[AFFAIRE] - Dossier COPS Z128-F "Le madre de Dios"

[baronpiero]

Je m'occuppe de la com' : Da BEC RulZ LA

[Darth Nico]

Da BEC RulZ LA

D4 83C RU7Z 74

[vengeur77]

Le 27/12/2030 - 15h21
De : Kim Baro - Computer Division / Data Analyze
A : Charlie Natz - COPS; William Costigan - COPS;
CC : Charles Benet - SID;

Détectives,

Nous avons travaillé dur sur la masse écrasante de document que vous nous avez envoyé suite à la perquisition HelixChemical et devant cette quantité de document nous avons du découper l'analyse en plusieurs Lots. Vous trouverez donc ci dessous le résultat de notre étude et notre extraction des données sensibles.
1 - Correspondance
Mr Dubois avait une correspondance normal dans la plupart des cas et plutôt minimaliste pour une personne de son statut.
Toutefois nous avons pu extraire d'un bloc caché du système, les mails suivants :
Je vous laisse seul juge.

<blockquote>


De : Mr Jonhson / XXX * Unknow Server * 2.25.887FHD
A : Bertrand Dubois - HELIXCHEMICAL MED INC;
Date : 18/12/2030

Mr Dubois,

Vous m'envoyez ravi.
J'en profite pour attirer votre attention sur nos concurrent du [ERREUR DONNÉES CORROMPUES]
La cellule mère continue à négliger leurs actions et à tolérer leur dissidence.
"Le facteur expérimentation à grande échelle justifie leurs actions"
[ERREUR DONNÉES CORROMPUES]


<blockquote>


De: Bertrand Dubois - HELIXCHEMICAL MED INC;
A : Mr Jonhson / XXX * Unknow Server * 2.25.887FHD * &gt; WARNING UNKNOWN PROTOCOL
Date : 14/12/2030

Mr Johnson,

Merci pour vos encouragement.
L'extraction c'est bien passée - avec l'aide de vos hommes de terrain, nous avons pu faire sortir une souche viable du blocus. Le
[ERREUR DONNÉES CORROMPUES]
arrivée à LA dans la semaine.
Les derniers détails ont été réglées. Nous avons l'appui d'une personne au LAPD qui offrira les garantis nécessaire à l'entrée du Madre de Dios au port.


<blockquote>

De : Mr Jonhson / XXX * Unknow Server * 2.25.887FHD *
A : Bertrand Dubois - HELIXCHEMICAL MED INC;
Date : 02/12/2030

Mr Dubois,

Je vous suis reconnaissant de votre retour sur l'étude de Kali 1 sur le rapport entre le taux de rejet du Memeplexe #Mg05-15 et celui du taux de résistance à la contagion de l'ebolavirus. Vos conclusions sont pour le moins édifiantes. C'est à la vue de vos résultats que la cellule Mère nous fait savoir que vous avez le feu fer pour la phase 1. N'oubliez pas de marquer les sujets résistants pour une future extraction. Kali 2 s'occupe d'établir le lien entre le Pro-Xylane et le taux de transmission du Memeplexe.

J'attends vos rapports sur le Madre de Dios.
Kali 3, 4 et 5 présente des avancées
[ERREUR DONNÉES CORROMPUES]

</blockquote>
</blockquote>
</blockquote>


2 - Compte/trafic bancaire

Les extraits bancaires de Helix sont pour le moins obscur. Outres les versement de refacturation vers la maison mère, il semblerait que Helix donnait pas mal d'argent aux Compagnons sous forme de don.
Voici un extrait de données compilées sur ces versements :
203.015,00$ Fret Madre de Dios -&gt; 15/11/2030
350.000,00$ Compte Offshore Afrique du Sud -&gt; 23/11/2030
200.000,00$ Sorti en liquidité. Chèque de société à la banque. (Marqué en Frais exceptionnel)
Voila pour les frais "One-Shot", Pour les frais, récurent on a
10.240,00$ En achat de matériel de laboratoire chez CaSaPha.
12 versements réguliers. Le premier datant du 02/07/2030.



3 - donnée brute

En cours de traitement.


Cordialement,
Kim Baro - Computer Division / Data Analyze

[Darth Nico]

Pro-Xylane, taux de transmission du Memeplexe, zones de Broca... La BEC, alias "Les Experts L.A." 8)

[vengeur77]

Zone de Broca, de Wernicke et systeme Spineux
Ca vient ca vient

[Darth Nico]

Ainsi que "Balles en plastique... mon cul !"

Ah non, pardon, ça c'est le message mémétique des SWAT

[Darth Nico]

COPS #4<!--/sizec-->

Rapport sur les dernières affaires<!--/sizec-->

Émeutes à Norwalk

Emeutes... voire presque guerre civile !
Ce soir-là, on nous annonce que près de 8000 clochards et autres miséreux de Norwalk ont soudain été pris d'un accès de démence, et se sont emparés de toutes les armes de fortunes qui leur tombe sous la main, même les plus primitives (bouteilles, barreaux de chaises, haches...) et ont commencé à saccager Norwalk et commencent à monter vers Downtown !

Toutes les forces de police sont requise pour enrayer cette invasion barbare, en particulier les SWAT mais aussi les COPS pour des missions tactiques d'infiltration.

Les agents Black Dog, Jade, Akechi et Cheyenne et moi-mêmes sommes réquisitionnés pour entrer en plein dans Norwalk, à bord d'un véhicule blindé, afin qu'un lieutenant de l'anti-émeutes, Mindy Schraf, puisse aller fixer des émetteurs (pour quelle raison j'ai oublié). Nous avons cinq endroits à rallier afin d'y poser les émetteurs, mais cela veut entrer en plein dans le territoire des insurgés.

Il fait nuit, il pleut ; il fait chaud dans le véhicule, sous l'épais blindage, dans la lumière rouge, avec la radio qui crachote. Au volant, j'écrase le champignon et notre lourd Hummer défonce les petits obstacles de la route.
Soudain, à un tournant, une énorme barricade de carcasses de voitures. Impossible de passer au travers ! Et les radars indiquent l'approche d'une troupe compacte d'hommes armés. Arrêtés face au mur d'acier, nous allons être encerclés. Nous évacuons le véhicule et passons la barricade.
Peu après, nous entendons la meute des clochards s'en prendre au véhicule comme des sauvages !

Nous courons à travers le quartier déserté quand soudain, nous voyons arriver sur nous plusieurs révoltés : dans l'état où ils sont, ils font penser aux classiques zombies d'un vieux John Romero. Nous épaulons nos fusils et nous ouvrons le feu, dispersant bien vite cette racaille. C'est alors que nous recevons un appel à l'aide d'une équipe de journalistes, prisonniers à l'intérieur d'un hangar voisin.
Nous nous détournons de notre mission pour leur porter secours : nous arrivons dans un bâtiment désaffecté. Les journalistes se sont réfugiés sur la coursive à l'étage ; en bas, plusieurs "zombies", dont certains commencent à monter vers les journalistes.
L'agent Black Dog "descend" (littéralement ! les deux premiers qui escaladaient pendant que nous ouvrons sur le feu sur les autres. Ils sont au moins six devant nous, et quatre arrivent par derrière. Nos tirs font le ménage mais l'un s'apprête à se lancer au contact. Je l'arrête en pleine course, comme à un match de football, et le flanque par terre. Le salaud, il était armé d'un gros barreau de chaise !
Nous continuons à faire le ménage à coups de décharges de fusils et nous montons à l'étage, secourir les journalistes. Arrivés en haut, nous voyons une nouvelle vague de "zombies" envahir les lieux. Il est temps pour nous de pratiquer une ouverture à travers la lucarne : nous passons sur le toit en tôle ondulée, où un hélicoptère de la télévision vient prendre en charge ses reporters. Voilà au moins une chaîne qui pourra dire du bien du COPS !
Nous laissons les journaleux rejoindre les airs et nous passons par les toits pour atteindre notre objectif.

Bizarrement, alors que les autres rues grouillent, ici et là, de bandes de zombies, le bloc où nous arrivons est complètement désert. Pas un chat. Je ressens une impression diffuse de malaise, et j'apprendrai par la suite que mes camarades aussi la ressentaient. Pas un bruit, l'ambiance est digne d'un tombeau. On pourrait aussi se croire sur la Lune.
A mesure que nous approchons du bâtiment, nous nous sentons de moins en moins en confiance. Nous pressons le lieutenant Schraf de poser son récepteur, afin de passer vite à l'objectif suivant !

Nous arrivons à l'intérieur d'un hangar vraiment sombre, et soudain, des dizaines et des dizaines de silhouettes de zombies, plus zombies que jamais !, surgissent à côté de nous. Nous ne les avons pas vus venir !
Nous leur ordonnons de reculer : ils se contentent de rester debout à se balancer, dans la position typique du zombie amorphe !
Cheyenne est alors prise de malaise au moment où un cri retentit : tous les zombies se jettent à terre également, en proie au même mal.
C'est alors qu'en bas, nous apercevons une jeune femme, du genre chanteuse "prêtresse" d'un groupe de gothiques pour ados rebelles, qui est dans une sorte de transe. Elle s'arrête et tous les "zombies" et Cheyenne redeviennent normaux. Nous descendons vers elle, pas rassurés sur cette bande de dingues, et nous nous approchons d'elle : même cinéma, elle entre en transe, Cheyenne est prise de malaise et les autres se jettent à terre. J'attrape Cheyenne et je la fais sortir de ce bâtiment en vitesse.
C'est alors qu'arrive un hélicoptère armé, appartenant à une milice privée, tout à fait légale : ils montrent aux agents Black Dog et Jade un papier certifiant qu'ils doivent prendre en charge la chanteuse gothique. Il faut imaginer une opération avec une vingtaine d'hommes, en armure, qui descendent en rappel à travers le toit en verre brisé !
La fille est en effet la chanteuse d'un groupe gothique qui a eu du succès il y a quelques années. Elle a pour tuteur légal McConroy, un important homme politique, candidat aux élections municipales.
Nous confions à cette milice la fille et nous sortons du bâtiment.


Enlèvements

Quelques jours après les émeutes à Norwalk, les élections municipales voyaient la victoire surprise de notre maire sortant, Loïs Lane ( ??).

L'agent Black Dog et moi-mêmes étions chargés ce jour-là de ramener un témoin minable, un Haïtien surnommé "Baron Samedi", pour le convaincre de témoigner dans une affaire plus importante.
En chemin, nous recevons un appel d'urgence : des hommes armés dans un camion.
Nous sommes obligés de bifurquer sur la freeway, alors même que nous ne disposons que d'un mauvais "tas de boue" qui n'a pas grand-chose dans le ventre et n'a pour seul avantage que d'être banalisé !
Nous repérons la camionette. Ils ouvrent le feu sur nous : des tirs crépitent, des éclats apparaissent sur le pare-brise. Pendant que je conduis, Black Dog ouvre le feu à son tour, sur l'arrière du camion, dont la porte allait s'ouvrir, révélant des hommes qui montent un fusil sur trépied !
Plusieurs tirs partent et d'un coup, la camionette quitte la route pour s'engager sur une voie d'évacuation. Leur pilote n'a pas été formé au COPS ! Leur conduite maladroite endommage leur véhicule, et ils terminent dans une zone industrielle, sous une structure en acier. Nous les avons suivis, dévalant la pente à notre tour. Arrivés en bas, nous constatons avec peine que le Baron Samedi a pris une balle perdue en plein dans l'œil. Il ne pourra plus jamais témoigner et nous espérons qu'il est déjà au paradis de la ganja !

Nous voulons appeler une ambulance et des renforts mais ni notre radio ni nos téléphones ne "passent". Etrange ? La structure métallique empêcherait-elle les ondes de passer ?
Nous ouvrons la camionnette, et à l'intérieur, nous trouvons des gros Saint-Bernard en cage. L'un d'eux a été tué pendant la poursuite et a le ventre ouvert : et nous voyons qu'on lui a ouvert l'estomac pour lui mettre une pochette hermétique, laquelle contient... des morceaux de cartilage !
Nous voyons que les autres chiens ont aussi une cicatrice au ventre. Du trafic de moelle ! Et à l'intérieur de ces pauvres bêtes...

Nous n'avons pas le temps de nous attendrir, car voilà le SWAT qui débarque en force, et qui nous demande de prendre avec lui le dernier de ces malfaiteurs qui soit encore en vie.
Les communications reviennent. Nous laissons au SWAT ce prisonnier et appelons l'ambulance et la "scientifique".
Dure fin de journée... Nous rentrons au central, l'agent Black Dog et moi, fourbus.

Nous apprendrons le lendemain que le prisonnier emmené par le SWAT a réussi à se suicider en sautant de l'hélicoptère !


Les trafiquants de moelle

Les analyses de la scientifique sur les lieux de l'accident nous offrent plusieurs portes :
1) Les Saint-Bernard viennent d'un restaurant chinois qui en a fait une spécialité, Chez Wung-Shu.
2) Les pochettes stériles greffées dans le corps des chiens viennent du California Hospital Med Center, de sinistre mémoire, puisque c'est l'hôpital où la Mangouste a assassiné notre témoin, le mercenaire allemand, le jour même où Black Dog y prenait du repos.
3) Enfin, nous avons l'adresse du loueur de la camionnette : Minute Drive, à Duarte.

De plus, nous avions trouvé sur place un micro-circuit : il s'agit du composant d'une nano-bombe anti-réseaux. Est-cela qui a pu, seul, arrêter nos communications ?
Enfin, pour ne rien arranger, nos supérieurs du COPS nous disent que jamais on ne nous a envoyé l'ordre d'aller intercepter cette camionnette !
Qui a pu pirater la ligne d'urgence ?... Des gens qui avaient intérêt à ce que nous découvrions ce trafic ? Qui alors ?
Nous avons certains soupçons sur le SWAT mais rien de précis. Je les appelle et ils nous disent qu'il n'y a rien d'anormal de leur côté. Ils sont juste venus à notre aide...
Tout cela est bien simple...

Black Dog et moi commençons par aller faire un tour à l'hôpital, où nous rencontrons le docteur Bodiker : il est là depuis très longtemps. Il nous dit que les pochettes viennent bien de cet hôpital et qu'elles sont envoyées par un laboratoire pharmaceutique : le Californian Sanborn Pharmaceutics (CaSaPha), dans le cadre de greffes de moelle.

Renseignements pris, le Casapha est un gros laboratoire, qui a développé en plus une branche de bio-diététique, d'alicaments etc. (le genre de nourriture dont se nourrit exclusivement l'agent Jade:baton.

Tout de suite, je prends ce Casapha en grippe. Lors de l'affaire de l'enlèvement des prisonniers de droit commun, on avait vu leurs camions à Norwalk. Et à ce moment, des pressions politiques, venues du parti Républicain, avaient empêché l'obtention d'un mandat.

Par ailleurs, nous n'avons toujours pas remis la main sur le professeur McNamara, le responsable de ces enlèvements et de ces expérimentations sur prisonniers. Il faudra aller voir le seul prisonnier retrouvé, ainsi que le professeur Alvarez, s'il est enfin visible.
Nous sommes fin janvier et cette affaire traîne depuis plus d'un mois.

Après l'hôpital, nous allons dîner chez Wung Shu, minable restaurant à l'hygiène douteuse. Nous ne tardons pas à nous sentir espionnés par le fils du propriétaire. Nous le prions de venir nous parler. Bientôt, nous lui faisons avouer ce qu'il sait.
Le fils faisait venir les chiens, au titre de nourriture, mais en réalité, ils étaient amenés à la cave, où de sympathiques personnages se chargeaient de leur ouvrir le ventre pour y greffer les poches de moelle osseuse.
Tout cela à l'insu de papa Wung Shu !
Nous faisons venir la scientifique dans cette cave sordide et nous rentrons nous coucher.
Le lendemain, je reconsulte le dossier Hélix, bien décidé à ne pas lâcher cette damnée entreprise et la taupe qui se niche au ministère de la Santé !
J'apprends que Bertrand Dubois avait fait des versements au parti des Réalistes, dirigé par... McConroy. Jusque là, c'est bien son droit de faire des dons, mais voilà : McConroy vient d'être retrouvé assassiné, dans un hôtel où les agents Akechi et Jade
devaient boucler un étage.
Je passe un appel à Jade en la mettant au courant des liens entre McConroy et Hélix, qu'elle me tienne au courant si elle apprend n'importe quoi sur des manipulations génétiques, la zone de Broca etc. !
Les résultats de la Scientifique arrivent, et nous en apprennent de belles. Les empreintes relevées dans la cave nous indiquent que s'y trouvait Chin (le fils de Wung Shu), une personne rousse non-identifiée (encore un Irlandais ?), un certain Michaël Wandorn, fiché à l'immigration -mais sans adresse connue.
Et, pour terminer, une quatrième personne, qui a dû s'occuper des greffes : le professeur Bodiker !


Un culte maléfique

Je repars à l'hôpital, pressé et demande à voir le professeur Bodiker. On me conduit à son département. J'aperçois le professeur, au bout du couloir, inquiet, qui s'enfuit vers l'escalier de service.
Pauvre petit vieux ! Il n'ira pas loin !
Je me précipite dans la cage d'escalier, saute par dessus la rambarde et atterrit sur le vieil homme, que je plaque au sol. Celui-ci entre dans un état de rage et de peur irrépressibles !
Et voilà qu'il se met à dire que je me suis attiré la colère de Cthulhu !
Qu'est-ce que c'est que ce délire !
Je l'arrête et l'emmène à la patrouilleuse, en faisant boucler son bureau par deux agents. Dans son délire, il me prévient alors qu'il a miné sa maison. J'envoie aussitôt le déminage là-bas et je ramène mon cinglé au poste. En salle d'interrogatoire, celui-ci avoue vite tous ses crimes. Et il répète qu'il a fait ça pour Cthulhu.
Ces charmants conspirateurs se sont attribués des numéros. Apparemment, le rouquin serait le n°1. Je ne veux même pas savoir quel est le numéro de ce fou de Bodiker !
La scientifique m'appelle depuis chez ce dernier : le déminage a bien trouvé des bombes en état de marche à l'entrée de la maison. Bodiker les a installées il y a peu (peut-être après notre première visite avec l'agent Black Dog ?). Et à l'étage de la maison, c'est la chambre des horreurs : une chambre froide avec des gens pendus à des crocs de boucher, le dos ouvert avec leurs vertèbres enlevées !
C'est Bodiker, connu pour ses bonnes oeuvres sociales, qui attirait chez lui de pauvres gars, pour leur prendre leur moelle !
Dans l'état où il se trouve, il n'aura pas de mal à plaider la folie devant un tribunal...

Secoué, dégoûté par ces découvertes, je jure à Bodiker que s'il veut arrêter l'enquête du COPS sur sa secte, il va falloir que ce soit Cthulhu en personne qui se mette en travers du chemin ! Et moi, pour arrêter ces ordures des laboratoires et de la Santé, je serai prêt à descendre seul dans la cité de R'lyeh !...

[baronpiero]

La vache vous n'avez pas chômé. Descente de zombies, arrestation de savants fous, sauf Mac Namara qui court toujours.

Autrement, pas de descente dans le Hive et la taupe du ministère de la santé court toujours?

Au fait, tu as pensé à t'assurer de la conditionelle du mari de notre espionne chez hélix? Au pire on peut dire que je m'en suis occuppé. Le social c'est plus dans mes cordes

[Darth Nico]

La piste du Hive dans la ville-puits de Norwalk pour retrouver McNamara, à mon avis, c'est mort. Le professeur a eu dix fois le temps de partir ailleurs.

Maintenant, la priorité, c'est de retrouver Michael Wandorn et son culte de Cthlulhu...

Ensuite, on a toujours au chaud le seul prisonnier rescapé ainsi qu'Alvarez, en zone de décontamination.

[baronpiero]

Sait-on autre chose sur ce Wandorn? A-t-il un emploi ou un passe temps particulier?