17-08-2004, 07:50 PM
Bah, il y a aussi les plaisirs saphiques 
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9e Episode : Cour d'hiver
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17-08-2004, 08:41 PM
Nous n'avons pas les mêmes valeurs 8)
(tendage de perche spotted) 
05-09-2004, 12:49 PM
Note sur l’honneur à la cour
A part pendant une bataille, il n’y a nul endroit où un samouraï puisse gagner autant de Gloire et d’Honneur que pendant une cour d’hiver. En revanche, on peut y perdre beaucoup plus. Un mot de travers, et vous voilà envoyé surveiller les canards de l’Empereur, récurer les latrines de votre daimyo, ou pourquoi pas : négocier une entente cordiale avec une bande de sorciers maho-tsukai. A moins que votre seppuku ne devienne l’évènement de la soirée. Un courtisan habile, influent possède tout un raison de relations et d’amis qu’il sait utiliser comme autant d’accessoires pour manipuler le monde autour de lui. Ne pas avoir peur d’utiliser des espions pour en apprendre sur votre ennemi. De toute façon, vous pouvez être certain que ce dernier n’agit pas autrement contre vous. Ayez honte d’évoquer un tel sujet en public, mais pas d’employer des hommes sûrs, à l’oreille attentive.  L’honneur du courtisan est l’honneur de son clan. Servez votre clan, pas vos scrupules personnels. Sans quoi votre ennemi, qui n’écoute pas ses scrupules, vous déshonorera –et déshonorera ainsi votre clan. Souvenez-vous qu’une grande dame de cour de famille impériale, Otomo Modoko a transposé avec succès les conseils martiaux du général Sun Tao à la vie de cour, dans son livre Les Subtilités de la Cour. Les règles sont en effet les mêmes : ne pas perdre de terrain ; en gagner ; aider ses alliés ; combattre ses ennemis ; ne jamais négligez son avantage ; ne pas affronter plus fort que soi. A la cour, se comporter de manière élégante est vital. Pas important : vital. S’adresser correctement à votre égal ou à votre supérieur est un minimum. Mettez-y les formes pour demander une faveur, offrir un cadeau ou demander la permission de parler. Sachez que votre daimyo peut vous demander à n’importe quel moment de faire seppuku, et qu’un égal ou un supérieur de votre daimyo peut demander à votre seigneur qu’il exige votre suicide. Refusez trois fois un présent, de manière à ce que votre interlocuteur prouve la sincérité de son offre. Ne prêtez pas attention aux propos d’un homme ivre. Et surtout : n’évoquez jamais son ivresse après coup, c’est encore plus déshonorant que de réagir à ses propos d’ivrogne. Aussi n’oubliez pas cette règle : mieux vaut être trop poli que pas assez. Quelqu’un de trop précautionneux paraîtra prudent et avisé. Quelqu’un de trop direct finira le wakizashi en travers du ventre. Quelques aphorismes de Sun Tao, commentés par Otomo Modoko « Seul l’ignorant combat pour gagner. L’homme éclairé a déjà gagné avant de combattre. » N’affrontez pas un courtisan ennemi dont vous ne savez rien. Laissez-le remporter une petite victoire, pendant que vous battez en retraite, à la recherche de son point faible. « Une victoire ne se répète pas. » Vos ennemis ne tomberont pas deux fois dans le même piège. User toujours de la même tactique est signe d’un manque d’intelligence. « Un général compétent attaque l’armée de l’ennemi. » Eviter de vous lancer dans un discours argumenté. Si votre ennemi commence à argumenter, ne cherchez pas à avoir raison à tout prix. Coupez court à la discussion : cherchez seulement à avoir le dernier mot. Ceux qui argumentent ont considérés comme des idiots. Ne commencez à couper les cheveux en quatre que si vous voulez passer pour un imbécile, et emmener votre ennemi avec vous dans la déchéance (cette tactique ne devrait pas être sous-estimée). « Si votre armée est plus grande, attaquez. Si elle est plus petite, restez sur vos gardes jusqu’à ce qu’une occasion se présente. Si votre armée est en grande infériorité numérique, fuyez et sauvez votre peau. » Si vous avez un avantage certain, n’ayez pas peur d’en user. Qui sait si votre ennemi ne prépare pas quelque chose ? Mieux vaut agir tant que vous êtes le plus fort. Et si vous êtes certain que votre ennemi est en position de force, évitez-le à tout prix. Envoyez quelqu’un d’autre à votre place.
Et bééé ça promet
 
06-09-2004, 10:13 AM
Effectivement... heureusement que je suis loin de tout ça
 A propos des lions : La Kitsu elle est shugenja, soden senzo ou un peu des deux? Seizuka  une famille vassale des Matsu sans aucun doute...A propos du moineau : Mais qu'est-ce qu'il trouve à Ayame? (  je sens que je vais bientôt sortir moi)
06-09-2004, 10:41 AM
Comment ça qu'est-ce qu'il lui trouve ?!
 Tout le monde n'est pas attiré par la top-model à côté hein, certain privlégie l'intelligence, non mais :se_drappe_dans_sa_dignité:
06-09-2004, 10:49 AM
 il est vrai que les moineaux recherchent plus une vie de sagesse et d'humilité,et que le jeune Yugoki est attiré par l'interdit, comme par exemple ce qu'on peut trouver dans la grande ville de l'ancien clan scorpion
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