31-08-2009, 07:58 PM
Polar Magazine
Aujourd'hui, Polar magazine mène l'interview de Momoko Kogoro Columbo.
C'est un écrivain de roman policier très connu, notamment au japon.
Son roman le plus connu est "Le cimetière de geisha".
Elle vient de sortir "Nana Edogawa à LA".
Polar Magazine (PM): Vous venez d'être relâché dans le cadre de l'affaire du meurtre de Walter Brightman . Pouvez vous nous en dire plus?
Momoko Kogoro Columbo (MKC): Oui, j'ai cru que je serais condamné. Je tiens à remercier ma sœur ainée qui a mené une enquête complète qui a permis de m'innocenter. Walter Brightman était un très bon ami. Mais je ne me rappelles de rien, car j'ai été drogué.
J'espère qu'on arrêtera le meurtrier.
(PM): Comment ce fait-il que vous ayez été inculpé.
(MKC) : L'inspecteur chargé de l'enquête a bâclé l'enquête pour des raisons purement politicienne. Je me permets de le dénoncer: il s'appelle Pauli Ernesto.
(PM): Bon, parlez nous de vous, comment vous est venu l'idée d'écrire des polars?
(MKC): Je suis née à LA, d'une mère japonaise très stricte et d'un père policier qui était américain, mais de descendance italienne. A la mort de mon père, la famille est retourné au japon. J'ai été éduqué dans la plus pure tradition japonaise. J'ai fait des études de littérature, puis, aimant les polars, les enquêtes mais ne voulant pas les vivres, j'ai décidé d'écrire.
(PM):Vous êtes membre d'une famille nombreuse?
(MKC): Oui, j'ai deux grands frères qui sont détectives privés, une grande sœur qui est détective au COPS, et un petit frère qui est économiste. On a tous la nationalité japonaise à l'exception de ma sœur qui a la double nationalité (Japonaise/Californienne).
(PM): Quels sont vos passions?
(MKC): Le romans policiers (c'est de famille) mais également les sorties, le cinéma. Je fais également de la natation. J'adore conduire les belles voitures.
(PM): Quels sont vos auteurs préférés?
(MKC): Sir Arthur Ignatius Conan Doyle et Edogawa Ranpo. Je suis une fanatique de Sherlock Holmes et je fais partie de la société Sherlock Holmes. Enfin, j'admire Edogawa Rampo, qui a influencé mon style, et qui a importé au japon la littérature policière.
(PM): Pouvez vous nous parler de votre héroïne Nana Edogawa?
(MKC): Tout les écrivains ont leur brillant détective. Hercule Poirot pour Agatha Christie, ...
Je voulais créer mon détective, et je lui ai donné mes propres goût. En fait, Nana est mon moi parfait.
(PM): Comment expliquez vous le succès de ce personnage? Beaucoup de vos livres, comme "Le cimetière de Geisha" ou "Les tueurs en série tuent aussi les hommes" sont reconnu comme étant de plus grande littérature?
(MKC): Je pense que Nana plait aux femme. Beaucoup aimerait vivre dans le luxe, collectionner les aventures, les voitures. En plus, c'est une génie du crime. Je pense que beaucoup de lectrices s'identifie à elle.
(PM): Pourquoi vos livres ne sont pas adaptés au cinéma?
(MKC): J'ai beaucoup de proposition pour "Le cimetière de Geisha", mais je refuse l'adaptation. Je préfère voir d'autres œuvre adaptées d'abord. "Le cimetière de Geisha" est une œuvre très importante pour moi. Elle m'a permis d'avoir une renomée. De plus, j'ai eu le prix Edogawa.
Par contre, j'ai donné mon accord pour "Sherlock Holmes contre Akechi Kogoro" qui est le premier roman où apparait Nana. Le projet devrait être Californien et Japonais, mais il y a conflit d'intérêt, notament pour savoir qui interprétera le personnage.
(PM): Dans votre dernier roman, Nana se retrouve à LA. Elle lutte contre un tueur en série qui tue des actrices pornographiques et le COPS fait tout pour que l'enquête piétine. Que pensez vous du COPS? Vous savez, à LA, le COPS est très critiqué.
(MKC): Je tiens à dire qu'il s'agit d'abord d'une fiction. Je me suis documenté et je connais le COPS que par ce que m'en raconte ma sœur. J'ai même changé certain point. L'accueil dans mon roman est tenu par une blonde. Ce n'est pas vrai dans la réalité. D'ailleurs, sachez que ma sœur ne me parle jamais de ses affaires. Néanmoins, il lui est arrivé de dire que les considérations politiques puissent être importante. Mais beaucoup d'agent du COPS, dont ma sœur, font un travail correct voir remarquable. Puis des incompétents, et des carriéristes, il y en a partout, y compris au SAD avec un certain Pauli Ernesto.
(PM): Un prochain roman?
(MKC): Oui, Nana Edogawa devrait revenir.
(PM): Merci bien.
Aujourd'hui, Polar magazine mène l'interview de Momoko Kogoro Columbo.
C'est un écrivain de roman policier très connu, notamment au japon.
Son roman le plus connu est "Le cimetière de geisha".
Elle vient de sortir "Nana Edogawa à LA".
Polar Magazine (PM): Vous venez d'être relâché dans le cadre de l'affaire du meurtre de Walter Brightman . Pouvez vous nous en dire plus?
Momoko Kogoro Columbo (MKC): Oui, j'ai cru que je serais condamné. Je tiens à remercier ma sœur ainée qui a mené une enquête complète qui a permis de m'innocenter. Walter Brightman était un très bon ami. Mais je ne me rappelles de rien, car j'ai été drogué.
J'espère qu'on arrêtera le meurtrier.
(PM): Comment ce fait-il que vous ayez été inculpé.
(MKC) : L'inspecteur chargé de l'enquête a bâclé l'enquête pour des raisons purement politicienne. Je me permets de le dénoncer: il s'appelle Pauli Ernesto.
(PM): Bon, parlez nous de vous, comment vous est venu l'idée d'écrire des polars?
(MKC): Je suis née à LA, d'une mère japonaise très stricte et d'un père policier qui était américain, mais de descendance italienne. A la mort de mon père, la famille est retourné au japon. J'ai été éduqué dans la plus pure tradition japonaise. J'ai fait des études de littérature, puis, aimant les polars, les enquêtes mais ne voulant pas les vivres, j'ai décidé d'écrire.
(PM):Vous êtes membre d'une famille nombreuse?
(MKC): Oui, j'ai deux grands frères qui sont détectives privés, une grande sœur qui est détective au COPS, et un petit frère qui est économiste. On a tous la nationalité japonaise à l'exception de ma sœur qui a la double nationalité (Japonaise/Californienne).
(PM): Quels sont vos passions?
(MKC): Le romans policiers (c'est de famille) mais également les sorties, le cinéma. Je fais également de la natation. J'adore conduire les belles voitures.
(PM): Quels sont vos auteurs préférés?
(MKC): Sir Arthur Ignatius Conan Doyle et Edogawa Ranpo. Je suis une fanatique de Sherlock Holmes et je fais partie de la société Sherlock Holmes. Enfin, j'admire Edogawa Rampo, qui a influencé mon style, et qui a importé au japon la littérature policière.
(PM): Pouvez vous nous parler de votre héroïne Nana Edogawa?
(MKC): Tout les écrivains ont leur brillant détective. Hercule Poirot pour Agatha Christie, ...
Je voulais créer mon détective, et je lui ai donné mes propres goût. En fait, Nana est mon moi parfait.
(PM): Comment expliquez vous le succès de ce personnage? Beaucoup de vos livres, comme "Le cimetière de Geisha" ou "Les tueurs en série tuent aussi les hommes" sont reconnu comme étant de plus grande littérature?
(MKC): Je pense que Nana plait aux femme. Beaucoup aimerait vivre dans le luxe, collectionner les aventures, les voitures. En plus, c'est une génie du crime. Je pense que beaucoup de lectrices s'identifie à elle.
(PM): Pourquoi vos livres ne sont pas adaptés au cinéma?
(MKC): J'ai beaucoup de proposition pour "Le cimetière de Geisha", mais je refuse l'adaptation. Je préfère voir d'autres œuvre adaptées d'abord. "Le cimetière de Geisha" est une œuvre très importante pour moi. Elle m'a permis d'avoir une renomée. De plus, j'ai eu le prix Edogawa.
Par contre, j'ai donné mon accord pour "Sherlock Holmes contre Akechi Kogoro" qui est le premier roman où apparait Nana. Le projet devrait être Californien et Japonais, mais il y a conflit d'intérêt, notament pour savoir qui interprétera le personnage.
(PM): Dans votre dernier roman, Nana se retrouve à LA. Elle lutte contre un tueur en série qui tue des actrices pornographiques et le COPS fait tout pour que l'enquête piétine. Que pensez vous du COPS? Vous savez, à LA, le COPS est très critiqué.
(MKC): Je tiens à dire qu'il s'agit d'abord d'une fiction. Je me suis documenté et je connais le COPS que par ce que m'en raconte ma sœur. J'ai même changé certain point. L'accueil dans mon roman est tenu par une blonde. Ce n'est pas vrai dans la réalité. D'ailleurs, sachez que ma sœur ne me parle jamais de ses affaires. Néanmoins, il lui est arrivé de dire que les considérations politiques puissent être importante. Mais beaucoup d'agent du COPS, dont ma sœur, font un travail correct voir remarquable. Puis des incompétents, et des carriéristes, il y en a partout, y compris au SAD avec un certain Pauli Ernesto.
(PM): Un prochain roman?
(MKC): Oui, Nana Edogawa devrait revenir.
(PM): Merci bien.