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Topic des Honorables Samuraï
Isawa Ayame du clan du Phénix

But du personnage ?
Accomplir son destin puisqu'elle n'a plus la force de le changer

En qui votre personnage a t-il confiance ?
Personne sauf peut-être Ikky

Son point fort ?
Compétente et rationnelle

Son point faible ?
Désabusée, fragile psychologiquement

Que pense votre personnage du Bushido ?
Un code figé mais dans l'ensemble bénéfique

Que pense le personnage de son clan ?
Une grande sagesse mais l'immobilisme le sclérose

A t-il des préjugés ?
Oui, sur les ronins en particulier

Son avis sur les autres clans ?

Crabe : Personne ne connait vraiment les termes de leur accord et ils ont supporté seul la charge de notre défense si longtemps...

Dragon : Des mystères à perte de vue dans leurs montagnes, et apparement les mêmes craintes que dans nos bibliothèques. J'espère qu'ils agiront pour le bien de tous.

Grue : Ils sont presque morts. Je ne sais pas si je dois m'en désoler ou m'en réjouir, ils ont compris que la diplimatie est préférable à la guerre mais tous leurs jeux politiques ne sont que vanité.

Licorne : Alors qu'ils devraient nous enseigner les fruits de leur voyage et de leurs expériences chez les Gajins, ils n'ont de cesse de redevenir comme les autres pour se faire accepter.

Lion : Quand la main droite dévore la gauche, l'Empire bascule et ne voit plus le véritable danger. Mais qui pourrait se dresser devant leurs armées...

Scorpion : Ils ne sont pas ce qu'ils semblent être, je pense qu'ils ont senti le danger avant nous mais leur réaction a été le pire remède que je puisse imaginer.

Ronins : Certains ont de l'honneur m'a-t-on dit... La plupart ne sont que des pillards et des brutes.

Est-il mariée ?
Non

Envers qui est-il le plus loyal ?
L'Empereur

Ses goûts ?
L'opium...

Sa psychologie ?
Cette vie en vaut-elle la peine, et que faire devant tant d'obstination. Ma route était tracée et rien ne pourra plus la modifier.

Comment traite t-il un serviteur désobéissant ?
La question ne se pose pas

Que pensent ses parents de lui ?

Père, Inaki Hirotoki : "Un jour elle comprendra sa place dans notre famille et reviendra vers moi."
Mère : morte


Ses aspirations ?
Elle n'en a plus

Est-il dévôt?
En tant que Shugenja, elle ne peut que croire dans les Fortunes et le Tao

Un conseil à donner à votre personnage ?
La route est tracée mais toi seule décide de la destination


PS c'est fait au boulot j'aurai peut-être des modif à faire et puis je posterai mon texte ce we biggrin
Reply
Je vois que les descriptions s'enchaînent. Pas mal! Il y a là de quoi faire une bonne équipe avec ses divergences, ses conflicts, mais aussi sa force 8)
Reply
Je pense que je vais remplacer la dépendance de mon frère par Jalousie. ça me fait pile poil le total de points authorisés en désavantages... biggrin

GroNicö Panda, un conseil pour la jalousie? J'hésite un peu, et vu ce que j'ai en tête, y'en a un qui va finir par croire que je m'acharne contre lui... Wink
Reply
Quote:Je vois que les descriptions s'enchaînent. Pas mal! Il y a là de quoi faire une bonne équipe avec ses divergences, ses conflicts, mais aussi sa force  8)

Oui, je plussoie tout à fait ! bravo2
C'est justement ce que je pensais : il y aura des frictions, chacun aura ses divergences à défendre, mais dans l'ensemble, l'équipe restera soudée !

Bravo les gens ! You roxx ! Applause
Reply
J'ai complétement changé le 1er msg de ce topic, afin d'y inclure la liste des PJ, avec des liens vers leur fiche et leur historique. Samurai
Du coup, ça crée une incohérence avec les msg qui suivent, mais dans l'ensemble, ça roxx plus ! Frime

EDIT
Mathieu, Willy et Seb ont repris les questions de l'historique de Philou. C'est déjà bien complet pour se faire une idée concrète de votre perso. Cependant, si vous voulez la version totale, rendez-vous vers ce lien (mis à jour cette aprem) ! biggrin
Reply
La fleur sur le sol
Gît aux chants des paysans,
Brisée par le vent


Inaki Nozomi est la fille unique d'Inaki Hirotoki, le daimyo d'une famille mineure vassale de la famille Isawa. Le grand père d'Hirotoki avait obtenu cette terre en récompense pour son action au service de la famille Isawa. C'était un shugenja réputé, auteur de nombreuses recherches sur l'Outremonde et inventeur de plusieurs sorts depuis consignés dans les grandes bibliothèques du palais. Il sut faire preuve d'une égale sagesse lors de son mandat que pendant ses études et il organisa pour la première fois le village de ses sujets. Il laissa sa charge en héritage à son fils Inaki Bokai qui s'en acquitta avec honneur, faisant prospérer le village sous son autorité. Lorsque vint le temps pour son propre fils, Hirotoki, de prendre les rênes du domaine familial, celui-ci était en plein essor.

C'est dans cet environnement protégé qu'est née Nozomi. Très tôt son père plaça en elle ses espoirs de succession en raison des difficultés évidentes pour sa femme à lui offrir un autre descendant et définitivement après le décès de celle-ci trois ans plus tard. Mais Nozomi acquit dès son plus jeune âge la conviction de n'être pas faite pour ce rôle. Sa plus grande passion était d'écouter les murmures des kamis dans la brise qui descendait de la montagne ou dans le vent violent qui soufflait de la mer. En l’honneur de son ancêtre, son père respecta sa décision de devenir shugenja même s'il n'est pas d'usage pour les futurs daimyos de suivre cette voie. Il pensait que sa fille finirait par renoncer devant la difficulté et la concurrence qui régnaient au sein de l'école de la famille Isawa à la capitale du clan. Il prévoyait qu'elle intégrerait alors une école de bushi ou de magistrat plus à même de la préparer à son poste.

Mais loin de se décourager devant les sacrifices de la vie de prêtre Nozomi se révéla être une élève douée et devint bientôt la plus en vue de sa promotion. Elle était la plus brillante dans de nombreux domaines et avait gardé en particulier de son enfance un lien fort avec les esprits de l’air qui semblaient toujours bien disposés à son égard. Elle savait désarmer la jalousie de ses camarades par sa gentillesse et ses professeurs ne tarissaient pas d’éloge sur son talent et son état d’esprit. Pendant ses dernières années d’études son sensei fut l’un des shugenja les plus anciens et les respectés de l’école, Kimura Akira.

C’est à cette époque qu’elle commença à remettre en cause certains des enseignements des professeurs. Elle était la seule de ceux de son âge à comprendre le texte du Tao suffisamment pour en critiquer l’interprétation de ses aînés. Au début elle se contentait de discuter d’infimes détails de la parole de Shinsei entraînant une réaction plus amusée qu’embarrassée de ses interlocuteurs. Mais peu à peu ses objections se firent plus précises et plus nombreuses. Elle reprochait généralement aux interprétations classiques leur rigidité, elle pensait que le Tao invitait au contraire à la remise en cause permanente. Il n’y avait aucunes mauvaises arrière-pensées dans sa démarche et ses thèses ne constituaient bien sûr jamais une offense directe au Shinseisme ni à son clergé mais certains commencèrent cependant à trouver qu’elle allait trop loin. D’autant plus qu’elle exerçait une fascination réelle sur les autres élèves qui n’en étaient que plus ouverts à ses théories. Akira, qui s’était pris d’affection pour elle, la mit même en garde discrètement contre tous ceux qui se sentaient menacés par celles-ci, mais dans un mélange de candeur et de naïveté elle ignora l’avertissement.

A l’heure de son gempukku à l’âge de 18 ans, où elle prit le nom de Ayame, beaucoup espéraient qu’elle se conformerait désormais aux dogmes. En apparence elle leur donna raison en devenant yoriki d’un magistrat itinérant. Mais ce qu’ils prirent pour un renoncement à ses velléités n’était en réalité qu’une mise en application de ses idées sur la nécessité de voyager pour s’enrichir. Pendant presque une année elle arpenta les terres du clan, accompagnant le magistrat dans ses enquêtes et laissant peu d’entre elles sans solution. Elle rejetait la violence souvent utilisée pour faire avouer les coupables ou les innocents, et préférait compter sur son intelligence et la magie. Ainsi à de nombreuses reprises elle pu découvrir un meurtrier ou un voleur en communicant avec les esprits.


Puis vint le jour où le coup d’état du clan du scorpion bouleversa l’Empire. Ses répercussions se firent sentir aux quatre coins du pays et le Conseil de Cinq fit rappeler presque tous ses shugenja pour étudier la situation. Les partisans de l’ordre établi qui avait fini par oublier la jeune magicienne furent agacés de voir revenir cet élément perturbateur. Pourtant elle se contenta pendant plusieurs mois de participer aux conseils et aux recherches sur les menaces qui pesaient à nouveau sur l’Empire. Durant ses longs séjours dans les bibliothèques de son école elle acquit la conviction que la situation résultait en partie de l’aveuglement de certains membres de son clan qui n’avaient pas su ou pas voulu relire les enseignements de Shinsei. Ayame n’était pas la première bien sûr à nourrir de telles pensées mais ceux qui partageaient ou avaient par le passé partagé ses convictions ne s’en étaient jamais ouverts en public. Or si elle était assez intelligente pour ne jamais franchir les limites du déshonneur elle n’en recommença pas moins à déplaire à diverses familles traditionalistes. Son sensei Akira tenta une dernière fois de lui faire entendre raison mais convaincu de servir les intérêts supérieur de l’Empire elle n’y prêta pas plus attention que l’année précédente.

Le drame survint pendant qu’elle travaillait au déchiffrement d’un manuscrit ancien, sur les terres de la puissante famille Oyeba dont elle n’avait pas tenu compte de l’attachement féroce aux valeurs ancestrales et à leur immuabilité. Un soir elle traversait un village de paysans pour rejoindre un monastère où elle espérait trouver des indices dans sa recherche. Elle fut alors interpellée par un groupe de gens pour régler un différent. Il s’agit là d’un rôle courant pour un shugenja et elle n’en fut ni surprise ni méfiante. Le problème portait sur un lopin de terre dont deux paysans se disputaient l’exploitation. L’un des deux était manifestement en tort et Ayame s’apprêtait à trancher quand il cita pour sa défense une parole de Shinsei. L’histoire du Maître n’était qu’une parabole sans rapport avec le différent mais dans son acception littérale elle semblait justifier les actes du fautif.

Ayame ne sentit pas venir le piège et tenta d’expliquer au paysan son erreur d’interprétation. Ce qu’elle ne pouvait pas savoir c’est que tous les intervenants étaient des ronins déguisés qui n’attendaient que ce prétexte pour remettre en cause sa foi dans le Tao. En temps normal un heimin n’oserait jamais hausser le ton devant un samouraï mais la religion est un puissant levier et c’était là le point essentiel de vraisemblance du piège que le daimyo de la famille Oyeba, Anaki, avait tendu à son invitée. Ayame avait beau les assurer de sa croyance dans les Fortunes et dans le Tao, les ronins avait été instruits des questions insidieuses à lui poser. A chaque nouvelle interrogation de la petite troupe sur un point précis du texte, elle ne pouvait pour rester en accord avec ses idées que contredire la lecture classique de celui-ci. Et à chaque fois les faux paysans en profitaient pour exacerber leur fausse colère. A aucun moment pourtant Ayame ne se sentit réellement menacée, elle ne parvenait tout simplement pas à imaginer que ces heimins puissent porter la main sur un samouraï. D’ailleurs le plan d’Oyeba Anaki ne s’arrêtait qu’à une petite démonstration de colère des gens du peuple pour faire réfléchir l’imprudente à deux fois avant de reparler en public de ses théories.

Le plan a dérapé lorsqu’un ronin du groupe ayant abusé de boisson peu de temps avant poussa violement Ayame contre une maison. La shugenja eu un mouvement brusque que ses agresseurs prirent pour une tentative d’atteindre les parchemins à son obi. La peur de la magie et l’émulation de la violence firent le reste. Quand les plus lucides arrêtèrent les plus enragés, elle gisait sur le sol, inconsciente, le bras gauche fracassé par un coup de bâton. Les ronins effrayés d’avoir outrepassé les ordres de leur commanditaire filèrent sans se retourner. Après leur départ de véritables paysans du village s’approchèrent et en rassemblant tout leur courage la conduisirent au monastère tout proche. Là les moines soignèrent du mieux qu’ils purent Ayame mais ils durent se résoudre à amputer son bras qui menaçait de s’infecter. Elle ne parvenait à supporter la douleur intolérable que grâce aux infusions préparées par l’herboriste du monastère. Oyeba Aniki fit dépêcher un émissaire pour s’enquérir de son état et promit de tout faire pour retrouver et châtier les auteurs d’un tel crime.

Lorsqu’elle fut assez rétablie pour se déplacer elle repartit d’abord dans le village où elle avait été attaquée puis à la ville de la famille Oyeba pour mener l’enquête. Il ne lui fallu pas longtemps pour découvrir que les ronins avait été engagés par le daimyo mais Anaki avait pris suffisamment de précaution pour qu’aucunes preuves ne le trahissent. Elle retourna alors à son école où elle espérait trouver de l’aide, mais ses anciens camarades qu’elle considérait comme des amis ne lui offrirent qu’une oreille attentionnée et peinée. Aucun ne l’aida et plusieurs lui dirent même à mots couverts que le temps n’était plus à la remise en cause des aînés mais à l’union de tous les membres du clan. Son père lui tint le même discours mais lui ne prit pas la peine de feindre le chagrin, il avait depuis longtemps renoncé à faire de son incontrôlable fille son successeur. En désespoir de cause elle se tourna vers son dernier soutient son sensei Kimura Akira. Il la reçu chez lui un soir d’été, un sourire triste sur le visage. Quand elle sortit de la luxueuse maison, elle se réfugia dans un parc pour pleurer. Le vieux prêtre l’avait écouté patiemment mais pour seule réponse lui avait fait comprendre que l’ordre du clan était sacré, que le remettre en cause revenait à remettre en cause l’Ordre Céleste lui-même, enfin que sa blessure était un signe des Fortunes pour qu’elle revienne dans le droit chemin avant qu’il ne soit trop tard. Elle comprit donc cette nuit là que nul ne pouvait aller contre les traditions car tous les membres du clan y sont aveuglément attachés ou trop lâches pour les faire changer et que ce qu’elle prenait pour un combat juste pour le bien du clan ne rencontrerait jamais qu’hostilité et sarcasmes.


Depuis lors elle séjourne le plus souvent à son école, qu'elle quitte parfois pour un voyage d’étude ou pour accompagner des magistrats. Ses talents de yoriki sont toujours aussi prononcés mais elle n’est plus que l’ombre d’elle-même. Elle est souvent vue errant sans but dans les immenses bibliothèques de la famille Isawa. Dès qu’elle sort de la capitale elle est accompagnée d’un bushi qui a la charge de veiller sur elle. Shiba Ikky est désormais la seule personne du clan qui peut prétendre posséder encore un souffle de confiance de la part d’Ayame. Elle est pratiquement la seule également à savoir que la shugenja ne peut plus se passer aujourd’hui de l’opium qu’elle prend pour calmer ses douleurs…



PS : Dsl pour les fôtes qui restent Chinese
Reply
l'honorable hiruya saura prouver qu'il est digne de confiance pour ayame, même si celle ci a une expérience difficile...( relatée dans un historique de bon aloy...)
Reply
Kakita Hiruya, du clan de la Grue

1. À quel clan votre personnage appartient-il ?
Grue.

2. Comment décririez-vous votre personnage ?
Grand, cheveux blancs, yeux bleux, puissant mais pas imposant, élégant, noble…bref la classe !

3. Votre personnage est-il un bushi ou un shugenja (guerrier ou magicien) ?
Bushi.

4. À quelle famille votre personnage appartient-il ?
Kakita.

5. Quelle est la motivation principale de votre personnage ?
Faire cesser la guerre qui ravage les membres de la grue.

6. En qui votre personnage a-t-il le plus confiance ?
En son clan, son daimyo et son père.

7. Quelle est le principal point fort de votre personnage ?
Son calme et sa lucidité

8. Sa principale faiblesse ?
Sa bonté

9. Que pense votre personnage du Bushido ?
« La voie noble que tout samouraï se doit de suivre pour être apte à faire face à tous les dangers qui menacent rokugan et l’empereur»

10. Quelle opinion votre personnage se fait-il de son propre clan ?
«Nous sommes un élément indispensable au maintien du système de rokugan ; comme les autres clans, nous faisons ce que nous savons faire pour le bien de l’empereur»

11. Votre personnage a-t-il des préjugés ?
« la nature a décidé de faire de certaines personnes des samouraïs…tout est dit.

12. Votre personnage est-il marié ?
Non

13. Envers qui votre personnage est-il le plus loyal ?
Envers son daimyo.

14. Quelles sont les choses que votre personnage aime le plus ?
Pratiquer son art, parvenir à unifier son corps et son katana selon les théories du fondateur de la famille kakita.
Les grands espaces du clan de la licorne : « Rien de tel que le grand air pour s’entraîner et être en harmonie avec soi-même.. »

15. Et déteste le plus ?
Ryu (non je rigole)… « La force est une vertu qu’il ne faut pas utiliser sans réflexion ni honneur…ceux qui n’ont pas encore compris ceci sont méprisables… »
16. Votre personnage a-t-il des manies ?
Rien de remarquable

17. Quels sont les traits psychologiques de votre personnage ?
Calme et lucide quelques soient les circonstances… sage qu’on ne trompe pas aisément par de futiles supercheries.

18. Comment votre personnage réagira-t-il à l’insubordination d’un hinin ?
« La hiérarchie de l’ordre céleste est la fierté de Rokugan… une erreur est tolérable mais on ne peut renier l’ordre céleste indéfiniment sans en payer les conséquences… »

19. Comment ses parents décriraient-ils votre personnage ?
C’est un fidèle descendant de la famille… noble et courageux. Il est dans la pure continuité de la classe des duellistes. A la fois fier et respectueux, tout comme son père, sa mère pense qu’il devrait agir un peu plus pour ses proches… Son père, en revanche, comprends parfaitement ce que ressens hiruya et l’encourage dans cette voie de recherche de la perfection…

20. Quelles ambitions animent votre personnage ?
Il veut parvenir à l’union ultime entre son corps sa pensée et son katana, pour cela il parcourt les contrées de Rokugan en essayant de parfaire sa maîtrise… à chaque fois qu’on lui en donne la permission.

21. Quel rapport votre personnage a-t-il à la religion ?
Il n’y est pas spécialement attaché mais respecte entièrement les initiés qui la cultive.

22. Si vous le pouviez quel conseil donneriez-vous à votre personnage ?
La tolérance est une des vertus du samouraï…mais attention à ce qu’elle ne se transforme en naïveté qui profiterait au ninja embusqué…il faut toujours resté sur ses gardes…le danger est partout.

23. Votre personnage a-t-il un but qui l’obsède ? Si oui, quel est-il ?
un but oui, l’union du corps de la pensée et du katana pour parvenir à mettre en pratique la technique du coup unique du maître et fondateur de la famille,….mais l’obsession non

24. Quel est son secret, et que se passera-t-il si jamais il venait à être éventé ?
vous saurez plus tard fo que j'en parle au gronicö

25. Que pense votre personnage de la vie politique rokugani ?
La vie politique de Rokugan n’est pas simple et mes frères du clan de la grue font tous leur possible pour l’entretenir voire l’améliorer… Mais ils ne pourront donner pleine mesure de leur talent tant qu’ils seront accusés de toutes part de crimes qu’ils n’ont pas commis…Beaucoup ont oublié l’histoire…ou feigne de l’avoir oubliée…Quant aux autres clans, leur contribution est importante pour obtenir un équilibre du paysage politique de Rokugan.

26. Que fait votre personnage pour se détendre ?
Il s’isole et médite sur son katana.

27. Si on vous donnait quelques Kokus, qu’en feriez-vous ?
« L’argent, contrairement à ce que tout le monde pense, ne m’intéresse pas. »
28. Quelle vision avez-vous des Hinins, des Heimins et des Gaijins (non membres de l’ordre céleste) ?
«Leur non appartenance à l’ordre céleste fait d’eux des personnes que l’on regarde de haut et c’est normal. Mais il n’en reste pas moins qu’ils sont nécessaires à la vie de Rokugan et que pour cela ils ne doivent pas être châtiés sans raison valable.»

29. Quel est le nom de vos parents et que font-ils ?
Son père se nomme Kakita Jhiri. Duelliste tout comme son fils, ils partagent de longs moments ensemble à s’entraîner au katana et à méditer sur « Le Sabre » de Kakita.
Sa mère se nomme Kakita Ina. C’est une artisane qui a notamment forgé les daishos de Jhiri, hiruya et Chun, frère cadet d’hiruya.

30. Quelle est la récompense que vous désirez le plus ?
Recevoir un des katanas de clan de la famille Kakita.

31. Quels sont l’apparence et le nom de votre katana et de votre wakizashi (Dai-sho) ?
Son daisho, forgé pendant plus d’un an par Ina, possède comme signe distinctif de chaque coté des lames le « mon » de la famille kakita. (La permission ayant évidemment été demandée au préalable au daimyo de la famille).

32. Vénérez-vous activement Shinesei ou les Fortunes ?
Le tao de shinesei.

33. Quel est l’objet auquel vous tenez le plus ?
« Mon katana »

34. Qui est votre plus proche ami ?
« Sans aucun doute Shinjo Kohei du clan de la licorne, un ami inestimable pour moi, simple et plein d’honneur »

35. Quelles sont les choses que vous aimez, détestez ou redoutez le plus ?
« J’aime ma famille, mes amis, ainsi que l’art que je pratique… En revanche la guerre telle que celle menée par le clan du lion contre nous m’indigne car je trouve que ce n’est pas cela la force et l’honneur d’un véritable bushi. Ils feraient mieux de se concentrer sur la menace de l’outremonde »

36. Quels sont vos sentiments à l’égard de chacun des clans majeurs ?

Crabe : "Il est regrettable qu’ils méprisent certains d’entre nous et que pour cette raison ils nous fassent une guerre… La souillure qu’ils ont subi de l’outremonde, ils ne doivent pas l’assumer seuls... Si tout le monde s’était battu contre les armées d’Onis de l’outremonde, tout le monde serait probablement aussi souillé…C’est à nous de les en délivrer ou bien nous ne vaudrons pas mieux qu’eux… »
Dragon : "Ils ont choisis de vivre dans le mystère, en fermant les yeux sur la vérité du monde…alors que leur aide serait si précieuse en ces temps difficiles .Je suis persuadé qu’un jour ils montreront leur vrai visage et qu’ils nous aideront à redresser Rokugan »
Licorne : "Un clan que j’apprécies énormément pour leur sagesse et leur volonté de bien faire. Ce sont des alliés essentiels dont le rôle sera prépondérant pour l’issue finale…même si certains semblent encore en douter…
Lion : "Ce sont des fiers guerriers…un peu trop peut-être. Nous semblons sûrement être une proie facile pour eux…mais rare est le chasseur qui parvient à abattre une grue…Leur envie et leur enthousiasme les aveugle…il faut absolument leur redonner la vue ou Rokugan court à sa perte.
Phénix : "Des magiciens puissants, qui tout comme le clan du dragon, conservent un certain mystère autour de leurs faits…Pourvu qu’ils s’investissent au plus vite dans les affaires de Rokugan. Leur aide et leur savoir nous seraient tellement précieux. »
Scorpion : "La radiation de leur clan leur a permis d’intensifier encore leurs actions…Ce ne sont que de vils canailles dénués d’honneur dont l’empire se passerait bien !
Ronins : " En arriver à utiliser ses talents pour de l’argent…quel pathétisme.

37. Quels sont vos sentiments à l’égard des clans mineurs ?
«Tous les clans apportent leur pierre à l’édifice impérial… Et les plus petites pierres permettent parfois de retenir une chute qui semblait inévitable.

38. Quels sont vos sentiments à l’égard des bushis, des shugenjas, des etas, des kamis et de tous les membres de l’ordre céleste ?
«Les etas n’ont pas leur mot à dire. Ils font ce qu’on leur dit et s’y tiennent. Quant aux membres de l’ordre céleste, tous méritent le respect, tant qu’ils en font parti !

39. Que pensez vous des évolutions théologiques, sociales et technologiques (le « progrès ») ?
« Les temps sont plus incertains que jamais. La guerre gronde partout, nous nous égarons souvent. Mais la sagesse de l’empereur amènera à l’union des clans et à partir de ce moment, toutes les forces de l’outremonde ne pourront plus rien contre la puissance des véritables samouraïs, combattant cote à cote pour la gloire de l’empereur ! »

40. Quelle est, selon vous, l’épouse idéale ?
«Une femme aussi parfaite que mon katana, dotée d’une pureté incomparable »

41. Quels sont vos sentiments vis-à-vis de la maho et des maho-tsukaï (magie noire) ?
«Que l’empereur nous garde de tomber aussi bas. »

42. Comment voyez vous votre mort ?
« Qu’importe tant que c’est pour la gloire du clan de la grue et de l’empereur. »

EDIT de Gronicö
Comme me l'a signalé Mathieu, 2 questions étaient identiques : la 6 et la 42. Fredo avait bien répondu pareil dans les 2 cas, donc j'ai supprimé la 42. Wink
Par ailleurs, j'ai fait une erreur à la question 38 : les etas, évidemment, ne sont pas dans l'ordre céleste. :roll: :oops: Ils sont la caste la plus basse de la société.
Reply
Tout ça me parait bien engageant, va y avoir du role play, noble Hiruya :P
Reply
Noble Hiruya, Sage Ayamé, des études de l'Université Impériale d'Otosan Uchi l'ont prouvé...

[Image: homoboth.jpg]

lol

Bon, j'arrête ! Panda

Ils roxxent vos historiques ! C'est du bon, c'est du bon ! bravo2

Chauffe, chauffe, pety roleplay ! rouge tourne Chicagoblues

arrow Seb, haïku roxX ! 8)
Quote:La fleur sur le sol
Gît aux chants  des paysans,
Brisée par le vent
17 syllabes : you did it ! Applause
arrow Allez, les gens, à vous de trouver un haïku pour votre PJ ! biggrin



Quote:http://forum.hardware.fr/images/perso/aloy.gif[/IMG]"]Le haïku est un court poème de 17 syllabes, exprimant une vision ou une pensée fugitive, une impression subite, l'éclair d'une apparition etc.  [Image: aloy.gif]
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