20-11-2011, 11:15 PM
Vendu

Allons au cinéma
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20-11-2011, 11:15 PM
Vendu
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24-11-2011, 10:44 PM
(This post was last modified: 24-11-2011, 10:44 PM by Darth Nico.)
Comment faire un poster pour un film US indépendant ?
Réponse : mettre un fond jaune. La preuve en image : http://christophecourtois.blogspot.com/2...olore.html Et plein d'autres clichés sur les posters. Quand le film parle d'une femme séduisante, sur l'affiche, elle porte toujours une robe rouge. Pour un film d'action, du noir et blanc avec du orange pour les explosions. Pour les films sentimentaux, un homme ou un couple devant l'océan. etc. Très bien vu ![]()
24-11-2011, 11:08 PM
Hehe bien trouvé
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25-11-2011, 05:33 PM
(This post was last modified: 25-11-2011, 05:39 PM by Darth Nico.)
Sur ce même site, trois excellentes pages sur les fameuses affiches de cinéma polonais.
C'est l'heure de notre grand jeu, où il faut deviner le film en voyant l'affiche. ![]() 1 2 3 4 5
26-11-2011, 12:43 AM
(This post was last modified: 26-11-2011, 12:56 AM by Darth Nico.)
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26-11-2011, 05:08 AM
On voit bien les ravages de l'alcool dans les pays de l'Est
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27-11-2011, 01:24 PM
(This post was last modified: 11-02-2012, 03:39 PM by Darth Nico.)
French Connection 2 (1975, de John Frankenheimer, avec Gene Hackman, Fernando Rey, Bernard Fresson, Philippe Léotard). Après avoir mis à bas la french connection de New-York, le détective "Popeye" Doyle part à Marseille pour mettre la main sur le chef du trafic. Il va se heurter à la mauvaise volonté de la police française. La belle cité phocéenne n'est manifestement pas prête pour les méthodes à l'Américaine de Popeye...
Suite bien faite, quoiqu'inférieure au premier. Le film est plus que correct, grâce à la composition de Gene Hackman, toujours très bon. Des longueurs au début mais une très bonne poursuite finale. Cube (1997, de Vincenzo Natali). Sept personnes se réveillent, enfermées dans des salles cubiques. Ils comprennent qu'il y a des centaines de ces salles, à l'intérieur d'un gigantesque cube. Certaines sont sans danger, d'autres équipées de pièges mortelles. Les prisonniers vont devoir collaborer pour trouver la sortie... Un concept de départ fascinant ; le film ne se passe que dans ces cubes successifs et parvient à ne pas être répétitif. Bientôt, les prisonniers affrontent moins le Cube que leurs congénères, et se retrouvent mis face à eux-mêmes et à leurs failles personnelles. Très original, très prenant. Le masque de Zorro (1998, de Martin Campbell, avec Anthony Hopkins, Antonio Banderas, Catherine Zeta-Jones). Don Diego de la Vega, vieillissant, se cherche un successeur pour porter le masque de Zorro... De l'humour, des duels, des retournements de situation. Divertissement sympathique, réussi dans la limite de ses prétentions. Limitless (2011, de Neil Burger, avec Bradley Cooper, Anna Friel). Un écrivain en galère entre un jour en possession de pilules qui permettent d'utiliser 100% de son cerveau. Il devient génial, séduisant, sûr de lui : il termine son roman en quatre jours puis se lance dans la finance... Jusqu'où cela ira t-il ? Une excellente idée de départ, qui n'est plus trop exploitée après la moitié du film : l'histoire devient celle, plus classique, d'un jeune arriviste et des arrangements inavouables qu'il doit passer pour réussir. L'acteur principal, omniprésent, porte le film et nous montre un personnage qui en passe par toutes les couleurs. Gros travail d'acteur, pour une histoire qui ne tient pas toutes ses promesses. 202 films A venir : - Death on Arrival (1950) - The Seven Year Itch (1955) - Witness for the Prosecution (1957) - The Chase (1966) - Klute (1971)
J'ai vu que Cube de cette liste, c'était il y a longtemps et j'avoue j'en ai pas gardé beaucoup de souvenir sauf un mec qui se fait découper par une grille
![]() Ca mériterait surement une autre vision. Sinon j'ai maté du classique ce week-end : Scarface hier soir, énorme dans l'excès et l'outrance, Pacino crée un personnage de gangster hors norme, plouc, arrogant et fier jusqu'à la mort, presque antique dans sa volonté de ne se soumettre à personne, même aux forces qui le dépasse. Pacino porte le film sur ses épaules; la réalisation est nettement plus discutable, parfois inspirée comme dans la boite de nuit le soir où les 2 colombiens tirent sur Tony, parfois terriblement kitch avec mention spéciale au montage sur la musique Push it to the limit, ridicule comme un sketch des nuls ou des inconnus qui se prendraient au sérieux ![]() Et aujourd'hui Cyrano de Bergerac. Peu de raison de les comparer hormis l'hypertrophie du rôle titre. Et pour moi il n'y a pas photo c'est victoire par KO du Gascon sur le cubain, Depardieu est aussi énorme que Pacino dans un autre personnage larger than life comme dise nos amis américains mais la réalisation et surtout les dialogues (bon c'est plus facile quand on adapte une pièce certes ![]() ![]()
02-12-2011, 08:59 PM
(This post was last modified: 09-12-2011, 08:23 PM by Darth Nico.)
The Seven Year Itch (1955, de Billy Wilder, avec Tom Sewell, Marilyn Monroe). Sherman envoie sa femme et ses enfants en camp d'été. Il se retrouve seul chez lui et découvre qu'il a une pulpeuse et naïve voisine, qui aime les courants d'air provoqués par le métro à travers les grilles d'aération...
Le héros voit peu à peu la réalité et ses fantasmes s'entremêler, dans un flirt qui à l'époque était un défi à la censure. Malheureusement, la réalisation de B. Wilder a été plus inspirée. L'acteur principal n'a guère de charisme et l'histoire est finalement assez maigre (un New-Yorkais en proie au démon de midi). Malgré des moments amusants, une petite déception. Witness for the Prosecution (1957, de Billy Wilder, avec Tyrone Power, Marlene Dietrich, Charles Laughton, Elsa Lanchester). A Londres, un homme est accusé d'avoir tué une vieille dame, dont on peut penser qu'il espérait de l'argent. Le ténor du barreau qui assure la défense pourra t-il compter sur le témoignage de la mystérieuse femme de l'accusé ?... Très bon film de procès : l'humour cynique d'Agatha Christie trouve parfaitement à s'exprimer grâce au réalisateur. De bons retournements de situation et de très bons acteurs. The Chase (1966, d'Arthur Penn, Marlon Brando, Jane Fonda, Robert Redford). Dans le sud des Etats-Unis, un prisonnier s'échappe, ce qui va mettre le feu aux poudres dans une petite ville proche, où beaucoup de gens ont intérêt à lyncher l'évadé. Le shériff va se retrouver seul face aux gens aveuglés par leur haine... Deux très bons rôles pour Brando et Redford, opposés mais tous deux seuls, chacun de son côté, face à la foule en proie à la peur et la colère. Klute (1971, d'Alan J. Pakula, avec Jane Fonda, Donald Sutherland). Dans une province américaine, un homme disparaît. Le détective privé qui part à sa recherche n'a qu'une seule piste : une call-girl de New-York. L'intrigue tient du film noir (crime, suspens, relation trouble entre le détective et la prostituée), du drame psychologique (la prostituée en quête d'identité, le détective dont on ne sait presque rien) et à quelques moments, frôle la comédie romantique. Il s'agit avant tout d'un bon thriller, le premier du réalisateur, qui s'est fait un nom par la suite dans l'intrigue politique paranoïaque. Le film joue avec talent des rapports et des décalages entre l'image et le son : bandes magnétiques jouées en gros plan, même enregistrement qui repasse plusieurs fois. Beaucoup de talent à tous les niveaux, une ambiance épaisse, une intrigue qui sait éviter beaucoup de clichés et quelques images fortes. A venir : - Death on Arrival (1950) - Ace in the Hole (1951) - Les vacances de M.Hulot (1953) - Play Time (1967) - Trafic (1971) - Get Shorty (1995) - Leaving Las Vegas (1995)
03-12-2011, 01:22 PM
(This post was last modified: 26-05-2012, 01:39 AM by Darth Nico.)
Un petit best-of personnel :
Les 10 films découverts ces dernières années qui m'ont le plus marqué #10 : Master and Commander (2003), de Peter Weir. Un excellent film d'aventure. #9 : King of New-York (1990), d'Abel Ferrara. Pour la réalisation, l'ambiance, les couleurs. Quelques scènes fascinantes. #8 : The Bourne Ultimatum (2007), de Paul Greengrass. Quand le film d'action touche à la perfection. #7: Get Carter (1971), de Mike Hodges. Voyous et crapules s'affrontent dans des lieux décrépis et sordides. Tous sont affreux, sales et méchants. Rien que voir un film qui, pour une fois, ne fait aucune concession au style hollywoodien, est en soi réjouissant. #6 : A History of Violence (2005), de David Cronenberg. Avec une histoire très simple, le film nous met face à toutes les formes de violence quotidiennes et banales, face à notre propre attirance pour l'humiliation, la domination et le meurtre. #5 : Du rififi chez les hommes (1955), de Jules Dassin. Un film qui allie le meilleur du film de braquages à l'Américaine et qui restitue parfaitement l'ambiance du Paris populaire, sans mépris ni idéalisation. #4 : F for Fake (1974), d'Orson Welles. Pour la dernière fois, Welles met en pièce le cinéma et le redéfinit complètement, pour arriver à communiquer directement avec son spectateur. #3: Das Cabinet des Dr. Caligari (1920), de Robert Wiene. Un drôle de rêve, ou de souvenir, qui vire au cauchemar. Les décors hallucinés révèlent bientôt leur envers : la terreur et l'arbitraire dans l'enfermement des anormaux. #2 : The Hustler (1961), de Robert Rossen. Ce qu'il en coûte de vouloir être un homme ou : comment un joueur acharné sacrifie l'essentiel pour arracher une victoire dérisoire. "Too high, Bert — the price is too high." #1 : The Conversation (1974), de Francis Ford Coppola. Un expert des écoutes, anonyme et discret, est amené à sortir de son isolement s'il veut empêcher un meurtre. Une plongée dans la conscience d'un petit homme gris qui va au bout de lui-même, jusqu'à se retrouver pris à ses propres pièges. |
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