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15e Episode : L'inversion
#1
CHRONIQUES DE L'EMPIRE D'EMERAUDE

La 5e Réincarnation : 15e Episode<!--/sizec-->
Chêvre 1127


<span style="color:red">L'inve<!--/sizec-->rsion</span>


Liste des invités du Champion d'Emeraude<!--sizec--><!--/sizec-->

Crabe
Hida Shigeru
Hida Tenjou
Kaïu Tenge
Kuni Naruto

Dragon
Agasha Keika
Kitsuki Hanbei
Mirumoto Munetaka
Mirumoto Ryu

Grue
Asahina Masumi
Doji Itto
Doji Kafu
Kakita Hiruya
Kakita Toshimoko
Kakita Yobe

Licorne
Ide Soshu
Iuchi Tenki
Shinjo Kohei
Shinjo Ujitane

Lion
Akodo Kage
Ikoma Tsuyoshi

Phénix
Isawa Akitoki
Isawa Ayame
Isawa Kogin
Isawa Masanaga
Shiba Ikky

Scorpion
Bayushi Bokkai
Bayushi Tomaru
Shosuro Mone
Shosuro Kitabakate
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#2
délire aurais tu oublié par mégarde nos amis phénix...?
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#3
Boidleau Je les ai rajoutés.
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#4
CHRONIQUES DE L'EMPIRE D'EMERAUDE

La 5e Réincarnation : 15e Episode
Chêvre 1127



L'inversion

Au dehors, le vent de la mer soufflait tendrement et le ressac des flots berçait la sieste des samuraï, à l'heure la plus chaude de la journée. Tous nos samuraï goûtaient un repos bien mérité, hébergés aux frais du seigneur Yasuki Taka, le plus célèbre et le plus riche samuraï marchand de l'Empire d'Emeraude !

Assis cérémonieusement dans l'auberge, Shigeru et Kohei regardèrent la jolie servante servir la bouteille nacrée. Ils trinquèrent de nouveau et avalèrent la petite coupe. Ils dégustaient le plus délicieux saké de l'Empire, accompagnés par la musique des chanteuses et des danseuses.
Dans les rues de la ville, à l'ombre des petites maisons de pêcheurs, Bokkai passait en silence, ses habits bleu nuit et son masque faisant reculer les habitants et rentrer prestement les enfants. Il alla se baigner dans la part, suivi de loin par un des samuraï du village. Ce dernier vit le Scorpion se deshabiller et nager sur le dos dans les flots ensoleillés de la baie.
Ryu contemplait la mer et les Fortunes seules savaient ce qu'elle pouvait y lire. Ayame mettait de l'ordre dans ses papiers, pendant qu'Ikky gardait la maison en discutant avec de rudes soldats qui revenaient de la muraille.
Hiruya rédigeait son rapport, en essyant de mettre de l'ordre dans ses idées et en repensant à sa terrible confrontation avec ces deux ennemis terrifiants.

Du groupe, il n'en manquait donc qu'un : Riobe le rônin. Trois jours après la bataille contre le Shimushi Gaki, il avait annoncé à Kohei, un soir, près de la mer, que le moment pour lui était venu de partir. Les honneurs et la gloire couvrant de plus en plus nos héros, au fil de leurs exploits, Riobe sentait bien que l'écart se creusait de plus en plus entre lui et les samuraï de clan. Il était payé comme un seigneur pour faire partie du groupe, mais l'argent comptait peu face à l'honneur. Le moment était venu d'assumer le choix qu'il avait fait, d'appartenir à la tribu sans chef des loups et de rejoindre leur territoire, les chemins et l'incertitude.

C'est avec regrets, que Riobe rendait son insigne de la magistrature, et saluait les honorables samuraï. Mais son destin, à moins que ce ne soit son honneur ou son coeur, l'appellait ailleurs. Il avait beaucoup de choses à faire encore, mais il devait les faire seul. Sur le chemin il se souviendrait des moments de joie, et des franches rigolades, des moments de frayeurs et de courage, et des moments tranquilles. Il se souviendrait de la rageuse Ayame qui avait fini par admettre à demis mots qu'elle l'aimait bien, de la jolie gaffeuse Mirumoto, de l'odieux Kakita qui se l'accordait tout le temps, de Ikky la trop dévouée yojimbo et Shigeru le gros crabe qui le respectait, et surtout de Kohei le brave et étrange licorne qui l'avait toujours accepté. Et ils vous souhait à tous bonne chance pour la suite une larme sur le coin de l'oeil.

Nos samuraï regardèrent partir le rônin le long de la mer. Qui savait vers où il allait ? Etait-il voué à le revoir un jour ou bien disparaîtrait-il avant, emporté dans quelque guerre ou tué au hasard d'une route ?...

:LeMarkSunstorm:

Les douleurs reprirent possession du corps de Hiruya pendant plusieurs jours, tout comme de Bokkai, qui fit une rechute et eut beaucoup de fièvre. Ce furent Kohei, Ayame et Ryu qui accueillirent l'honorable magistrat Miya Katsu, venu spécialement du nord de l'Empire pour prendre des nouvelles de ses enquêteurs. L'enquête qui s'était achevée avait derrière elle plusieurs longues années de recherche de sa part, à courir après le véloce Ozaki, l'héritier de la famille Usagi, qui dormait à quelques maisons de là. S'il n'avait écouté que son envie, le magistrat se serait précipité pour interroger le Lièvre après qui il avait couru, et qu'il avait l'impression de connaître maintenant. Avant cela, il alla écouter le récit de nos samuraï. Kohei raconta ce qu'avaient découvert le groupe emmené par Hiruya : les témoins du procès, la folie d'Unoko, Dajan et le sorcier, puis le Gaki.
Ensuite, Ayame fit un bref récit de leur séjour au pays du clan du Faucon et évoqua la redoutable machination qui avait reveillé le démon buveur de sang. Kohei promit que ce n'était qu'un bref aperçu et que Katsu-sama connaîtrait tous les détails de l'affaire en lisant le rapport que rédigeait Hiruya-sama. Le vieux magistrat avait écouté avec attention et eut peine à cacher sa stupeur devant l'ampleur de l'affaire. Il ne pensait pas que, derrière l'accusation contre Ozaki et son clan, aient pu se cacher une si abominable conspiration.
Il lui restait à entendre maintenant le témoignage du Lièvre. Sa soeur Tomoe n'était toujours pas retrouvée mais Yasuki Taka, pour s'amender, mettait ses hommes à pied d'oeuvre pour la retrouver. Le malin Taka comptait aider à la réhabilitation de la famille Usagi et se faire ainsi un allié personnel d'un clan mineur. Il avait tout à gagner dans cette affaire et il n'allait pas faire moins que d'exploiter son avantage à fond. Crotale

Katsu-sama signifia à nos samuraï qu'ils pouvaient se considérer délivrés de leurs obligations jusqu'à l'automne. Kohei-san mit ce temps à profit pour découvrir toutes les raffineries de son hôte, apprenant tout ce qu'il y avait à savoir sur le sake et achetant pour une fortune des meilleures bouteilles de l'honorable marchand, qui l'avait déjà refait de 7 kokus à la cour d'hiver. Depuis, avec l'accession à la magistrature d'Emeraude, les sommes touchées par Kohei avaient plus que décuplées et il avait moins que jamais la notion de l'argent. Il convertit donc de grosses poignées de kokus en bon saké, qu'il fit envoyer à grands frais vers le village du lac aux rives blanches, pour sa famille et pour sa femme. On le boirait la prochaine fois qu'il reviendrait au pays.

Le Licorne était en pleine et sérieuse dégustation, accompagné par Shigeru, quand Ayame vint le trouver. Kohei cacha une moue de reproche. Ce n'était certainement pour parler fermentation du riz que la shugenja voulait lui parler : elle ne laissait passer une goutte d'alcool entre ses lèvres que quand elle y était obligée à la dernière extrêmité.
Ayame-san disait qu'un homme vêtu comme un paysan, mais au maintien noble de samuraï, était arrivé dans le village et semblait tourner autour d'elle et des autres samuraï d'Emeraude. Kohei s'empressa de dire que les hommes de Taka-sama surveillait sans doute l'importun et que si ça ne suffisait pas, on appellerait Bokkai pour convaincre le drôle de déguerpir sans tarder.
- Et d'ailleurs, mettons tout de suite Ryu-san sur l'affaire pour collecter des indices. Quant à vous Ayame-san, gardez un oeil sur lui et revenez m'en parler s'il y a du nouveau.
"Moi, je vais garder l'oeil sur autre chose" pensa le Licorne en tournant les talons pour retourner étudier le Gonzyoo-syu, l'Empereur des saké, la perle rare des distilleries de Taka : 20 kokus la bouteille, autrement dit la Fortune du Bonheur en culotte de velours ! bave Drunk
Shigeru-san était déjà en train de faire son choix pour faire expédier une caisse à sa petite famille : il était temps que Saori, son deuxième enfant (14 ans) découvre les merveilles de cette boisson ! Roxx

Et Taka-sama se frottait les mains en voyant les étagères de bouteilles se vider et ses coffres se remplir de beaux kokus sortis presque directement des caisses du Champion d'Emeraude ! biggrin

A suivre...
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#5
Tu as décidé d'écrire on dirait ce soir smile
Joli début Chinese
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#6
J'ai repris le texte de Mathieu sur le départ de Riobe. wink

EDIT

Suite. wink
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#7
CHRONIQUES DE L'EMPIRE D'EMERAUDE
La 5e Réincarnation : 15e Episode

Miya Katsu et Kakita Hiruya passèrent de longues heures à tirer les conclusions de l'affaire Ozaki. Katsu-sama avait peine à croire que ce fût déjà terminé. Pendant plus de quatre ans, il avait vécu dans la tension, l'attente, l'impatience d'attraper Ozaki et d'apprendre ce qui s'était passé. Et maintenant, il arrivait à la baie du soleil levant, après avoir parcouru l'Empire presque entièrement du nord au sud et l'équipe de Kakita Hiruya lui livrait, d'un coup, toutes les explications. Il se sentait apaisé d'avoir aidé à corriger une injustice. Mais l'excitation redescendait brusquement. Un homme comme lui avait besoin de repartir du bon pied pour résoudre de nouvelles enquêtes de longue haleine. Après avoir profité de l'hospitalité de Yasuki Taka, il repartit en direction du château de sa famille.

Quelques jours après, c'était au tour de nos samuraï de dire sayonara au vieux Taka : Hiruya avait été invité par le Champion d'Emeraude en personne à un petit séjour sur ses terres, pour le milieu de l'été. L'honorable Kakita Toshimoko réunissait un petit groupe de nobles samuraï triés sur le volet. Kohei et Shigeru avaient pris soin de remplir à craquer les poches de la salle de leurs montures, des bouteilles de l'excellent breuvage de Taka.
Le soir, ils portèrent les derniers toasts à leur hôte ainsi qu'à un important anniversaire : cela faisait en effet un an que nos samuraï s'étaient rencontrés à Yamasura, sur les terres du clan du Dragon, pour le tournoi des rônins. Ils entendaient à cette occasion Mirumoto Akuma-sama tempêtait pour la première fois du haut des montagnes !

Le lendemain, alors que le soleil resplendissant se levait sur la mer, nos samuraï, dans la fraîcheur océane du matin, se mirent en route, reposés et soignés par ce délicieux séjour.
Les montures marchaient au bord de l'eau et le bout des vagues salées venaient leur caresser les sabots.
Kohei discutait à l'arrière avec Ayame et Ryu. Ou plutôt avec Ayame seule, car Ryu eut vite terminé de dire ce qu'elle avait à dire !
- Ce vagabond dont vous me parliez est-il revenu tourner autour de vous, Ayame-san ? demandait Kohei.
- Je suis allé lui parler, au moment où je priais au temple de Daikoku. Il m'a dit être un moine itinérant. Il semble avoir beaucoup voyagé. Il semblait connaître notre groupe. Il connaissait bien des dangers qui menacent notre Empire. Peut-être aurons-nous l'occasion de lui reparler, qui sait ?...
- Comme tous ceux qui ont voyagé, affirma Kohei, il a eu l'occasion de rencontrer bien des périls et de croiser bien des misères. En tout cas, vous me dites qu'il n'était pas dangereux ?
- Non, pas du tout. J'ai eu peur au début qu'il fût un complice de la bande de Dajan, mais ce n'était pas le cas.
- Alors tant mieux ! En route !
Kohei poussa sa monture au petit trot sur les vagues et l'écume gicla partout autour de lui. Bokkai se protégea pour ne pas être éclaboussé et sa monture fit une brusque ruade, tandis que le soleil dorait intensément tout le paysage alentour.

:licorne:

Ayant quitté l'extrême-sud de l'Empire, ils remontèrent par les terres du Crabe. Ils revenaient bien près de la vallée des Cloches de la Mort. Immenses, solitaires, profondes, ces montagnes résonnaient encore, sinistrement, des cris bestiaux du Shimushi Gaki. Il semblait que pendant des années, voire des générations, toutes les vallées et tous les sentiers dans les hauteurs trembleraient en souvenir de l'infâme monstre qui avait déboulé du sommet des montagnes, avec ses dizaines de corps difformes enchevêtrés les uns dans les autres. Un deuil s'était abattu sur ce pays de vent et de rochers et la trame d'un cauchemar flottait encore sur lui.

Après ce court passage dans les montagnes, nos héros traversèrent une petite portion de la campagne des Crabes. Ils étaient à quelques jours de marche de la grande muraille que, par beau temps, depuis une petite hauteur, il pouvait apercevoir, se dressant, invincible et terrifiante à la fois, face aux désolations de l'Outremonde. Ils étaient dans un arrière-pays sans joie, sans richesse, parsemé de petits villages sans histoire, comme endormis par les siècles. De loin en loin, sur le chemin, on signalait des cas de pestes : plusieurs villages avaient été détruits. On voyait encore des ruines se dresser, calcinées, prêtes à s'effriter comme du charbon, Les chemins boueux pesaient lourds sous les pas des chevaux. Le groupe de nos samuraï était bien trop magnifique pour cette vilaine petite campagne, coincée entre les montagnes et les terres côtieres du clan de la Grue.

Roll_fast

C'était au milieu de l'après-midi, alors que le ciel était noir, crasseux, profond comme un conduit de cheminée. Les nuages ressemblaient à des trous noirs. Ils refusaient d'éclater, de libérer toute la pluie dont ils étaient comme gavés. L'air était lourd, les oiseaux volaient bas au-dessus des terres malades. Ils avaient croisé plusieurs campements militaires de l'armée du Grand Ours. Ryu s'était étonnée de trouver des avant-postes si éloignés de la grande muraille : c'est tout juste si elle n'y voyait pas les prémisses d'une déclaration de guerre. Hida Shigeru avait répondu, d'un ton qui n'appelait pas de réponse, qu'il était tout à fait normal de trouver des régiments en manoeuvre dans l'arrière-pays, même à quelques jours de la muraille Kaiu.
Resté en arrière, Kohei avait sorti sa longue-vue et était plongé dans la contemplation d'une petite patrouille qu'il ne parvenait pas à identifier. A l'oeil nu, ceux qui la composaient n'avaient pas la largeur d'épaule requise pour appartenir à l'armée des Crabes. C'était des avortons. Et notre Licorne voyait mal comment le Grand Ours aurait accepté des nains faméliques dans son armée.
Il poussa alors une explication typique de son pays, du ton de la stupeur et de la colère.
Il poussa le trot pour rattraper le groupe et alla dire quelques mots à l'oreille de Hiruya. Celui-ci écouta attentivement puis déclara à l'intention de tous :
- Kohei-san m'avertit qu'une patrouille de gobelins est en vadrouille là-bas ! Il est de notre devoir d'aller tuer tous ces suppôts de Fu-Leng !
Et il disait cela sans pouvoir contenir une certaine jubilation. Tout le monde serait content de décharger sa colère sur du menu fretin. Kohei sortit un grand yari et chargea sans hésiter, avec à ses côtés nos samuraï, à l'exception des deux Phénix, qui, sabres au clair, piétinèrent en un instant la piétaille des dix gnomes verdâtres. Ils n'eurent pas le temps de faire le moindre geste de défense, quand ils furent coupés par les lames, empalés par le yari et piétinés par les chevaux lancés à toute allure. Ce fut comme un gros et écoeurant craquement de chairs, de viscères et d'os. Puis à nouveau, le calme pesant du vent annonciateur d'orages.
Il faisait chaud. Nos héros n'étaient pas mécontents de s'être défoulés à peu de frais, mais l'humidité les accablait encore plus.

Plus loin, ils signalèrent à une patrouille la présence de ces gobelins. Furieux, les Crabes promirent de redoubler de vigilance pour exterminer tous ces démons qui venaient sur leurs terres comme le suintement de l'Outremonde !...

En passant la frontière, ils ne trouvèrent pas, comme ils s'y attendaient, un pays riche et fier, à l'image du clan qui est le bras gauche de l'Empereur. La différence avec la campagne des terres Yasuki était plutôt infime. La peste se propageait, annonçait des patrouilles de Daidoji, qui galopaient sur ces terres et voyaient chaque jour des corps et des visages à la peau gonflée et noircie par ce mal étrange et terrifiant. On voyait au loin brûler des villages. Les esprits de la terre étaient inquiets : on aurait pu entendre les champs et les bois gémir, comme si l'agonie approchait. Stupéfait, Hiruya ne retrouvait pas le pays de ses ancêtres, mais plutôt un faubourg de l'Outremonde : bandes de mendiants crasseux, samuraï desespérés, hésitant à s'ouvrir le ventre, à se déchirer le visage ou à abandonner leur mon, après la mort de leur seigneur, alors que le vent mauvais des fortunes de la maladie soufflait. Il semblait que la brise de l'Océan de dame Soleil ne pouvait pénétrer dans le brouillard suffoquant de la Peste... Partout, on mourait à petits feux.
Nos héros durent remonter de plus en plus vers le nord, bien plus haut qu'ils n'avaient d'abord prévu. Kakita Hiruya-sama donna peu d'explications, mais tous lisaient son désarroi sur son visage, malgré la contenance qu'il essayait de garder.
A chaque relai, Hiruya recevait l'ordre de monter encore le long de la côté, car la cour d'été se tiendrait bien plus au nord que prévu.
Ils eurent le grand beau temps pour le reste du voyage et laissaient derrière eux le pays endolori par la peste. On apercevait à l'horizon, comme des tâches d'émeraude sur l'océan, les îles de l'archipel de la Mante.

A suivre... smile
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#8
Darth Nico,26/07/2005 à 12:40 Wrote:Ryu s'était étonnée de trouver des avant-postes si éloignés de la grande muraille.
Etonnée le mot est faible, elle y a instantanément (nazodo powa ? Whistle) vu une déclaration de guerre des crabes lol

La description des terres grue est bien lugubre Totoz Daemon
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#9
Le Nazodo lui permet de prévoir que le Grand Ours va attaquer Otosan Uchi ! Totoz
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#10
Dommage que le Nazodo ne connaisse pas l'adresse de Kishidayu Boidleau
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