18-06-2009, 09:30 PM
L'histoire est très compliqué et est un exemple de comment la séparation de l'UDF a pu être vécu.
Il faut en fait revenir en 2007 pour bien la comprendre.
C'est l'élection présidentielle, et Jean Loup Metton, Maire UDF de Montrouge soutien Bayrou. en fait, il commence à jouer double jeu. Il est en désaccord avec Bayrou et pense que le centre doit rester avec la droite. Il soutient Bayrou au premier tour et sait qu'il va soutenir Sarkozy au second.
L'idée (selon Guilmart) étant qu'il aura plus de poids pour inciter les fans de Bayrou à voter Sarkozy au second tour.
Viens les législatives et Metton devient le candidat MODEM-UMP.
En réalité, il joue double jeux. L'ancien chef MODEM sur Malakoff le soutien (et s'en mord les doigts, d'ailleurs, il nous a fait énormément de mal durant la campagne municipale car il s'est plus occupé de Montrouge que de Malakoff au grand dam de Jean Emmanuel, Eric et moi, comme quoi Montrouge nous a fait beaucoup de tord) alors que Marie Virapatirin, chef de file de Bagneux, qui a été sur la liste aux européennes, ne le soutenait pas. D'ailleurs, elle ne pouvait pas blairer (comme tous le monde) Olivier Sueur.
Bref, Metton joue double jeux, nique tous le monde et rejoint le nouveau centre (nos frère ennemis).
Avec le recul, là ou j'en veux à Metton, c'est d'avoir joué une stratégie dangereuse et d'avoir délibérément favorisé les communistes au détriment des socialistes. Si les socialistes étaient passés en tête, les municipales auraient pu changer (présence des socialistes au premier tour).
En fait, Metton favorise clairement les communistes à Bagneux et à Malakoff car ça lui permet de rester le boss de la droite dans la circonscription.
Après, c'est là que les choses se gatte.
Déjà, l'ancien chef MODEM Malakoff, qui a été l'éphémère directeur de campagne de Jean Emmanuel, fait tout pour se venger et qu'il y ai une liste MODEM.
Conclusion: on tape pas dans la merde, ça éclabousse. Il aurait mieux fait de s'occuper de notre campagne et surtout de nos militant. La gestion fut un désastre et nous pèse lourd aujourd'hui, rien que pour améliorer notre score.
Car la situation est très dure et détestable à Montrouge.
L'adjoint de Metton, Joël Giraud, reste MODEM et est le président de la section. Il milite pour une liste dès le premier tour avec Metton.
D'autres veulent une liste dès le premier tour.
Parmi eux Branaa. Il est élu tête de liste (l'erreur).
On a très vite, avec Jean Emmanuel, cerné le personnage.
Jean Emmanuel est président de la vigie et a des relation très forte avec le président de l'association Montbouge. Celui-ci organise un diné avec Jean Emmanuel et Branaa.
Au bout d'1/4 d'heure, Branaa tient à Jean Emmanuel ce discours:
"Écoute, Jean Emmanuel, entre toi et moi, il y a une grande différence. C'est que moi je serais au second tour et je serais élu"
Je te garantis que l'on a pas apprécié. Autre exemple, il propose à mon énarque de faire parti d'une commission pipeau pour servir ses intérêts. Il faut le mettre en valeur.
On a très vite ciblé Branaa comme ayant les dents longues, rayant le parquet et imbu de sa personne.
Voilà, seulement, les militants ont voté Branaa tête de liste et l'investiture tarde à tomber.
(Il nous demande de l'aider d'ailleurs et on le laisse se débrouiller seul:jmekiffe
Pire, une nouvelle personne est nommé médiateur et décide de faire liste commune avec Metton (Bravo le respect des voix des militants, bien que l'on déteste Branaa)
Branaa y va donc seul.
La campagne a lieu, et là, c'est le nouveau drame:
le programme de branaa est:
1) Je prends le programme de Marielle de Sarnez (Tête de liste pour Paris)
2)[Contrôle] + [c]
3) [Contrôle] + [v]
4) Je remplace "Paris" par "Montrouge"
Du coup, on a un programme électoral hallucinant.
Exemple:
"A Montrouge, le prix du m2 est de ...."
Andouille, c'est les chiffres de Paris
"A Paris ......"
Tiens, il a oublié de remplacer "Paris" par "Montrouge"
Enfin, Branaa continu à faire campagne contre la gestion autocratique de Metton.
Le premier tour a lieu, et là, c'est le drame pour Metton: Il est en Ballotage.
Branaa fait 9% (Une honte, quand je pense qu'avec un programme sérieux on fait 7% mais je m'égare
)
Et là, coup de théâtre, Branaa et Metton fusionnent, et les MODEM qui avait rallié Metton au premier tour sont virés (à l'exception de Joël Giraud, excellent ami de Metton).
Et Metton est élu, Branaa premier adjoint.
L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais dernièrement, vers Avril, la situation devient dramatique.
Branaa critique violemment le budget, de manière insultante, et vote blanc.
Le conseil suivant, il est démis de ses fonctions, et lâché par les autres MODEM au conseil municipal.
Depuis, il a réouvert son blog et devient l'opposant bête et méchant avec Metton, ridiculisant les autres MODEM au conseil municipal.
Je ne sais pas si le MODEM devait se mettre avec Metton ou pas. Mais une chose est sure, Metton, on sait qui il est et on le savait avant les élection.
Je pense que la cohérence, la pertinence du projet ne doivent pas être vaint.
Ce que l'on annonce aux électeurs doit être traduit dans les actes.
Pour Jean Emmanuel et moi, défendre notre vision est plus important que le score et le nombre d'élu. Et on n'hésitera pas à être impopulaire pour défendre notre point de vue. Cela ne nous fait pas peur.
Et dire que Branaa nous donne des leçons!!!!
Si on s'est pris une ratatouille aux élections, c'est à cause de gars comme lui!!!!!
C'est la médiocrité même!!!
Il faut en fait revenir en 2007 pour bien la comprendre.
C'est l'élection présidentielle, et Jean Loup Metton, Maire UDF de Montrouge soutien Bayrou. en fait, il commence à jouer double jeu. Il est en désaccord avec Bayrou et pense que le centre doit rester avec la droite. Il soutient Bayrou au premier tour et sait qu'il va soutenir Sarkozy au second.
L'idée (selon Guilmart) étant qu'il aura plus de poids pour inciter les fans de Bayrou à voter Sarkozy au second tour.
Viens les législatives et Metton devient le candidat MODEM-UMP.
En réalité, il joue double jeux. L'ancien chef MODEM sur Malakoff le soutien (et s'en mord les doigts, d'ailleurs, il nous a fait énormément de mal durant la campagne municipale car il s'est plus occupé de Montrouge que de Malakoff au grand dam de Jean Emmanuel, Eric et moi, comme quoi Montrouge nous a fait beaucoup de tord) alors que Marie Virapatirin, chef de file de Bagneux, qui a été sur la liste aux européennes, ne le soutenait pas. D'ailleurs, elle ne pouvait pas blairer (comme tous le monde) Olivier Sueur.
Bref, Metton joue double jeux, nique tous le monde et rejoint le nouveau centre (nos frère ennemis).
Avec le recul, là ou j'en veux à Metton, c'est d'avoir joué une stratégie dangereuse et d'avoir délibérément favorisé les communistes au détriment des socialistes. Si les socialistes étaient passés en tête, les municipales auraient pu changer (présence des socialistes au premier tour).
En fait, Metton favorise clairement les communistes à Bagneux et à Malakoff car ça lui permet de rester le boss de la droite dans la circonscription.
Après, c'est là que les choses se gatte.
Déjà, l'ancien chef MODEM Malakoff, qui a été l'éphémère directeur de campagne de Jean Emmanuel, fait tout pour se venger et qu'il y ai une liste MODEM.
Conclusion: on tape pas dans la merde, ça éclabousse. Il aurait mieux fait de s'occuper de notre campagne et surtout de nos militant. La gestion fut un désastre et nous pèse lourd aujourd'hui, rien que pour améliorer notre score.
Car la situation est très dure et détestable à Montrouge.
L'adjoint de Metton, Joël Giraud, reste MODEM et est le président de la section. Il milite pour une liste dès le premier tour avec Metton.
D'autres veulent une liste dès le premier tour.
Parmi eux Branaa. Il est élu tête de liste (l'erreur).
On a très vite, avec Jean Emmanuel, cerné le personnage.
Jean Emmanuel est président de la vigie et a des relation très forte avec le président de l'association Montbouge. Celui-ci organise un diné avec Jean Emmanuel et Branaa.
Au bout d'1/4 d'heure, Branaa tient à Jean Emmanuel ce discours:
"Écoute, Jean Emmanuel, entre toi et moi, il y a une grande différence. C'est que moi je serais au second tour et je serais élu"
Je te garantis que l'on a pas apprécié. Autre exemple, il propose à mon énarque de faire parti d'une commission pipeau pour servir ses intérêts. Il faut le mettre en valeur.
On a très vite ciblé Branaa comme ayant les dents longues, rayant le parquet et imbu de sa personne.
Voilà, seulement, les militants ont voté Branaa tête de liste et l'investiture tarde à tomber.
(Il nous demande de l'aider d'ailleurs et on le laisse se débrouiller seul:jmekiffe

Pire, une nouvelle personne est nommé médiateur et décide de faire liste commune avec Metton (Bravo le respect des voix des militants, bien que l'on déteste Branaa)
Branaa y va donc seul.
La campagne a lieu, et là, c'est le nouveau drame:
le programme de branaa est:
1) Je prends le programme de Marielle de Sarnez (Tête de liste pour Paris)
2)[Contrôle] + [c]
3) [Contrôle] + [v]
4) Je remplace "Paris" par "Montrouge"
Du coup, on a un programme électoral hallucinant.
Exemple:
"A Montrouge, le prix du m2 est de ...."
Andouille, c'est les chiffres de Paris

"A Paris ......"
Tiens, il a oublié de remplacer "Paris" par "Montrouge"

Enfin, Branaa continu à faire campagne contre la gestion autocratique de Metton.
Le premier tour a lieu, et là, c'est le drame pour Metton: Il est en Ballotage.
Branaa fait 9% (Une honte, quand je pense qu'avec un programme sérieux on fait 7% mais je m'égare

Et là, coup de théâtre, Branaa et Metton fusionnent, et les MODEM qui avait rallié Metton au premier tour sont virés (à l'exception de Joël Giraud, excellent ami de Metton).
Et Metton est élu, Branaa premier adjoint.
L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais dernièrement, vers Avril, la situation devient dramatique.
Branaa critique violemment le budget, de manière insultante, et vote blanc.
Le conseil suivant, il est démis de ses fonctions, et lâché par les autres MODEM au conseil municipal.
Depuis, il a réouvert son blog et devient l'opposant bête et méchant avec Metton, ridiculisant les autres MODEM au conseil municipal.
Je ne sais pas si le MODEM devait se mettre avec Metton ou pas. Mais une chose est sure, Metton, on sait qui il est et on le savait avant les élection.
Je pense que la cohérence, la pertinence du projet ne doivent pas être vaint.
Ce que l'on annonce aux électeurs doit être traduit dans les actes.
Pour Jean Emmanuel et moi, défendre notre vision est plus important que le score et le nombre d'élu. Et on n'hésitera pas à être impopulaire pour défendre notre point de vue. Cela ne nous fait pas peur.
Et dire que Branaa nous donne des leçons!!!!
Si on s'est pris une ratatouille aux élections, c'est à cause de gars comme lui!!!!!
C'est la médiocrité même!!!