09-07-2007, 08:41 PM
Robert et George ramenèrent leurs trois prises au commissariat. Ils escortèrent leur trophée dans les cellules au sous-sol. D’une certaine façon, Robert et George avaient contribué à faire de bon chiffre sensé faire baisser la délinquance, ou du moins officiellement.
En remontant vers leur bureau, Robert et George croisèrent Monsieur le commissaire en train de discuter avec Monsieur le maire.
Monsieur le maire était une personne agréable et sympathique. Il était chaleureux et semblait s’intéresser au problème de ces concitoyens. Il était enveloppé et il est connu qu’il aimait la bonne nourriture. Par ailleurs, il connaissait personnellement plusieurs membres du gouvernement mais aussi des hommes d’affaires influents. Il était habillé d’un magnifique costard bleu marine et d’une cravate rouge qui avaient du être achetées dans le Nord.
Il avait un visage qui aurait séduit la plus difficile des femmes. Sa coupe de cheveux assez court, son rasage parfait donnait l’aspect d’un homme de confiance. Ses magnifiques yeux bleus donnaient un sentiment de malice. En tous cas, Monsieur le Maire était un élu qui connaissait tous les rouages de la vie politique, que ce soit localement ou à des échelons plus élevés.
Monsieur le commissaire était un homme normal, tout ce qu’il y a de plus banal. Il était habillé d’une façon élégante. Ses cheveux blancs marquaient coupé court marquait son expérience et sa minutie.
Monsieur le maire et Monsieur le commissaire se connaissaient très bien et était depuis longtemps. Ils étaient très proches et collaboraient depuis de longues années.
Robert s’inclina et salua le commissaire.
D’un ton banal et neutre, il dit :
« Bonjour Monsieur le commissaire. »
Le commissaire se tourna vers Monsieur le maire et déclara :
« Monsieur le maire, je vous présente l’inspecteur Robert Durand et son coéquipier l’inspecteur George Gérard. Je tiens d’ailleurs à signaler que l’inspecteur Durand est notre meilleur élément. »
Chaleureusement, Monsieur le maire serra la main de Robert.
Puis d’une voix douce et agréable, il interpella Robert.
- Monsieur l’inspecteur, je suis enchanté de faire votre connaissance. Avez vous bien travaillé ?
- Mon collègue et moi avons empêché le braquage d’une épicerie et arrêté les deux malfaiteurs.
- Je suis heureux de connaître une personne qui lutte efficacement au maintien de l’ordre dans ma ville. Ainsi, nous avons la commune la plus sure de la région.
Robert sourit et déclara d’un ton neutre et indifférent :
« J’ai souvent l’impression d’être Sisyphe poussant son rocher en haut d’une montagne. Tous les jours, j’arrête des malfaiteurs en vain. C’est devenu une habitude. Peut-être n’habitons nous pas la même ville. »
Monsieur le maire tapa sur l’épaule de Robert et répondit d’une voix amicale :
« Mon ami, je suis certain que vos efforts portent leurs fruits. »
Monsieur le maire sortit une boite de cigare. Il en proposa un à Robert qui refusa. Robert ne fumait pas. Il en huma un et l’alluma.
« Désolé de vous laisser, le devoir m’appelle. Je dois voir Monsieur le ministre de l’éducation nationale pour avoir des subventions pour mon lycée. »
Le texte
On la refait!
En remontant vers leur bureau, Robert et George croisèrent Monsieur le commissaire en train de discuter avec Monsieur le maire.
Monsieur le maire était une personne agréable et sympathique. Il était chaleureux et semblait s’intéresser au problème de ces concitoyens. Il était enveloppé et il est connu qu’il aimait la bonne nourriture. Par ailleurs, il connaissait personnellement plusieurs membres du gouvernement mais aussi des hommes d’affaires influents. Il était habillé d’un magnifique costard bleu marine et d’une cravate rouge qui avaient du être achetées dans le Nord.
Il avait un visage qui aurait séduit la plus difficile des femmes. Sa coupe de cheveux assez court, son rasage parfait donnait l’aspect d’un homme de confiance. Ses magnifiques yeux bleus donnaient un sentiment de malice. En tous cas, Monsieur le Maire était un élu qui connaissait tous les rouages de la vie politique, que ce soit localement ou à des échelons plus élevés.
Monsieur le commissaire était un homme normal, tout ce qu’il y a de plus banal. Il était habillé d’une façon élégante. Ses cheveux blancs marquaient coupé court marquait son expérience et sa minutie.
Monsieur le maire et Monsieur le commissaire se connaissaient très bien et était depuis longtemps. Ils étaient très proches et collaboraient depuis de longues années.
Robert s’inclina et salua le commissaire.
D’un ton banal et neutre, il dit :
« Bonjour Monsieur le commissaire. »
Le commissaire se tourna vers Monsieur le maire et déclara :
« Monsieur le maire, je vous présente l’inspecteur Robert Durand et son coéquipier l’inspecteur George Gérard. Je tiens d’ailleurs à signaler que l’inspecteur Durand est notre meilleur élément. »
Chaleureusement, Monsieur le maire serra la main de Robert.
Puis d’une voix douce et agréable, il interpella Robert.
- Monsieur l’inspecteur, je suis enchanté de faire votre connaissance. Avez vous bien travaillé ?
- Mon collègue et moi avons empêché le braquage d’une épicerie et arrêté les deux malfaiteurs.
- Je suis heureux de connaître une personne qui lutte efficacement au maintien de l’ordre dans ma ville. Ainsi, nous avons la commune la plus sure de la région.
Robert sourit et déclara d’un ton neutre et indifférent :
« J’ai souvent l’impression d’être Sisyphe poussant son rocher en haut d’une montagne. Tous les jours, j’arrête des malfaiteurs en vain. C’est devenu une habitude. Peut-être n’habitons nous pas la même ville. »
Monsieur le maire tapa sur l’épaule de Robert et répondit d’une voix amicale :
« Mon ami, je suis certain que vos efforts portent leurs fruits. »
Monsieur le maire sortit une boite de cigare. Il en proposa un à Robert qui refusa. Robert ne fumait pas. Il en huma un et l’alluma.
« Désolé de vous laisser, le devoir m’appelle. Je dois voir Monsieur le ministre de l’éducation nationale pour avoir des subventions pour mon lycée. »
Le texte
