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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F "Le madre de Dios"
#59
Mise à jour le 06.06.09


COPS #6
Rapport sur les affaires en cours:jmekiffe:
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Un agent disparu

Je n’ai pas croisé l’agent Costigan à la salle de sport ce matin. Il serait parti faire la bringue sans m’en informer ? Ca ne lui ressemble pas.Frime

Arrivée au bureau. Akechi et Jade sont déjà là depuis une bonne demi-heure. Je récupère mes messages, et j’en profite pour boire cette nouvelle boisson énergisante qui fait fureur dans les clubs. Toujours aucune nouvelle d’Alecto, et il ne répond pas non plus au téléphone.

Briefing matinal. Hawkings a déjà retroussé les manches. C’est un signe qui ne trompe pas. Il va y avoir de l’action aujourd’hui. La nouvelle ne se fait pas attendre : un nouveau meurtre a eu lieu dans le quartier de Pasadena. En l’absence d’Alecto, le chef me met en équipe avec l’agent Black Dog, un remplaçant de choix pour la BEC. Après quoi il ajoute : « On ne peut pas se payer le luxe de laisser notre agent le plus débrouillard au fond de son canapé. Donc avant toute chose, passez voir ce qui cloche chez l’agent Alecto. Réveillez-le avec de la neige carbonique si nécessaire mais je veux le voir sur le plateau fissa. En route détectives ! »

Nous faisons un détour par le domicile l’agent Alecto comme le chef nous l’a ordonné, et nous sommes surpris de trouver la porte de son appartement entrouverte. Pas d’effraction, mais nous sortons tout de même nos armes de service par prudence, sous le regard ébahi de sa voisine de palier, une vielle dame qui vit seule. Nous découvrons l’appartement d’Alecto entièrement saccagé ! Dans tout ce fatras, ce fin limier de Black Dog remarque un tiroir, le seul à être encore en place, parfaitement rangé. Nous l’ouvrons et découvrons avec stupeur un sachet contenant 1 kilo de drogue pure. La drogue reste à identifier. Au moins, il ne s’agit pas de la drogue des copycats qui sévissent ces jours-ci. Mais tout de même, c’est une situation assez embarrassante, qui suffirait à justifier l’ouverture d’une enquête interne du SAD dans nos murs. Quelque chose dont nous n’avons certainement pas besoin. En fait nous allons même jusqu’à soupçonner qu’il s’agit d’un coup monté visant à se débarrasser d’un agent de valeur et ternir l’image du cops au passage. Ayant aussi à l’esprit qu’en ce moment les divers cas de bavure et de corruption policière sont la coqueluche des médias, nous hésitons encore plus à révéler notre découverte. Nous contactons la hiérarchie, et tombons d’accord avec Hawkings pour garder cette affaire confidentielle pour le moment, et de nous contenter de rassembler les pièces à conviction.

Je ne vois pas trop qui pourrait en vouloir à Alecto dans l’immédiat. Il y a bien la mangouste, cette tueuse qui nous a mis des bâtons dans les roues à plusieurs reprises lorsque nous enquêtions su les prisonniers de droit commun, mais je ne pense pas qu’Alecto soit en mesure de l’identifier.

A faire :
=&gt; envoyer le sachet de drogue à la scientifique pour un relevé d’empreintes standard, et une analyse de la drogue.
=&gt; faire la tournée des contacts d’Alecto.


Vengeance vaudou

Nous nous rendons ensuite dans le quartier de Pasadena, sur le lieu du meurtre de Lenny Hartman. Pendant le trajet, nous consultons le fichier des délits et constatons que Lenny est déjà connu de nos services : il faisait partie de la bande à Jenkins, une bande de braqueurs qu’un de nos collègues, Sniper, essaie de boucler depuis un moment. Jenkins est un vieux de la vielle et il n’est pas facile à coincer.

La scène crime est particulièrement gore : le sang de la victime a été utilisé pour tracer sur les murs des symboles que nous apprenons être d’origine vaudou (Sniper étant d’origine noir américaine, il nous a renseigné sur ces pratiques qui s’apparentent à de la magie noire). Outre cela, un poulet aux yeux crevés errait sur la scène de crime, ce qui confirmait la connotation vaudou. L’analyse des blessures de la victime fait clairement penser à une exécution (notamment une balle retrouvée dans la nuque de la victime). A ce stade nous pouvons dire que ce meurtre est clairement distinct des copycats. D’ailleurs nous ne retrouvons ni drogue ni cd pirate sur la scène de crime. Chose intéressante, les symboles tracés sur les murs comportent des empreintes digitales, et il y a fort à parier qu’il s’agit de celles de l’assassin.

Alors que nous nous préparons à retourner au central, nous sommes avertis d’un nouveau meurtre à connotation vaudou dans le quartier de South Hollywood ! Il s’agit cette fois de Tony Manzano, un spécialiste des coffres forts qui faisait lui aussi partie de la bande à Jenkins. Dès lors l’hypothèse d’une vengeance à l’encontre de cette bande tient lieu de mobile.

De retour au central, une correspondance est trouvée pour les empreintes digitales que nous avons relevé sur les deux scènes de crime : il s’agit de celles de Dany Rand, un jeune rebut fiché dans les fichiers des mineurs et qui appartient au gang des Blood Lords dont le big boss Baron Samedi est connu pour ses pratiques vaudou.

Tout colle parfaitement et mandat tombe en quelques minutes. L’agent Black Dog et moi-même menons une descente aux petits ognons au domicile de Dany, dans le quartier de Pasadena. Le quartier étant très chaud, nous sommes accompagnés d’une unité de SWAT et une unité de maintien de l’ordre. La coopération de nos services est exemplaire et nous le capturons le suspect Rand sans difficulté, et sans tirer le moindre coup de feu tant notre intervention est rapide. Au bout de la rue nous apercevons des Blood Lords qui nous regardent faire. Les mecs des gangs ont le sang chaud, nous partons pour éviter que cela dégénère.

L’interrogatoire qui s’en suit révèle que Dany a été manipulé par Baron Samedi : ces meurtres constituaient en effet une épreuve d’initiation que Dany devait réussir pour faire partie du gang. Dans le but de réduire sa peine, Dany nous révèle ce qu’il a entendu dire sur le grief exact de cette vengeance : il se trouve que la bande à Jenkins devait faire un casse et refiler un chargement de matos high-tech dernier cri aux Blood lords : ordinateurs, hi-fi, vidéo. Dany évoque un dénommé Wallie qui semble jouer un rôle d’intermédiaire entre les Blood Lords et la bande à Jenkins dans cette affaire.

C’est alors que nous recevons un code 10-18 : les Blood Lords attaquent un bar en plein centre ville. C’est une situation de guerre ouverte à laquelle nous sommes confrontés. Le bar est en flammes lorsque nous arrivons. Nous prenons position à couvert derrière nos véhicules et effectuons un rapport de la situation aux anges ainsi que les sommations d’usage. Les gangers utilisent un véhicule militaire Hummer pour défoncer nos voitures de patrouille ! L’agent Jade évite de justesse l’engin qui termine sa course dans une voiture de police et rejoint notre couvert. Nous commençons par effectuer des tirs dissuasifs dont ces excités des gangs n’ont que faire. J’essuie d’ailleurs une rafale de fusil mitrailleur, 3 balles dans le bas-ventre. Grâce au blouson cops, je m’en sors sans une égratignure. Notre infériorité numérique nous oblige à contre attaquer avec force. Tandis que l’agent Jade nous couvre, l’agent Black Dog et moi-même abattons les gangers qui avancent sur nous. Nous parvenons à en en capturer deux un peu plus conciliants que la moyenne. Les équipes de télévision n’ont rien manqué de notre affrontement. Et après une courte interview nous retournons au central.

L’interrogatoire des deux brutes des gangs nous apprend qu’ils en avaient après le propriétaire du bar, un certain « Wallie ». Nous découvrons dans nos fichiers que Walter Boyle (alias Wallie) est un ancien receleur sorti de prison il y a quelques mois, peine écourtée pour bonne conduite.

Nous nous rendons à sa dernière adresse connue pour en apprendre plus. Nous découvrons son appartement saccagé, avec des marques vaudou sur les murs. Il semble que nous arrivions trop tard ! Mais en y regardant de plus près, les marques ont été traçées avec de la peinture rouge. Nous en déduisons que les Blood Lords n’ont pas réussi à attraper Wallie.

N’ayant trouvé Wallie à son domicile, nous allons faire un tour chez sa copine dont nous avions aussi l’adresse. C’est une fille honnête qui pensait que Wallie avait définitivement raccroché. Elle est terriblement déçue d’apprendre que Wallie semble avoir repris les affaires et nous donne l’adresse d’une autre de ses planques.

Nous trouvons Wallie à sa deuxième adresse. Celui-ci est disposé à nous recevoir chez lui pour éviter la garde à vue. Comme nous n’avons aucune preuve de son implication avec la bande à Jenkins, il ne nous révèle aucune information. C'est l'échec, et nous rentrons broucouille au central du LAPDHehe


La secte des serpents jumeaux et la filière de détournement d’armes capturées

Le lendemain, un meurtre d’un nouveau genre a lieu : la victime Billy Delanoy. Pas de mise en scène vaudou et nous n’avons aucun dossier sur la victime. Nous trouvons un papier placardé laissé bien en évidence, qui porte un symbole formé de deux serpents entrelacés et accompagné d’un texte extrait du livre « le Faiseur » écrit par Abdul Al Sala en 1532. Le texte semble évoquer de manière mystique la naissance de deux divinités ophidiennes jumelles. Nous découvrons également des traces de chargement de caisse. Il est possible que ce Billy faisait partie de la bande à Jenkins, et qu’il avait stocké la marchandise chez lui mais nous ne pouvons l’affirmer pour le moment. Et ce n’est pas Wallie qui nous aidera à identifier ce Billy pour le moment.

Cependant, nos dernier doutes sont bientôt dissipés : nous sommes interrompus dans nos réflexions par un coup de téléphone ! Black Dog et moi nous regardons et établissons un accord tacite. Black Dog décroche. Une voix au téléphone : c’est Jenkins ! Il nous raconte son histoire. Jenkins avait un type chez Transmax, une société de transport. C’est comme cela qu’il a obtenu les horaires des fourgons de la Transmax ainsi que leur cargaison. Le plan était simple : attaquer un fourgon de la Transmax pour dérober du matos hi-fi / vidéo dernier cri, stocker tout ça chez Wallie et le revendre aux Blood Lords. Seulement voilà : le fourgon de la Transmax ne contenait pas du matériel hi fi mais une cargaison d’armes légères ainsi que quelques lance-roquettes. Les blood lords avaient payé à l’avance et Jenkins s’est barré avec le blé. Les Blood Lords étaient furieux. Et pire que tout, il semble qu’à l’heure actuelle, le véritable destinataire de cette cargaison d’arme soit venu la récupérer chez Billy, avec l’intention de s’en servir. Autant s’attendre au pire.

De retour au central : je reçois un appel de la part du capitaine de police du Hive que nous avions chargé d’enquêter sur la présence d’activités biomédicales illicites dans le secteur. Soupçons éveillés par l’évasion il y a une semaine d’un prisonnier de droit commun qui semblait avoir servi de cobaye à diverses expériences neurologiques. Nous nous rendons sur place, dans ce qui semble être un laboratoire clandestin situé dans un entrepôt souterrain.

Nous découvrons le laboratoire vide. Il a été attaqué, car nous trouvons des impacts de balle sur les murs. D’ailleurs l’agresseur nous laisse carrément sa carte de visite ! Il s’agit de la secte des serpents jumeaux, ceux qui ont récupéré les armes la veille.

Impossible d’avoir plus d’informations sur les expériences qui se sont déroulées ici. Il reste quelques cuves brisées lors de l’affrontement mais rien n’est exploitable. La présence de petits trous de fixation dans le sol nous donne une idée du nombre de cuves qui ont pu être dérobées.

De retour au central, la scientifique nous donne une information pour le moins alarmante. Les numéros de série des armes utilisées par les serpents jumeaux lors de l’assaut contre le laboratoire du Hive indiquent que ces armes avaient été confisquées à des criminels lors des opérations de police et sont censées avoir été envoyées pour destruction à la société Eagle Arms par les fourgons de la société Transmax. Nous sommes devant un cas de corruption de la filière de destruction des armes ! Nous avons une piste : le nom de la personne qui a signé le bon de destruction des armes chez la société Eagle arms. Il ne devrait pas être très compliqué d’obtenir un mandat.

En attendant, nous téléphonons à l’université de LA, et demandons à nous renseigner à propos de l’auteur du livre « Le faiseur ». On nous indique d’aller voir le professeur Hellermann. Il n’est pas là et nous recontrons son assistant. Celui-ci nous donne l’adresse de sa fille. Nous parvenons à la rencontrer, et lui exposons l’affaire sur laquelle nous travaillons. Cela suffit à la convaincre de nous emmener à l’appartement de son père. Nous découvrons dans l’appartemment du professeur Hellermann un confirmation de réservation d’un billet d’avion en Alaska et un lieu (coordonnées GPS je crois ?).


A faire :
=&gt; retrouver le professeur Hellermann en Alaska (un territoire de l’union)
=&gt; déterminer les membres du réseau de recyclage d’armes parmi le LAPD, la société Transmax (censée transporter les armes) et la société Eagle Arms (censée détruire les armes). Commencer par interroger la paersonne qui a signé le bon de destruction des armes chez Eagle arms.


Clôture de l’enquête sur les copycats

Aucun nouveau meurtre lié à cette affaire n’est à déplorer ces jours-ci. L’enquête menée en parallèle par les agents Jade et Akechi sur les natifs américains et l’entourage du maire ainsi que les travaux de la scientifique ont permis d’identifier le principe actif contenu dans la drogue (agent ???) et de confirmer que l’écoute du cd associée à la prise de drogue déclenchait chez les sujets des actes meurtriers comme suit : le cd contient un message subliminal caché situé au niveau de fréquences auditives très basses appelées infrasons. En temps normal, les infrasons ne sont pas audibles par l’oreille humaine, et un message subliminal est très certainement moins dangereux que le discours d’un orateur chevronné. Mais un sujet ayant consommé la drogue baptisée Blood Diamond voit sa perception augmentée ce qui lui permet d’entendre le message caché, et voit également son influençabilité augmentée ce qui lui fait considérer la suggestion de tuer comme un ordre de tuer.

Conclusion de l’enquête :
=&gt;les personnes ayant tué sous l’influence de la drogue sont innocentées.
=&gt;il nous faut déterminer qui possède cette technologie.
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[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F &quot;Le madre de Dios&quot; - by baronpiero - 31-05-2009, 12:40 AM

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