24-02-2004, 01:57 PM
La partie de campagne, je ne connaissais pas : je n'ai pas lu.
Par contre, l'histoire de la fessée dans les Confessions de Rousseau, c'est célèbre. Le pety Jean-Jacques avoue effectivement prendre plaisir à la fessée administrée par une servante.
L'identité du parrain et du dauphin, je la connaitrais déjà si je t'avais laissé me spoiler comme tu étais sur le point de le faire une ou deux fois.
Pour l'Etranger, je ne comprends pas bien ce que voulait dire ton prof de français. Le livre n'aurait aucun sens si le meurtre ne se produisait pas, comme dans une tragédie : sous le soleil éblouissant, Meursault entend les trois coups fatals de la tragédie.
C'est justement ce qui le fait sortir de son indifférence. C'est précisément la démesure (hybris) (en l'occurrence le meurtre) qui conduit le héros tragique au chatiment.
Maintenant, pour le titre de ton livre : "Le prix à payer."
Je vois plusieurs choses (et peu importe celle à laquelle tu pensais : l'auteur n'a pas toujours raison sur son livre, c'est la loi :P )
- Le prix à payer au fils (les 100.000€ escroqués à Tonton)
- Le prix que les crapules de politiques et de bandits doivent payer pour leur crime et pour tromper les gens : le prix de l'expiation de leurs fautes. Thème de la vengeance et de la justice : Robert et Sonia en seraient les exécutants.
Je pense que tu pensais à la 2e solution, pas vrai ?

Par contre, l'histoire de la fessée dans les Confessions de Rousseau, c'est célèbre. Le pety Jean-Jacques avoue effectivement prendre plaisir à la fessée administrée par une servante.

L'identité du parrain et du dauphin, je la connaitrais déjà si je t'avais laissé me spoiler comme tu étais sur le point de le faire une ou deux fois.

Pour l'Etranger, je ne comprends pas bien ce que voulait dire ton prof de français. Le livre n'aurait aucun sens si le meurtre ne se produisait pas, comme dans une tragédie : sous le soleil éblouissant, Meursault entend les trois coups fatals de la tragédie.
C'est justement ce qui le fait sortir de son indifférence. C'est précisément la démesure (hybris) (en l'occurrence le meurtre) qui conduit le héros tragique au chatiment.

Maintenant, pour le titre de ton livre : "Le prix à payer."
Je vois plusieurs choses (et peu importe celle à laquelle tu pensais : l'auteur n'a pas toujours raison sur son livre, c'est la loi :P )
- Le prix à payer au fils (les 100.000€ escroqués à Tonton)
- Le prix que les crapules de politiques et de bandits doivent payer pour leur crime et pour tromper les gens : le prix de l'expiation de leurs fautes. Thème de la vengeance et de la justice : Robert et Sonia en seraient les exécutants.
Je pense que tu pensais à la 2e solution, pas vrai ?
