il pouvait s'agir vraisemblablement du procureur de la République, invitée ce soir de fête à l'ambassade de Russie. Nous avons donc été nommés pour surveiller les lieux ce soir-là : outre l'agent Reito et moi, il y avait donc les agents Jade, Akechi et Black Dog.
La brigade de déminage était à l'extérieur du bâtiment et d'autres policiers à l'entrée. Le Catalyseur avait prévu de s'en prendre à sa victime grâce à une bombe localisée dans un téléphone portable. Autant dire que tous ces appareils ont été fouillés à l'entrée !
N'ayant rien trouvé, nous avons ensuite profité du buffet, tout en surveillant discrètement la salle. C'est après, lors de la remise sur l'estrade de cadeaux au procureur par l'ambassadeur, qu'un détail a mis la puce à l'oreille de l'agent Black Dog : un paquet était là que l'ambassadeur ne semblait pas connaître ; et ce paquet avait manifestement la forme d'un téléphone portable !
Nous avons hésité une seconde, puis l'agent Black Dog a saisi le paquet, au risque de la boulette diplomatique et du ridicule. Mais l'ambassadeur a reconnu ne pas connaître ce paquet. Nous avons alors éloigné le procureur, malgré les protestations du service de sécurité russe. Nos collègues ont fait de leur mieux pour évacuer l'ambassade en évitant la panique.
Les invités dehors, l'estrade où était le paquet ayant été dégagée, le déminage a été appelé : il était temps, car l'engin a explosé, blessant grièvement un des agents. Mais il n'y a pas eu d'autres blessés et nos hôtes ont pu constater que le COPS ne s'était pas trompé en intervenant !

Pour fêter la fin de l'affaire du Catalyseur, ainsi que le sauvetage du maire, nous avons pris sous le coude quelques bouteilles de champagne de nos amis russes et nous sommes allés faire sauter les bouchons au 35e étage de notre bâtiment, dans les chers bâtiments de notre section A !
Pour l'occasion, ce vieux misanthrope de Mètre-Cube a accepté de se lever de son siège et de venir trinquer avec nous !

Nos supérieurs, sur les nerfs depuis des jours, ont pu de nouveau respirer : ils nous ont promis dans l'immédiat une bonne semaine de congés pour compenser toutes nos heures supplémentaires, ainsi que des stages d'élite à notre retour et des décorations pour récompenser notre action.
De quoi passer un bon réveillon de l'année 2031 : bonne année L.A. !
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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F &quot;Le madre de Dios&quot; - by Darth Nico - 06-01-2009, 04:10 PM

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