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Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Printable Version

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Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - CROM - 08-12-2003

Mac Do en l'occurence là biggrin


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - CROM - 08-12-2003

Entre nous, un résumé du GroNicö Panda , c'est meilleur qu'un grec ou un macdalle Wink


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Darth Nico - 08-12-2003

Cay de la nourrithüre de kalitaih le Mac Gronico !
Artisanal, sanguinolent, Virus et préparé avec amour ! lol


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - CROM - 08-12-2003

Et surtout, de bon aloy! :yo:


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Darth Nico - 08-12-2003

C'est plus un Big Mac, c'est plutôt un Big Nick ! Panda


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - CROM - 08-12-2003

Big Jim? :P


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Darth Nico - 10-12-2003

Résumé : Saint-Huant le Toréador et Fraundon le Gangrel viennent d'arriver en banlieue est, devant le loft que la comtesse Bathory leur a donnés. Ils n'auront pas le temps de faire le tour du propriétaire : ils sont attaqués simultanément par des Gangrels et par des hommes cagoulés et armés. Ces derniers neutralisent les Gangrels, puis capturent nos deux héros.

Elégie à deux rats de cave

Groggy, les deux Caïnites furent emmenés dans une grande cave à vin, au sous-sol d’une demeure vidée de ses meubles.
- Saloperie de créature vampirique de merde ! je vais te défoncer moi ! je vais défoncer, t’entends ! tu vas en baver avec moi !… ah ouais, je te jure tu vas en baver comme on en a bavé à cause de vous ! saloperie ! je vais te foutre ça dans une rôtissoire, moi !
- Du calme ! du calme, bordel !… Et lâche ce fusil pour commencer ! C’est pas le moment de flancher. Allez plutôt chercher les deux Gangrel qu’on a abattus. Et téléphonez à la police, qu’ils cernent la maison, avant que les flics n’arrivent. Vous deux, emmenez les deux créatures à la cave, et surveillez-les de près. Tant que le jour n’est pas levé, elles sont capables de nous faire un sale coup. Et toi, tu vas prélever du sang sur les Gangrels, puis en donner à ces deux salopards : on les a salement amochés, il ne faudrait pas qu’ils nous claquent entre les doigts.
Fraundon entendit cet échange d’aboiement, se sentit traîner vigoureusement, il but le sang qu’on lui donnait et tomba dans l’inconscience pour de bon.

diablotin

Le Gangrel se réveilla le lendemain soir, allongé sur le sol froid d’une cave à vin. Engourdi, il sentit le besoin de sang monter en lui. Il était toujours ligoté des pieds à la tête. Il se débattit violemment, se secoua, gigota. Rien n’y fit.
- Te fatigue pas. Tes liens sont solides. Conçus pour les horreurs de ton espèce.
Fraundon releva la tête. A trois mètres de lui, un des cagoulards était assis sur un tabouret, qui le surveillait, fusil sur les genoux, une cigarette à la main. Saint-Huant était allongé, encore en torpeur. Il avait un bandeau sur les yeux.
- Hé ouais. On les connaît, nous les Toréadors. On sait qu’avec leur regard, ils peuvent hypnotiser un homme. Alors on se protège.
Fraundon ne répondit rien.
- Tiens, bois ça, sale hyène de mes deux, dit le type en lançant une poche d’hémoglobine devant Fraundon.
Appâté, le Gangrel dut exécuter des mouvements de ver de terre pour arriver assez près de la poche, et l’attraper d’un coup de mâchoire. Il la perça de ses canines, en absorba goulûment le contenu.
- Encore !…
C’était la bête en lui qui avait parlé.
- Tu déconnes ! c’est tout pour aujourd’hui, dit le type au fusil. Remarque, y’en a une deuxième, mais elle était prévue pour ton pote. J’ai remarqué qu’il dort encore, insinua t-il.. Tu peux la garder pour toi, qu’est-ce que t’en penses ? Tiens !…
Le type lança la poche à égale distance de Fraundon et de Saint-Huant, toujours endormi.
- Ah ah ah ! alors, qu’est-ce que tu vas faire ? Ton pote va avoir soif au réveil. Mais toi aussi tu crèves d’envie de boire encore une bonne gorgée de sang !…

Saint-Huant poussa alors un grognement, remua, sentit que des liens l’entravait, en éprouva la solidité, remua encore pour regarder autour de lui. Son flair lui désigna immédiatement la poche d’hémoglobine. Fraundon salivait d’envie devant ce sang, et, instinctivement, considéra le Toréador comme un rival pour cette nourriture. Saint-Huant ressentit immédiatement cette hostilité. Avec le bandeau sur les yeux, il faudrait s’emparer du sang au jugé.
- Hé hé hé ! ricana l’humain. Ton pote le Gangrel en a déjà eu une, mais j’ai l’impression qu’il va vouloir garder ta part pour lui ! hé hé hé !

diablotin

Submergés à ce moment par leur soif féroce, les deux Caïnites rampaient vers la poche, enragés par la concurrence pour cette belle poche bien pleine de bonne hémoglobine.
- Héhéhé ! putain ! ricanait l’humain en fumant sa cigarette. Oh ! dis ! viens voir ça ! c’est un truc à pas rater !
Un comparse entra dans la pièce.
- Mate-moi ça : y a deux gros vers de terre qui se disputent la ration du jour !
Le deuxième cagoulard prit part au spectacle et se mit à ricaner lui aussi.
Les deux Caïnites, s’ils n’avaient pas été submergés par leur désir de sang, auraient éprouvé en ce moment une intense haine pour leurs gardiens. Les deux humains y allaient maintenant de leurs encouragements, comme s’ils soutenaient leur candidat favori dans un jeu télévisé !
Fraundon, plus agile et plus robuste physiquement, était sur le point de saisir la poche de sang. A ses yeux, le liquide rouge brillait d’une irrésistible aura de pierre précieuse.
- Fraundon ! gémit le Toréador, vous pouvez pas me faire ça !…
- Chacun pour sa peau ! Vous deviez m’aider, vous m’avez foutu dans la merde, sale artiste à la con ! si vous n’étiez pas là, je vous prendrais déjà pour un traître !… cette poche est pour moi !
Le Toréador accusa le choc : il ne serait pas le plus fort sur ce coup-là. Il renonça à poursuivre son effort. Il cessa son effort.
- Ha ! j’ai l’impression que y’en a un qui craque ! lança le premier cagoulard.
- Ouais, la loi de la jungle a fait son œuvre : c’est le prédateur qui l’emporte ! continua l’autre.
- C’est comme ça que je les aime moi, ces saloperies de vampire. En train de se battre en eux !…
- Ouais, faudrait les mettre dans des zoos spéciaux ! les foutre en cage, et organiser des combats !
- Ah ouais ! ah ah ah ! pour les familles, le dimanche !
- Même les Amerloques ont pas encore eu l’idée, alors !…
Et les deux de partir de rire mauvais, de recommencer leurs acclamations d’encouragement.
Fraundon saisit la poche entre les deux, sous les hourrahs des deux gardiens. Vaincu, Saint-Huant se recroquevilla, pour s’enfermer en lui-même, pour étouffer la soif tenace qui le possédait.

diablotin

- Allez ! buvez-vous cette putain de poche avant que je change d’avis !
Le Toréador avait nettement entendu le Gangrel, qui tenait la poche entre ses poches, grogner cette phrase à son intention. Illusion causée par la soif ?
- Quoi ?
Surpris, le Toréador avait relevé la tête.
- Buvez-moi ce putain de sang et fermez-la ! répéta Fraundon. Je vais le regretter, alors grouillez-vous !
D’un mouvement de tête, Fraundon lança la poche devant Saint-Huant. Impulsivement, le Toréador s’en empara et la vida d’un trait, avant de pousser un profond soupir de soulagement. Fraundon serrait très fort la mâchoire, se contractait de tout son corps, pour avaler son regret. Le sentiment d’humiliation avait pris un instant le dessus sur son appétit.
La satisfaction morale liée à ce geste altruiste ne le consolait guère…
- Oh bah merde alors ! s’exclama un des cagoulards, le Gangrel joue la bonne sœur des pauvres ! Il affectait un ton plaintif.
- Tu m’étonnes ! il lâche sa proie ! c’est pas courant comme attitude !
- Je savais pas que ça existait la solidarité entre fauves !
Une voix, qui venait de plus loin dans la cave, retentit :
- Vous avez pas bientôt fini, merde ! arrêtez de gueuler un peu ! arrêtez vos conneries, et toi, retourne à votre poste, compris !
Les deux hommes cessèrent de rire. Celui qui était venu assister à l’affrontement ressortit de la pièce. L’autre alluma une autre cigarette et prit fermement son fusil en main. Il pointa ses deux prisonniers.
- Bon, fini de rire maintenant les deux bestiaux. L’heure du repas est terminé. Maintenant, vous allez vous tenir sage jusqu’au lever du jour. Et le premier qui fait mine de remuer… compris ? et interdiction de vous parler.
Fraundon et Saint-Huant s’allongèrent sur le dos. Ils cherchaient la position la moins inconfortable pour passer les prochaines heures.

Diablo

[i]A suivre... violent


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Darth Nico - 12-12-2003

Elégie à deux rats de cave (suite)

Et ces heures à passer furent particulièrement longues. Les gardiens se relayaient. Ils ne prononçaient aucun mot devant leurs prisonniers. On pouvait les entendre parler, mais uniquement dans les pièces adjacentes, sans que leurs paroles puissent être compréhensibles. Seulement des murmures étouffés par les parois de brique. Une ampoule, fragilement attachée à un anneau au plafond, qui se balançait aux grès des courants d’airs qui passaient par un soupirail proche, tenait lieu d’éclairage. On entendait parfois des bouchons sauter et quelques rires.

diablotin

Saint-Huant avait eu tout le loisir de réfléchir. Avec son bandeau sur les yeux, il était dans le noir complet. Se trouvaient-ils bien chez la Comtesse ? Qui étaient ces types ? Des hommes de l’Inquisition anti-vampire ? Combien de temps durerait cette détention ? Que se passait-il pendant la journée, quand ils étaient plongés en torpeur ?
Fraundon ne pensait qu’à une chose : s’échapper. Il avait décidé de tourner le dos à Saint-Huant. Il peinait à concevoir un moyen de se délier. En revanche, son imagination gambergeait vivement pour ce qui était des supplices à infliger aux cagoulards ! D’ailleurs, ceci prenait le pas sur cela. Obnubilé par l’envie de déchirer de ses crocs la chair vive des humains, il était pris parfois de spasmes violents.
Plusieurs fois, quand Fraundon avait trop remué, un des hommes s’était approché, et lui avait asséné un solide coup de crosse, pendant qu’un complice pointait du fusil les deux vampires.
Une nuit se passa encore.

Le lendemain soir, on leur lança à nouveau des poches de sang : ils burent chacun la leur. Ils se regardaient parfois, sans pouvoir se dire un mot. Saint-Huant, comme beaucoup de Toréadors, savait percevoir, par une sorte d’empathie, les désirs, les sentiments et les passions qui agitaient les humains et les Caïnites.
Il connaissait les risques d’un tel flair pénétrant : à force de ressentir pour soi les sentiments des autres, on risquait fort de s’aliéner en eux.
Plusieurs Malkaviens, doués d’un tel talent, franchissaient allégrement le pas : ils fouillaient dans les désirs, et aussi dans les souvenirs, d’autrui. Ils passaient la frontière de leur individu, ils plongeaient dans les territoires sauvages d’autrui. Ils s’abîmaient dans la fascination d’un autre qu’ils prenaient pour eux-mêmes, ils étaient contaminés par d’autres personnalités ; divers instincts, à force d’absorption de la vie propre des autres, s’organisaient en personnalités cohérentes. Les fractures schizophréniques prenaient des proportions parfois affolantes. Les Toréadors connaissaient le risque de cet éclatement kaléidoscopique de la personnalité. Plusieurs Artisteux, sans doute encore plus atteints que les Malkaviens, cherchaient un moyen de maîtriser cette dispersion schizophrène par l’art, en même temps qu’une sublimation de leur sauvagerie par la beauté.
« C’est bien le moment de remuer ces idées ! » songeait Saint-Huant.
Plusieurs heures passèrent. Les gardiens se relayaient. Leur énervement montait. Devoir surveiller deux Caïnites les apeurait au fond. Ils voulaient en finir avec cette cave. Ils voulaient partir. Or, les choses prenaient du retard. Ils avaient de plus en plus de mal à obéir à leur chef.
En deux nuits, Fraundon avait appris à reconnaître la silhouette de leurs gardiens. L’un d’eux était manifestement brutal, impatient de pouvoir appuyer sur la détente et éclater le crâne des deux prisonniers.

diablotin

- On va encore rester ici longtemps ?!

C’était Fraundon qui avait rugit cela. Première phrase prononcée à voix haute depuis longtemps. C’était un défi lancé contre le gardien.
- Ferme ta gueule ! aboya t-il. Je vais te bourrer de plomb ! alors t’avise pas de recommencer avec moi !
- T’as qu’à m’achever… murmura Fraundon.
- Quoi ! aboya encore plus fort le gardien. Quoi ! qu’est-ce que tu dis ? allez répète, sale merde de vampire de mes deux ! répète donc ce que t’as dis.
Saint-Huant roula vers le mur, de manière à s’éloigner de Fraundon. Celui-ci ne contiendrait plus longtemps sa colère.
- J’ai dit : t’as qu’à m’achever tout de suite sale ordure ! gueula le Gangrel.
- Attends, tu vas voir !
Le cagoulard était furieux. On ne pouvait voir son visage : on pouvait deviner, derrière le passe-montagne une fureur abominable. Il n’attendait sans doute qu’une occasion pour défouler son agressivité bouledoguienne sur Fraundon. Saint-Huant serra les dents. Il avait déjà très mal pour le Gangrel.
- Approche, espèce de fiotte ! gueula encore Fraundon. Allez approche ! ou alors vide-moi ton fusil dans la poitrine ! reste pas sans rien faire, sale ordure !
La haine entre les deux était palpable, prête à se décharger comme la foudre.
- Attends un peu ! fulmina le gardien. Il empoigna son fusil, se leva, visa Fraundon. Un cri l’arrêta net. C’était encore la voix qui venait de l’autre cave, la voix du chef de la bande, qui parvenait dans cette pièce sombre, par réverbération de écho :
- Espèce de crétin ! baisse ce fusil ! baisse ce fusil !… baisse-le ou je t’explose la tête ! baisse tout de suite !… Non mais t’es vraiment trop con ! tu vois pas que c’est ça qu’il cherche ! baisse ton arme ! assieds-toi ! je vais envoyer quelqu’un te remplacer ! et tu vas avoir de mes nouvelles !
La voix n’était pas chargée d’accents brutaux comme celle du gardien : elle était cassante, comme la glace qui fait éclater les pierres. Brusquement rabroué, toute la fureur déclenchée par le gardien seretourna contre lui. Refroidi, il se rassit, abattu par le contre-coup violent.

diablotin

- La voix de l’autorité a fait son œuvre, dit tout haut Saint-Huant. Ah ! la saine fraternité entre geôliers virils et assermentés !…
Et le Toréador ne put se retenir de rire. A ce moment, Fraundon fut pris de ce qui ressemblait à une crise d’épilepsie. Il se mit à rugir abominablement, à se tordre frénétiquement. Le cagoulard s’était levé de son tabouret, il braquait à nouveau son fusil sur le Gangrel. Celui-ci se tordait comme un poisson sorti de l’eau, ou comme un pantin à la mécanique affolée. Il se recroquevilla dans une secousse violente. Le Toréador, figé d’étonnement, regardait cette danse endiablée. Le Gangrel poussa un hurlement de douleur, Saint-Huant vit toutes les cordes métalliques pénétrer la chair de Fraundon, le sang apparaître brusquement des épaules à la tête, avant que les liens ne rompent sous la pression musculaire déclenchée par le Gangrel.
Ce dernier se libéra dans un cri de rage vainqueur, se releva d’un bond. Saint-Huant roula encore sur le côté. Le cagoulard déchargea son fusil sur le Gangrel, qui reçut le coup en pleine poitrine. Il encaissa le choc, manqua tomber à genoux, fléchit les jambes, prit sa course vers le geôlier. Ce dernier rechargea son fusil, s’affola, recula, trébucha sur le tabouret. Encore une enjambée et Fraundon était sur lui. Il se jeta sur l’homme avec la férocité d’un loup-garou.
Aux volées de griffes qui frappaient et décharnaient, répondirent les bruits des crocs lacérateurs, et se mêlèrent les cris de terreur de la victime. Saint-Huant entendit un gros bruit de succion : le geôlier fut vidé par Fraundon d’une bonne partie de son sang, en quelques gorgées.
Plusieurs coups de fusils partirent. Les autres porte-flingue accouraient Fraundon plongea à terre, s’élança vers les soldats. Saint-Huant restait à l’abri derrière un muret. Décharges de fusils, rugissements bestiaux, cris de douleur, le tout amplifié par l’écho de la cave. La terreur et la fureur emplirent les lieux quelques secondes. Les corps s’abattaient par terre, Fraundon se battait comme un tourbillon de griffes et de gueules.

Puis brusquement le silence.

diablotin

Couvert de sang, Fraundon revint vers le Toréador. Le Gangrel était affreux à voir : il ressemblait à une divinité sauvage à qui l’on offre des sacrifices humains. C’est à lui qu’on ferait des offrandes pour qu’il les engloutisse dans sa gueule ardente !
Il s’approcha de Saint-Huant, vit le regard apeuré de ce dernier, trancha ses liens.
- Si la bête se déchaîne, accusez-en les humains, pas les morts-vivants, souffla t-il.
- C’est horrible…
- Dites-vous qu’il reste du sang à prendre sur eux. D’ailleurs, rassasiez-vous, car on est pas sortis d’affaire.

Diablo

[i]A suivre... Demonpiteux


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - Riobe - 12-12-2003

Quand Saint-huant a-t-il perdu son bandeau? Clever

Mais dit moi tu as une vision tout à fait terrible des gangrels :demoniaque: je me demande à qui s'est du Wink


Les Contes de la Canine #6 : Histoire de P.Y. de Saint-Huant - CROM - 12-12-2003

Vision assez réaliste je pense Wink

Une chose : les inquisiteurs communs ne connaissent pas les clans.