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RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 23-03-2012 (21-03-2012, 07:10 PM)Darth Nico Wrote: Suite aux conseils de Seb, tu as refait le dialogue du début avec la mère dont la fille a disparu. Ok, mais la suite aussi serait à refaire pour corriger les autres invraisemblances. Je n'ai pas eu le temps de répondre (Conseil municipal, CDD) mais je vais le faire rapidement. Je suis surpris par la réponse car en fait, ça a été fait. Certes, l'histoire reste la même (le tueur prend la place d'un critique d'art pour assassiner un commissaire priseur), invite Kogoro Columbo, et se fait démasquer. Mais le déroulement a été remanié suites aux critiques. Déjà, avec l'utilisation du portable. Pour le tueur, c'est son complice qui lui téléphone pour lui signaler que la personne qu'il remplace arrive. Comme ça, il se casse (en invitant au passage Kogoro Columbo). Je n'ai pas eu l'envie de tuer le critique d'art (voir Kogoro Columbo se faire inviter deux fois, ça me faisait trop sourire). Mais Kogoro Columbo utilise aussi à outrance son Androïd. Dès qu'elle voit que les tableaux sont faux, elle envoie un email à Patrick Gosling (ce n'est pas précisé) pour une séance de piratage. Celui-ci arrive à la fin avec des données comme quoi les gens qui ont expertisé les tableaux et le commissaire priseur sont de mèche. Elle se sert de son téléphone pour se faire confirmer que pendant qu'elle dine avec l'imposteur, le vrai est au CNIT. Enfin, elle utilise son Androïd pour aller grappiller des informations sur Internet sur la digoxine. J'ai aussi supprimer la poudre et la signature. Après, si il y a encore quelques incohérences que je n'ai pas vu: 1) Si elle sont trop énorme, je veux bien le re-écrire totalement. 2) Si elle sont minime, comme au chapitre 3 (remplacer "fourchette" par "cuillère") ou 4, je le ferai directement sur mon blog. Ensuite, il est temps de dire comment est fabriquer le livre. Déjà, contrairement à "Le prix à payer", je n'ai pas un temps infini. Le temps est (très )limité entre le travail, la campagne de Bayrou, la politique locale et la tenue de mon blog (il faut bien parler de Malakoff et son autofinancement négatif!). Comme pour le "Le prix à payer", j'ai l'ensemble de l'histoire dans ma tête. Seulement, je me rends compte de deux choses: 1) La difficulté d'écrire ce type de roman. A chaque fois, je passe un temps énorme pour trouver des crimes différents (en m'aidant ici de temps à autre) . J'ai les idées générales du roman, mais remplir les sous chapitres est plus compliqué que prévu. A l'exception du dernier crime (qui est énorme et original, ça va de soi), heureusement qu'il me reste à ce stade que trois crimes à décrire. 2) Ensuite, je m'aperçois que l'action est lente à se mettre en place. Je m'en excuse, mais je fais ce que je peux. Chaque chapitre est dans un ensemble plus vaste et a son importance. C'est pour ça que la réponse est souvent "Je répondrais dans la suite du roman"(surtout quand il faut partir tracter tôt au métro), que ce soit pour la fille disparue, ou pour l'infernale kimono ou pourquoi elle couche avec Derrick Palmer et que je ne me suis pas aperçu tout de suite des grosses incohérences. J'en profite pour remercier les personnes qui m'aident à améliorer le récit. Je continu à maintenir que la version présente ici est un brouillon. La version présente sur le blog est un brouillon améliorée. Le style, qui est sans doute un défaut évident sera revu bien plus tard. Je préfère écrire le tout d'abord. Je continue à croire à l'intérêt de mon roman et à son potentiel aussi intéressant que "Le prix à payer". Les parties pour l'instant: - Shimazu Kogoro Columbo, détective brillante (Chapitre 1 à 3). - L'affrontement entre Shimazu Kogoro Columbo et le tueur (Chapitre 4 à 8) Cette partie verra 3 échecs de Shimazu et 2 échecs du tueur Ensuite - L'accident de vie de Kogoro Columbo où sa tendance autodestructrice. - Le passé de Kogoro Columbo. Je répondrais enfin à toutes les questions (Pourquoi a-t-elle couché avec Derrick Palmer, pourquoi son kimono....) Je pense qu'il y aura 3 ou 4 chapitres. - Le crime le plus subtile auquel sera confronté Kogoro Columbo, Je reprendrai ce qui est ici. Vu les difficultés à écrire ce type de roman, je publierai finalement les chapitres suivant ici. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - vengeur77 - 23-03-2012 "[...] sa tendance autodestructrice." Faudra me dire ou est et comment cette tendance s'exprime....parce que personnellement, je ne l'ai pas du tout, mais alors pas du tout vu. Elle n'a pas vraiment ni comportement addictif, ni un comportement type de passage à l'acte.... Alors, pour information, la tendance autodestructrice, est une tendance suicidaire (plus ou moins prononcée).. Il faut bien comprendre que si une telle tendance existe chez Shimazu c'est qu'elle a un problème d'une telle ampleur que la mort apparait comme une solution... La mort est donc un choix de vie. Nul part dans le discours de Shimazu, on ne voit cette volonté de ne plus souffrir et surtout d'en finir. Si tu te base sur le célébrissime Sherlock Holmes en ce qui concerne la pseudo "tendance autodestructrice".. Sache que Holmes n'a pas de de tendance autodestructrice.... Si il est accro aux opiacés c'est pour tuer l'ennui et oublier la névrose qui l'habite. il est bien trop amoureux de sa personne pour vouloir se détruire. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 24-03-2012 (23-03-2012, 12:30 PM)vengeur77 Wrote: "[...] sa tendance autodestructrice." Je pourrais encore répondre "voir la suite" mais je vais finalement répondre sur le fond. "Tendance autodestructrice" est sans doute trop fort (avec le prochain chapitre, néanmoins, je me le demande). Mais j'ai peur que "accro aux opiacés" soit trop faible. Mon idée est plus, dans le long terme, de parler de conduites à risque. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - vengeur77 - 24-03-2012 Ah ok. Alors la je suis d'accord. Elle a donc un comportement addictif. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 01-04-2012 Chapitre 6 : Tentative d’empoisonnement sur Kogoro Columbo Le Samedi 29 Octobre 2011 a failli être le jour du décès de Shimazu Kogoro Columbo. Quelle idée d’aller jouer au bridge. Elle aurait mieux fait de venir chez moi où, comme lorsque nous étions à Hyères, nous aurions passé une nuit inoubliable. Dire que j’ai dû me contenter d’une fille moins performante au lit. Mais commençons notre histoire. La veille, j’avais très envie de faire l’amour à Shimazu. J’étais donc allé la voir dans l’après-midi. Une invitation au restaurant, et après, je l’aurais amenée chez moi où je lui aurai fait l’amour. Je m’introduis dans son bureau où elle étudiait divers documents. - Bonjour Shimazu. - Bonjour Derrick. - Voilà, demain, je te propose de t’inviter au restaurant. Après, on pourrait aller au cinéma voir Polisse, et j’en t’emmènerai chez moi où je t’honorerai à la hauteur de ton talent. Shimazu sortit sont kiseru, le bourra de tabac, sortit son carton d’allumette et alluma le mélange. Elle se mit à fumer. - Ce n’est pas possible ce week-end. - Pourquoi ? - Parce que je vais au salon du bridge. Il y a un tournoi où j’espère participer. J’adore le bridge. C’est mon jeu de carte préféré. J’ai d’ailleurs été championne junior au japon. - Alors une autre fois, peut-être. - Je ne sais pas. - Tu ne facilite pas les choses, Shimazu. - Écoute-moi, Derrick, j’ai pris beaucoup de plaisir à coucher avec toi. Peut-être le referais, mais, entre nous, ça sera toujours sexuel. Je cherche chez un homme autre chose. Mais tu ne me comprendras jamais. C’est comme ça. - Et que puis-je t’apporter ? - A part du sexe, rien. J’ai besoin de quelqu’un qui soit à ma hauteur. Ça ne sera pas le cas pour toi. Tu es juste quelqu’un de normal, bon sexuellement, mais juste de normal. Je me promis de réessayer la prochaine fois. J’aurai dû le faire sur le moment. Le samedi, Shimazu alla porte de Versailles. Elle arriva une heure avant le début du tournoi. Elle alla au guichet où une hôtesse l’accueillit. - Madame ? - Bonjour, je souhaiterais m’inscrire. - Avez-vous un partenaire ? - Pas pour l’instant. - Je ne peux pas vous inscrire sans partenaire. A ces mots, un homme apparu. Il était roux et ses yeux étaient bruns. Il portait un pantalon bon marché et une chemise quelconque. Il se pointa vers l’accueil et déclara : - Je suis Thierry Rombaut et je suis le partenaire de madame, si elle l’accepte. - Mais avec plaisir, fit Shimazu Kogoro Columbo. - Bien, c’est noté, dit l’hôtesse d’accueil. Vous jouez Nord-Sud ou Est-Ouest ? - Est-Ouest, fit Kogoro Columbo, j’aime bien me déplacer et changer de table. Vers 9H, le tournoi commença. Kogoro Columbo était en Ouest. On commença enfin à distribuer la première donne. Ça commençait bien pour Shimazu. Elle avait n’avait pas de point d’honneur. Et visiblement, Ouest était maudit. Le nombre de tête ne dépassait rarement 8 points. Mais malgré tout, Kogoro Columbo se débrouillait bien. Car dans une compétition de bridge, tout le monde joue les mêmes donnes. Ce qui compte, c’est de faire le meilleur contrat ou en défense, d’empêcher de faire le meilleur contrat, ou de provoquer la chute la plus importante. Les horribles jeux de Kogoro Columbo ne permettaient pas de demander un contrat. Mais grâce à son intelligence, elle limitait le nombre de plis du couple nord-sud, et faisait même chuter de tant en tant celui-ci. Puis vint le jeu qui fit la gloire de Kogoro Columbo. Elle avait le jeu suivant : Pique : A, D Cœur : 9, 8, 5, 3 Carreau : 10, 8, 3 Trèfle : 5, 4, 3, 2 C’était encore un jeu habituel, car elle avait seulement 6 points d’ouverture. Nord commença par 1 trèfle, ce qui signifiait qu’il avait l’ouverture, et au moins trois cartes à trèfle. Ouest passa. Sud posa le carton 1 pique il devait avoir 5 à 8 point et 4 piques. Kogoro Columbo passa. Nord sourit. Il posa son carton 2 SA (sans atouts). Il devait y avoir aux alentours de 19 points chez Nord. Est passa. Sud posa son carton 3 SA. Sud avait également l’ouverture, le couple Nord-Sud se devait de jouer la manche. Nord posa le carton 4 SA. Il comptait jouer le schlem. Sud posa le carton 5 carreaux. Il avait un as. Nord sourit et posa le carton 6 piques. Shimazu Kogoro Columbo sortit son kiseru. - Puis-je fumer un peu ? Demanda-t-elle. - Mais bien entendu, répondit Nord. Elle mit du tabac dans sa pipe japonaise, sortit son carton d’allumette et en craqua une. Elle fuma un peu. Puis elle posa le carton de contre sur la table. Nord était surpris. Il se demanda ce qu’une ahurie en kimono était en train d’inventer. Il regarda son jeu, ne comprenant rien à la stratégie de Kogoro Columbo. Puis il se dit qu’elle avait peut-être un plan secret. Il la regarda. Elle continuait à fumer son kiseru. Par mesure de sécurité, Nord, qui tenait à son schlem, décida de changer le contrat. Il posa le carton 6 SA. Kogoro Columbo posa, faces cachées ses cartes sur la table. Puis elle attrapa un nouveau carton de contre, et elle le posa sur sa table. Puis elle continua à fumer son kiseru. Nord était surpris. Mais pourquoi l’ahurie en kimono lui contrait ses schlems. Comment une folle, habillée en kimono en plein Paris, osait lui contrer ses schlems. Voulant donner une leçon à Kogoro Columbo, Nord sorti son carton de surcontre. Kogoro Columbo sourit. Thierry Rombaut qui était en est aussi. Il entama du 7 de pique. Sud, qui était le mort, étala son jeu. Il avait les cartes suivantes : Pique : R, V, 10, 9, 8 Cœur : A, R Carreau : 7, 6, 2 Trèfle : D, V, 10 Le mort joua le roi de pique. Kogoro Columbo posa l’as de pique. Le sourire de nord se transforma en grimace. Il posa le deux de pique. Le premier pli était pour est-ouest. Ils fermèrent. Puis Kogoro Columbo posa la dame de pique. La chute était évidente. Nord-sud chutèrent de un. Nord avait : Pique : 5, 4, 3, 2 Cœur : D, V, 10 Carreau : A, R, D Trèfle : A, R Et Ouest avait : Pique : 7, 6 Cœur : 7, 6, 4, 2 Carreau : 9, 5, 4 Trèfle : 9, 8, 7, 6 - Bien joué, dit nord à Kogoro Columbo. - Merci. Mais c’est un peu grâce à vous. Vous avez été trop gourmand en demandant un schlem. - Et comment avez-vous devinez ? - J’ai fait le pari que les piques étaient chez sud. Ce qui me faisait dire qu’il y avait une forte chance que le roi était chez sud. C’est un pari risqué, mais il a été payant. Car si le roi était bien chez sud, et ce fut heureusement le cas pour moi, il était en fourchette. Si sud jouait le roi, je le prenais de mon as. Si sud jouait autre chose, je jouais la dame. Elle ne pouvait pas être prise, car le roi est chez sud. Du coup, je faisais chuter de la dame. Il est connu qu’il ne faut jamais contrer un schlem. Car si le schlem considéré est chuté, un autre schlem peut être fait sans problème. Mais en réalité, il fallait que ce soit sud le mort, et que mon partenaire joue pique afin d’être dans ma fourchette. Le premier contre était pour vous déstabiliser. Il est évident que vous ne pouviez pas monter au grand schlem. Vous ne pouviez donc dire que 6 SA. Dans cette configuration, sud devenait le mort, car au deuxième tour, vous aviez posé 2SA. Le second contre était dans la convention Lightner. Je demandais à mon partenaire d’entamer dans la couleur annoncé par le mort, en l’occurrence pique. Enfin, je ne pense pas que vous faisiez 6 piques. Si vous lanciez atout, je faisais ma dame. Si sud lançait atout, je faisais aussi la dame. Vous chutiez aussi. Le tournoi continua. Et Kogoro Columbo enchaînait les mauvais jeux, faisant tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher les couples Nord-Sud de faire des levées de mieux, ou voir même les faire chuter. Le tournoi s’arrêta vers 18H. Les résultats furent annoncés vers 19H. Le meilleur pourcentage pour Est-Ouest était pour le couple Thierry Rombaut et Shimazu Kogoro Columbo. - Vous jouez très bien, mademoiselle, fit Thierry Rombaut. - Merci, répondit Kogoro Columbo. - Ce fut un véritable plaisir de jouer avec vous. La prochaine fois, quand nous aurons du jeu, nous demanderons nous même les contrats. En tout cas, ce fut un plaisir de jouer avec vous. - Moi de même. - Et si nous fêtions notre victoire au restaurant. - Avec plaisir. Ils allèrent au restaurant chez Clément. Ils prirent une table pour deux. - Regardez l’addition, je vais aux toilettes. Je vous recommande les viandes rouges, elles sont très bonnes. Prenez aussi une entrée. Kogoro Columbo étudia la carte. Thierry Rombaut revint. Le serveur arriva. Alors, fit le serveur. - Je prendrais des escargots de bougonne, fit Kogoro Columbo, ainsi qu’un onglet de bœuf sauce échalote. - Très bonne idée, fit Thierry Rombaut. Je vais prendre la même chose. Avez-vous un vin à proposer. - Je propose un côte du Rhône, dit le serveur. - C’est entendu, fit Thierry Rombaut. Le serveur arriva avec la bouteille de vin. Il la déboucha et en versa un fond dans le verre de Thierry Rombaut. Puis celui-ci le gouta. - Il est très bon. Le serveur servit Kogoro Columbo et Thierry Rombaut. Puis celui-ci tendit son verre vers Kogoro Columbo. - Santé et à notre victoire. - A notre victoire, répondit Kogoro Columbo. Ils burent le vin. - Ce vin est très bon, dit Thierry Rombaut. - Vous trouvez, je lui trouve un goût bizarre. - Au revoir détective. Adieu - Quoi ? - Je n’accepte pas l’échec. C’est la dernière fois que vous vous mettez en travers de ma route. - Le tueur ! - Exactement, le seul, le vrai et l’unique. Kogoro Columbo sourit. - Vous souriez ? Demanda le tueur. - Oui, car je vais avoir une belle mort. Cet assassinat est splendide. Je vous remercie. - Splendide ? - Oui, vous avez trompé ma vigilance en buvant également le poison. Vous avez empoisonné le vin, ce qui explique le goût bizarre. En buvant le vin empoisonné, vous endormiez ma vigilance, et vous pouviez m’empoisonner en toute tranquillité. Vous avez été aux toilettes ingurgiter l’antidote. Je reconnais que le crime était très bien préparé. Du début où vous vous êtes renseigné sur moi et mes passions, jusqu’à la planification de l’empoisonnement. La respiration de Kogoro Columbo s’accéléra. Une douleur apparue se fit sentir dans son estomac. Elle tomba à terre essayant de s’accrocher à la vie. - Non, se dit le tueur, tu ne peux pas mourir comme ça, je viens de trouver une personne à ma hauteur. La seule qui apprécie mon art et qui a été capable de me confondre. Il ouvrit un flacon et fit boire le contenu à Kogoro Columbo. Le lendemain, Kogoro Columbo était à l’hôpital. Je la veillais avec Jack Lestrade. Elle se réveilla un peu sonné. Jack Lestrade commença : - Vous avez eu de la chance d’être encore en vie. Vous avez été empoisonné. Il s’en fallait de peu. - C’est le tueur. - La légende ? Demanda Jack Lestrade. - Oui, il m’a donné l’antidote, car il n’a pas voulu me tuer. - Et pourquoi ? - Parce que je l’ai confondu, et qu’il a été sensible à mes compliments. - Et-est-ce lui qui a donné l’antidote et s’est enfuit après ? - Oui. - Nous avons son signalement et ses empreintes, il n’ira pas loin. - Je pense qu’il a falsifié ses empreintes. Autrement, il était sous un déguisement. La dernière fois, il avait endossé l’identité de Dominique Malusardi. - Bien, mais cette fois-ci, je vais le prendre au sérieux. - Mais ça aurait été une belle mort, fit Kogoro Columbo en s’endormant. Quant à moi, je me jurais de faire payer au tueur cet affront. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 28-04-2012 Chapitre 7 : Le tueur dupe Kogoro Columbo Le 7 décembre 2011, je me prélassais dans mon bureau quand le téléphone sonna. Il était vers 10H. Je décrochais. - Derrick, c’est Jack, peux-tu passer à mon bureau, c’est urgent. - Un problème ? - Je t’expliquerai sur place. Peux-tu amener ta collègue Kogoro Columbo. - Bien. Au bout d’une demi-heure, nous étions dans le bureau de mon ami Jack, 36 Quai des orfèvres. Nous nous assîmes face à lui. - Bien, dit-il, ce matin, j’ai reçu ceci. Il sortit une feuille placée dans une pochette plastique. Sur cette feuille était collée des lettres coupées dans un papier de journal. Le tout formait un message. « Aujourd’hui, à 12H, je vais assassiner Monsieur Adams Danglar. Si vous voulez empêcher cet assassinat, je vous recommande l’assistance de Shimazu Kogoro Columbo. Seule elle est capable de me stopper. Le tueur. » - Qu’est-ce que cela signifie ? Demanda Jack en se tournant vers Kogoro Columbo. - Que le tueur me défie. - Pourquoi vous défie-t-il ? - Car j’ai réussi à empêcher un de ses assassinats. - Bien, allons sur place. Adams Danglar était trader à la société Générale. Il travaillait à la tour de la défense. Il avait la soixantaine, les cheveux blancs et un certain embonpoint. Il avait le visage sévère. Il savait de ses yeux noirs observer le monde. Il savait faire les bons placements et avait rapporté à sa Banque, la société générale, plusieurs milliards d’euros. Nous retournâmes à la défense et allâmes à la tour de la société générale à la défense. Nous arrivâmes au portique de sécurité. Jack montra sa carte : - Police, ces deux personnes sont avec moi, dit-il en désignant Shimazu et moi-même. Derrière nous arriva une femme. Elle était quelconque. Elle posa ses clés, sa montre, son portable et son sac sur la table. Elle passa sans problème le portique de sécurité. On nous indiqua le bureau de Adams Danglar. Nous montâmes au dernier étage. Nous frappâmes à la porte. - Entrez. Nous entrâmes. - Messieurs, Madame ? Que puis-je pour vous ? Demanda Adams Douglas. - Police dit Jack en sortant sa carte. - La police ? Répondit-il. - Oui, je vous présente mon ami Derrick Palmer, et sa collègue Shimazu Kogoro Columbo. - Enchanté. Mademoiselle, c’est une drôle d’idée de s’habiller en kimono. - Ce n’est pas important, coupa Jack. Ce qui est important, c’est que l’on va essayer de vous assassiner. Ces deux personnes sont détectives privés. - De m’assassiner, c’est ridicule voyons. - C’est pourtant le cas, fit Jack en montrant la lettre reçu ce matin. - Voyons, c’est une plaisanterie. - De la part du tueur, je ne crois pas à la plaisanterie. - Si vous insistez, mais je pense que vous faite erreur. Nous attendîmes. Je pouvais voir par la fenêtre du bureau la défense. Vers 12H30, il ne s’était toujours rien passé. Soudain, le téléphone sonna. Adams Douglas le prit. - Allo ? C’est pour vous inspecteur. Jack mit le haut-parleur. - Vous feriez bien d’aller voir aux toilettes du premier étage. L’interlocuteur raccrochât. - J’y vais avec Shimazu, dit Jack. Reste avec Douglas. Shimazu et Jack se précipitèrent hors du bureau. Je regardais dans le couloir. Les bureaux semblaient vides. Une main me frappa par derrière. Je m’évanoui et tombait à terre. Quand je me réveillais, Shimazu et Derrick étaient face à moi. Adams Douglas était parti. - Où est Adams, demandais-je ? - Il est mort. On l’a retrouvé aux toilettes avec une fille, qui d’après les premières constatations est sa secrétaire. - Hein ? - J’ai appelé des renforts, la police va arriver, et j’ai fait boucler l’immeuble répondit Jack. - Je ne comprends pas. Shimazu alluma son kiseru. Puis elle fit le raisonnement suivant : - La personne qui était avec nous était le tueur et non Adams Douglas. Quand nous sommes arrivés, le vrai Adams Douglas était déjà assassiné au premier étage. Nous avons un assassinat planifié. Le tueur et son complice, car il va de soi qu’il a un complice, sont, selon toute probabilité arrivé ce matin. Le vrai Douglas, et sa secrétaire, car nous avons retrouvé son corps également, se sont retrouvés aux toilettes du premier. Le tueur les attendait avec son complice. - Mais que sont-ils allés faire aux toilettes ? Demanda Jack - Je pense qu’il y avait trois personnes dans le coup. - Trois ? - Oui, trois. C’est la secrétaire qui a amené son patron au premier, comme convenu, et qui a tiré le coup de feu qui a assassiné son patron. - Tu vas vite en besogne, répondit Jack. - Pas du tout. J’ai observé le corps de la secrétaire, et j’y ai trouvé sur ses habits des traces de poudres. C’est elle qui a tiré sur son patron. - Et comment a-t-elle fait passer l’arme ? - D’une façon honteusement simple. L’arme devait être dans son sac à main. Vous vous rappelez de la femme passée derrière nous. Elle a juste posé son sac, ses affaires métallique, et elle est passée. Le gardien, n’a rien fouillé. Le sac posé sur la table, le gardien, sachant qu’elle travaille dans la tour, n’a pas fouillé le sac qu’elle a dû poser sur la table. Je me demande d’ailleurs pourquoi on achète des portiques si chers. - Ensuite, je suppose que le tueur et son complice sont arrivés, que le tueur a repris l’arme et a tué la secrétaire. - Erreur, ce n’est pas le tueur qui a tiré, mais son complice. Sinon, on aurait retrouvé des traces de poudre sur le faux Adams Douglas. Ensuite, son complice et lui-même ont posé les corps et les ont enfermés de l’intérieur. Ils ont peut-être utilisé du fil de pêche. Après, déguisé en Adams Douglas, le tueur est monté au dernier étage. Vers midi, son complice est arrivé à la salle de surveillance, a tiré sur les gardiens, a volé tous les CD de la journée, et a coupé les caméras de sécurités. - Mais que s’est-il passé. - Nous sommes arrivés aux toilettes du premier étage. Nous vîmes deux portes fermés. Nous frappâmes, pas de réponse. Jack les défonça et trouva les deux cadavres. Pendant ce temps, le tueur te frappa à la nuque et s’enfui. La police arriva, et elle cerna le bâtiment. Elle fouilla de fond en comble. L’arme du crime fut retrouvée dans une cuvette dans les toilettes d’un étage intermédiaire. Les vêtements furent retrouvés dans la cuvette des toilettes du dernier étage. Le tueur s’était encore enfouit. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 28-04-2012 Pour les fans des codes secrets: 252258132481 25622528962514144 441576169576324576 255765291446259576, 25’81256196 196576144361576144324256 144676 4845291289256289324 49’112112132457619681324 10057619632481 28967619681529529289169816762581 256144484813242898114432481, 928981676 40014481 52981256 49813246762898132481256 121576289256, 36181 100576289256 1289 19632457614410081 144676 48481144 4981484125625681. 361’814848132481 816762557632481 1100289324 529’57625251256289576676 4981 100576144256 112112132457667619681324. 36181 100576144256 48432457648457625681 4981 676576144256 3248119632457614410081324 1 5291 196576144324 49’132416981676196, BF 4001441361 4981 5291 1965761443246768152952981, HF AAF 4841324289256. 36181 256144289256 4848132425614414981 40014481 100576144256 132432428910081324814 1 4981255764981324 2581 62581256256116981. 52981 19614481144324. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Darth Nico - 28-04-2012 (28-04-2012, 08:15 AM)Philou Wrote: Le tueur s’était encore enfouit. Le tueur était bien une TAUPE ![]() Danglar change de nom et devient Douglas. On a une nouvelle fois l'impression que SKC fait un raisonnement génial à partir de pas grand'chose. Genre elle est persuadée que le tueur a un complice... Et puis, tu utilises encore le coup de la poudre sur les vêtements. A mon avis, tout cela va trop vite. Il faut prendre le temps de poser l'ambiance, créer du suspens, amener petit à petit la vérité sur l'assassinat.. Là, tout est trop vite expédié : ils arrivent chez le gars, le héros se fait assommer, le type est tué, SKC fait sa déduction de la mort, et hop, c'est fini. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - Philou - 28-04-2012 Je dois reconnaitre que je suis moins content de ce chapitre. Mais bon, c'est comme ça... Je pense que je le recorrigerai, mais je ne sais pas encore comment. (Avec corrections mineures) Chapitre 7 : Le tueur dupe Kogoro Columbo Le 7 décembre 2011, je me prélassais dans mon bureau quand le téléphone sonna. Il était vers 10H. Je décrochais. - Derrick, c’est Jack, peux-tu passer à mon bureau, c’est urgent. - Un problème ? - Je t’expliquerai sur place. Peux-tu amener ta collègue Kogoro Columbo. - Bien. Au bout d’une demi-heure, nous étions dans le bureau de mon ami Jack, 36 Quai des orfèvres. Nous nous assîmes face à lui. - Bien, dit-il, ce matin, j’ai reçu ceci. Il sortit une feuille placée dans une pochette plastique. Sur cette feuille était collée des lettres coupées dans un papier de journal. Le tout formait un message. « Aujourd’hui, à 12H, je vais assassiner Monsieur Adams Danglar. Si vous voulez empêcher cet assassinat, je vous recommande l’assistance de Shimazu Kogoro Columbo. Seule elle est capable de me stopper. Le tueur. » - Qu’est-ce que cela signifie ? Demanda Jack en se tournant vers Kogoro Columbo. - Que le tueur me défie. - Pourquoi vous défie-t-il ? - Car j’ai réussi à empêcher un de ses assassinats. - Bien, allons sur place. Adams Danglar était trader à la société Générale. Il travaillait à la tour de la défense. Il avait la soixantaine, les cheveux blancs et un certain embonpoint. Il avait le visage sévère. Il savait de ses yeux noirs observer le monde. Il savait faire les bons placements et avait rapporté à sa Banque, la société générale, plusieurs milliards d’euros. Nous retournâmes à la défense et allâmes à la tour de la société générale à la défense. Nous arrivâmes au portique de sécurité. Jack montra sa carte : - Police, ces deux personnes sont avec moi, dit-il en désignant Shimazu et moi-même. Derrière nous arriva une femme. Elle était quelconque. Elle posa ses clés, sa montre, son portable et son sac sur la table. Elle passa sans problème le portique de sécurité. On nous indiqua le bureau de Adams Danglar. Nous montâmes au dernier étage. Nous frappâmes à la porte. - Entrez. Nous entrâmes. - Messieurs, Madame ? Que puis-je pour vous ? Demanda Adams Danglar. - Police dit Jack en sortant sa carte. - La police ? Répondit-il. - Oui, je vous présente mon ami Derrick Palmer, et sa collègue Shimazu Kogoro Columbo. - Enchanté. Mademoiselle, c’est une drôle d’idée de s’habiller en kimono. - Ce n’est pas important, coupa Jack. Ce qui est important, c’est que l’on va essayer de vous assassiner. Ces deux personnes sont détectives privés. - De m’assassiner, c’est ridicule voyons. - C’est pourtant le cas, fit Jack en montrant la lettre reçu ce matin. - Voyons, c’est une plaisanterie. - De la part du tueur, je ne crois pas à la plaisanterie. - Si vous insistez, mais je pense que vous faite erreur. Nous attendîmes. Je pouvais voir par la fenêtre du bureau la défense. Vers 12H30, il ne s’était toujours rien passé. Soudain, le téléphone sonna. Adams Danglar le prit. - Allo ? C’est pour vous inspecteur. Jack mit le haut-parleur. - Vous feriez bien d’aller voir aux toilettes du premier étage. L’interlocuteur raccrochât. - J’y vais avec Shimazu, dit Jack. Reste avec Danglar. Shimazu et Jack se précipitèrent hors du bureau. Je regardais dans le couloir. Les bureaux semblaient vides. Une main me frappa par derrière. Je m’évanoui et tombait à terre. Quand je me réveillais, Shimazu et Derrick étaient face à moi. Adams Danglar était parti. - Où est Adams, demandais-je ? - Il est mort. On l’a retrouvé aux toilettes avec une fille, qui d’après les premières constatations est sa secrétaire. - Hein ? - J’ai appelé des renforts, la police va arriver, et j’ai fait boucler l’immeuble répondit Jack. - Je ne comprends pas. Shimazu alluma son kiseru. Puis elle fit le raisonnement suivant : - La personne qui était avec nous était le tueur et non Adams Danglar. Quand nous sommes arrivés, le vrai Adams Danglar était déjà assassiné au premier étage. Nous avons un assassinat planifié. Le tueur et son complice, car il va de soi qu’il a un complice, sont, selon toute probabilité arrivé ce matin. Le vrai Danglar, et sa secrétaire, car nous avons retrouvé son corps également, se sont retrouvés aux toilettes du premier. Le tueur les attendait avec son complice. - Mais que sont-ils allés faire aux toilettes ? Demanda Jack - Je pense qu’il y avait trois personnes dans le coup. - Trois ? - Oui, trois. C’est la secrétaire qui a amené son patron au premier, comme convenu, et qui a tiré le coup de feu qui a assassiné son patron. - Tu vas vite en besogne, répondit Jack. - Pas du tout. J’ai observé le corps de la secrétaire, et j’y ai trouvé sur ses habits des traces de poudres. C’est elle qui a tiré sur son patron. - Et comment a-t-elle fait passer l’arme ? - D’une façon honteusement simple. L’arme devait être dans son sac à main. Vous vous rappelez de la femme passée derrière nous. Elle a juste posé son sac, ses affaires métallique, et elle est passée. Le gardien, n’a rien fouillé. Le sac posé sur la table, le gardien, sachant qu’elle travaille dans la tour, n’a pas fouillé le sac qu’elle a dû poser sur la table. Je me demande d’ailleurs pourquoi on achète des portiques si chers. - Ensuite, je suppose que le tueur et son complice sont arrivés, que le tueur a repris l’arme et a tué la secrétaire. - Erreur, ce n’est pas le tueur qui a tiré, mais son complice. Sinon, on aurait retrouvé des traces de poudre sur le faux Adams Danglar. Ensuite, son complice et lui-même ont posé les corps et les ont enfermés de l’intérieur. Ils ont peut-être utilisé du fil de pêche. Après, déguisé en Adams Danglar, le tueur est monté au dernier étage. Vers midi, son complice est arrivé à la salle de surveillance, a tiré sur les gardiens, a volé tous les CD de la journée, et a coupé les caméras de sécurités. - Mais que s’est-il passé. - Nous sommes arrivés aux toilettes du premier étage. Nous vîmes deux portes fermés. Nous frappâmes, pas de réponse. Jack les défonça et trouva les deux cadavres. Pendant ce temps, le tueur te frappa à la nuque et s’enfui. La police arriva, et elle cerna le bâtiment. Elle fouilla de fond en comble. L’arme du crime fut retrouvée dans une cuvette dans les toilettes d’un étage intermédiaire. Les vêtements furent retrouvés dans la cuvette des toilettes du dernier étage. Le tueur s’était encore enfuit. RE: [Roman] L'amant ou l'amoureux: Un choix pour Kogoro Columbo - sdm - 29-04-2012 La première phrase du code est "Chere Shimasu Kogoro Columbo". Je m'épargne le décodage du reste vu que ça ne m'est pas adressé ![]() |