21-04-2012, 01:28 AM
(This post was last modified: 09-05-2012, 04:35 PM by Darth Nico.)
The Trial (1962, d'Orson Welles, avec Anthony Perkins, Jeanne Moreau, Orson Welles, Romy Schneider, Michael Lonsdale). Joseph K., anonyme employé de bureau, voit la police entrer chez lui le matin et lui signifier son arrestation, sans lui dire ni qui l'accuse ni de quoi. Il se trouve entraîné dans une confrontation absurde avec la justice.
L'histoire apparaît vite erratique, dénuée de sens. Mais il faut s'y laisser prendre comme dans un cauchemar qui suit sa propre logique : le héros découvre peu à peu toute l'ignoble machine judiciaire, indifférente aux gens qu'elle accuse.
Architecture écrasante, entre les antiques palais surchargés de décorations et les immeubles de bureaux ultramodernes : la mise en scène magnifie cette quête désespérée de vérité et de dignité. Un film éblouissant.
Down by Law (1986, de Jim Jarmusch, avec Roberto Benigni, John Lurie, Tom Waits), Trois hommes sont arrêtés à la Nouvelle-Orléans et se retrouvent dans la même cellule. Ils ne se connaissent pas. Ils passent le temps, apprennent à se connaître, se disputent, se réconcilient. Ils montent une évasion et se retrouvent la nuit dans le bayou.
Un film lent, qui joue surtout sur les dialogues, l'atmosphère, le côté décalé, underground, un peu improvisé. Bonnes performances des trois acteurs principaux.
Le boulet (2002, d'Alain Berbérian et Frédéric Forestier, avec Benoît Poelvoorde, Gérard Lanvin, José Garcia). Moltés a passé sept ans en prison et n'a plus que quelques semaines à faire. Il a sympathisé avec un gardien, grâce à qui il joue au loto. Le jour où il remporte le ticket gagnant, il s'évade pour le récupérer, car le ticket est parti avec la femme du gardien en Afrique...
Une comédie pas trop mal faite, qui veut la jouer aussi film d'action à l'Américaine. On oscille entre des bonnes scènes et des longueurs. Distrayant mais un peu trop ambitieux pour ses moyens.
We Own The Night (2007, de James Gray, avec Joaquim Phoenix, Mark Wahlberg, Robert Duvall, Eva Mendes). L'histoire de deux frères dans les années 1980 à Brooklyn : l'un tient un cabaret à succès, fréquenté par la mafia russe ; l'autre travaille avec son père à la brigade de nuit, dont la devise est : "La nuit nous appartient". Inévitablement, les deux frères vont se retrouver chacun d'un côte de la loi et vont devoir assumer des choix déchirants.
Du très classique au niveau scénario, soutenu par une bonne mise en scène. Très bonne scène de poursuite sous la pluie. Du polar solide.
A venir :
- Rear Window (1954)
- Love and Death (1975)
- I comme Icare (1979)
- Idiocracy (2006)
- The Avengers (2012)
L'histoire apparaît vite erratique, dénuée de sens. Mais il faut s'y laisser prendre comme dans un cauchemar qui suit sa propre logique : le héros découvre peu à peu toute l'ignoble machine judiciaire, indifférente aux gens qu'elle accuse.
Architecture écrasante, entre les antiques palais surchargés de décorations et les immeubles de bureaux ultramodernes : la mise en scène magnifie cette quête désespérée de vérité et de dignité. Un film éblouissant.
Down by Law (1986, de Jim Jarmusch, avec Roberto Benigni, John Lurie, Tom Waits), Trois hommes sont arrêtés à la Nouvelle-Orléans et se retrouvent dans la même cellule. Ils ne se connaissent pas. Ils passent le temps, apprennent à se connaître, se disputent, se réconcilient. Ils montent une évasion et se retrouvent la nuit dans le bayou.
Un film lent, qui joue surtout sur les dialogues, l'atmosphère, le côté décalé, underground, un peu improvisé. Bonnes performances des trois acteurs principaux.
Le boulet (2002, d'Alain Berbérian et Frédéric Forestier, avec Benoît Poelvoorde, Gérard Lanvin, José Garcia). Moltés a passé sept ans en prison et n'a plus que quelques semaines à faire. Il a sympathisé avec un gardien, grâce à qui il joue au loto. Le jour où il remporte le ticket gagnant, il s'évade pour le récupérer, car le ticket est parti avec la femme du gardien en Afrique...
Une comédie pas trop mal faite, qui veut la jouer aussi film d'action à l'Américaine. On oscille entre des bonnes scènes et des longueurs. Distrayant mais un peu trop ambitieux pour ses moyens.
We Own The Night (2007, de James Gray, avec Joaquim Phoenix, Mark Wahlberg, Robert Duvall, Eva Mendes). L'histoire de deux frères dans les années 1980 à Brooklyn : l'un tient un cabaret à succès, fréquenté par la mafia russe ; l'autre travaille avec son père à la brigade de nuit, dont la devise est : "La nuit nous appartient". Inévitablement, les deux frères vont se retrouver chacun d'un côte de la loi et vont devoir assumer des choix déchirants.
Du très classique au niveau scénario, soutenu par une bonne mise en scène. Très bonne scène de poursuite sous la pluie. Du polar solide.
A venir :
- Rear Window (1954)
- Love and Death (1975)
- I comme Icare (1979)
- Idiocracy (2006)
- The Avengers (2012)