06-11-2011, 07:14 PM
(This post was last modified: 08-11-2011, 12:13 PM by Darth Nico.)
The Apartment (1960, de Billy Wilder, avec Jack Lemmon, Shirley McLaine, Fred MacMurray). Un employé d'une grosse compagnie d'assurance new-yorkaise prête son appartement à ses supérieurs pour leurs rendez-vous galants. Mais le jour où il tombe amoureux de la lifitère, qui est déjà la maîtresse d'un des directeurs de la boîte, les ennuis commencent.
Billy Wilder nous fait passer insensiblement de la comédie au drame, frôle la tragédie et le film de société. Grand jeu d'acteur de Lemmon, MacMurray très bon en manipulateur élégant. Grand film sur toute la ligne.
Tintin et le mystère de la Toison d'Or (1961, de Jean-Jacques Vierne, avec Jean-Pierre Talbot, George Wilson). Le capitaine Haddock hérite d'un navire ayant appartenu à un ami Turc. Hélas, le bateau en question n'est qu'un vieux rafiot. Mais des gens semblent prêts à payer très cher pour le racheter...
Les acteurs principaux, choisis pour leur ressemblance avec les personnages, sont dans l'ensemble mauvais, surtout l'acteur qui joue Haddock (il en fait des tonnes). Tintin n'est pas si mal. Le côté lisse et irréaliste du film n'est pas sans coller au style de la BD. L'ensemble a tout de même mal vieilli.
Atomic Cyborg (1986, de Sergio Martino, de Daniel Greene). Un cyborg doit assassiner un leader écologiste. Au dernier moment, il se retient et s'échappe en Arizona. Ses supérieurs vont chercher à le retrouver.
Dans le genre nanar, c'est peut-être ce qui se fait de moins pire. Ordinateurs kitschs, méchants caricaturaux. Une ou deux scènes amusantes (un routier très méchant avec un accent qui passe de russe à italien puis espagnol), et de beaux plans de la région du grand canyon. J'aime toujours bien John Saxon. Le film à regarder en faisant autre chose.
Blood and Bone (2009, de Ben Ramsey, avec Michael Jai White, Eamonn Walker, Julian Sands, Dante Basco). Bone sort de prison et se fait une place dans le milieu des combats de rue. Il va vite gagner gros, mais il vient en réalité accomplir une vengeance. "Je suis le châtiment de Dieu. Si vous n'aviez pas commis de lourdes fautes, Dieu ne m'aurait pas envoyé pour vous punir !" (Gengis Khan).
Du muscle, du muscle et du muscle. Des personnages stéréotypés, un scénario sans surprise mais pas de fausses prétentions. Un film de baston correct. Michael Jai White est bien, comme d'habitude.
Billy Wilder nous fait passer insensiblement de la comédie au drame, frôle la tragédie et le film de société. Grand jeu d'acteur de Lemmon, MacMurray très bon en manipulateur élégant. Grand film sur toute la ligne.
Tintin et le mystère de la Toison d'Or (1961, de Jean-Jacques Vierne, avec Jean-Pierre Talbot, George Wilson). Le capitaine Haddock hérite d'un navire ayant appartenu à un ami Turc. Hélas, le bateau en question n'est qu'un vieux rafiot. Mais des gens semblent prêts à payer très cher pour le racheter...
Les acteurs principaux, choisis pour leur ressemblance avec les personnages, sont dans l'ensemble mauvais, surtout l'acteur qui joue Haddock (il en fait des tonnes). Tintin n'est pas si mal. Le côté lisse et irréaliste du film n'est pas sans coller au style de la BD. L'ensemble a tout de même mal vieilli.
Atomic Cyborg (1986, de Sergio Martino, de Daniel Greene). Un cyborg doit assassiner un leader écologiste. Au dernier moment, il se retient et s'échappe en Arizona. Ses supérieurs vont chercher à le retrouver.
Dans le genre nanar, c'est peut-être ce qui se fait de moins pire. Ordinateurs kitschs, méchants caricaturaux. Une ou deux scènes amusantes (un routier très méchant avec un accent qui passe de russe à italien puis espagnol), et de beaux plans de la région du grand canyon. J'aime toujours bien John Saxon. Le film à regarder en faisant autre chose.
Blood and Bone (2009, de Ben Ramsey, avec Michael Jai White, Eamonn Walker, Julian Sands, Dante Basco). Bone sort de prison et se fait une place dans le milieu des combats de rue. Il va vite gagner gros, mais il vient en réalité accomplir une vengeance. "Je suis le châtiment de Dieu. Si vous n'aviez pas commis de lourdes fautes, Dieu ne m'aurait pas envoyé pour vous punir !" (Gengis Khan).

Du muscle, du muscle et du muscle. Des personnages stéréotypés, un scénario sans surprise mais pas de fausses prétentions. Un film de baston correct. Michael Jai White est bien, comme d'habitude.