15-03-2012, 10:50 PM
J'ai l'ensemble du chapitre. J'ai juste commencé à l'écrire, mais seulement quelques lignes.
Chapitre 5 : La rencontre entre Kogoro Columbo et le tueur
Le tueur, le seul, le vari, l’unique comme il le dit lui-même.
Une véritable légende vivante, n’ayant jamais été pris. Dès qu’un meurtre est non résolu, on pense tout de suite que c’est l’œuvre du tueur.
Pour ma part, je n’ai jamais cru à cette histoire. Pourtant, ce sinistre personnage existe vraiment.
Je pense que je peux dire que le tueur rentra dans ma vie le 22 août 2011.
Entra dans nos locaux une jeune femme. Il s’agissait de Sarah de Brinvilliers. Elle avait 25 ans à cette époque. Elle avait des cheveux blonds, et portait une robe de haute couture. Elle avait également des chaussures à talons et marchait avec classe.
Son visage était contradictoire. Elle avait la jeunesse insouciante de l’adolescence, mais également le visage inquiet de la personne ayant trop vécue.
Elle fut introduite dans mon bureau.
- Ça ne fait rien si je fume ? Me demanda-t-elle.
- Non.
Elle sortit sa cigarette et l’alluma. Elle en tira une bouffé, comme si elle voulait mourir vite. Puis elle commença son récit.
- Mon père Joseph de Brinvilliers est mort avec ma mère, Marie de Brinvilliers, il y a cinq ans dans un accident de voiture. Ce fut un choc pour moi, un nouveau choc. Mon oncle s’inquiétait de mon style de vie. Il réussit à me mettre sous tutelle. C’est mon oncle Borgia qui s’occupe de ma fortune.
- Votre oncle ?
- Oui, mais c’est un peu normal. A 16 ans, je sortais beaucoup avec les garçons. J’ai beaucoup couché. Mais j’ai eu un accident, j’ai été en sainte. J’ai accouché d’une fille, que j’ai appelé Hélène. Mais on me l’a enlevé. Je ne sais même pas si elle est encore en vie. Je pense qu’elle est morte. Par pitié, aidez-moi.
Elle se mit à pleurer.
- Je me pose cette question depuis 9 ans. Qu’est devenue ma fille. Cette question me hante. Cette fille, c’est ma chair. Je veux savoir. Où est-elle ?
- Avez-vous une piste ?
- Je pense que c’est le tueur. Le tueur l’a assassiné.
- Le tueur ?
- Oui, cet assassin légendaire. J’ai entendu parler de votre agence. Vous avez résolu l’affaire Stéphanie de Montpensier. Je me suis dit que vous pourriez traquer le tueur.
- Ecoutez, ma chère, c’est insuffisant. A mon avis, le tueur, c’est une histoire à dormir debout. Je ne crois pas à l’existence de ce personnage.
Chapitre 5 : La rencontre entre Kogoro Columbo et le tueur
Le tueur, le seul, le vari, l’unique comme il le dit lui-même.
Une véritable légende vivante, n’ayant jamais été pris. Dès qu’un meurtre est non résolu, on pense tout de suite que c’est l’œuvre du tueur.
Pour ma part, je n’ai jamais cru à cette histoire. Pourtant, ce sinistre personnage existe vraiment.
Je pense que je peux dire que le tueur rentra dans ma vie le 22 août 2011.
Entra dans nos locaux une jeune femme. Il s’agissait de Sarah de Brinvilliers. Elle avait 25 ans à cette époque. Elle avait des cheveux blonds, et portait une robe de haute couture. Elle avait également des chaussures à talons et marchait avec classe.
Son visage était contradictoire. Elle avait la jeunesse insouciante de l’adolescence, mais également le visage inquiet de la personne ayant trop vécue.
Elle fut introduite dans mon bureau.
- Ça ne fait rien si je fume ? Me demanda-t-elle.
- Non.
Elle sortit sa cigarette et l’alluma. Elle en tira une bouffé, comme si elle voulait mourir vite. Puis elle commença son récit.
- Mon père Joseph de Brinvilliers est mort avec ma mère, Marie de Brinvilliers, il y a cinq ans dans un accident de voiture. Ce fut un choc pour moi, un nouveau choc. Mon oncle s’inquiétait de mon style de vie. Il réussit à me mettre sous tutelle. C’est mon oncle Borgia qui s’occupe de ma fortune.
- Votre oncle ?
- Oui, mais c’est un peu normal. A 16 ans, je sortais beaucoup avec les garçons. J’ai beaucoup couché. Mais j’ai eu un accident, j’ai été en sainte. J’ai accouché d’une fille, que j’ai appelé Hélène. Mais on me l’a enlevé. Je ne sais même pas si elle est encore en vie. Je pense qu’elle est morte. Par pitié, aidez-moi.
Elle se mit à pleurer.
- Je me pose cette question depuis 9 ans. Qu’est devenue ma fille. Cette question me hante. Cette fille, c’est ma chair. Je veux savoir. Où est-elle ?
- Avez-vous une piste ?
- Je pense que c’est le tueur. Le tueur l’a assassiné.
- Le tueur ?
- Oui, cet assassin légendaire. J’ai entendu parler de votre agence. Vous avez résolu l’affaire Stéphanie de Montpensier. Je me suis dit que vous pourriez traquer le tueur.
- Ecoutez, ma chère, c’est insuffisant. A mon avis, le tueur, c’est une histoire à dormir debout. Je ne crois pas à l’existence de ce personnage.