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^Tales of the Scud^ - Episode III : K.O.A.N.E.
#11
bravo
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#12
Tiens voilà le texte original, j'imagine même pas comment ça pourrait passer maintenant, quelle tristesse tant il est vrai qu'on peut rire de tout (mais pas avec tout le monde bien sûr smile )


"On ne m'ôtera pas de l'idée que, pendant la deuxième guerre mondiale, de nombreux juifs ont eu une attitude carrément hostile à l'égard du régime nazi. Il est vrai que les Allemands, de leur côté, cachaient mal une certaine antipathie à l'égard des juifs.
Ce n'était pas une raison pour exacerber cette antipathie en arborant une étoile à sa veste pour bien montrer qu'on n'est pas n'importe qui, qu'on est le peuple élu, et pourquoi j'irai pointer au vélodrome d'hiver, et qu'est-ce c'est que ce wagon sans banquette, et j'irai aux douches si je veux...
Quelle suffisance!"
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#13
C'est fou ce texte ! :shock: lol
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#14
^Tales of the Scud^

Il se passa plusieurs mois, durant lesquels les deux Jedi promus s'entraînèrent ensemble au temple Jedi. Kyrian Tel eut la charge d'inculquer à son élève des principes fondamentaux de son Ordre, sur le rythme de la formation accélérée. Saesee Tiin l'aida plus d'une fois : maintenant que le conseil Jedi avait accepté, Maître Tiin était engagé lui aussi, car il était celui qui avait plaidé la cause de Farrell devant les autres membres.

El Daoud se montra un élève très doué. Il était doué d'une grande sensibilité, sans doute exacerbée par les souffrances qu'il avait connues par le passé. Vivre parmi les séides du côté obscur avait engendré en lui une grande détresse, que Kyrian Tel l'aida à combattre par de fréquents exercices de méditations. Il eut moins de temps à consacrer au sabrelaser, même si l'époque l'aurait voulu.
Pendant ce temps, les maîtres Jedi repartaient en guerre. On comptait des morts fréquemment parmi les chevaliers et un deuil continuel pesait sur le temple.
Kyrian essayait de maintenir El Daoud à l'écart de cette atmosphère sombre, sans quoi son élève aurait bien eu du mal à différencier le côté lumineux des passions tristes du côté obscur.

Les deux Jedi visitaient un jour maître Yoda, qui entraînait les jeunes élèves. Ils étaient une quinzaine, à manier leurs petits sabres-laser, en se concentrant sur les sphères qui tournaient autour d'eux.
L'un des enfants se mit soudain soudain à pleurer :
- Bouh, maître Yoda ! il m'a pris mon sabre !
Son voisin était effectivement en train de jouer avec son propre sabre et celui pris à son camarade.
- Rendre ce sabre tu dois Nello ! de deux sabres un débutant n'a nul besoin ! Yoda
- Mais j'veux m'battre à deux sabres maître Yoda !
- Plus tard, si habile tu es, ce style de combat maîtriser tu pourras ! pour le moment, t'entraîner tu dois et pacifique être avec tes petits camarades ! Yoda

El Daoud et Kyrian ne purent retenir un sourire face à ce gamin tout fier de lui. Ils saluèrent Yoda et repartir vers les salles d'entraînement du temple.

ayame

Alors que la guerre continuait, les Séparatistes perdaient du terrain chaque jour mais n'étaient sûrement pas décidés à négocier leur rédition. On entendait de plus en plus parler du général Grievous, un terrible tueur de Jedi, qui menait l'armée des droïds, pendant que le comte Dooku était leur leader politique. Grievous avait abattu un grand nombre de Jedi et il devenait la cible prioritaire à abattre. On entendait parler aussi d'une élève de Dooku, Assajj Ventress, que le chevalier Anakin Skywalker avait combattue. On parlait du chevalier Quinlan Vos, censé s'introduire comme espion auprès de Dooku, mais qui avait peut-être fini par céder au côté obscur. On parlait de beaucoup de choses encore, et des légendes se gravaient chaque jour, dans le sang et la souffrance des combats.

Le Chancelier Palpatine usait de son pouvoir pour intensifier les combats. Les clones déferlaient en nombre toujours plus grand sur la galaxie et, au Sénat, de plus en plus de partisans se ralliaient à lui : bien des votes étaient expédiés parfois en quelques minutes, presque à main levée. C'était de véritables motions de soutien populaire, à la limite de transgresser le déroulement normal du vote. Au milieu des clameurs des bellicistes à outrance, la voix de Bail Organa avait bien du mal à se faire entendre.
Le Chancelier fascinait : il savait comment manier les passions de la foule, comment s'imposer au Sénat avec aisance, jouer des rivalités et profiter de la corruption qui gangrénait de plus en plus cette institution pour s'imposer.
Derrière un grand nombre de mesures et de décrets soumis presque quotidiennement à l'approbation du Sénat, se cachaient des réformes plus profondes, cachées par l'épais rideau de fumée des premières. En effet, le Chancelier avait nettement mis un pied dans l'armée et avait commencé à révoquer plusieurs grands amiraux de la République, qui étaient de véritables symboles du régime. A la place, il mettait des hommes à sa botte, des officiers médiocres qui lui vouaient déjà une reconnaissance éternelle pour être montés jusqu'au sommet de la hiérarchie. Des campagnes de calomnie étaient organisées contre des héros de la guerre, et on portait aux nues de gris officiers, sans aucun panache, aucun entrain, des sortes de fonctionnaires impersonnels, qui obéissaient vite et bien aux injonctions de Palpatine, pas comme cette sorte de noblesse militaire de la République, qui avait un grand sens de l'individualisme et des valeurs de la démocratie.
Il semblait au contraire que les amiraux montés grâce aux Chanceliers étaient presque dépourvus d'attachement aux traditions de la République : ils étaient davantage les membres occultes des admirateurs de Palpatine. Eux qui n'avaient guère de personnalité, ils participaient à la personnalisation du pouvoir du Chancelier.
Les Sénateurs qui criaient le plus à la décadence et à l'anarchie étaient ceux qui se jetaient dans les bras du leader charismatique providentiel, à mesure que des rumeurs folles concernant les Séparatistes couraient partout dans les couloirs, les alcôves autour du Sénat. C'était une atmosphère d'ébullition, d'agitation, où circulaient les rumeurs en permanence, ce qui développait les comportements les plus irrationnels. On perdait la tête, on votait contre ses convictions, on s'en remettait aux solutions les plus visibles...

ayame

C'est dans ce contexte que le capitaine McRye accepta une seconde invitation du sénateur Bail Organa. Celui-ci tentait tout ce qu'il pouvait pour endiguer le plébiscite populaire interminable adressé à Palpatine.
Et surtout, il s'inquiétait des changements effectués dans les hautes sphères de la hiérarchie militaire. Il n'osait pas dire que cela ressemblait à la préparation d'un coup d'Etat, avec la complicité de ceux qui auraient dû s'en méfier -les Sénateurs-, mais il n'en pensait pas moins. McRye, sincérement soucieux de ces changements, se tint à son devoir de réserve, une fois de plus. Kyrian Tel et El Daoud étaient aussi les invités du Sénateur Organa : ils espéraient bien que cette situation de crise se résoudrait avec la fin du conflit. Le capitaine Bellerophon était plus remonté que jamais.
McRye lui annonça qu'il repartait bientôt en campagne à Farfax, pour libérer la route perlemienne. Il invita, à titre plutôt officieux, Bellerophon et les deux Jedi à se joindre à lui. Autrement dit : il n'y aurait officiellement pas de Jedi dans cette campagne et on ne les verrait pas au moment de partir de Coruscant mais ils étaient les invités de McRye. Kyrian Tel comprit la position difficile de son ami : il savait que les Jedi n'étaient pas très appréciés du Chancelier et, par conséquent, de l'amirauté de la flotte. Bellerophon rechigna un moment, puis accepta, quoiqu'il dût avaler cette humiliation supplémentaire, si lui et la garde républicaine devaient faire preuve de leur courage. Organa apprécia ce capitaine qui savait faire droit à ses convictions, et n'obéissait pas aveuglément aux ordres de sa hiérarchie.
Il l'invita donc à venir très bientôt sur Alderande, dès qu'il le désirait. McRye remercia le Sénateur, sans accepter ni refuser. Il ne fallait pas fâcher un membre du Sénat mais pas non plus tout accepter de lui. McRye, décidément, se méfiait de la politique. Il ne voulait pas entrer dans ce jeu-là.

Le lendemain de cette réception, il était convoqué dans le bureau de son supérieur, le colonel Platokiff. C'était un de ces entretiens entre quatre yeux, bien connus des officiers, où le "Vieux" vous en mettait pour votre grade.

Platokiff tapotait nerveusement un journal qu'il avait sur son bureau : un papier people où l'on voyait les photographies des invités du sénateur Organa. McRye, au buffet, semblait très à l'aise dans ce décor, parmi les opposants au Chancelier.
- Alors, capitaine McRye, on soigne ses relations politiques ?
McRye toussota, gêné. Comme il aurait dît au moment de lancer sa flotte dans un assaut serré : "Boucliers déflecteurs sur toutes les positions !"
- Il est vrai que le Sénateur Organa m'a invité et je n'ai pas cru devoir refuser... Mais c'était informel...
- Rien de ce que fait un Sénateur n'est informel, capitaine !... Vous devriez savoir qu'en tant qu'officier, vous n'avez pas à traîner dans ce genre de mondanité. Vous savez très bien quelle est la couleur politique de notre état-major. Libre à vous, en votre for intérieur, de désapprouver mais en tant que soldat, en tant qu'officier, vous n'avez pas à remettre en question leurs choix. Je sais très bien ce que vous devez penser de ces remaniements tout en haut ; mais comprenez donc que le chef de l'Etat a fait cela pour accélérer la fin de cette guerre. Il n'est plus temps de faire confiance à des "héros" qui prennent leurs décisions seules, sans en référer à la maison-mère ! Nous avons besoin d'exécutants efficaces, qui répondent sans délai aux instructions du Chancelier. C'est ainsi, sans quoi nous n'en aurons jamais fini avec les Séparatistes !... Ensuite, il y aura de nouveau de la place pour nos grands symboles de la République. Mais pour le moment, ils resteront au placard.
- Bien sûr, colonel, je comprends et j'ai bien tenté d'expliquer la position du Chancelier...
- Capitaine, ces gens-là sont malins. Ils sont maîtres de la parole. Dites une chose et ils arriveront à vous faire dire le contraire. Vous êtes un militaire, pas un porte-parole, un bavard. Comme je vous l'ai promis, vous allez prendre d'ici peu de temps la tête de notre armée et libérer Farfax. C'est une question de jours, maintenant. Songez à tout ce qu'il y a au bout de cette campagne, McRye. Votre carrière peut grimper en flèche. Cela vaut bien que vous évitiez certaines fréquentations fâcheuses, je pense...
- Tout à fait, colonel...
- Bien, je crois que je me suis bien fait comprendre. Rompez.

McRye se leva, salua et sortit de la pièce. Au mess, les autres officiers l'attendaient et lui payèrent un verre pour le remonter. Il en avait bien besoin !

A suivre... ayame
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#15
^Tales of the Scud^

Le lendemain de sa petite discussion avec le Vieux, McRye apprenait que la campagne de Farfax était repoussée. Pour le moment, il partait en mission d'observation dans un quadrant isolé de la périphérie de Coruscant. Les seuls problèmes qu'on y détectait était, tous les dix ans, le passage de colonies de mynocks bruns...
Le capitaine accueillit cette belle mise au placard avec stoïcisme : au moins n'était-il pas exclu de Farfax, puisque la bataille était repoussée. Il en avait reçu confirmation du Duc Lepto. Il prit la tête de sa flotte et partit observer pour longs mois le vide spatial.

En apprenant la nouvelle, Kyrian Tel, El Daoud et Bellerophon se résignèrent à attendre. L'entraînement reprit, alors que le Temple Jedi voyait aller et venir ses membres. El Daoud continuait à progresser rapidement. Il ne demandait qu'à savoir plus de choses et à se dévouer à la compréhension du côté lumineux. Il avait une propension mystique, passionnée, à connaître les mystères de l'univers. Kyrian Tel, plus pragmatique, abordait moins ce côté des choses. Il pressentait que son élève pourrait devenir un Jedi bien différent de lui mais avait la carrure de devenir plus tard, un maître lui aussi. Ce serait bien un exploit que d'arriver à transformer un disciple Sith en membre du conseil de la Force !

Parfois, dans les couloirs du temple, nos deux héros croisaient l'instructeur des jeunes Jedi, le chevalier Cyrillis Baelun. Il secondait maître Yoda dans sa tâche d'éduquer les plus petits. Il pestait régulièrement contre Nello et ne savait pas quoi faire pour discipliner cet infernal gamin. Kyrian Tel ne prenait pas la chose trop sérieusement et tapait sur l'épaule de Baelun en lui souhaitant bon courage. En ces temps-ci, il y avait des choses plus graves qu'un élève un peu rétif...

ayame

C'était une nuit calme, où le ciel dégagé laissait voir des millions d'étoiles, malgré les éclairages éblouissants de la Cité Galactique. Pour les deux Jedi, la journée avait été calme. Après plusieurs jours d'entraînement au sabre, Kyrian avait décidé qu'il fallait s'accorder des moments plus calmes. C'était à vrai dire ceux qu'El Daoud préféraient. Alors Kyrian avait une pensée pour le capitaine McRye, perdu loin dans les étoiles, dans les profondeurs inertes de l'espace, il entendit frapper à sa porte.
Il se leva et sentit que c'était El Daoud, qui frappait avec insistance.
- Que se passe t-il ?
El Daoud était en nage. Il tremblait.
- Maître... j'ai senti un grand malheur, un grand danger...
- Quoi donc ?
- Le capitaine McRye... il est en danger là où il est ! Nous devons y aller, lui porter secours...
- Quel danger ? quoi enfin !
- La Salamandre ! Hawat ! je suis sûr qu'ils ne sont pas loin ! ils vont attaquer !
- Tu es sûr de toi ?

El Daoud avait de temps à autre des visions de l'avenir proche. Il avait su prédire une ou deux fois qui allait rentrer dans la pièce, quelle phrase la personne allait dire, des petites choses de ce genre. Il n'avait jamais eu d'intuition si précise. Fallait-il le croire ? Il s'agissait de la Salamandre cette fois. Et Kyrian voulut faire confiance à son élève : c'était aussi faire confiance à l'entraînement qu'il lui avait donné.
Les deux Jedi coururent donc vers deux chasseurs spéciaux, avertirent rapidement le Temple de leur excursion à l'improviste et previnrent par com' le capitaine Bellerophon de se tenir prêt.
Leurs chasseurs décollèrent au beau milieu de la nuit et partirent en flèche vers le quadrant 23.45B, où leur ami était en patrouille pour un temps indéfini.

ayame

Le capitaine McRye observa une petite formation d'astéroïde devant laquelle il était passé déjà une dizaine de fois en trois mois. Il était bien tenté de faire tirer dessus, afin de maintenir le moral de ses troupes, mais ils avaient déjà détruit 75% des astéroïdes présents sur leur trajectoire et il fallait s'en garder pour les temps à venir, car il n'y avait pour l'instant pas de limite fixée à cette mise au placard...
- Toujours rien de neuf aux senseurs ?
Les officiers de navigation hochèrent la tête négativement. McRye veillait à distraire ses hommes comme il pouvait mais enfin, s'il n'y avait personne depuis des mois dans les systèmes voisins, on pouvait bien envoyer autant d'éclaireurs qu'on voudrait, un système inhabitable resterait inhabitable jusqu'à nouvel ordre ! Tired

Un peu plus tard, à l'heure où, artificiellement, il était convenu que c'était la nuit, McRye repassa dans la salle de navigation.
- Perturbations repérées dans la zone KL54 !
McRye faillit sursauter : pas possible, c'était aux moins les mynocks hermaphrodites à poil dru qui étaient en avance sur leur migration !
Est-ce que ça se mangeait, d'ailleurs, ces bestioles ? Clever

- Capitaine ! il y a toute une flotte en approche !
- Toute une flotte ? leurs codes transpondeurs ?
- Séparatistes !
Là, McRye faillit sauter de joie.
- Alerte générale ! tout le monde à son poste ! faites chauffer les canons ! boucliers déflecteurs sur toutes les positions !
Il jubilait. En se frottant les mains, il alla se mettre à son siège de commandement, pendant que la sirène retentissait dans tout le bâtiments et que les officiers des autres navires se mettaient au rapport. Evidemment, tout le monde était prêt à combattre.
- Ces maudits Séparatistes sont fous de s'approcher ainsi de Coruscant !
Il fit craquer ses doigts pendant que, telle une fourmilière dans laquelle on vient de mettre un coup, son bâtiment frétillait de vie.

Comme s'ils perçaient la couche noire du cosmos, les bâtiments de guerre séparatistes jaillirent de partout autour du convoi militaire de McRye. Ils étaient pris entre deux assauts, en sandwich. Mais le capitaine aimait le défi. Il lança ses instructions à tous les officiers puis se mit en communication avec le capitaine de la flotte :
- Préparez mon chasseur et deux copilotes ! Je vais aller saluer nos amis !
Le combat s'engageait pendant que McRye courait revêtir sa combinaison de pilote.

Les bâtiments du techno-Syndicat et du clan Bancaire arrivaient en nombre. Ils allaient écraser en peu de temps la flotte loyaliste. Mais tous les hommes de McRye voulaient en découdre et ils n'allaient pas se laisser faire.
Au beau milieu du fracas des chasseurs, des tirs intensifs de canons et des vols de torpilles à protons, le groupe Leader de McRye, composé de 24 ARC170, jaillit hors du vaisseau-mère et se lança à toute vitesse vers le plus gros bâtiment ennemi. McRye était resté sur sa faim, à Riemann, quand au bout de plus de six torpilles, il n'avait toujours pas détruit sa cible.
D'autres escadrons jaillissaient déjà et se mettaient en formation.
- Groupes II et III, vous nous couvrez ! Groupe I derrière moi : on passe dans la zone A.
Autrement dit : ils se précipitaient vers la zone de combat la plus dangereuse. Les bâtiments, des deux camps, étaient si près les uns des autres qu'ils formaient une sorte de mégalopole dans l'espace et foncer entre eux en chasseur ressemblait à un vol à pleine vitesse parmi les cités gratte-ciel de Coruscant !

A suivre... ayame
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#16
Et bien tu es en veine littéraire aujourd'hui smile

Quel plaisir pour nous biggrin
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#17
Quand je pense que j'ai encore tout SW +DA+ III après ça ! Boidleau
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#18
Et un peu de Vampire Aloy

Allez on t'offre un paquet de kinder à la fin Yaisse
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#19
Et n'oublions pas L5R. Yodaloy
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#20
Exact Chinese

Baste au diable l'avarice, je monte l'offre à 1 paquet 1/2 !
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