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Topic des personnages
#1
Bon j'inaugure un nouveau topic de personnage. Celui de ma campagne est archivé au cas où.
On ne sait jamais.
...

Du coup ce topic est réservé au personnage de la campagne Iron Rokugan  Samurai2
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#2
Et comme j'suis un peu chez moi ici j'inaugure avec mon perso.


Utaku Feiyan déambulait dans les rues animées de Bakufu depuis déjà longtemps, perdue dans ses pensées elle n'avait pas vu l'heure de Shinjo faire place à celle d'Hida. Cela faisait plusieurs mois maintenant qu'elle était en poste à la cité du Guide Radieux mais elle n'arrivait toujours pas s'habituer à ses dimensions colossales. Dans les rues innombrables, des boutiques, à peine plus larges qu'un pas, s'alignaient sans fin et attiraient une foule dense et bruyante. Feiyan observait avec un certain malaise nombre de samurais se mêler à ces attroupements et d'où elle se trouvait la distinction devenait presque impossible à faire d'avec les marchants ou les fonctionnaires de l'administration. Parfois des Gaijins se trouvaient là pour négocier l'achat d'une estampe ou d'une pièce orfèvrerie. Le reste de la foule les regardaient avec curiosité et se gardait de trop s'approcher, mais leur présence dans les rues de Bakufu n'était plus assez rare pour provoquer des attroupements. En passant Feiyan parvenait à entendre quelques bribes de leurs marchandages et les mots maladroitement prononcés par les Gaijins lui semblaient étrangement menaçants. Elle percevait aussi les regards des autres samurais qui glissaient sur elle. Le Mon de la famille Utaku était rare dans la ville, elle savait cependant qu'elle devait en vérité ces regards à ses traits qui portaient la marque subtile mais indéniable d’ancêtres venus des steppes de l'Ouest. Certains samurais ne cherchaient même pas à masquer leur dédain, pour eux commercer avec des Gaijins était acceptable mais entacher la pureté du sang Rokugani était une affaire bien plus sérieuse.

Toute à son errance ses pas l'avaient conduit non loin du monde flottant. C'était un des prodiges de Bakufu, de la taille d'une petite ville il était ceint de canaux creusés depuis le fleuve voisin. A cette heure les préparatifs battaient leur plein pour que dès le coucher du soleil les notables de la ville puissent venir profiter de tous les plaisirs des arts, des tables, et des femmes naturellement. Feiyan resta là debout sur la berge assez longtemps pour apercevoir les silhouettes des serviteurs de chaque établissements allumer les nouveaux éclairages qui brilleraient toute la nuit sans discontinuer. Le tableau était superbe avec ses myriades de lumières rouges qui se reflétaient sur l'eau, c'était d'ailleurs l'une des vues les plus courantes sur les estampes que les visiteurs de Bakufu ramenaient avec eux. Mais il suffisait d'une respiration pour sentir le mélange d'odeurs écœurantes des échoppes des artisans. Et un coup d’œil plus perçant vers les canaux pour voir les immondices qui flottaient à la surface le long de la berge. Feiyan n'avait nul besoin d'être moine pour sentir que les esprits de la nature s'étiolaient en ces lieux.

Les pensées de Feiyan n'allaient pas aux esprits cependant, en face du monde flottant elle ne pouvait s’empêcher de penser à sa sœur ainé Meiko. D'après la rumeur c'est là qu'elle aurait rencontré un Gaijin dont elle serait tombée amoureuse et avec qui elle aurait fini par partir abandonnant sa famille et son honneur. Feiyan ne se rappelait pas très bien de sa soeur, elle était encore très jeune lors du Gempuku de Meiko et elle n'avait jamais eu l'occasion ensuite de rester longtemps avec elle. Meiko était toujours en mission ou en représentation. Elle avait été la fierté de la famille, éclipsant toute sa classe dans le Dojo des Vierges de Bataille. Elle semblait aussi à l'aise à la cour qu'à la guerre où elle avait prouvé son courage lors d'affrontement contre des tribus Gaijin de l'Ouest. Encore enfant Feiyan avait même entendu ses parents se féliciter que les dirigeants de la famille Utaku plaçait beaucoup d'espoir en elle. Lors de son apprentissage Feiyan était parvenu à être acceptée au même Dojo et avait essayé de se montrer à la hauteur mais elle n'était que l'ombre de sa sœur. Souvent ses professeurs et même ses parents avaient laissé percevoir la déception de ne pas avoir eut deux fois le même joyau en main. Feiyan avait fini par trouver la situation bien injuste pour elle et en conçut une certaine amertume. Meiko de son côté avait continué de briller et avait été envoyée comme membre d'une garde d'honneur pour un haut magistrat Ide en poste à Bakufu. Feiyan avait fini par passer son Gempuku pour partir servir dans les patrouilles qui surveillent inlassablement la frontière de l'Empire. Là elle s'était senti à sa place au milieu des grandes plaines, sous un ciel infini, partageant la vie rude mais simple des soldats.

La nouvelle de la disparition de Meiko et plus encore les rumeurs sur les circonstances de celle-ci avait été pour ses parents comme un coup de tonnerre dans un ciel sans nuage. Ils l'avaient fait revenir auprès d'eux pour lui apprendre la nouvelle. En réalité elle n'avait pas bien compris qui avait découvert et informé sa famille de la disparition sa sœur mais ses parents ne s'étaient pas attardés sur ce point donc Feiyan en avait conclu que l'affaire ne devait pas faire de doute. La disparation au parfum de scandale avait embarrassé jusqu'au dirigeants de la famille Utaku, une garde d'honneur de Vierges de Bataille était souvent une monnaie d'échange avec les autres familles du clan et la disparition de Meiko rendait presque sans valeur ce cadeau consenti à la famille Ide. Un émissaire du Daimyo de la région était venu alors trouver ses parents et l'affaire avait été vite entendue, elle prendrait la place de sa sœur qui serait rayée de l'histoire de la famille. Ses parents avaient remercié abondement l’émissaire, s'inclinant jusqu'au sol pour montrer leur gratitude. Feiyan avait remercié aussi l’émissaire pour l'honneur qu'il lui faisait mais n'avait pu s’empêcher de blâmer cette sœur si encombrante.

Apercevant sur le pont les premiers visiteurs du monde flottant, Feiyan sortit de ses rêveries et décida de rentrer avant d'être la cause de rumeur à son tour. Elle s'engouffra d'un pas rapide dans les rues encore animées et fendit la foule avec cette fois toute la détermination d'une samurai-ko de la plus prestigieuse école du clan de la Licorne.
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#3
Très bien ! 
C'est un peu l'ancêtre du Major qui se promène dans l'ancêtre de Tokyo wink 

Bonne idée le monde flottant entouré de canaux. 

Il faut encore que j'y réfléchisse, mais pour moi, le dirigeant de Bakufu et de la région de l'Harmonie est le Guide Radieux. 
Le shogun serait le chef des armées. Peut-être que c'est un autre personnage au service du Guide, son n°2.
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#4
Ah oui pardon c'est le Guide Radieux le chef, pas de pb j'update smile
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#5
Mamar s'est lancé comme un frelon!!!
Les premiers pas de Tsuruchi Sarutobi à venir donc redaface2
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#6
Les premiers pas de Tsuruchi Sarutobi

Episode I - Le retour de la Guêpe

L’heure du Serpent était déjà bien avancée. Tsuruchi Sarutobi, les bras ankylosés et les cervicales raidies par une soirée dont il ne gardait – encore une fois – que peu de souvenirs, s’extirpa avec difficulté de son futon sous le feulement de la matrone des lieux. Elle entretenait avec poigne une mauvaise bicoque du Quartier de la Halte qui hébergeait le plus souvent des samouraïs de passage, issus de petites familles vassales des maîtres de la Mante.

-         Levez-vous Tsuruchi-san, je dois préparer la chambre, la maison est complète ce soir…
-         Konichi-wa, Achiraku répondit Saru dans un entrebâillement à peine masqué. Avons-nous entamé l’heure du Dragon ?
-         D’ici quelques minutes l’heure du Serpent sera écoulée, et vous allez être en retard à votre entrevue si importante que vous avez pris la peine de m’en parler 10 bonnes minutes avant même d’aller vous coucher tôt ce matin…
-         Par tous les dards de Rokugan, vous auriez pu me lever plus tôt ! Saru se leva d’un bon et enfila à la hâte les seules pièces d’armure sur lesquelles il fixait son Daisho, son arc long ainsi que l’arbalète de poing dont le mécanisme s’activait via sa main gauche.
-         Je n’ai pas le temps de mettre le reste, s’il vous plait laissez mes affaires dans un coin, je passerai les récupérer après mon rendez-vous et je vous paierai la chambre, avec un petit supplément !

La vieille Achiraku opina du chef non sans montrer moult signes d’agacement. Saru acquiesça, fit un arrêt rapide au point d’eau pour rafraichir son visage marqué par une courte nuit et une grande quantité de saké, puis se rua à dos de cheval jusqu’au Quartier du Croc Tonnerre.

Kyuden Gotei est sans aucun doute la cité la plus cosmopolite de tout l’empire Rokugani. Bien que Bakufu soit désormais une digne concurrente, la dimension politique l’empêche de rivaliser avec l’authentique mélange des origines qui rythme la vie de la capitale des Mantes. Chaque coin de rue pouvait amener un changement de décor complet, allant du temple traditionnaliste vénérant les 7 fortunes de l’Empire jusqu’au comptoir moderne occidental dont les poutres en métal reflétaient et accentuaient les rayons puissants de Dame Soleil. Sarutobi s’était habitué à ce décor hétéroclite et n’y faisait, pour ainsi dire, même plus attention. Depuis l’intégration de son clan au sein des Mantes, il n’était pas rare de croiser quelques samouraïs de la Guêpe ici à Kyuden Gotei. Ils entretenaient quelques bicoques dans le Quartier de la Halte dont les matrones réservaient, en contrepartie, bon accueil aux samouraïs de passage. Malgré leur faible nombre, la Guêpe était respectée dans ce quartier, et les membres du clan ne manquaient aucune occasion de le rappeler aux sots qui tentaient quelques approches dans les environs. Mais, aujourd’hui, Sarutobi-san n’avait aucune intention de ce type. Il devait enfin rencontrer l’entremetteur qui allait lui offrir une position à Bakufu. Cela faisait plus de 2 ans qu’il n’était plus retourné au nid et qu’il n’avait plus revu Aiko. Aiko… Il y a 7 ans, lors de son premier séjour à Bakufu, elle avait pris soin de lui alors qu’il souffrait de multiples blessures qui auraient dû lui être fatales. Elle n’était alors âgée que de 7 ans mais elle savait déjà prodiguer des premiers soins. La constitution de Sarutobi san fit le reste. Depuis il s’était juré d’aider cette gentille orpheline à améliorer son sort. Il l’a donc officiellement adopté et elle portait désormais le nom de Tsuruchi Aiko.
 
Le vrombissement d’un vieux moteur encrassé, ainsi que la nauséabonde odeur de charbon qui s’en dégageait, le fit sortir promptement de ses douces pensées. Il embarqua sur une immense pagode qui opérait régulièrement une navette vers le quartier du Croc du Tonnerre puis galopa plusieurs minutes en direction de la résidence de la magistrature d’émeraude. Il vérifia une dernière fois l’adresse exacte sur le papier envoyé par l’intendant de la Mante puis attacha son cheval à l’angle de la Pagode du courroux céleste. En quelques enjambées, il franchit la rue le séparant de l’intendance du clan de la Mante puis il signala sa présence au yoriki de garde devant la porte :

-         Konichi-wa, je suis Tsuruchi Sarutobi et je suis venu à la demande de Yoritomo Rendan sama.
Le garde lui fit signe d’attendre quelques instants, le temps de consulter un registre qui devait certainement lister le nom de chaque personne attendue aujourd’hui par l’intendance.
-         C’est bon vous êtes sur la liste, vous pouvez entrer. Vous laisserez vos armes aux gardes à l’entrée du bâtiment.
Le garde poussa la grande porte en bois avec difficulté puis invita Sarutobi à rentrer.
L’intendance de la Mante jouissait d’un des plus beaux palais de l’île, mélangeant savamment un style rokugani traditionnel, dans la forme carrée du bâtiment, avec un ensemble de décorations hétéroclites via lesquelles chaque visiteur pouvait aisément trouver référence à sa propre culture. Sarutobi traversa cahin caha le jardin en prenant soin de ne pas abîmer la flore des lieux parfaitement entretenue. Il arriva devant l’entrée où le garde pris soin de le débarrasser de toutes ses armes.
-         Pas de bêtise à l’intérieur, tous les gardes sont équipés de kakiyari.
-         Je suis ici sur la demande expresse de Rendan sama, je n’ai aucune intention de déclencher une quelconque rixe en ces lieux, lui répondit Sarutobi sur le ton de la réprimande…

Le garde ouvrit la porte d’entrée et invita Sarutobi à y pénétrer. Il fut rapidement conduit par un serviteur dans une des nombreuses salles d’attente que devaient compter l’intendance.
-         Rendan sama va vous recevoir, vous pouvez patienter ici.
Sarutobi prit place sur un des futons pendant que le serviteur lui amena une tasse de thé pour patienter. Ce n’était pas le genre des samouraïs de la Mante de faire attendre les gens pour respecter un quelconque protocole, ils prônaient plutôt l’efficacité dans le traitement des affaires ce qui était le plus souvent apprécié par les Gaijins qui venaient ici traiter avec Rokugan. Sarutobi eut à peine le temps de terminer son thé qu’il fût déjà appelé par un serviteur pour rejoindre Yoritomo Rendan. Les 2 samouraïs s’étaient croisés une fois par le passé, et il était difficile d’oublier Rendan sama tant sa carrure imposante n’avait rien à envier aux plus robustes combattants du Crabe ! Bien sur les Mantes était à l’origine des membres du clan du Crabe, mais Rendan restait quand même hors des proportions standard pour une Mante. La Mante attendait Sarutobi depuis un confortable fauteuil attenant à un bureau en bois sur lequel on trouvait toutes sortes d’objet apportés par les Gaijins des 4 coins du monde.

-         Konichi-wa, Tsuruchi Sarutobi, je te souhaite la bienvenue dans le Palais de l’Intendance, rugit la Mante
-         Konichi-wa, puissant Rendan sama, je te suis reconnaissant de me recevoir dans ta très belle demeure
-         Bien, je me suis laissé dire que tu recherchais un moyen pour pouvoir retourner à Bakufu. Si tu es toujours intéressé, j’ai quelque chose à te proposer
-         Vos informations sont correctes Rendan sama
-         Parfait, alors tu ne pourras pas refuser ce que j’ai à t’offrir ! Rendan n’avait pas dit cela sur le ton de la menace, même si son expression corporelle pouvait laisser présager le contraire, il ne s’embarrassait en réalité pas de la politesse Rokugani traditionnelle.
-         Alors je t’explique ; l’intendant des affaires courantes de l’ambassade de la Mante à Bakufu cherche à rapprocher autour de lui quelques personnes pour mener à bien des opérations de pacification. Des tensions sont apparues récemment et il s’agit de s’assurer de la sécurité de nos alliés, et surtout de la mauvaise santé de nos ennemis hahaha !
-         Alors je suis votre homme, répondit fièrement Sarutobi. Quand dois-je partir ?
-         Tu es attendu au plus tôt. Dès demain matin un ballon décollera du quai d’appontage de la Flotte sur l’île de la première Tempête, j’ai signé une autorisation spéciale de transport pour toi, tu seras à Bakufu le soir même.
-         Merci Rendan sama pour ton aide, je serai digne de ta confiance.
-         Je n’en doute pas Sarutobi san…

Enivré par l’idée de revoir dès demain sa fille adoptive, Sarutobi repartit en direction du quartier de la Halle. Il voulait passer sa dernière nuit dans son quartier, il arriverait bien à convaincre la vieille Achiraku de lui trouver un endroit pour rester là-bas encore une nuit… En arrivant devant la bicoque de la matrone, il aperçut un attroupement de chevaux, chose étrange à ce moment de la journée. En entrant il vit 4 hommes tatoués se tenant debout devant Achirako, agenouillée et le visage tuméfié par les multiples coups des Yakuzas.

-         Interromps-je quelque chose ? demanda Sarutobi
-         Tu ferais mieux de déguerpir en vitesse si tu ne veux pas avoir de problème l’ami, répondit sèchement l’un des 4 hommes blafards
-     Achirako san, je suis venu te payer ma dette pour ma dernière nuit ici, et je souhaitais te demander une chambre pour encore une nuit supplémentaire, mon départ ne se fera finalement que dem...
-         Casse-toi abruti, le coupa un autre yakuza, sinon tu vas y laisser ta p…

L’odieux mafieux n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une flèche se planta en plein milieu de son front. Il s’effondra raide mort. En rangeant son arc, il s’adressa aux 3 yakuzas restant :

-         Sachez qu’il est très malpoli d’interrompre un samouraï lorsqu’il s’adresse à son hôte
2 yakuzas tirèrent une lame pendant que le 3ème se préparait à user de son kakiyari
-         Qui es-tu demanda le plus grand des yakuzas ?
-         A quoi te servirait mon nom, murmura Sarutobi, tu es déjà mort…

Les 2 yakuzas se jetèrent simultanément sur Sarutobi. D’un rapide mouvement du bras droit, il renversa une table devant lui, posa son bras gauche sur un des bords puis déclencha le tir de carreau de son arbalète qui faucha sur place le premier assaillant. Il eut à peine le temps de retire sa main avant que la lame du second Yakuza ne coupe proprement la table en 2. Sarutobi prit son katana dans sa main droite, puis après avoir feint une attaque à la nuque, rompit promptement les 2 tendons d’achille du mafieux qui s’écroula en se vidant rapidement de son sang. Le dernier Yakuka tremblait en tentant d’armer son kakiyari. Voyant Sarutobi avancer vers lui et comprenant qu’il n’aurait pas le temps de tirer avant qu’il ne soit trop tard, il lâcha son arme, se mit pressamment à terre pour réclamer son indulgence et sa pitié.

-         C’est ton jour de chance, Yakuza, tu vas rester en vie pour délivrer un message à tes amis dit Sarutobi en saisissant le kakiyari sur le sol et en le rangeant à sa ceinture.
-         Tout ce que vous voulez seigneur…
-         Bien tu leur diras que la prochaine fois qu’ils approchent d’une bicoque sous la protection du clan de la Guêpe, il n’y aura plus besoin de messagers pour leur adresser un avertissement, c’est bien compris ?
-         Oui nous ne nous approcherons plus c’est juré.
-         Ta parole n’a que peu de valeur, mais les minables dans vos genres sont trop attachés à leur vie pathétique. Déguerpis d’ici maintenant.
Sur ce le Yakuza se leva, et, alors qu’il était sur le point de prendre ses jambes à son coup, Sarutobi l’interrompit :
-         Attends, tu n’auras pas besoin de ceci pour délivrer ton message…

D’un geste précis de Iaijutsu, Sarutobi lui trancha la main droite, qui retomba lourdement sur le sol. Le yakuza hurla de douleur, puis s’en alla en tenant son moignon dégoulinant de sang…

A suivre
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#7
Excellente entrée en matière Suomi Sarutobi-san n'est pas du genre à se laisser emmerder Doom mais il a manifestement un petÿ coeur sous la grosse couche de rudesse Dry
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#8
Il y a toujours un pety cœur caché même chez les plus grosses brutes...
Et puis au fond, la vieille matrone qui te gueule dessus toute la journée tu l’aimes bien quand même :d
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#9
Belle entrée en matière biggrin

Bon le quota d'un accordage/paragraphe est respecté  Boidleau soit Sarutobi-sama montre du stuff, soit il en loote. Une arbalète au poignet, un katana, puis un kakiyari... cette armurerie ambulante  Doom
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#10
(24-06-2020, 10:08 AM)Darth Nico Wrote: Belle entrée en matière biggrin

Bon le quota d'un accordage/paragraphe est respecté  Boidleau soit Sarutobi-sama montre du stuff, soit il en loote. Une arbalète au poignet, un katana, puis un kakiyari... cette armurerie ambulante  Doom

Bah j'ai juste une petite citation / accordage à la fin - et je peux pas ne pas la placer, c'est contre toutes mes croyances personnelles Boidleau
Quant au loot, bah oui, faut quand même que ça serve à quelque chose de se taper une histoire pré campagne redaface2

Et pour finir, on ne peut pas m'accuser d'avoir menti quant à l'armurerie ambulante, j'avais annoncé la couleur Ouimaisnon
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