08-05-2011, 06:01 PM
(This post was last modified: 29-07-2011, 01:44 AM by Darth Nico.)
The Dirty Dozen (Les douze salopards) (1967, avec Lee Marvin, Ernest Borgnine, John Cassavetes, Donald Sutherland, Telly Savalas...). Un sergent est chargé d'enrôler douze condamnés à mort dans un commando qui préparera une attaque-suicide contre les Nazis.
Très bon film, réaliste, dur, sur le ton "la guerre, c'est sale et injuste".
Shade (2003, avec Stuart Townsend, Sylvester Stallone, Gabriel Byrne, Thandie Newton). Un jeune escroc, habitué des petites combines et des arnaques plus ou moins réussies, veut affronter le légendaire maître du poker. Mais, entre ses ennemis, la police et ses partenaires, tous menteurs et tricheurs, sur qui peut-il vraiment compter ?
Un bon petit film, avec plusieurs retournements et un bon twist final.
Rocknrolla (2008, de Guy Ritchie, avec Gerard Butler, Mark Strong, Tom Wilkinson, Tom Hardy, Thandie Newton). Presque le même film qu'Arnaque, crimes et botanique ou Snatch (mais sans Jason Statham pour une fois) : arnaques, trahisons et coups tordus dans l'underground londonien. Comme toujours, il y a trois ou quatre groupes d'escrocs qui s'affrontent, chacun pour son compte. Le rythme est moins frénétique cette fois-ci, l'ambiance plus travaillée.
The Bank Job (2008, avec Jason Statham). Un film à la Guy Ritchie : dans le Londres des années 70, des braqueurs mettent la main sur des documents très compromettants pour beaucoup de gens, ce qui va déclencher une série d'affrontement, d'alliances et de trahisons entre des politiciens, des hommes d'affaires, un producteur de porno et des truands à la petite semaine.
Très bon rythme, aussi réussi qu'un Guy Ritchie.
Machete (2010, de Robert Rodriguez, avec Danny Trejo, Steve Seagal, Robert de Niro, Michelle Rodriguez...). De la vraie-fausse série B façon années 70, bien caricaturale et marrante. On sent le réalisateur qui se fait plaisir à rejouer en un seul film tous les bons nanars qu'il adore. Danny Trejo n'a pas tant de réplique ni de temps à l'écran que ça, sans doute parce qu'il n'a pas la carrure pour un premier rôle. Heureusement, les seconds rôles sont là pour compenser. C'est le genre de film qui pourrait durer une heure grand maximum, parce qu'à la fin, on a l'impression que R. Rodriguez ne fait plus que des scènes qui feront rigoler son pote Tarantino.
Très bon film, réaliste, dur, sur le ton "la guerre, c'est sale et injuste".
Shade (2003, avec Stuart Townsend, Sylvester Stallone, Gabriel Byrne, Thandie Newton). Un jeune escroc, habitué des petites combines et des arnaques plus ou moins réussies, veut affronter le légendaire maître du poker. Mais, entre ses ennemis, la police et ses partenaires, tous menteurs et tricheurs, sur qui peut-il vraiment compter ?
Un bon petit film, avec plusieurs retournements et un bon twist final.
Rocknrolla (2008, de Guy Ritchie, avec Gerard Butler, Mark Strong, Tom Wilkinson, Tom Hardy, Thandie Newton). Presque le même film qu'Arnaque, crimes et botanique ou Snatch (mais sans Jason Statham pour une fois) : arnaques, trahisons et coups tordus dans l'underground londonien. Comme toujours, il y a trois ou quatre groupes d'escrocs qui s'affrontent, chacun pour son compte. Le rythme est moins frénétique cette fois-ci, l'ambiance plus travaillée.
The Bank Job (2008, avec Jason Statham). Un film à la Guy Ritchie : dans le Londres des années 70, des braqueurs mettent la main sur des documents très compromettants pour beaucoup de gens, ce qui va déclencher une série d'affrontement, d'alliances et de trahisons entre des politiciens, des hommes d'affaires, un producteur de porno et des truands à la petite semaine.
Très bon rythme, aussi réussi qu'un Guy Ritchie.
Machete (2010, de Robert Rodriguez, avec Danny Trejo, Steve Seagal, Robert de Niro, Michelle Rodriguez...). De la vraie-fausse série B façon années 70, bien caricaturale et marrante. On sent le réalisateur qui se fait plaisir à rejouer en un seul film tous les bons nanars qu'il adore. Danny Trejo n'a pas tant de réplique ni de temps à l'écran que ça, sans doute parce qu'il n'a pas la carrure pour un premier rôle. Heureusement, les seconds rôles sont là pour compenser. C'est le genre de film qui pourrait durer une heure grand maximum, parce qu'à la fin, on a l'impression que R. Rodriguez ne fait plus que des scènes qui feront rigoler son pote Tarantino.