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Mon topic récit 2 (partie 15) - Darth Nico - 07-06-2010

"- C'est pas faux. Hasarda Costigan après un court silence en tentant sa plus belle poker face, sans toutefois réussir à tromper son complice."

Haha, ça veut dire quoi ? Qu'on est dans le vent et qu'on fait semblant d'avancer ? lol


Mon topic récit 2 (partie 15) - baronpiero - 10-06-2010

C'est assez bien décrit sur les aspect juridiques.


Mon topic récit 2 (partie 15) - sdm - 22-06-2010

Alors même que celle qui se faisait appeler Akechi, en hommage à un obscur personnage de roman connu d'une poignée de gens seulement dans le service, sautait dans la terre humide du cimetière, au central une information déclencha une vive agitation. Un drone du LAPD avait repéré dans les rues de Watts un automobiliste au comportement suspect et dont la description physique semblait coller avec celle de Nicephore Dibala, un des hommes les plus recherchés du pays à cette heure. Aussitôt Jen fit affréter un hélicoptère de patrouille, les agents Allen et Costigan sautant à son bord.
La cible se déplaçait à vive allure au volant d'un pickup, allant d'une voie à l'autre, il semblait incapable de maitriser son véhicule et percutait régulièrement les voitures en stationnement. Jet fit signe au pilote de l'hélicoptère de barrer la route au suspect. Celui-ci paniqua à la vue de l'engin du LAPD et braqua brusquement pour tenter de s'engouffrer dans une ruelle parallèle. Touchant aux limites de ses compétences il ne réussit qu'à heurter violemment un lampadaire et réduire son moteur en miette. Secoué et le visage ensanglanté, l'homme s'extirpa du véhicule pendant que l'hélicoptère descendait pour permettre aux policiers de sauter à terre. Une brève course poursuite s'engagea alors mais le suspect fut rapidement rattrapé, plaqué et menotté par les deux COPS.
- Merde c'est pas lui. Annonça Costigan après l'avoir relevé et dévisagé.
L'homme bafouillait des paroles incompréhensibles et semblait en proie au délire.
- Bordel, tout ça pour rien... Bon il a l'air d'avoir des trucs à se reprocher quand même, on l'embarque au gnouf.
Deux heure plus tard, les trois hommes se retrouvaient dans une salle d'interrogatoire au dernier étage du Central. Le suspect avait fini par retrouver sa lucidité mais continuait de trembler nerveusement.
- Bon alors, est-ce que tu peux nous dire où tu allais aussi vite ?
- Je... je m'enfuyais.
- Qu'est-ce-que tu fuyais ?
- Ils disaient qu'ils allaient nous donner à manger et nous soigner. Je les ai cru, il y avait ce docteur noir et quelques blancs en costume avec lui...
- Attends attends, des types se sont fait passer pour des médecins ? Pour faire quoi ?
- Je sais pas, des trucs pas nets, j'ai vu des filles dans la maison, j'ai eu peur en les voyant, alors je me suis sauvé quand ils ne faisaient pas attention. J'ai pris la voiture de l'un des hommes.
Les deux policiers comprenaient qu'ils étaient tombés sur quelque chose de plus qu'un simple camé volant une voiture.
- Il y avait d'autres personnes enfermées ? Tu saurais nous indiquer où se trouve cette maison ?
- Oui... elle est sur Franklin Street, vous pouvez pas la rater il y a une piscine, c'est pas si courant dans le quartier.
Les deux hommes se précipitèrent dans le bureau du lieutenant pour annoncer qu'ils tenaient peut-être une piste pour trouver le professeur Dibala.
- Le suspect a parlé d'autres victimes également.
- Bon nous ne pouvons pas attendre, quarantaine ou pas. Foncez à Watts et libérez les victimes si elles sont encore là. Vous allez devoir y aller en voiture on a plus d'hélico de patrouille à cette heure. Prenez Joker et Baal avec vous c'est trop dangereux dans le coin à deux seulement à la nuit tombée. Je vais contacter les militaires pour qu'ils vous laissent passer. Je vous rejoindrai avec le support aérien du SWAT dès que j'aurais les autorisations.
Les deux hommes laissèrent Jen alors qu'elle composait déjà le numéro du lieutenant colonel Amos.
- Joker ! Baal ! Bougez vous le cul vous venez avec nous !
- C'est sympa de nous inviter à une fête à une demie-heure de la fin de service, faut venir costumé ?
- A moins que t'aies appris à éviter les balles c'est conseillé.
- Ca roule papy.

Gyrophare et pied au plancher, les deux voitures des COPS filèrent vers le quartier interdit en semant derrière eux des regards intrigués et quelques insultes marmonnées par des automobilistes bloqués au passage. Au check point les militaires étaient prévenus de leur arrivée et levèrent les barrières sans faire d'histoire, bien contents de ne pas être ceux qui devaient s'aventurer de nuit dans ce repère de gangers et de terroristes. Après cette ultime frontière c'est tout feux éteint que les policiers progressèrent dans le quartier de Watts pour arriver en vue de la maison.
Elle semblait déserte vue de la rue, aucune lumière et pas le moindre mouvement aux fenêtres. Les quatre policiers restèrent en planque quelques minutes pour s'assurer que le coin était calme, puis se rapprochèrent de la maison sans un bruit, arme à la main. Ils en firent rapidement le tour, sans voir d'éléments suspects, juste une propriété comme des milliers d'autre à LA, quelques chaises de jardin fatiguées, un barbecue pour les fêtes avec les voisins et la piscine dont l'eau commençait à se troubler après plusieurs jour d'abandon.
- Joker, Baal, passez par l'arrière, on prend l'entrée principale, on se rejoint à l'intérieur.
- Bien reçu.
Au signal les deux équipes pénétrèrent dans le pavillon. Après une rapide fouille l'endroit s'avéra désert même si certains signes indiquaient clairement que des gens avaient séjourné là peu de temps avant.
- On s'occupe du garage, faite des prélèvements et fouillez en détail le coin.
- Aye aye sir.
- Et gardez l'oeil ouvert sur la rue.
- Compris, je siffle si je vois les flics.
- Putain t'es trop con Joker.

Dans le garage là encore rien ne semblait anormal, pas de voiture mais des outils, des cartons de bières et tout ce qu'un garage d'une famille d'Angelinos de classe moyenne était censé contenir. C'est l'oeil d'expert de William qui mit à jour un petit détail qui leur confirma qu'ils ne s'étaient pas trompés de maison. Une grande trappe camouflée dans le sol qui obturait une voie d'accès vers un souterrain creusé dans le sous-sol de la maison. Contemplant l'ouverture plongée dans une obscurité complète, les deux hommes échangèrent un regard, allumèrent leur Maglite, la plaquèrent le long du canon de leur arme de service, annoncèrent à leurs collègues ce qu'ils allaient faire et enfin se résolurent à entamer la descente.
A une quinzaine de mètre les faisceaux de lumière de leur lampe accrochèrent ce qui semblait être l'arrière d'un camion. Les policiers s'approchèrent et constatèrent qu'il s'agissait d'un camion frigorifique garé dans un petit entrepôt souterrain encombré de caisse. Jet voulu avertir ses collègues mais finit par renoncer devant les difficultés de réception de sa radio. William réussit de son côté à faire sauter le couvercle d'une des caisses.
- Regarde ça, du matériel de labo, ça ressemble un peu à ce qu'on avait trouvé la dernière fois avec les doigts de la nana.
- Ouais, on dirait qu'ils n'ont pas eu le temps de déménager. Tiens couvre moi je vais ouvrir le camion.
William se plaça derrière son ami qui ouvrit d'un mouvement brusque la double porte arrière du véhicule.
- Bordel qu'est-ce-que c'est que ça ?
Dans le camion se trouvaient trois femmes en blouse de malade, les mains attachées au dessus de la tête. Elles semblaient toutes inconscientes, Jet vérifia rapidement leur état et constata que les deux premières étaient même mortes. Alors qu'il s'approchait de la dernière, l'arrière du camion fut d'un coup plongé dans le noir.
- Bordel Alecto qu'est-ce-que tu fous j'y vois plus rien !
- J'ai entendu un truc derrière les caisses !
- Arrête tes conneries et éclaire moi que je retrouve ma lampe.
- Putain j'ai vu bouger un truc Dog, y a quelque chose qui se planque là bas !
William balayait nerveusement la pièce, jetant des ombres menaçantes sur les murs. Il respirait bruyamment et suait à grosse goute sous son masque. Jet finit par retrouver sa lampe et la ralluma.
- Ok ok, je check la dernière et j'arrive.
Il retourna vers la femme qui se trouvait au fond du camion, il nota au passage que la place en face d'elle était vide mais tachée de sang et il commença à sentir monter en lui un vrai malaise. Il se pencha vers elle, posa ses doigts sur sa carotide, attendit en vain quelques instants, il allait les enlever lorsqu'il sentit un pouls faible mais réel.
- Bon sang elle est en vie ! Faut qu'on la sorte de là rapidement.
- Ok, plus vite on sort, mieux je me porte...
Dans sa précipitation à couper les liens de la femme Jet n'aperçut que trop tard le fil rouge qui était collé avec eux et courait ensuite vers un petit boitier.
Le souffle de l'explosion jeta William à terre et envoya Jet percuter le fond du camion.


Mon topic récit 2 (partie 15) - Darth Nico - 22-06-2010

Mais William ressortit des flammes, la peau détruite, révélant son exosquelette en titanium et la gatling cachée dans son avant-bras. Son programme de deshinibition était activée, et sur sa vision à filtre rouge s'affichait la tête des cibles à abattre, à commencer par les connards du SAD et John SpearsLa_classe


Mon topic récit 2 (partie 15) - sdm - 22-06-2010

Cte crossover improbablelol


Mon topic récit 2 (partie 15) - sdm - 23-06-2010

J'aurais jamais le temps de finir pendant mes vacances:(

Bon voilà la suite, j'ai pris qqs liberté sur les gouts de Charlie, si ça va pas dis le moi POsmile


Mon topic récit 2 (partie 15) - sdm - 23-06-2010

A Downtown le service était terminé pour les hommes de la section Sigma, ceux encore présents discutaient avec leurs collèges qui prenaient la relève. Charlie Swagger venait de boucler son rapport de la journée, il avait essayé de minimiser l'incident avec Abdul Ben Ouassali au cimetière mais il se doutait que l'affaire referait parler d'elle avant peu. Il jeta un oeil vers le bureau du lieutenant pour voir s'il pouvait aller la voir pour en discuter mais elle n'avait pas lâché son téléphone depuis le départ en trombe de William et Jet un peu plus tôt. Ce n'était surement pas le bon moment pour aller lui parler d'une affaire impliquant le détective Kogoro Columbo.
Celle-ci venait également de terminer son rapport sur l'exhumation et ils finirent par se retrouver devant l'ascenseur en même temps pour rentrer chez eux. Charlie n'essaya pas d'engager la conversation, il savait comme tout le monde dans la section que l'énigmatique Japonaise n'adhérait pas aux conventions sociales habituelles et se désintéressait ostensiblement des discussions dont le sujet n'était pas lié à l'une de ses enquêtes. Il avait bien essayé par politesse au début de lui parler de littérature après avoir souvent vu des livres dans ses affaires mais elle ne lisait que des polars dont il ignorait tout le plus souvent et il avait finit par renoncer.
Ils arrivèrent ensemble au parking, Charlie salua les collègues de la Metro de retour de patrouille et les mécanos qui râlaient contre l'inconséquence chronique des premiers. Il vit un peu plus loin sa partenaire monter dans sa vieille voiture qui était devenue elle aussi une légende dans le service. Parmi les plus jeunes policiers, pour qui le siècle précédent était une vaste période seulement vaguement déterminée, ils s'en trouvaient même pour demander si le véhicule datait d'avant la première guerre mondiale. Un jour il lui avait demandé la marque et elle lui avait répondu un nom qu'il n'avait jamais entendu, il n'avait pas insisté.
Lui préférait les belles voitures comme son coupé allemand, il en savoura le bruit au démarrage et se promit une fois de plus de ne jamais acheter une de ces voitures électriques silencieuses et sans âme. Il sortit en premier du central et s'inséra tranquillement dans la circulation dense de Downtown. Comme tous les COPS il était branché sur la fréquence de la police même dans son véhicule personnel, il était arrêté à un feu rouge à mi-chemin de son appartement lorsqu'il entendit l'annonce.
- 10-18, nous avons un suspect correspondant à la description d'Ali Ben Ouassali recherché pour meurtre, une voiture de patrouille l'a pris en chasse sur la 34ème à West Hollywood, il est à bord d'un van noir immatriculé 5ZLF320.
Charlie attrapa la radio d'une main et son gyrophare de l'autre.
- J'y suis dans 5 min.
Au moment même où il appuyait sur l'accélérateur et déboitait sur sa gauche pour filer à contresens, quelques kilomètres plus loin Shimazu Kogoro Columbo lançait sa vénérable antiquité dans une manoeuvre similaire.

Elle était plus proche du quartier d'Hollywood que son collègue et rejoignit la poursuite avant lui. Avec l'obstination bornée de sa conductrice la vieille voiture refusa de céder du terrain au van pourtant plus puissant. La course poursuite torturait ses amortisseurs fatigués et chaque virage serré la faisait dangereusement pencher. Lors d'un brusque changement de direction elle perdit même ses jantes du côté droit mais derrière son volant Shimazu ne s'en aperçut même pas, elle ne vivait plus que pour cette poursuite. Elle était un samuraï et la Peugeot sa lame ancestrale, émoussée mais encore dressée.
Charlie apparut enfin derrière elle à la faveur d'une sortie tonitruante depuis une rue perpendiculaire qui laissa sur la chaussée de longues traces de gomme. La course-poursuite se poursuivit à tombeau ouvert et la voiture de patrouille avait maintenant du mal à suivre le rythme imposé par les trois véhicules devant elle. Le van faisait de grandes embardées pour empêcher les deux COPS de passer devant lui. Shimazu continuait sa lutte à mort, ne freinant que lorsqu'elle ne pouvait pas faire autrement. Charlie essayait de son côté de trouver une ouverture mais devait se rabattre régulièrement pour éviter de percuter les voitures roulant en sens inverse.
Lançant une ultime attaque la détective percuta l'arrière du van pour le faire dévier de sa route. La manoeuvre était dangereuse mais elle ne pouvait tout simplement pas tolérer que le suspect lui échappe. Déstabilisé, le van alla percuter de plein fouet la devanture d'un grand magasin de mode, heureusement fermé à cette heure de la nuit. Shimazu ne put réussir non plus à redresser sa trajectoire après la collision et s'encastra avec fracas dans une voiture en stationnement.
Charlie s'arrêta brutalement à son tour et bondit hors de sa voiture, l'arme déjà à la main. Il n'eut pas à s'inquiéter longtemps pour sa collègue car elle aussi sortit presque aussitôt de sa voiture concassée, miraculeusement indemne et dans le regard une détermination forcenée.

- Ca va rien de cassé dehors ?
- Non je crois pas, mais ma lampe est morte et je suis sûr qu'un putain de truc rode dans le coin.
- Ok Billy bouge pas, j'ai la mienne.
Après les quelques coup d'usage pour remettre en place les circuits secoués par la déflagration la maglite s'alluma à la grande satisfaction des deux hommes.
Jet contempla rapidement les dégâts. Une partie de la rampe d'accès au garage s'était écroulée et des lézardes profondes couraient maintenant le long du mur.
- Bon sang quelle merde, il faut sortir de là, tout va s'écrouler.
Comme pour appuyer ses prévisions un grand bruit attira le regard des deux agents vers le plafond. Là dans le faisceau de la lampe ils virent une cascade couler sur le toit du camion depuis une fissure au plafond. Le débit était suffisant pour commencer à inonder tout l'entrepôt.
- La piscine, génial... Joker ! Baal ! Vous me recevez ?!
- ...où...expl......grouil...
- On est coincé en bas, appelez des renforts, on a un blessé !
- …...
- Merde on capte rien ici.
- Chut, écoute.
Jet tendit l'oreille, le bruit de la chute d'eau sur la tôle du camion résonnait dans la pièce et semblait venir de partout.
- Je n'entends r...
Brusquement il comprit, il y avait derrière le bruit principal un autre plus ténu, plus irrégulier. Des éclats précipités puis plus rien. Qui semblaient se déplacer.
- Bon ok, tu avais raison il y a bien un truc ici.
Les deux agents braquèrent leur arme, Jet balayait la pièce avec sa lampe, partout des piles de caisse pouvaient servir de cache. Au sol la couche d'eau faisait à présent comme un miroir et donnait à la pièce des dimensions déraisonnables. Progressant prudemment les détectives avançaient peu à peu vers l'autre bout de la salle.
- Là !
Jet tourna la lampe et la lumière accrocha pendant une fraction de seconde une tache blanche qui disparu derrière des caisses. Il essaya de suivre la trajectoire mais sans succès, la chose se dérobait à leurs yeux. Brusquement William se retourna.
- J'ai senti un truc dans mon dos !
Une fois encore, ils ne virent rien d'autre que les caisses et le camion.
- J'aime pas ça... J'préferais la Colombie, des narcos avec des kalachs au moins c'est franc, on sait à quoi s'en tenir...
Les deux hommes reprirent leur progression vers le fond de l'entrepôt l'oreille aux aguets et les yeux rivés sur la zone éclairée par leur torche.
- Blac.....cto....es.... recevez ?
- Joker, y a du progrès !
- Vous dev....rapid....le bruit ...gangs !
- Des gangs arrivent ? Bordel de merde.
Soudain , alors que leur attention s'était relachée, quelque chose bougea dans la zone lumineuse. En un souffle la forme était sur eux, Jet eu le réflexe de se dégager et repousser l'agresseur mais il laissa tomber sa lampe. Pendant quelques instant ce fut le chaos absolu. La lumière jaillissait par à-coups alors que la maglite rendait l'âme dans l'eau. Les détectives firent feu à plusieurs reprises sans savoir où. Le bruit assourdissant des détonations, amplifié par la réverbération, semblait presque palpable autour d'eux.
- Bon sang c'était quoi ?
- Je crois savoir, faut qu'on se tire tout de suite, fonce dans le camion, j'te couvre
William se précipita vers le véhicule, et sauta littéralement sur le siège conducteur, Jet tira encore quelques coup de feu avant de le rejoindre.
- Allez démarre saleté ! Grogna Costigan.
L'obscurité était maintenant totale dans la pièce, avec un mélange d'instinct et d'expérience il avait extrait les fils du démarreur et s'acharnait à provoquer le contact qui lancerait le moteur. Au bout de quelques tentatives, le camion hoqueta puis se réveilla pour de bon, éclairant faiblement la pièce avec ses phares.
- Bon maintenant c'est le moment de montrer ce que tu as dans le ventre.



Mon topic récit 2 (partie 15) - Darth Nico - 23-06-2010

mdrla métaphore du sabre émoussé pour la Peugeot. Pour continuer dans le Japonais, faut pas oublier de dire que seuls les kamikaze montent à bord:P


Mon topic récit 2 (partie 15) - baronpiero - 23-06-2010

Quote:Lui préférait les belles voitures comme son coupé allemand, [...]
Plusieurs voitures. C'est bon d'être reach'.

Alors pour la semaine, sobriété, simplicité...
[Image: 9370-2006-BMW-M6.jpg]


Et pour le WE...
[Image: Ford_Mustang_Shelby_GT500_01.jpg]


Mon topic récit 2 (partie 15) - sdm - 23-06-2010

Haha la classe, mais j'imagine même pas la conso de la mustanglol