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La bibliothèque Ikoma - Darth Nico - 24-08-2004 Dans L5R, il y a le karma, à savoir l'esprit, qui cherche à se purifier pour se délivrer du cycle des réincarnations, le dharma. Ca, c'est repris texto des doctrines bouddhiques. Les shugenja cherchent à vivre en harmonie avec le monde. Les Ize Zumi cherchent l'illumination intérieure, indépendamment du monde Les Asako cherchent à devenir des êtres parfaits par la sagesse, si j'ai bien compris. La bibliothèque Ikoma - sdm - 24-08-2004 Ca m'a l'air pas mal ![]() La bibliothèque Ikoma - Riobe - 24-08-2004 Les Matsu et les Hida cherchent... ![]() ![]() La bibliothèque Ikoma - Darth Nico - 24-08-2004 Riobe,24/08/2004 à 18:51 Wrote:Les Matsu et les Hida cherchent... ![]() ![]() La bibliothèque Ikoma - Darth Nico - 27-10-2004 LA GRUE IVRE Quote:Seigneur, vous m’avez demandé d’arrêter les Lions. Je les ai arrêtés. Voulez-vous vraiment savoir par quels moyens ?Daidoji Uji, à Doji Satsume, champion d’Emeraude, peu avant que ce dernier ne nomme Uji daimyo de la famille Daidoji. ![]() Le Pays des Merveilles est la plus "célèbre" maison de plaisir de la Cité du Chêne Pâle. L’okasan [patronne des geishas] des lieux a fait construire l’endroit à l’identique de la maison tenue par sa cousine à Morikage Toshi [la Cité de la Forêt des Ombres]. Situé dans le quartier interlope de la ville, c'est un endroit discret à l'extérieur, luxueux à l'intérieur, où se retrouvent, délivrés pour quelques heures du fardeau de leur statut de samuraï, de nombreux hommes, qui s'oublient entre les bras de femmes accueillantes, discutent derrière de fins panneaux en bois. Ils révèlent tous leurs malheurs aux femmes des lieux, certains confessants tout le mal qu’ils pensent de leur capitaine, ou du gouverneur qu’ils cocufient régulièrement, d’autres pleurant leur maman comme de parfaits gamins. Des rumeurs qui circulent parmi les officiantes des lieux prétendent qu'Isawa Masanaga en personne, daïmyo de la Cité, vient parfois au Pays des Merveilles, déguisé en simple samuraï par les soins d’un shugenja de l'école de tejina [illusionniste]. A l'heure où un panneau de bois s'entrouvre discrètement sur la conversation de deux hommes, trois geishas jouent de la musique pour les divertir, pendant qu'ils boivent de petites coupes de saké et dégustent des pâtisseries. Hors de ces murs, l'un d'eux se nomme Daidoji Morozane, daïmyo de Toshi Ranbo wo Shien Shite [Cité des Apparences], que Matsu Tsuko, daimyo d’un clan du Lion plus rugissant que jamais, a jurée de prendre avant la fin de l'hiver. Le second se nomme Daidoji Yajinden. Il l’est un des tacticiens importants de la famille, et il a souvent mis en application la devise : « Qui veut la fin veut les moyens. » Ses cheveux sont blanchis comme il est de tradition dans son clan. Plus surprenant, son œil droit aussi a la pupille blanchie. On attribue cela soit à la consanguinité du clan de la Grue, soit à un signe du destin, un « mauvais œil ». Avant peu, Yajinden-san sera nommé contrôleur général du commerce des Grues avec le clan de la Mante. - J'ai quitté il n'y a pas une heure le palais du Chêne Pâle, Morozane-sama. On y donnait une petite réception. - Yajinden, j'écouterais avec plaisir ton histoire, mais peux-tu me promettre quelque chose ? - Quoi donc Morozane-sama ? - Par Benten, ne m'appelle pas "Morozane-sama" dans ce lieu ! Ici, je ne suis plus un puissant samuraï, écrasé par les responsabilités, je ne suis qu'un homme qui a besoin de délassement ! Si on ne se déleste pas de son devoir de temps en temps, il vous brise le dos à force. Tu ne fréquentes jamais les maisons discrètes comme celle-ci ? - Non, Morozane, répondit avec raideur Yajinden. - Allons donc ! A qui veux-tu faire croire ça ? - A vrai dire, sur la côte de ma province, je n'ai guère le loisir de m'attarder dans ces maisons... Benten sait qu’elles ne manquent pas, mais… je n’en ai pas le goût, voilà tout… - Tiens donc ? J'ai pourtant entendu dire que ton daimyo tirait de substantielles profits de ce commerce ! - Yajinden se raidit encore, choqué : - Pardon, mais j'ai sans doute mal entendu. - Tu as très bien entendu, Yajinden, dit Morozane, la coupe à la main, car nous sommes de la même famille, et nous avons l'oreille toujours en alerte. Ne prends pas ces grands airs... Inutile de me cacher que ton daimyo est tenancier d'une bonne dizaine de ces maisons, sans parler des tavernes de jeux, des maisons d'usurier... Yajinden déglutit. Morozane avait vidé près de 10 coupes de saké en peu de temps. Solide en toute occasion sociale, conquérant à guerre, le daimyo devait pourtant atteindre ses limites face à la boisson. - Morozane, déclara Yajinden, j'ignore qui vous a mis dans la tête ces rumeurs. Mon seigneur Doji Akae s'occupe certes beaucoup de commerce, mais pas de ces choses ignobles là... Morozane rit de façon grandiloquente, prenant dans ses bras une des musiciennes, qui sourit aimablement et l'aida à se redresser. Le kimono du Grue était mal attaché, sa chevelure négligée, un sourire stupide et satisfait s'affichait sur son visage. Yajinden buvait plus lentement, et croquait avec retenue dans les petits gâteaux. - A Doji Akae ! Que les Yasuki le protègent ! En d'autres circonstances, Yajinden aurait réagi à cette attaque insultante, puisque les Yasuki sont depuis plus de 600 ans les ennemis mortels des Daidoji dans une guerre commerciale qui fait rage dans toute la péninsule. Et Doji Akae, depuis deux décennies au moins, est le premier à appeler à la guerre contre les impudents marchands Crabes. Il déteste les Yasuki et répète à qui l’entendre qu’il faut refuser à cette canaille le titre de samuraï. - Par Osano-Wo, ton daimyo ne manque sans doute pas d'ambition, Yajinden ! rigolait Morozane. Car pour contrer nos ennemis, il a développé à grande échelle la pratique de l'usure ! Frapper encore plus bas que l'ennemi, voilà son arme ! Très efficace, je le reconnais ceci dit... Il n'a pas fallu longtemps pour que les Yasuki s'y mettent aussi, sans vergogne, puisque l'ennemi montrait l'exemple... Yajinden se remit bien droit en tailleur, appuya ses mains sur ses genoux et dit : - Très bien, Morozane. Puisque vous avez l’air en grande forme ce soir, me permettez-vous de vous poser une question ? Yajinden but lentement une coupe, pendant que Morozane murmurait à l’oreille d’une musicienne des soupirs enjôleurs, mêlés de paroles au dernier degré indécentes. Il fallut attendre que la musicienne murmure à son courtisan que Yajinden lui parlait pour que Morozane, bien éméché, réponde : - Pardon, que disais-tu ? - Je me permets de vous poser une question… - Vas-y donc, par Benten et par Matsu Tsuko-sama la grande okasan ! - Puisque vous vous inquiétez des pratiques de mon daimyo, Doji Akae, puis-je vous demander ce que le daimyo de Toshi Ranbo wo Shien Shite fait loin de ses hommes, des fidèles piquiers d’élite de la famille Tsume et de ses duellistes de la famille Kakita ? A moins que je ne doive réviser ma stratégie militaire, et que Morozane-sama ait déplacé son quartier général dans ces lieux… Après tout, avoir un état-major de musiciennes et de danseuses fait peut-être partie d’une nouvelle stratégie d’ensemble qui… Morozane rit de nouveau. - Il est bien, ce samourai, disait-il à sa compagne, en tentant de lui caresser les seins. Il est bien, il ira très loin, car il est bien fendu de la gueule… Un vrai Daidoji crois-moi… Tu sais qu’il vient d’être nommé contrôleur général du commerce de notre clan avec celui de la Mante ! - Un homme de grande qualité, sourit la geisha, en regardant fixement dans les yeux Yajinden. - Effectivement, ricana Morozane. D’ailleurs, il est trop modeste pour recevoir des compliments d’autre personne qu’une geisha… - … de même que Morozane, continua Yajinden, est trop modeste pour conquérir autre chose que le cœur d’une courtisane… - Ca suffit, hein ! Ca suffit maintenant !... Vous allez trop loin. Morozane était pris de la colère de l’ivrogne. - Coup pour coup, Morozane-sama, dit Yajinden sans s’incliner. Je ne pense pas que l’aimable Matsu Gohei s’accorde autant de délassement que vous… Pendant ce temps, il doit déjà… - Il a déjà avec lui cette traînée de Tsuko ! Elle vaut toutes les maison de passe du monde ! Morozane regardait le fond de sa coupe de saké d’un œil noir. Et l’œil trop blanc de Yajinden fixait sans faiblir Morozane. - J’emploierai tous les moyens, j’ai bien dit : tous !... grondait Morozane, pour empêcher les Lions de mettre leurs grosses pattes dans ma Cité ! J’en réponds devant Uji-sama et devant l’Empereur !... Je capturerai vivante Tsuko et je l’enverrai finir sa vie au bordel !... - Et j’imagine que Gohei fera le ménage dans les cuisines… Yajinden fit mine de se lever. - Reste assis, dit Morozane, d’un air méchant et sans appel. Reste assis, Yajinden… Tu ignores ce que sont les responsabilités qui pèsent sur moi, sur mes épaules… Si Toshi Ranbo tombe, les Matsu déferleront sur nos terres… et les Crabes menacent déjà au sud… C'est abominable, tu ne te rends pas compte, mon vieil ami... tu ne te rends pas compte... Tsuko... - La côte de l'océan est ma province, Morozane. La guerre commerciale entre nous et les Yasuki y fait rage. Le Grand Ours n’attaquera pas par là. Il se priverait de tous les revenus de ses marchands. C’est impensable… Morozane but encore une coupe, puis une autre et grogna de mécontentement : - Quand je pense que tu n'as affaire qu'à des crapules de bas-étage, à des... contrebandiers... des pirates... des... usuriers... et que moi... moi, je combats jour... et nuit... contre cette putain de Tsuko... cette putain insatiable de Tsuko... qui accumule des milliers... de bushis enragés, de bersekers... aux pieds de ma belle cité... MA CITE, tu entends !!... La cité de la Courtoisie Violente... elle y crèvera avant de mettre un pied dans mes murs... non, la Violence Courtoise... par Benten, ce saké est décidément robuste... goûtons voir encore... sluurp !... par Benten, plus chaud en tous cas que cette frigide catin de Tsuko... qu'elle crève dans la boue... je la balancerai dans la fiente de porc, avec Matsu Gohei, ce gros verrat... gronk gronk, ce cochon... regarde comme je l'imite bien, Yaj'... gronk gronk... va bouffer nos ordures, Gohei... la Courtoisie de la Cité, c'est ça... gronk gronk... t'entends Yaj'... Encore une coupe, et Morozane finit par piquer du nez sur la poitrine d'une des musiciennes. Yajinden soupira, soulagé. Les filles continuaient à jouer de leurs guitares. - Voulez-vous que nous dansions pour vous, noble seigneur ? dit avec entrain l'une d'elle - Pourquoi pas, dit Yajinden, mais pas ici. Ca pue l’alcool. J’ai besoin de changer d’air. - Voulez-vous que nous passions ailleurs ? Vous y serez plus à l’aise. Yajinden se leva, pendant qu’une des filles allongeait Morozane sur un tatami, et le laissait ronfler à l’aise. ![]() Tandis qu’il passait dans le couloir, Yajinden avisa derrière un panneau entrouvert un homme qu’il connaissait. Il était en train de profiter de deux danseuses, qui exécutaient lentement leurs gestes gracieux. - Geisha-san, allez demander au samouraï qui se trouve ici s’il accepte ma présence. Aussitôt, une des filles s’inclina, alla murmurer à l’oreille du samouraï la demande de Yajinden, puis revint, et dit poliment que le samouraï acceptait. Yajinden entra silencieusement, et s’assit sur une natte inoccupée. - Tsuyoshi-san, ma compagnie ne vous dérange pas ? - Au contraire, Yajinden-san… Nous serons deux à profiter des talents de ces charmantes créatures. Le dénommé Tsuyoshi pouvait avoir un peu moins d’une trentaine d’année. Il avait des manières, une posture d’homme aguerri, affirmé. Le front complètement dégarni jusqu’en haut du crâne, et même au-delà, les cheveux attachés très serré au niveau de la nuque. Le kimono était dans des tons mordorés, aux plis à peine relâchés, même dans cet établissement. Au niveau de l’avant-bras, un mon, représentant un portail sculpté en forme de mâchoire de lion. La famille Ikoma. Mais Tsuyoshi-san n’était pas un historien. Un historien gagne rarement au milieu de ses parchemins une cicatrice à la cuisse et à l’avant-bras. Et il n’a pas de fins éclats de jade incrustés dans son menton, sa joue, et sa tempe gauche. Sa blessure au bras, Tsuyoshi l’avait reçue d’un duelliste Kakita. Rapide, précis, le coup était sans réplique. Le Lion s’était incliné, honoré d’être vaincu par plus fort que lui. La blessure à la cuisse, Tsuyoshi l’avait reçu dans un duel contre un Bayushi. Ces gens-là n’hésitent pas à frapper sous la ceinture. Le Lion s’était incliné, jurant de ne plus se laisser prendre à un kata aussi déshonorant… Il ne se souvenait pas d’avoir perdu d’autres duels. Et quant aux éclats de jade sur la gauche de son visage, Tsuyoshi-san n’aimait guère en parler. Même pas du tout, à la réflexion. Quoique ces éclats soit une infirmité partielle pour son œil, il donnait un cachet unique à son personnage. Personne n’oublie un duelliste qui a comme un masque de jade sur la moitié du visage… Tout en observant les danseuses, les deux hommes devisèrent. - Vous n’étiez pas à la réception donnée par Masanaga, Tsuyoshi-san ? - Hélas, non. J’avais un affront à régler à la Cité du Repos Confiant. Cette soirée fut-elle agréable ? - Je n’ai pu m’y rendre non plus, hélas. Le courtisan Doji Itto m’a rapporté que de jeunes samouraï ont fait sensation, en composant un cadeau collectif pour Masanaga. Paraît-il que c’était d’une grande virtuosité. Je gage que vous rencontrerez ces samouraï pendant la cour d’hiver. - Sans doute. Je demanderai à Kameko-san ce qu’elle en a pensé. - Kitsu Kameko ? - Oui, la shugenja. Je l’accompagne sur les terres du Phénix. Redoutable femme d’ailleurs. - J’ai entendu parler d’elle, oui, réfléchit Yajinden. - Il y aura du beau monde à cette cour, je pense. Ces jeunes samouraï apporteront un peu de sang neuf. Nous verrons si ce ne sont pas que de petits arrivistes d’un hiver. - Qui sait ? - Vous n’irez pas à cette cour d’hiver, Yajinden ? - Hélas non. Mes devoirs m’appellent sur les côtes de mon clan. Je dois organiser la défense contre votre clan. - Je suis sûr que vous nous créerez les pires difficultés, comme vous savez si bien le faire, même hors des limites de ce que peut prescrire le bushido… - Pour ma part, je suis sûr que vous finirez bien un jour par vaincre un duelliste de l’académie Kakita, Tsuyoshi-san... - Je reviens de corriger un jeune Phénix arrogant qui a cru bon d’insulter la famille Ikoma. Il ignorait qu’étudier l’histoire n’empêche pas d’étudier l’art du duel… - Vous ne l’avez pas trop amoché ? - Je lui ai entaillé les lèvres. Il y réfléchira maintenant à deux fois avant d’ouvrir la bouche. La parole est une chose précieuse. On ne doit pas la gaspiller en bavardage. Pas plus qu’on ne dégaine son katana sous n’importe quelle prétexte. - Puis-je vous poser une question indiscrète, Tsuyoshi-san ? - Aussi indiscrète que celle posée à Morozane ? - Peut-être un peu moins. - Allez-y. - Combien avez-vous vaincu d’hommes en duels ? - J’étais sûr que vous alliez plutôt me parler des éclats dans mon visage, ou d'autre chose encore… - Vous avez arrêté de compter après le centième ? - Vous me flattez, Yajinden-san. Et vous exagérez. Je sais bien que vous n’êtes pas mauvais à ce jeu-là non plus. Qui sait si un jour nous n’aurons pas l’occasion de nous mesurer l’un à l’autre ? - A votre première insulte publique contre les Daidoji, je serai honoré de vous satisfaire, Tsuyoshi-san. - Cela ne viendra pas avant votre première offense mortelle contre le clan du Lion. - J’ai déjà offensé mortellement les Matsu, et mon devoir envers le clan de la Grue m’impose de continuer. Les deux hommes parlaient sans aucune agressivité dans la voix, avec une parfaite politesse. - Vous auriez pu me poser une autre question, Yajinden, puisque vous m’annonciez une question indiscrète. - Vous vous attendiez à une autre question ? - Oui, je l’admets. - Et quelle aurait dû être cette question ? - Ce que je pense du Lion Noir, et pourquoi je ne l’ai pas rejoint quand j’ai eu le choix. Ou pourquoi je ne me suis pas passé le wakisahi à travers la poitrine ce soir-là, à Otosan Uchi. - Vous regrettez votre choix ? - Un samuraï ignore les regrets. Les yeux de Tsuyoshi s’animèrent d’une lueur qui rappelait les grands incendies qui ravagèrent la capitale impériale, au moment où le trône d’Emeraude était vacant. Le samouraï au visage blessé d’éclats de jade regardait intensément les geishas danser. - Sans doute était-ce la volonté de votre daimyo, le senseï Akodo Kage, murmura Yajinden. Et que votre fidélité envers lui dépassait celle envers le général de votre clan. - Nous sommes des samouraï. C’est au feu et à nos lames de raconter la vérité à notre place. Tsuyoshi se leva. - Je vais vous quitter, en vous souhaitant une bonne nuit, Yajinden. Je tombe de sommeil. Dame Soleil ne va pas tarder à se lever. Et Akodo le Borgne recommandait de se coucher tôt… - …pour être frais et dispos quand les assassins viennent à la moitié de la nuit s’introduire chez vous. Je connaissais ce conseil, oui. - Sayonara, Yajinden-san. - Sayonara, Tsuyoshi-san. La bibliothèque Ikoma - Riobe - 27-10-2004 ![]() ![]() ![]() PS : attention certaines parties de ton textes sont écrites plusieurs fois, tu as tu faire des fausses manip en copiant/collant EDIT : OK il me semble que tout est corrigé ![]() La bibliothèque Ikoma - sdm - 27-10-2004 Excellent ! Je reste béat d'admiration devant ta manière de capter l'esprit de ce monde ![]() NB. il reste cette phrase en double "Yajinden but lentement une coupe, pendant que Morozane murmurait à l’oreille d’une musicienne des soupirs enjôleurs, mêlés de paroles au dernier degré indécentes." La bibliothèque Ikoma - Darth Nico - 27-10-2004 Merci à tous. Je suis content que ça vous ait plu. ![]() C'est vrai qu'il était bien ce texte : les dialogues sont à couteau tiré, ya plusieurs formules qui claquent. Duel de paroles. 8) Je l'ai écrit vers début septembre, mais j'attendais que la cour d'hiver soit lancée pour le poster. ![]() Mathieu Wrote:et encore une petite révélation :jmekiffe: Je suis étonné que vous n'ayez pas fait le rapprochement avant. J'avais semé quelques indices. Franchement, chez les Ikoma, yen a pas beaucoup des duellistes. ![]() ![]() La bibliothèque Ikoma - sdm - 27-10-2004 Zatoichi,27/10/2004 à 23:34 Wrote:Je suis étonné que vous n'ayez pas fait le rapprochement avant. J'avais semé quelques indices.he he he :jmekiffe: ... En fait non je vois pas de quoi on parle, j'ai du rater un texte ![]() La bibliothèque Ikoma - Darth Nico - 27-10-2004 ![]() ![]() Quote:Yajinden : Et quelle aurait dû être cette question ? 8) |