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ADMINISTRATION
oui, vraiment une bonne partiebiggrin

Je pense que je vais jeter un coup d'oeil un peu sur les dégats en combat et pense à prendre l'écran que je t'ai filé GN je pense que ca simplifiera les combatsbiggrin


EDIT d'ADMINISTRATION

100e message. Félicitation, citoyen Mandonnet.
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Pour découvrir en avant-première les titres des prochains dossiers, se reporter au premier message.smile

Attention, cependant, ces titres sont susceptibles de changer régulièrement, selon les décisions de l'ADMINISTRATEUR.AloyPanda
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L'administrateur de ce forum ayant interdit aux utilisateurs non-enregistrés de poster des messages, ADMINISTRATION se voit désormais contrainte d'utiliser le compte de M. Nico Darth, pour continuer à publier les dossiers relatifs aux enquêtes des fonctionnaires de SÛRETÉ, Maréchal Antonin et De Portzamparc Jean-François.

Bonne journée, citoyens.
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EXIL - TEASER


L'aube sur la Cité d'Acier.

Dans sa loge, un homme commence à se maquiller en Pierrot, le clown triste.<!--/sizec-->

Un feu d'artifice éclate dans le ciel d'Exil. De gros dirigeables aux couleurs bariolées passent au-dessus des gratte-ciel et un grand chapiteau volant apparaît dans le ciel. Des milliers de tracts tombent du ciel : "Venez assister au grand spectacle du cirque-volant Fantazia".

L'homme enfile son costume et met ses grandes chaussures noires. <!--/sizec-->

Une fanfare de clowns passe dans les rues de Mägott-Platz. L'inspecteur Novembre passe avec ses petits enfants dans la rue : "Papi, papi, tu m'emmèneras voir le cirque !"

Le clown prend un étui à violon dans son placard. <!--/sizec-->

Le grand chapiteau se pose sur une grande terrasse près du château Whispermoor. Le soir est venu : la foule accourt vers le chapiteau. Les familles se pressent, des clowns vendent des sucreries. La famille Novembre est dans la foule. On aperçoit aussi l'inspecteur Maréchal, accablé de se trouver là.
Les gradins se remplissent peu à peu.
Novembre tape dans le dos de son inspecteur :
- Alors, Maréchal, ça te plaît le cirque ?


Dans les vestiaires arrive le Pierrot, avec son étui à violon. Il passe derrière les cages aux lions, monte à une échelle, s'assoit sur une solive du chapiteau. Il ouvre son étui et en sort... un fusil à lunettes, qu'il commence à monter.
Puis il s'allonge et se met en position de tir.
<!--/sizec-->


Les petits-enfants Novembre crient et se chamaillent.
- Chut, leur dit l'inspecteur-chef, ça va commencer...



...


DOSSIER #7<!--/sizec-->


<div align="right">Teaser #1 - "Clown"</div><!--/sizec-->
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BAM^^

Sympa le débutbiggrin

Un bon teaser ca faisait si longtemps^^
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EXIL - TEASER


...

Herbert, le petit chauve, transpire et s'inquiète. Il se ronge les ongles en observant quelqu'un à l'autre bout d'une pièce sombre. On entend un ronronnement continu. Une lumière bleutée éclaire un coin de mur.
- Ecoutez, écoutez... Ce n'est pas raisonnable... D'abord, vous êtes censé me surveiller et pas le contraire. C'est moi qui devrait être tenté de faire des bêtises, ou de m'échapper de cet endroit. Au lieu de ça, on dirait que c'est moi qui doit vous surveiller... Vous m'entendez ?... Soyez raisonnable : que va penser le professeur quand il verra que vous avez utilisé son siège ?... Vous y êtes depuis combien de temps ?... Ohlala... Je ne l'ai jamais vu y rester plus de quelques minutes... Et vous y êtes depuis un bon quart d'heure... Moi je sais ce qui se passe quand on abuse de l'utilisation de ce genre d'engins...


Flash-back : Horo, assis sur le siège dans l'arrière-boutique, s'arrache brusquement à ses liens. Terrorisé, Herbert veut l'arrêter mais il se prend un direct du droit dans le nez.<!--/sizec-->


Herbert se frotte le bout du nez, dépité.
Un homme est assis sur un grand siège de dentiste qui luit d'une lumière bleue. Le dossier est incliné. Il a un casque sur la tête et il regarde dans un double tube qui monte jusqu'au plafond. Il tapote des boutons situés sur les accoudoirs.
- Silence, Herbert... J'y suis presque... Je suis sur le point de trouver un moyen de sortir d'ici...
- C'est de la folie, oh la la... Comment vous voulez qu'on s'échappe ?... Et le professeur qui va bientôt revenir...

L'homme se concentre un moment, fait onduler les tuyaux dans lesquels il regarde.
- Là, je crois que j'ai quelque chose qui va intéresser la police, et qui va les décider à venir par ici.
- Vous êtes sûr ?... Il est peut-être trop tard, non ?
- Prends un parlophone, Herbert, et appelle SÛRETE.
- Mais pour leur dire quoi, enfin ?!
- Fais ce que je te dis...
-Ohlàlà...
- Contacte le commissariat le plus proche...
Herbert, en sueur, décroche un combiné.
- Allô, mademoiselle ? Passez-moi le commissariat de Mägott-Platz je vous prie...
- Dis-leur qu'un meurtre va bientôt être commis...


DOSSIER #7<!--/sizec-->


<div align="right">Teaser #2 - "Prédiction"</div><!--sizec--><!--/sizec-->
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<span style="font-family:Georgia">"C'est comme ça, mon vieux. Nous sommes flics et personne ne peut nous blairer. Comme on n'a pas assez d'embêtements, il faut encore qu'on vous ait, vous. Comme si on n'était pas déjà assez ballottés entre le coroner et ses services, le Conseil municipal et sa maffia, le commissaire de jour et le commissaire de nuit, la Chambre de commerce et monsieur le Maire dans son bureau à lambris dorés, quatre fois plus grand à lui tout seul que les trois pièces dégueulasses dont dispose tout le personnel de la brigade criminelle. Comme si on n'avait pas eu cent quatorze assassinats à débrouiller l'année dernière, dans trois pièces qui n'ont pas seulement assez de chaises pour que la brigade de service puisse s'y asseoir.
On passe sa vie à retourner des dessous crasseux, à renifler des vieux chicots. On grimpe des escaliers sombres pour aller cueillir des sacs à vin qui brandissent des révolvers et on n'arrive pas toujours jusqu'en haut. Pendant ce temps-là, notre femme nous attend pour se mettre à table ; elle nous attend ce soir-là et tous les soirs suivants... C'est fini, nous ne rentrerons plus jamais à la maison. Mais les soirs où on rentre, on est tellement claqués qu'on ne peut plus ni manger, ni même dormir, ni lire les conneries que les journaux racontent sur nous.
Alors on reste étendus dans le noir, au fond d'une maison sordide, dans un quartier sordide, à écouter les pochards qui se marrent au bistrot du coin. Et juste au moment où on va enfin sombrer dans le sommeil, c'est le téléphone qui sonne et il faut se lever pour remettre ça. Jamais rien de ce qu'on fait n'est bien, jamais. Pas une seule petite fois. Si on obtient des aveux, c'est qu'on les a extorqués de force et, en plein tribunal, un margoulin d'avocat vient nous traiter de Gestapo et se foutre de notre gueule parce qu'on est quelquefois brouillés avec la grammaire.
A la première erreur, on nous recolle à la circulation. Alors on passe les bons petits soirs d'été à ramasser les poivrots dans le ruisseau, à se faire engueuler par les putains et à délester de leurs couteaux les métèques en chemises à carreaux. Mais tout ça ne suffit pas à notre bonheur...
Il faut encore qu'on ait des salopards à licence privée qui ne disent pas ce qu'ils savent, qui s'en vont fouiner partout et remuer la poussière pour qu'à nous il ne reste plus qu'à l'avaler, qui escamotent les pièces à conviction et fabriquent des mises en scène insuffisantes pour tromper un môme de deux ans..."


<div align="right">Raymond Chandler, Fais pas ta rosière</div>
<!--sizec--></span><!--/sizec-->
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EXIL - TEASER


...

Herbert, le petit chauve, transpire et s'inquiète. Il se ronge les ongles.

- Ecoutez, Maréchal, il est parti. Je ne pouvais pas le retenir, c'est tout. Si vous saviez qui c'est, vous comprendriez... Il avait besoin de vous pour sortir de Rainure... Mais il ne vous oublie pas. Il a dit qu'il ne serait pas chien avec vous. Il a un tuyau énorme pour vous... Ne me demandez pas ce que c'est, il ne m'a rien de plus... Une date, un lieu... Il doit me contacter. Ça passera par moi. Un truc énorme, je vous dis, pour vous remercier.

*

Des hommes cagoulés approchent d'un gros bâtiment cubique et arment leurs fusils.

*

Les locaux de la Police Judiciaire. Un détective fait irruption dans le bureau du commissaire Ménard, où sont réunis tous les inspecteurs.
- Patron... Ça y est, j'ai les infos... Ce soir, quartier des Passantes, la Aussame-Nerbois...
- Tu es sûr de ton indic ?
- Sûr...
- Alors, on y va !

Tout le monde attrape son chapeau, son manteau et se rue dehors.

*

Parlophone dans le bureau de Maréchal. Voix nerveuse de Vilnius :
- Inspecteur... c'est moi... "Il" m'a appelé. C'est pour ce soir... J'ai l'adresse exacte. "Il" a dit qu'il faudra être trois ou quatre... En face, ils seront armés. Des types dangereux. Des professionnels. Il faudra attendre qu'ils soient sortis...

*

Les gangsters cagoulés font irruption dans le hall d'une grande banque. L'un d'eux tire un coup de fusil en l'air et ses complices braquent les clients qui s'écartent en hurlant.
- Allez, on y va !... Tout si va bien, les flics ne sera pas là avant longtemps !...



DOSSIER #8<!--sizec--><!--/sizec-->
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DOSSIER #8 : L'Inspecteur - Fantôme <!--sizec--><!--/sizec-->

Retranscription télégraphique


Maréchal et Portzamparc reçoivent les dossiers pour le concours de la PJ. Entraînement draconien assuré par Novembre : pompes claquées en récitant les articles du code de la PJ !

Le concours de la PJ : bon ensemble pour P. Maréchal moyen sur la dissertation, rétamé sur les épreuves sportives.
Code administratif et dissertation. Épreuves sportives et tir.
Tante Myrtille inquiète pour son neveu. Soutien de madame de Portzamparc.

La bière de Gérald, livrée au commissariat. Attente des résultats. Nos deux héros admis !
On fête ça au commissariat et chez Gino. Émotion des truands, qui regretteront les deux policiers.

Conseils du commissaire pour les différentes brigades.

Réception des lauréats au quai des Oiseleurs par Ménard. Affectations en stage : P. à la brigade des rues ; M. à la Financière (y retrouve Crimont).

Grosse soirée arrosée le soir ; défis d'alcool et bagarres entre brigades.

Le lendemain, début des stages. P. arrête des voleurs de porte-monnaies puis visite du Baz'Mo, avec l'inspecteur Lanvin.
M. s'ennuie sur les dossiers en début de journée puis découvre que Crimont est après Jaransand.
Interrogatoires de cadres de la Donasserne.

Moqueries entre Brigades. Les pots du midi, et le logement de fonction du soir.

A la Financière, visite d'un certain Weid, qui cherchait Crimont, parti à ce moment.

P. découvre le Baz'Mo et la menace de Penthésilée. Puis braquage de la bijouterie : intervention en force avec les Pandores. Sauve les otages. Découverte d'un lien avec le Perce-Pierre, dont avait parlé le Notaire, lors de l'arrestation de la bande à Gibal.

La Financière face aux hordes d'avocats. Retour triomphale de la brigade des rues.

On se lance après le Perce-Pierres. Descente de la Financière et de la Brigade des Rues à la Donasserne. Arrestation d'un comptable qui fait le lien entre la corpole et l'ancien système mafieux de Jaransand. Transféré à la PJ.

Un soir, Weid invite nos deux héros au café. Discussion : la Brigade Spéciale.
Aussitôt, nos héros sont sur la brèche !!
Rendez-vous au quartier de Névise, au palais de la Brigade.
Discussion : le Somnambule, la nouvelle criminalité, hors des bandits d'honneur. Infiltrer la bande du Somnambule.
Portzamparc volontaire.

Aller chercher le Perce-Pierres avant que la police ne le trouve. Nos deux héros trouvent l'adresse d'un de ses fournisseurs : s'y rendent, font la planque après avoir parlé au fournisseur. Le Fournisseur passe un appel. Maréchal va au bistrot d'à côté, appelle Mägott Platz : tombe sur Rampoix, qui appelle CONTROLE pour savoir quel numéro le fournisseur a appelé.
L'info arrive : nos deux héros vont dans un hôtel au bord de la plage. Embarquent le Perce-Pierres et le ramènent à Weid.
Reply
DOSSIER #9 : Le Somnambule <!--sizec--><!--/sizec-->

Retranscription télégraphique


Au Baz'Mo, approche de la grande collection. Dispositif de sécurité renforcé, mais pas comme Portzamparc aurait voulu : plus classique.
Mme de Portzamparc veut son invitation pour la soirée !

A la Financière, Maréchal découvre les différents dossiers dont on peut s'occuper.

Lanvin essaie de persuader P. de rester à la Brigade des rues : des moyens accrus à l'avenir, fusion avec Pandores etc. (Et la Crim', bientôt bouffée par la Police Scientifique).

RDV avec Weid : l'infiltration sera pour le lendemain du jour de la collection au Baz'Mo. Le Perce-Pierres est d'accord : P. jouera son garde du corps. Explications : les bandits d'honneur, les Scoviens, les Obre Ignisses...

Le soir de l'inauguration au Baz'Mo : Maréchal s'invite à la soirée, pour rigoler !
Reconnaît une des vendeuses : Nelly, de la bande des gamins des rues ! Nelly, débordée par les clientes.

Sécurité du magasin : issue principale, ou issue par le toit, ou par les entrepôts de la cave.

Portzamparc arrête quelques voleurs. Les bijoux, entreposés dans une salle spéciale.
Maréchal va aux dégustations de vins. Madame de Portzamparc fait ses emplettes.
Le directeur veut tenter un truc : les bijoux exposés sont faux ! Dégarnir la sécurité de la pièce. Portzamparc va faire un tour, arrête d'autres voleurs, revient aux bijoux : le directeur, assommé. Une voleuse s'enfuit. Portzamparc lui court après : elle file vers le toit. P. la rattrape et lui tire une balle dans le pied.
Lui paraît trop facile ! Redescend en vitesse. Les Pandores arrêtent la voleuse.
En bas, tout va bien.
La voleuse était en fait une androïde !

P. pas rassuré pour la suite. Le directeur a mis les vrais bijoux dans le coffre de son bureau. Gardé par Lanvin et deux Pandores. P. va voir, pas sûr. Tout va bien.
Puis, clou de la soirée : le défilé de mode des androïde steward. P. vérifie les paquets.
Le coup de l'androïde habillé en vieille prostituée ! A ce moment, Maréchal voit une voleuse qui s'est précipitée sur les bijoux : trop essoufflé pour lui courir après ! P. cavale, et arrive juste un peu trop tard. La voleuse, une androïde, s'est enfuie par le même chemin.
En bas, ne trouve rien. L'androïde a atterri et s'est enfui.

Fin de l'histoire.
Maréchal retrouve Nelly après son travail.

*

Le lendemain, infiltration ! RDV chez Weid, puis départ vers le lieu de RDV avec le Somnambule. Maréchal les piste.
Portzamparc habillé en Forgien, avec son sabre :tue un des hommes du S. Maréchal voit Herbert !! Le suit : l'attrape au tramway et le suit jusque chez lui. Herbert le fusible...
Le S. a fixé le rdv pour le braquage pour dans 3 jours. Les deux infiltrés vont dans leur planque. Système des petits papiers au supermarché, que Maréchal vient relever.
Le lendemain, visite du gorille du S. La soupe aux patates et aux choux. On boit !
Le casse est pour le soir. P. comprend qu'il va devoir laisser passer un vrai braquage, pour gagner la confiance de S.
Maréchal, pas prévenu à temps. A juste le temps d'aller à la banque et de suivre un complice après.

Le casse se déroule bien. Le Perce-Pierres ouvre le coffre. On ressort : dépôt des sacs dans une bicoque ; on change d'habits. Maréchal file un des truands, mais rien de concluant.
RDV dans deux jours pour les enveloppes avec les comptes où l'argent a été versé.
On attend à la planque. Maréchal fait le relais entre P. et Weid. On a repéré aussi un mec qui a changé les fringues.

Deux jours après, les enveloppes. M. retourne voir Herbert et obtient aussi son n°. A la Financière, trouve les possesseurs de ces deux comptes. Retrouve celui de Herbert (pour ne pas éveiller les soupçons en allant voir celui de P. )
Employé banal, se dit innocent. Qui aurait pu ouvrir un compte ?... Un cadre etc. L'employé en question n'est pas celui qui a changé les vêtements.

P-P et P. changent régulièrement de planques. RDV au Zeppelin d'Argent. Discussion sur le prochain casse.
Maréchal suit en B-T le B-T du Somnambule : vers les ascenseurs hydrauliques. Retrouve l'étage grâce aux employés : juste avant la Cité Machine.
Exploration : le quartier du Halo. Souvenirs de jeunesse. Rencontre avec le Somnambule : IEI ! Le professeur Hendrich, la vengeance de Weid.

P. reçoit les données techniques du coffre de la prochaine banque : les transmet à Maréchal par chromato. Maréchal transmet à Weid.
Réponse le lendemain. Weid donne une adresse. Le lendemain, braquage. P. doit blesser un vigile. M. n'est pas devant la bonne banque.
Cette fois, l'argent est directement distribué en parts à chacun. Et on se sépare pour longtemps.
M. va voir Weid : le bâtiment a brûlé. W. disparu. M. se renseigne auprès de l'inspecteur de la brigade des rues qui a mené l'enquête. Des morts, mais ce sont les voisins.

M. rentre chez lui. Appel du Somnambule. P. suit le B-T du Somnambule. S'arrête en arrivant aux ascenseurs hydrauliques (a été emmené par Corben). Soudain, tir. Echange de coups de feu. P. blesse son adversaire. Le ligote. M. ne répond pas, n'arrive pas.
P. largue le Forgien et va chez Maréchal : le retrouve à terre, une balle dans le corps. Le fait emmener à l'hôpital. Par CONTROLE, retrouve l'adresse de Herbert (ses appels chez Maréchal). Repart aux ascenseurs hydrauliques : retrouve le bon étage !
En bas, rencontre avec Penthésilée l'androïde !! Penthésilée 64-300 Exécution. Elle veut retrouver le Somnambule pour ce qu'il a fait à Maréchal. P. accepte son aide. Contacte ses amis du réseau forgien pour avoir des adresses, des noms...
Penthésilée promet aussi d'aider.
Portzamparc va faire monter la pression !

Maréchal, dans son coma, revoit la fois où il est allé dans le Halo : rencontre avec le Scientiste, qui lui propose de le suivre en échange d'une belle montre à trois cadrans...
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