08-11-2011, 12:28 PM
(This post was last modified: 08-11-2011, 07:24 PM by Darth Nico.)
Wag the Dog (1997, de Barry Levinson, avec Robert de Niro, Dustin Hoffman). A la veille de l'élection, le président des Etats-Unis est empêtré dans un scandale sexuel. La Maison Blanche recrute un conseiller en communication et un producteur Hollywoodien pour faire diversion. Ceux-ci vont faire croire que le pays est entré en guerre contre l'Albanie...
Une comédie noire sur la politique et la manipulation de l'opinion. L'histoire n'a pas pris une ride. On s'y croirait tellement que ça fait un peu froid dans le dos....
The Boondock Saints (1999, de Troy Duffy, avec Willem Dafoe). A Boston, deux frères Irlandais tuent en légitime défense deux mafieux Russes. Ils sont rapidement considérés comme des héros dans le quartier. Ils se croient alors investis d'une mission divine : ils vont se transformer en anges de la mort contre tous les criminels de la ville.
Présenté comme un film culte ; l'histoire est sympathique au début mais se réduit bientôt à une suite de fusillades. Le pauvre Willem Dafoe s'en sort quand même, dans un rôle idiot de flic qui approuve ces justiciers. Violence gratuite, "fucks" à répétitions, vision simpliste de la religion, apologie de la vengeance qui défoule : tout dans le film fait terriblement adolescent.
Undisputed II (2006, d'Isaac Florentine, avec Michael Jai White, Scott Adkins). Un détenu noir Américain, ex-boxeur, est envoyé dans une prison Russe. Sa seule chance d'en sortir est d'accepter de participer à des combats clandestins.
Un film de baston plutôt réussi pour le genre direct-to-video. Le héros était le méchant du premier opus.
Undisputed III (2010, d'Isaac Florentine, avec Scott Adkins, Mykel Shannon Jenkins). Le méchant du 2 devient cette fois-ci le héros : Russe, teigneux, il sait qu'il est le meilleur. Il va participer à un tournoi clandestin dans une prison de Géorgie.
Le scénario est du pur street-fighter : ils sont huit au départ, le Français s'appelle Jean Dupont, le Brésilien fait de la capoeira, le noir Américain est un beau parleur... C'est pourtant un film réussi, mieux que le 2, avec des bonnes scènes de castagne ; acteurs corrects, histoire et dialogues sans trop de défauts caricaturaux.
The Invention of Lying (2009, de et avec Ricky Gervais). Que se passerait-il si personne ne savait mentir ? Si tout le monde était toujours sincère et spontané ? Si le serveur au restaurant vous disait que vous n'avez aucune chance avec la fille assise en face de vous ?
Un jour, Mark, employé d'une boîte de films historiques, se retrouve à sec sur son compte, sur le point d'être expulsé de chez lui. Il a alors un choc cérébral et invente le mensonge. Tout ce qu'il va dire sera désormais cru comme parole d’Évangile... Saviez-vous qu'à la préhistoire, les dinosaures combattaient des ninjas ?
Une excellente idée de départ, pour un film sympathique.
A venir :
- To Kill a Mockingbird (1962)
- Bronson (2009)
Une comédie noire sur la politique et la manipulation de l'opinion. L'histoire n'a pas pris une ride. On s'y croirait tellement que ça fait un peu froid dans le dos....
The Boondock Saints (1999, de Troy Duffy, avec Willem Dafoe). A Boston, deux frères Irlandais tuent en légitime défense deux mafieux Russes. Ils sont rapidement considérés comme des héros dans le quartier. Ils se croient alors investis d'une mission divine : ils vont se transformer en anges de la mort contre tous les criminels de la ville.
Présenté comme un film culte ; l'histoire est sympathique au début mais se réduit bientôt à une suite de fusillades. Le pauvre Willem Dafoe s'en sort quand même, dans un rôle idiot de flic qui approuve ces justiciers. Violence gratuite, "fucks" à répétitions, vision simpliste de la religion, apologie de la vengeance qui défoule : tout dans le film fait terriblement adolescent.
Undisputed II (2006, d'Isaac Florentine, avec Michael Jai White, Scott Adkins). Un détenu noir Américain, ex-boxeur, est envoyé dans une prison Russe. Sa seule chance d'en sortir est d'accepter de participer à des combats clandestins.
Un film de baston plutôt réussi pour le genre direct-to-video. Le héros était le méchant du premier opus.
Undisputed III (2010, d'Isaac Florentine, avec Scott Adkins, Mykel Shannon Jenkins). Le méchant du 2 devient cette fois-ci le héros : Russe, teigneux, il sait qu'il est le meilleur. Il va participer à un tournoi clandestin dans une prison de Géorgie.
Le scénario est du pur street-fighter : ils sont huit au départ, le Français s'appelle Jean Dupont, le Brésilien fait de la capoeira, le noir Américain est un beau parleur... C'est pourtant un film réussi, mieux que le 2, avec des bonnes scènes de castagne ; acteurs corrects, histoire et dialogues sans trop de défauts caricaturaux.
The Invention of Lying (2009, de et avec Ricky Gervais). Que se passerait-il si personne ne savait mentir ? Si tout le monde était toujours sincère et spontané ? Si le serveur au restaurant vous disait que vous n'avez aucune chance avec la fille assise en face de vous ?
Un jour, Mark, employé d'une boîte de films historiques, se retrouve à sec sur son compte, sur le point d'être expulsé de chez lui. Il a alors un choc cérébral et invente le mensonge. Tout ce qu'il va dire sera désormais cru comme parole d’Évangile... Saviez-vous qu'à la préhistoire, les dinosaures combattaient des ninjas ?
Une excellente idée de départ, pour un film sympathique.
A venir :
- To Kill a Mockingbird (1962)
- Bronson (2009)