06-04-2004, 03:03 PM
Je n'appartenais à aucune "section" du Louvre. Lucinius, par choix, puis forcé, a toujours été à l'écart du Louvre.
Et puis une Tremere qui fout le bordel, ça semble bizarre, étant donné leur hiérarchie.
Bah, on verra bien pour Lisbeth. :?
Sans transition,
Au fond, entre les tenants de l'ordre dans la Camarilla, et les fouteurs de bordel, les choses tournent bien. Car les Ventrues, qui assument le principe de réalité, maintiennent en place une société où Brujah et Gangrels sont des parasites, qui ne pourraient pas s'épanouir sans hiérarchie établie. Ils ont besoin de gens contre qui lutter, mais ne construisent rien de positif.
Les Ventrues sont donc indispensables aux Brujahs. Si le bordel promis par ces derniers triomphaient, ce serait une catastrophe pour eux, car ils ne pourraient plus continuer à vivre négativement, accrochés aux basques de leurs ennemis. Ils devraient à leur tour assumer des responsabilités politiques réelles.
Au fond, les Brujahs sont typiquement des adolescents qui vivent dans le principe de plaisir : idéalistes, impatients, ils n'assument pas le réel, mais leur fantasme d'un monde sans conflit, purgé de ses injustices. Ils n'ont pas encore atteint l'âge adulte, ils sont dans la logique de celui qui doit s'affirmer sans cesse contre ce qui existe. Les Ventrues assument quant à eux de maintenir en ordre le réel. L'anarchiste n'a plus de raison d'être sans le Prince.
Quant aux Totos, ils profitent de la structure ordonnée de la Camarilla pour s'épanouir par l'art. Et de même, les Poseurs prolifèrent aux dépens des Artisteux, prétendant s'égaler à eux, alors qu'ils en sont dépendants.
Les Totos développent aussi les aspects féroces et bestiaux de la Beauté : décadence de celui qui ne maîtrise plus ses forces. D'où une certaine fascination exercée par Corso sur Lucinius d'ailleurs. Car il y a toujours un devenir-animal dans l'art.
Le devenir chauve-souris, le devenir-hyène, le devenir-brume...
De même pour les Tremere, ils s'échappent sans cesse du milieu très hiérarchisé où ils vivent, et tracent le chemin de sorcière qui emmènent vers l'étrange et l'inconnu.
Quant aux Lasomb' Antitribus, ils ont la classe et sont donc des Muses pour ces romantiques noirs que sont encore souvent les Totos.
Et puis une Tremere qui fout le bordel, ça semble bizarre, étant donné leur hiérarchie.

Bah, on verra bien pour Lisbeth. :?
Sans transition,
Au fond, entre les tenants de l'ordre dans la Camarilla, et les fouteurs de bordel, les choses tournent bien. Car les Ventrues, qui assument le principe de réalité, maintiennent en place une société où Brujah et Gangrels sont des parasites, qui ne pourraient pas s'épanouir sans hiérarchie établie. Ils ont besoin de gens contre qui lutter, mais ne construisent rien de positif.
Les Ventrues sont donc indispensables aux Brujahs. Si le bordel promis par ces derniers triomphaient, ce serait une catastrophe pour eux, car ils ne pourraient plus continuer à vivre négativement, accrochés aux basques de leurs ennemis. Ils devraient à leur tour assumer des responsabilités politiques réelles.
Au fond, les Brujahs sont typiquement des adolescents qui vivent dans le principe de plaisir : idéalistes, impatients, ils n'assument pas le réel, mais leur fantasme d'un monde sans conflit, purgé de ses injustices. Ils n'ont pas encore atteint l'âge adulte, ils sont dans la logique de celui qui doit s'affirmer sans cesse contre ce qui existe. Les Ventrues assument quant à eux de maintenir en ordre le réel. L'anarchiste n'a plus de raison d'être sans le Prince.
Quant aux Totos, ils profitent de la structure ordonnée de la Camarilla pour s'épanouir par l'art. Et de même, les Poseurs prolifèrent aux dépens des Artisteux, prétendant s'égaler à eux, alors qu'ils en sont dépendants.
Les Totos développent aussi les aspects féroces et bestiaux de la Beauté : décadence de celui qui ne maîtrise plus ses forces. D'où une certaine fascination exercée par Corso sur Lucinius d'ailleurs. Car il y a toujours un devenir-animal dans l'art.

De même pour les Tremere, ils s'échappent sans cesse du milieu très hiérarchisé où ils vivent, et tracent le chemin de sorcière qui emmènent vers l'étrange et l'inconnu.
Quant aux Lasomb' Antitribus, ils ont la classe et sont donc des Muses pour ces romantiques noirs que sont encore souvent les Totos.
