18-12-2005, 01:25 AM
![[Image: you_fail.jpg]](http://masklinnscans.free.fr/4chan/you_fail.jpg)
Vampire 2006 - #7 : Les châtiments de Jérémie
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18-12-2005, 01:25 AM
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18-12-2005, 01:28 AM
![]() Comment tu l'avais trop dans ta manche, prêt à dégainer, tel Ayame avec un tanto. ![]()
18-12-2005, 01:29 AM
Toujours prêt à frapper
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18-12-2005, 01:32 AM
Si tu avais trouvé je t'aurais sorti ça
![]() Qui a dû être traduit par la même équipe que le All your base ![]()
18-12-2005, 01:38 AM
![]() Excellent ! Tiens, je vais me faire une piqûre de rappel d'AYBABTU ! ![]()
21-12-2005, 07:45 PM
(This post was last modified: 21-12-2005, 09:49 PM by Darth Nico.)
Vampire 2006 - #7
Jérémie regarda Loren s'asseoir face à lui, au bureau, de son retour des prisons. - Monsieur le Préfet, j'ai une requête à formuler. - Dites-moi, donc. - Je ne peux pas y aller par quatre chemins. Shrek est l'ennemi public n°1. Il s'en pris aux Tours, dont je dois assurer la sécurité. A l'heure qu'il est, ses complices sont découverts et ne nuiront plus. Mais Shrek court toujours. J'ai de bonnes raisons de penser qu'il s'agit d'un certain Bernard de Latréaumont. Malkavien antitribu, exilé en Birmanie. Je veux aller le chercher, en finir avec lui pour de bon. - Cette résolution vous fait honneur, Sire Loren. Mais que voulez-vous dire ? - J'ai besoin de volontaires. Et ils ne sont pas nombreux. Je crois pouvoir compter sur un Gangrel de la coterie du Prince, Olaf. Peut-être sur un membre de la police Brujah. Il y va de la sécurité de Paris après tout. - En effet... - Je voudrais emmener Graziella de Valori et Camile avec moi. Jérémie fronça un sourcil : Loren devait bien savoir que c'était impossible. - Pour cela, j'ai besoin que leur peine soit commuée en exil. Le Préfet sourit devant le volontarisme de Loren. - Impossible malheureusement. Impossible. Le Préfet de Paris n'a pas à transiger avec nos lois. Ne comptez pas sur moi pour transformer leur peine. Du reste, est-ce vraiment l'adoucir ? Ils vont être mis en torpeur pour plusieurs décennies. Mais est-ce un sort meilleur que de les envoyer à une mort certaine, dans l'enfer du Myanmar ? - Il ne tient qu'à vous de me laisser lui en parler... - Impossible. Je ne ferai aucune concession sur ce point. Valori et Camille seront jugés selon les Traditions et je ne modifierai en rien la décision qui sera prise. Jérémie regarda fixement Loren, puis se leva et dit, un ton plus bas. - Pour les recours en grâce, demandez à votre Sire le Prince de Paris. Mais croyez-moi : dans le meilleur des cas, vous n'en obtiendrez pas deux. Loren comprit qu'il venait de se charger d'une lourde responsabilité. Il pria le Préfet de l'excuser, puis redescendit dans les prisons. - Camille, écoute-moi. Je viens te proposer quelque chose. Je vais être clair : je pars en Birmanie. J'ai besoin de gens pour m'y accompagner, pour retrouver Shrek. Veux-tu venir ? Si tu acceptes, ta peine de torpeur pourra être annulée. - Si vous n'avez que cela à m'offrir comme espoir, j'aime mieux recevoir un pieu dans le coeur, comme promis. Je n'ai pas la carrure d'un mercenaire, sire Loren, vous devez bien le savoir. Je ne suis qu'un érudit. Les missions commando, ce n'est pas pour moi. - Espérons que Graziella sera plus volontaire que toi... Camille lança un regard glacé à Loren. Il se leva et s'accrocha aux barreaux de sa cellule : - Elle ne voudra pas venir, Loren ! Personne ne voudra ! Seul les fous les plus atteints ignorent que le Myanmar est l'enfer sur terre ! Personne ne vous y accompagnera !... ![]() Loren fit la sourde oreille et remonta au 4e. Il se présenta au bureau de Lucinius. Graziella était encore assise, Lucinius à son bureau. En somme, rien n'avait changé et on sentait qu'ils n'avaient pas dû échanger deux mots depuis tout à l'heure. Il s'assit en prenant son temps, puis exposa sa proposition à Valori. Celle-ci écouta attentivement. Par ailleurs, le Ventrue offrait un choix simple : le pieu ou un voyage en Birmanie. Le Préfet avait tiqué à cette idée et Camille s'était révolté, mais Lucinius ne dit rien. Etait-il devenu insensible à l'avenir de Graziella depuis qu'il avait appris ses agissements ? L'Italienne n'hésita pas : - Très bien. Si vous pouvez obtenir l'exil pour moi, je vous suivra, sire Loren. Nous irons chercher ce Latréaumont qui menace Paris. - C'est du terroriste Shrek dont nous parlons. - Si vous dites que ce Malkavien est un danger pour Paris... - Allons, il est l'heure maintenant, dit Loren avec la gravité du gardien qui vient chercher le condamné le matin. - Pas encore, fit Lucinius. J'aimerais m'entretenir encore avec mademoiselle de Valori. Soyez certain que j'avertirai le Préfet dès la fin de notre entretien. Désagréablement surpris, le Ventrue se demanda à quoi jouait Lucinius. - Très bien, monsieur le Sénéchal. - Nous en aurons terminé avant le lever du jour, soyez rassuré. Sans sourire, Loren ressortit et demanda une audience auprès du Prince. ![]() Graziella commençait vraiment à se demander pourquoi Lucinius la retenait ainsi. L'aube allait se lever et elle s'était résignée à son sort. S'il fallait payer pour ses fautes, elle était prête à se soumettre. Le Sénéchal alla à la fenêtre, alors que le ciel commençait à bleuir au-dessus de Notre-Dame. Graziella se leva, mue par l'instinct atavique des fils de Caïn. Le soleil allait finir par poindre ! - Ne vous inquiétez pas, observez plutôt l'horizon. Lucinius avait parlé comme s'il lisait dans ses pensées. De Valori scruta le paysage : la Seine, les ponts et les lumières du quartier latin. On vit percer au-dessus de l'île de la Cité un petit carré d'ombre, qui s'étendit de plus en plus, comme une nappe sur la table. L'ombre recouvrit Notre-Dame, puis la Seine, l'île de la Cité, les bâtiments autour, le Louvre à son tour fut pris. Même la statue de Voltaire en aurait perdu son éternel sourire satisfait, pour se changer en rictus apeuré. Graziella tressaillit au plus profonde de son être et tomba à genoux, transie. Lucinius se rassit à son bureau et ferma les rideaux puis la porte à clef. Une haute silhouette, athlétique, apparut dans le bureau, qui prit forme à partir d'un écoulement visqueux d'ombre pâteuse. Graziella était déjà à genoux, front presque à terre, lorsque Sire Montano finit de se matérialiser dans la pièce. - Alors, chère Graziella ? Ne suis-je pas en retard ? - Sire Montano, murmura l'Italienne, si je m'attendais à cela... - Je sais être là, sourit le grand Noir, quand des membres de mon clan sont en difficulté. Et j'ai senti qu'il arrivait malheur à notre cher Cosimo Santi. - L'arrogance des Ventrue n'a plus de fin, Sire... Ils veulent notre perte. Montano rit à pleines dents. - Patience, Graziella, patience... Pour le moment, vous partez en Birmanie... Vous allez tenir compagnie à ce cher François Loren. - J'y suis bien obligée, Sire. Je ne vais pas laisser ces Ventrue m'enfoncer un pieu dans le coeur. Je préfère aller combattre nos frères déchus du Sabbat. - Une courageuse décision, qui fait honneur au sang de Lasombra. Sire Lucinius, voulez-vous faire appeler Sire Loren ? J'aimerais lui parler. Ensuite, j'irai m'entretenir avec Sire Ibn-Azul... Lucinius décrocha son téléphone : - Monsieur le Préfet ? oui, je tenais à vous prévenir que mademoiselle de Valori a terminé son entretien avec moi. Si François Loren veut venir "l'escorter" jusqu'à votre bureau. Le Ventrue ne se fit pas prier. Il entra deux minutes après dans le bureau et fut stupéfait d'y voir Roméo de Montaigu. - Ca alors, dit-il, si je m'attendais ! - François Loren, comment allez-vous ? Nous ne nous sommes pas revus depuis la Régence. Maître Octave m'a fait part de votre envie de me rencontrer. Vous voyez, je viens toujours voir ceux qui me font le plaisir de s'intéresser à moi. - Si vous voulez m'excuser, je dois accompagner mademoiselle de Valori chez le Préfet. Si je peux avoir le plaisir de m'entretenir avec vous ensuite... - Faites donc. Je ne veux pas perturber le cours de l'Elysium. Courageusement, Graziella se leva. Elle jeta un regard insistant, de fermeté, à Montano, ce qui n'échappa pas au Ventrue. Il escorta Graziella chez Jérémie. Sur le chemin, il échangea quelques mots avec la Lasombra. Elle acceptait son idée de voyage mais protestait contre les coups de force répétés du clan Ventrue. Enfin, la porte s'ouvrit sur le bureau du Préfet de Paris. Jérémie était debout pour accueillir la prévenue. - Mademoiselle Graziella de Valori, vous êtes en état d'arrestation, pour assassinat, association terroriste et complots contre les Traditions. Vous encourez une peine allant de la Torpeur à l'exposition définitive au soleil. Reconnaissez-vous ces accusations ? - Oui. - Bien, fit le Préfet, soulagé. Asseyez-vous. La Justice va pouvoir suivre son cours normalement, désormais. ![]() EPILOGUE La Justice suivit son cours en effet. Et rapidement. Quinze jours après, les Arcontes réunissait un Tribunal au Louvre. Anatole Nosferatu, dit Lapin de Garenne, fut condamné à mort. On révéla au grand jour toute la saleté qu'il contenait en lui : associations par le passé avec le Sabbat, complicités avec Shrek, assassinat du courtisan Vaneighem (il avait fini par avouer à la suite de quelle mythomanie il avait tué son confrère de clan). Cosimo Santi, pour des chefs d'accusation similaires, fut condamné à mort. Le noble seigneur, le méchant homme florentin, subissait la même peine que le vilain rat d'égoût. Clémentine Brujah, pour complicité d'assasinat, fut condamnée à 60 ans de Torpeur, dont 40 avec sursis et 20 ans de peine de sûreté. Camille fut condamné à 80 ans de torpeur, dont 40 avec sursis. Graziella de Valori fut condamnée à 120 ans, dont 50 avec sursis. Sa peine fut commuée peu après en exil par le Prince de Paris. Elle se porta volontaire pour partir avec François Loren. Fut désigné volontaire l'inspecteur Novembre, celui qui avait tant fâché le Fléau. Olaf, le Gangrel d'Ibn-Azul, était aussi de l'expédition. Loren refusa que Clémentine rejoigne son groupe. Avant son départ, Graziella assista à la mise en torpeur de Camille. Le jeune érudit, torse nu, tremblait quand on l'amena devant la table en fer. Ces restes d'instincts animaux paraissaient bien dérisoires. Il fut allongé, menotté aux poignets et aux chevilles. Sergio tenait le pieu et ce fut Bonenfant qui fut désigné pour l'enfoncer. Un cri s'échappa de la gorge de Camille quand le bois lui perfora la cage thoracique. Encore quelques coups et il devint muet de terreur, avant de tomber dans un coma profond. Les officiels se retirèrent, parmi lesquels le Sénéchal, Loren, le Préfet. Graziella eut l'autorisation de rester avec son compagnon de clan. Elle vit son corps craquer, grincer, s'allonger brusquement, faisant craquer ses vêtements et reprendre sa taille supérieure à 2m20, de grand échalas livide. Il ne se reléverait pas de cette table avant 2046 au moins. Avant de subir sa peine, il avait fait juré, la voix tremblante, à Graziella qu'elle serait là la nuit de son réveil. Valori lui avait promis. Ensuite, Graziella put visiter le dernier sous-sol, le quartier de haute sécurité. Celui où Anatole et Santi attendaient leur exécution. Elle ignora délibérement le Nosferatu. Il la sentit pourtant approcher et gueula comme un perdu à son approche des obscénités. Il n'avait plus rien à perdre. Au fond du couloir, c'était la cellule de Santi. On laissa Graziella seul avec lui. Le maître du clan Lasombra, dans cette obscurité sordide, avait à peine perdu de sa superbe, comme s'il était fait pour habiter ces recoins sinistres. - Vous ne pouvez pas partir avec Loren sans que je vous parle avant... Vous connaissez les origines de notre clan. La révolte Anarch en Europe et donc la rébellion menée par Sire Gratiano, le dernier infant de Lasombra contre son Sire. Vous savez que les révoltés qui allaient former le Sabbat voulaient se débarrasser des Fondateurs de Clan et des Anciens en général. Ensuite, que s'est-il passé ? - Ce qui s'est passé, récita Graziella, c'est la victoire des partisans de Gratiano. Ils ont pris d'assaut le château de Sicile. Là, le Traître a affronté Lasombra et a réussi à le diaboliser. Alors, il a laissé le choix aux membres du clan Lasombra : leur fidélité ou la mort. La plupart a rejoint Gratiano et une 'infime minorité a suivi Montano sur la voie de l'exil. - Bien. Cela, c'est la version officielle. - Oui et les membres du Sabbat disent ainsi que Montano est un lâche, car il ne fait que s'enfuir et reculer le moment de son châtiment. - Et quelles rumeurs circulent sur l'épisode du château de Sicile ? - Certains murmurent que Lasombra n'est pas vraiment mort. Que Gratiano l'ignore et qu'un jour, les fidèles d'entre les fidèles, les partisans de Montano, prendront leur revanche, avec Lasombra à leur tête. - Oui, mais pouvez-vous croire que Sire Montano soit un lâche ? Qu'il ait eut la peur au ventre face à Gratiano ?... Pouvez-vous croire que ce minable comploteur ait pu avoir raison de notre maître, le maître de toutes les ombre, Lasombra le fils de Caïn ? - Sire, je l'ignore. J'aimerais croire que... - Croire quoi ? Il n'est pas nécessaire de croire quand on connaît la vérité. "L'histoire commence 7000 ans avant Jésus de Nazareth, sur les plaines de l'actuel Niger. Il y vivait une tribu d'humains, des nomades, dont la route croisa un jour une créature des ténèbres devant laquelle la Nuit même aurait reculé de terreur. La Créature s'apprêta à engloutir dans sa gueule immense la tribu, d'un seul coup de mâchoire. Alors se leva un guerrier, jeune encore, mais le plus puissant de sa tribu. Un guerrier puissant, dont la force se comparait à celle du soleil quand il se lève et réchauffe la terre entière. Il dit qu'il était prêt à se sacrifier à la Créature de ténèbres si elle épargnait en échange sa tribu. "Impressionnée, le Visiteur proposa au guerrier de venir le retrouver, la nuit d'après. Sans hésiter, le guerrier accepta. On le célébra comme un héros, comme un demi-dieu. On lui offrit pour une journée tous les délices qu'on pouvait imaginer, des boissons enivrantes, des femmes... Mais le guerrier n'avait d'yeux que pour ce Sombre Passant. A la fin de la journée, il fit ses bagages et partit affronter le destin auquel il s'était lié. "Lasombra l'attendait, à l'orée de la jungle. -Tu es venu à moi, comme promis, prêt à sacrifier ta vie. Très bien, mais je ne veux pas te tuer. Je veux te lier à moi -à jamais. Je veux que tu deviennes, par delà la vie et la mort, un fils pour moi. Accepte, ou bien tu mourras et ta tribu avec toi. "Pas un instant, le guerrier ne tressaillit. Il mit un genou à terre et jura fidélité. Lasombra sourit -si tant est que les ombres elles-mêmes puissent sourire- et mordit sa victime à la gorge. Puis il l'emporta avec lui et tourna le dos au village. "Alors, Graziella, c'est ainsi que Montano devint, il y a 9000 ans, le premier membre de notre clan. Croyez-vous donc que Gratiano, étreint en 1200, puisse être de force contre Montano ? Non. Et il ne suffit pas de dire que Lasombra n'est pas vraiment mort et qu'il a remodelé la mémoire de Gratiano... "Comment Lasombra aurait-il ignoré quoi que ce soit des projets d'un minable arriviste, étreint par peur de la mort, alors que Montano avait délibérement sacrifié sa vie pour une fidélité éternelle ? "La vérité, Graziella, c'est que le plan de Gratiani était éventé depuis le début. Quand Gratiano est arrivé face à Lasombra, ce dernier a souri -comme il avait souri à Montano- et l'a lentement dévoré, suçant ses chairs et ses os pour que son dernier infant ait le temps, dans son agonie, de ressentir le poids, l'énormité de sa bêtise. Lasombra s'en ait léché les doigts ! Et d'autant plus quand il a trouvé là l'occasion d'une farce démoniaque ! Il a ordonné à Montano de partir avec ceux qui seraient ses véritables fidèles. Puis il a pris l'apparence de Gratiano et a pu constater l'étendue de la corruption. La grande majorité du clan beuglait en choeur le nom du traître. Depuis, Lasombra teste ceux qui lui sont fidèles, à commencer par Montano. Il utilise la quasi-totalité du clan pour en faire des déchus -des monstres du Sabbat- et servir d'épreuve aux heureux élus, aux très rares élus, qui peuvent admettre de se battre contre leurs frères et affirmer ainsi qu'ils acceptent l'épreuve, le fardeau, de Montano !... Oui, Graziella, souvenez-vous en quand vous rencontrerez le Sabbat en Birmanie : ce sont des ignorants, des bêtes assoiffées de sang qui n'existent que pour vous servir d'épreuve. Vous êtes leur raison d'être, mais ils l'ignorent ! " Partez maintenant. Accomplissez votre devoir. Graziella n'en revenait pas. Elle se sentait transportée par un frisson d'extase et d'horreur mêlées. Elle découvrait son destin au fond des ténèbres. - Et vous, Sire ? - Je reste ici, Graziella. Et croyez-moi, je ne verrai pas le soleil avant Anatole. Je serai peut-être même encore là à votre retour. Faites vite. - Bien Sire... Je me montrerai digne de vos conseils, de Montano, de Lasombra... On vint lui signifier que la visite était terminée. Elle recula, continua à fixer Santi, assis dans sa cellule, dans son trou d'ombre, puis elle s'en alla. Elle passa au domicile de Santi. Le manoir respirait une insondable tristesse, un vide déprimant. Graziella fut accueillie par le nouveau maître des lieux, Condottiere, qui se frottait à elle en demandant à manger. Elle le prit dans ses bras, apitoyée soudain. - Et toi, qui va s'occuper de toi pendant que je serai partie ?... Et le chat noir émit un long miaulement de protestation. FIN ![]()
25-12-2005, 11:23 PM
Mmmmmh bravo pour le texte
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30-10-2006, 03:47 PM
BASTON!!!!!!!
23-07-2007, 10:21 PM
Rambo IV, à sortir l'année prochaine, se passera en Birmanie.
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23-07-2007, 11:58 PM
![]() Je me demandais ce qui nous valait ce up mais imaginer Loren en train de serrer son bandeau rouge et montrer ses muscles ça vaut le coup ![]() |
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