27-12-2010, 07:25 PM
(This post was last modified: 28-12-2010, 02:10 AM by Darth Nico.)
The Parallax View (1974, de Alan J. Pakula, avec Warren Beatty). Un homme politique est assassiné par un serveur lors d'une réception. Une commission officielle conclut à un acte isolé. Mais dans les trois ans qui suivent, d'autres personnes présentes ce jour-là trouvent la mort dans des accidents. Un journaliste finit par être convaincu qu'un complot est à l'oeuvre.
La parallaxe est le fait que l'objet observé est affecté par la position de l'observateur. Tous les évènements du film sont-ils des coïncidences ou bien y a-t-il une conspiration toute puissante qui tue méthodiquement des gens ? Mais dans quel but ?
Un bon thriller, qui distille une ambiance lourde et paranoïaque.
All The President's Men (1976, de Alan J. Pakula, avec Robert Redford, Dustin Hoffman). Le film sur le scandale du Watergate : comment deux journalistes de Washington mettent au jour les écoutes du siège des Démocrates sur ordre de Nixon. Un bon film politique comme savent les faire les Américains.
Entrapment (1999, avec Sean Connery et Catherine Zeta-Jones). L'employée d'une assurance d'art se lance sur la piste d'un voleur virtuose. Pour gagner sa confiance, elle prétend organiser avec lui un vol spectaculaire.
Film sympa, rien d'extraordinaire, mais il y a quand même Sir Sean Connery en vieux voleur Écossais élégant. Il y a quelques trous dans le scénario mais la fin réserve quelques retournements de situation.
Body of Lies (2008, de Ridley Scott, avec Leonardi DiCaprio, Russell Crowe). Un agent de terrain en Jordanie et son supérieur de la CIA aux USA traquent des terroristes. Ils montent des opérations d'infiltration et de mensonges pour trouver un dangereux chef jihadiste. Mais leurs mensonges contre leurs alliés Jordaniens et contre les terroristes se retournent contre eux.
Un scénario solide, des personnages travaillés, Crowe et DiCaprio très bons une fois de plus. Un film intelligent et prenant.
Sherlock Holmes (2009, de Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr et Jude Law). Bon divertissement, même si je suis allergique aux bastons style kung-fu filmées en accélérée. Il fallait être Guy Ritchie pour oser casser l'image d'un Sherlock Holmes gentleman so british et le rendre plus trash. C'était intéressant d'exagérer au contraire son côté excentrique et asocial. Par contre, Watson est moins défini : ce n'est ni le bon docteur terre à terre des romans, ni complètement l'inverse.
Vivement la suite, pour le grand méchant annoncé
La parallaxe est le fait que l'objet observé est affecté par la position de l'observateur. Tous les évènements du film sont-ils des coïncidences ou bien y a-t-il une conspiration toute puissante qui tue méthodiquement des gens ? Mais dans quel but ?
Un bon thriller, qui distille une ambiance lourde et paranoïaque.
All The President's Men (1976, de Alan J. Pakula, avec Robert Redford, Dustin Hoffman). Le film sur le scandale du Watergate : comment deux journalistes de Washington mettent au jour les écoutes du siège des Démocrates sur ordre de Nixon. Un bon film politique comme savent les faire les Américains.
Entrapment (1999, avec Sean Connery et Catherine Zeta-Jones). L'employée d'une assurance d'art se lance sur la piste d'un voleur virtuose. Pour gagner sa confiance, elle prétend organiser avec lui un vol spectaculaire.
Film sympa, rien d'extraordinaire, mais il y a quand même Sir Sean Connery en vieux voleur Écossais élégant. Il y a quelques trous dans le scénario mais la fin réserve quelques retournements de situation.
Body of Lies (2008, de Ridley Scott, avec Leonardi DiCaprio, Russell Crowe). Un agent de terrain en Jordanie et son supérieur de la CIA aux USA traquent des terroristes. Ils montent des opérations d'infiltration et de mensonges pour trouver un dangereux chef jihadiste. Mais leurs mensonges contre leurs alliés Jordaniens et contre les terroristes se retournent contre eux.
Un scénario solide, des personnages travaillés, Crowe et DiCaprio très bons une fois de plus. Un film intelligent et prenant.
Sherlock Holmes (2009, de Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr et Jude Law). Bon divertissement, même si je suis allergique aux bastons style kung-fu filmées en accélérée. Il fallait être Guy Ritchie pour oser casser l'image d'un Sherlock Holmes gentleman so british et le rendre plus trash. C'était intéressant d'exagérer au contraire son côté excentrique et asocial. Par contre, Watson est moins défini : ce n'est ni le bon docteur terre à terre des romans, ni complètement l'inverse.
Vivement la suite, pour le grand méchant annoncé
