03-12-2011, 01:22 PM
(This post was last modified: 26-05-2012, 01:39 AM by Darth Nico.)
Un petit best-of personnel :
Les 10 films découverts ces dernières années qui m'ont le plus marqué
#10 : Master and Commander (2003), de Peter Weir. Un excellent film d'aventure.
#9 : King of New-York (1990), d'Abel Ferrara. Pour la réalisation, l'ambiance, les couleurs. Quelques scènes fascinantes.
#8 : The Bourne Ultimatum (2007), de Paul Greengrass. Quand le film d'action touche à la perfection.
#7: Get Carter (1971), de Mike Hodges. Voyous et crapules s'affrontent dans des lieux décrépis et sordides. Tous sont affreux, sales et méchants. Rien que voir un film qui, pour une fois, ne fait aucune concession au style hollywoodien, est en soi réjouissant.
#6 : A History of Violence (2005), de David Cronenberg. Avec une histoire très simple, le film nous met face à toutes les formes de violence quotidiennes et banales, face à notre propre attirance pour l'humiliation, la domination et le meurtre.
#5 : Du rififi chez les hommes (1955), de Jules Dassin. Un film qui allie le meilleur du film de braquages à l'Américaine et qui restitue parfaitement l'ambiance du Paris populaire, sans mépris ni idéalisation.
#4 : F for Fake (1974), d'Orson Welles. Pour la dernière fois, Welles met en pièce le cinéma et le redéfinit complètement, pour arriver à communiquer directement avec son spectateur.
#3: Das Cabinet des Dr. Caligari (1920), de Robert Wiene. Un drôle de rêve, ou de souvenir, qui vire au cauchemar. Les décors hallucinés révèlent bientôt leur envers : la terreur et l'arbitraire dans l'enfermement des anormaux.
#2 : The Hustler (1961), de Robert Rossen. Ce qu'il en coûte de vouloir être un homme ou : comment un joueur acharné sacrifie l'essentiel pour arracher une victoire dérisoire. "Too high, Bert — the price is too high."
#1 : The Conversation (1974), de Francis Ford Coppola. Un expert des écoutes, anonyme et discret, est amené à sortir de son isolement s'il veut empêcher un meurtre. Une plongée dans la conscience d'un petit homme gris qui va au bout de lui-même, jusqu'à se retrouver pris à ses propres pièges.
Les 10 films découverts ces dernières années qui m'ont le plus marqué
#10 : Master and Commander (2003), de Peter Weir. Un excellent film d'aventure.
#9 : King of New-York (1990), d'Abel Ferrara. Pour la réalisation, l'ambiance, les couleurs. Quelques scènes fascinantes.
#8 : The Bourne Ultimatum (2007), de Paul Greengrass. Quand le film d'action touche à la perfection.
#7: Get Carter (1971), de Mike Hodges. Voyous et crapules s'affrontent dans des lieux décrépis et sordides. Tous sont affreux, sales et méchants. Rien que voir un film qui, pour une fois, ne fait aucune concession au style hollywoodien, est en soi réjouissant.
#6 : A History of Violence (2005), de David Cronenberg. Avec une histoire très simple, le film nous met face à toutes les formes de violence quotidiennes et banales, face à notre propre attirance pour l'humiliation, la domination et le meurtre.
#5 : Du rififi chez les hommes (1955), de Jules Dassin. Un film qui allie le meilleur du film de braquages à l'Américaine et qui restitue parfaitement l'ambiance du Paris populaire, sans mépris ni idéalisation.
#4 : F for Fake (1974), d'Orson Welles. Pour la dernière fois, Welles met en pièce le cinéma et le redéfinit complètement, pour arriver à communiquer directement avec son spectateur.
#3: Das Cabinet des Dr. Caligari (1920), de Robert Wiene. Un drôle de rêve, ou de souvenir, qui vire au cauchemar. Les décors hallucinés révèlent bientôt leur envers : la terreur et l'arbitraire dans l'enfermement des anormaux.
#2 : The Hustler (1961), de Robert Rossen. Ce qu'il en coûte de vouloir être un homme ou : comment un joueur acharné sacrifie l'essentiel pour arracher une victoire dérisoire. "Too high, Bert — the price is too high."
#1 : The Conversation (1974), de Francis Ford Coppola. Un expert des écoutes, anonyme et discret, est amené à sortir de son isolement s'il veut empêcher un meurtre. Une plongée dans la conscience d'un petit homme gris qui va au bout de lui-même, jusqu'à se retrouver pris à ses propres pièges.