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Le topic des honorables floodeurs
Je ne fais que dire la vérité, le plus gros problème du monde ce sont eux. Ouimaisnon
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On est repartis pour 4 ans de connerie impérialiste, unilatéraliste et texane. :(

...

Michael Moore pourra à nouveau s'en donner à coeur joie. Boidleau
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Le quart d'heure philo

La Boétie s'interrogeait sur ce fait obscur et impénétrable qui fait que les hommes peuvent être amenés à désirer leur propre répression, par un instinct de complaisance qui les fait s'agenouiller devant le dictateur (parce qu'il leur promet des plaisirs, est doucereux avec eux, les flatte dans leurs bas instincts...).
Spinoza a dit que la fin de l'Etat est la liberté. En conséquence, la société raisonnable est celle qui résulte de l'association de tous les citoyens qui désirent rationnellement la liberté = la joie = la perfection de l'homme.
Au contraire, le besoin de sécurité, de fuir la peur, est le signe des hommes esclaves, qui s'associent pour construire leurs propres superstitions et leur propre asservissement.

Ouimaisnon
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Teach c'est intéressant... mais bon je n'ai pas le centièmes des références littéraire nécessaire à ce débat Spamafote
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Stait pas tellement pour un débat, juste des propos qui me paraissaient d'actualité. wink
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Le fait est que la libertée est un terrible fardeau. Elle implique que l'homme est autonome. Il ne peut pas s'en remettre à quelque chose ou quelqu'un d'autre, et doit donc assumer ses actes. Au contraire, agir selon ce que dit le parti/la télé/ le prêtre/le professeur , se soumettre à leurs injonction, permet d'échapper au remors et aux regrets indissociable d'un choix...
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C'est pour ça que rien ne vaut une bonne petite dictature.

Willo, dictateur plénipotentiaire de la Terre, ça le fait hein? :jmekiffe:
Le premier qui dit le contraire recevra la visite prochaine de mes hommes de confiance 8)
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Riobe,03/11/2004 à 16:33 Wrote:Le fait est que la libertée est un terrible fardeau. Elle implique que l'homme est autonome. Il ne peut pas s'en remettre à quelque chose ou quelqu'un d'autre, et doit donc assumer ses actes. Au contraire, agir selon ce que dit le parti/la télé/ le prêtre/le professeur , se soumettre à leurs injonction, permet d'échapper au remors et aux regrets indissociable d'un choix...
Oui, c'est vrai.
Mais le prix à payer pour se décharger de ce risque de la liberté est au bout du compte bien plus lourd, tout comme le prix à payer pour les politiques sécuritaires de masse, qui donnent un "sentiment" de sécurité, mais se payent très chers sur le moyen terme.
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Regardez l'histoire et ce que l'homme a fait ou accompli à chaque fois qu'il a gagné sa liberté. Vous comprendrez que ce genre de débat est très beau sur le papier mais qu'il ne peut s'appliquer à la VIE REELLE pour la bonne et simple raison que l'homme ne connait pas l'auto discipline (mis à part un nombre insignifiant d'individus à l'échelle de l'hummanité).


Je m'abstiendrai de développer plus, je suppose que vous avez compris ou je veux en venir. wink
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Certes, mais bien des choses réelles ont changé après qu'on avait changé, sur le papier, la manière de les penser.
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