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Le prix à payer (avis aux lecteurs)
#21
Et le grand intendant Raffarin ! :jmekiffe:
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#22
Ce qui me fait bien marrer, c'est l'hypocrisie générale sur ce sujet. La plupart des élus de Gauche ont aussi profité du système. Mais bizarrement on en parle pas... Ouimaisnon
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#23
Ne soit pas rageux Willo... on ne parle pas non plus des nombreux précédents élus de droite qui en ont profité. Le fait est que ça tombe toujours sur quelqu'un, qu'il soit de droite ou de gauche. Et puis là ça dépassait quand même franchement le raisonnable.

Clever au fait, ce n'est pas lui qui a dit travailler 120h/semaine?

après un calcaul rapide cela lui laisse moins de 7h par jour pendant lesquelles il doit se laver, manger et dormir... j'ai beaucoup de mal à y croire :roll:
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#24
Je ne suis pas rageux, mais réaliste.

ça me saoule cette hypocrisie récurrente, et le fatalisme qui l'accompagne. Biensûr que la Droite en a profité, mais ça n'authorise pas la Gauche à la ramener pour autant. C'est quoi cette manie qu'ils ont de la ramener sans arrêt, on se croirait à la Maternelle. Quand on est sois-même concerné on ferme sa gueule, même si le petit copain d'en face n'a pas fait mieux Ouimaisnon Seuls peuvent la ramener ceux qui montrent l'exemple, et dans tous ceux qui l'ont ramenée, Droite comme Gauche, il n'y en a pas un qui est en position d'être en droit de donner des leçons.
Pour moi il n'y a pas matière à débat, et je trouve indécent de vouloir faire des comparaisons. Quand il y a des gens qui crèvent la faim, qui n'arrivent pas à trouver un emploi décent, qu'on voit le nombre d'illétrés augmenter de façon croissante, je ne préfère ni le 600m² de la Droite, ni les manoirs normands des communistes, ni les caisses noires du FN, ni les magouilles de Fabius, etc... L'argent public ne doit pas servir à autre chose qu'au bien être du peuple, point à la ligne.



C'est bien pour ça que je m'exclue aussi du système législatif en n'allant plus voter. Je recommencerai à voter quand la politique servira le peuple et non les politiques, ou quand un candidat servira autre chose que ses intérêts persos. Et si vous voullez mon avis c'est pas prêt d'arriver.
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#25
Extrait de mon livre, histoire de les dénoncer:
Quote:Chapitre onze

Le samedi, Robert avait rendez-vous avec Monsieur le chef de l’opposition. Cela faisait deux mandats que celui-ci, pour la plus grande gloire de son parti politique, essayait de conquérir la mairie de la ville.
Effectivement, Monsieur le maire était, dans le pays, un élément incontournable dans son organisation politique. Ainsi, si l’opposition nationale parvenait à prendre la ville, elle éliminerait une figure historique de la majorité actuelle.

Tout comme Monsieur le maire, Monsieur le chef de l’opposition était énarque. D’ailleurs, la politique n’est-elle pas réservée aux énarques ?
Monsieur le chef de l’opposition faisait également partie du conseil régional et du parlement de Bruxelles. Il était d’ailleurs, grâce à la formation qu’il avait reçue, passé maître dans l’art de parler de sujets auxquels il ne connaissait rien, sans que son interlocuteur s’en doute.
A qui voulait l’entendre, il clamait haut et fort que les combustions du charbon ou du pétrole était une énergie plus propre que le nucléaire, omettant de préciser que la combustion complète des hydrocarbures par du dioxygène pur rejetait du dioxyde de carbone, gaz à effets de serre. D’ailleurs, sur ce sujet, il n’hésitait pas à traiter les prix Nobel de physique et de chimie de menteurs et d’incompétents. Ainsi, il se faisait des alliés parmi les autres partis politiques dans son propre camp.

Par ailleurs, Monsieur le chef de l’opposition avait un talent indéniable : Il était avec tout le monde. Il était pro-européen mais sans les Anglais car ils n’étaient pas dans la zone euro et sans les Allemands car ils défendaient la banque centrale européenne. C’est vrai qu’il fallait réunir les voix des pro-européens et des eurosceptiques. D’ailleurs, s’était-il posé la question de l’utilité de l’Europe ?
Ou bien était-ce utile de se la poser pour être élu ?

Monsieur le chef de l’opposition était jeune. Il devait avoir la quarantaine. Il était habillé d’un costume vert. Il portait une chemise rouge et une cravate rose. Avec cette tenue recommandée par son équipe de communication qu’il payait très cher, il espérait conquérir la mairie. Il devait montrer par sa tenue qu’il était le candidat du changement. Bien qu’il ne soit pas myope, il portait des lunettes pour lui donner un air réfléchi et travailleur. Il avait une coupe de cheveux noir bien nette.

Tonton finançait la futur campagne de Monsieur le chef de l’opposition afin de prendre la ville. Monsieur le chef de l’opposition savait que le nerf de la guerre, c’est l’argent. Il dépensait de la main droite sans se préoccuper de savoir où la main gauche avait pris l’argent. Si Monsieur le chef de l’opposition prenait la mairie, celui-ci savait qu’il ne serait pas le maire réel, mais sa position au sein de son mouvement politique serait renforcée : à ses yeux, il n’était pas vraiment perdant.

Robert et tonton devaient rencontrer Monsieur le chef de l’opposition chez lui. Il habitait le Nord dans un luxueux appartement. Celui-ci contenait une cuisine, trois chambres, un salon, une salle à manger ainsi que une superbe salle de bain. Il était meublé par un grand nombre d’antiquité. Le salon contenait une commode Louis XVI ainsi qu’une très élégante table de bois. Les fauteuils, très inconfortables, étaient d’époque Napoléon. La salle à manger contenait une gigantesque table qui devait être du second empire. Cette pièce, comme le salon, était dotée d’une télévision à écran plasma. Sur tous les murs, il était possible d’admirer de magnifiques tableaux. Lorsque Robert arriva, il eut l’impression d’être chez un antiquaire.

Monsieur le chef de l’opposition était en compagnie d’une jeune femme d’une vingtaine d’année. Elle avait de longs cheveux blonds, un magnifique visage naïf et des yeux bleus comme l’océan : on aurait pu s’y noyer. Elle portait une magnifique robe rouge, symbole de passion, de magnifiques bijoux et de l’or.
Monsieur le chef de l’opposition serra la main de Robert :
- Monsieur Durand, je suis enchanté de faire votre connaissance.
- Moi de même, je suis content de faire votre connaissance.
- Je vous présente ma compagne, Mademoiselle Julie Greco.
Robert lui baisa la main et dit d’une voix charmeuse :
- Je suis enchanté de vous connaître.
- Moi de même répondit celle-ci en faisant la révérence.

La compagne de Monsieur le chef de l’opposition fit passer ses invités dans la salle à manger. On commença par l’apéritif. Il y avait en guise d’amuse gueule des toasts au caviar. Robert eut le choix entre un bon rhum ou le meilleur whisky venu de l’Ecosse la plus profonde.
Le repas commença par des huîtres. Elles venaient de Bretagne, car à la différence de celle de Charente, elles étaient élevées seulement dans l’eau de mer.
En plat principal, on servit du coq au vin  accompagné d’un Bordeaux. Il était hors de question de servir un beaujolais nouveau, vin par trop populaire.
Après les meilleurs fromages, vint un magnifique gâteau digne d’un repas de mariage. Celui-ci était accompagné de champagne.
   
Robert avait brillé pendant la conversation du repas. On y avait parlé d’art. Grâce à celui-ci, Monsieur le chef de l’opposition et sa compagne avaient appris beaucoup de Robert sur la peinture et les différents peintres. Robert donnait l’impression de maîtriser et de se passionner pour le sujet. Il avait parlé de Cimabue, Giotto et bien d’autres.
En réalité, c’était tout le contraire. Robert n’avait pas une passion particulière pour la peinture. Les différents tableaux, notamment du vingtième siècle, lui paraissait être une langue indéchiffrable. Mais Sonia l’avait convaincu qu’il était dans une pièce de théâtre et qu’il devait jouer son rôle du mieux possible. Afin de briller, Sonia l’avait initié à l’art. Elle lui avait fait un cours complet, dans lequel elle montrait sa connaissance du sujet et sa passion. Durant son exposé, Robert ne faisait que de répéter mot pour mot ce que lui avait raconté sa coéquipière.

Puis, à la fin du repas, Monsieur le chef de l’opposition invita sa maîtresse à se retirer. Monsieur le chef de l’opposition voulait établir un plan de bataille afin de conquérir la mairie, et donner un rôle au soldat Robert.
Monsieur le chef de l’opposition commença à parler à Robert :
- D’après ce que l’on me dit, vous êtes une personne très intelligente, Monsieur Durand.
- Si on le dit, ça doit être vrai, répondit Robert en souriant.
- Je serai honoré que vous soyez sur ma liste.
- J’en serai content. Néanmoins, comment comptez vous gagner ? Monsieur le maire est très implanté dans la commune.
- Il faut lui piquer ses électeurs.
- Pourquoi ne pas encourager les habitants du Sud à voter en votre faveur ?
- Ce n’est pas une bonne idée. La majorité des habitants du Sud s’abstiennent. Il faut donc s’assurer les voix des gens qui votent.
- Et quel programme mettre en œuvre ?
- Il ne faut surtout pas avoir de programme. Il ne faut fâcher personne. Moi, je suis avec tout le monde.
- Mais la politique, c’est faire des choix.
- Notre but est d’être élu, pas de faire une politique.
- Mais que ferons-nous une fois élu ?
- Nous le verrons bien. Le problème est d’abord d’être élu. Le reste n’a pas d’importance. On n’est élu que sur son image.
- Une image ?
- Oui, je suis le candidat du changement. D’ailleurs, mes vêtements le prouvent. Je suis ouvert, comme le prouve mon costume, à toutes les forces du changement. Je suis jeune et dynamique. Monsieur le maire est vieux, usé et fatigué. Place aux jeunes !
- Mais vous vendez un produit !
- Parfaitement, je vends un produit. Ajoutez que j’ai également une jolie maîtresse.
- Monsieur le maire a aussi une image. Notamment, il a embelli le Nord.
- Moi aussi, je peux embellir le Nord. Je suis d’ailleurs au conseil régional.
- Attaquez-le sur l’état lamentable du Sud.
-  Non, je ne dois pas faire fuir le public ciblé.

Robert continuait à jouer son rôle malgré le cynisme de Monsieur le chef de l’opposition qui continuait à exposer ses arguments publicitaires.
- Puis, nous devons faire peur aux gens. Le parti politique de monsieur le maire a fait peur à l’aide de l’insécurité. Ils ont d’ailleurs été aidés par la chaîne. Il faudra trouver un moyen de diffusion. Après cela, nous aussi nous allons faire peur.
-  Et de quoi les gens ont peur ? Demanda Robert intrigué.
-  De l’insécurité sociale.
- Pensez-vous vraiment que ceux qui subissent le chômage vont voter pour vous ?
- Non. Nous ciblons notre public. Celui-ci ne connaît pas le chômage. Mais il est important de faire croire à notre clientèle que l’insécurité sociale les concerne.
- Et si votre public se pose des questions ?
- Impossible. Le bon peuple ne demande que des jeux, comme le football ou le loft de la chaîne, et du pain. D’ailleurs, le public que nous ciblons mange correctement.
- Ils ne se poseront pas de questions ?
- Non, ce ne sont que des gogos. Ca fait longtemps que l’on nivelle nos citoyens vers le bas. L’importance, c’est de leur faire entendre ce qu’ils veulent entendre, ou de leur faire peur.
- J’ai l’impression que le chômage dans notre pays est une donnée qui vous arrange.
- Exactement. Pour notre mouvement, c’est un fonds de commerce.
- Mais que feriez vous s’il n’y avait pas de chômage ?
- On ferait une étude de marché puis on trouverait un thème porteur. Vous savez, en politique, il y a une maxime primordiale. Dit du mal de tes ennemis même s’ils ont raison et dit du bien de tes amis même s’ils ont tort.

Puis Monsieur le chef de l’opposition serra la main de Robert.
« Monsieur Durand, samedi prochain, tonton, le neveu et moi-même préparerons une réunion électorale ici même. Je vous attends avec impatience. »

Le lendemain, Sonia demanda un rendez-vous avec le fils qu’elle obtint le lundi aux entrepôts.
Sonia vint seule. Le fils était accompagné de son garde du corps.

Le fils baisa la main de Sonia. Puis il lui déclara :
« Mademoiselle, il est toujours pour moi agréable de vous voir. Votre présence m’honore. Votre beauté illumine le ciel. »

D’un ton froid, Sonia répondit :
- Je ne suis pas là pour que vous me fassiez la cour. Je suis venu vous apporter des informations.
- C’est bien votre problème, répondit avec humour le fils. Vous êtes trop sérieuse. C’est dommage. Votre inestimable beauté est gâchée. Alors, qu’allez-vous m’apprendre ? Repris le fils d’un ton sérieux.
- Tonton a l’intention de prendre la ville.
- C’est une blague !
- Non, il a l’intention de s’implanter fortement. Il a l’intention de prendre la mairie.
- Je lui souhaite bien du plaisir. Entre Monsieur le maire et Monsieur le chef de l’opposition, il va avoir du mal.
- Sauf qu’il s’est allié à Monsieur le chef de l’opposition.
- Allié au chef de l’opposition ?
- Oui. Il paye sa campagne électorale. Ainsi, si Monsieur le chef de l’opposition est élu, tonton aura les mains libres pour prendre la ville.

Le fils semblait surpris. D’un ton interrogateur, il interrogea Sonia :
- Et d’où sors-tu ces informations ?
- Ca, c’est un secret. Je dois protéger mes sources. Mais tu vas pouvoir les vérifier.
- Comment ?
- Monsieur le chef de l’opposition organise une réunion avec tonton et le neveu chez lui, samedi prochain.
- Que veux-tu pour ces renseignements ?
- Rien, tonton m’a fait quelques misères.
- Bien, merci.

Le dimanche, Robert et Sonia se trouvaient dans l’appartement de Monsieur le chef de l’opposition. La femme de ménage avait appelé la police car il y avait des cadavres.
En rentrant dans l’appartement, on tombait sur le cadavre du neveu. Celui avait dû ouvrir la porte sans méfiance pensant trouver Robert. Il avait du tomber sur un homme du parrain qui avait l’arme braquée sur lui. L’agresseur avait sans doute tiré aussitôt la porte ouverte. Le neveu était mort sur le coup. Aussitôt, le ou les agresseurs avaient dû faire irruption dans la pièce et tirer sur tonton et monsieur le chef de l’opposition.
Leurs corps gisaient sur la table de la salle à manger. Dans la chambre gisait, nu, le corps de la maîtresse de Monsieur le chef de l’opposition. Il était évident, et l’autopsie le confirmerait sans aucun doute, qu’elle eut subi des sévices sexuelles. Après quoi, son agresseur l’avait étranglée. On voyait des traces de marques sur son cou. Il y avait également un bout de chiffon dans sa bouche.

Robert resta de marbre. Il faut dire que sa longue carrière l’avait habitué à voir des morts et des cadavres. Plus surprenant, Sonia resta également de marbre. Il n’y avait pas de trace d’empreintes digitales, les agresseurs devaient avoir des gants. Personne n’avait entendu le moindre bruit. Les armes devaient être équipées de silencieux. C’était un travail de professionnels.
 
Ainsi s’achevait la quête de la ville par tonton et les siens qui s’étaient attaqués à plus forte partie qu’eux. Le parrain restait le seul chef du crime dans la ville. Mais Sonia et Robert avait juré de mettre fin à son règne, tel qu’en soit le prix. 

       
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#26
Malheureusement, ça résume assez bien la situation wink
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#27
C'est terrible, quand j'ai écrit ce passage, Monsieur le chef de l'opposition = Hollande.

Malheureusement, Fabius est encore plus qualifié pour le rôle :(
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#28
Quote:(Gros Nico à propos de ce passage) Assez gore sur la fin, ce chapitre. Robert et Sonia sont quand même responsables de la mort du chef de l'opposition et de tonton !
Par ailleurs, c'est vrai que le Parrain n'y va pas de main morte !
Là encore, plusieurs corrections de langue ici ou là.
Renvoie-moi tes chapitres corrigés ! wink

D'un autre coté, qu'aurait-on fait à la place de Sonia et Robert?
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#29
Riobe,28/02/2005 à 09:25 Wrote:Ne soit pas rageux Willo... on ne parle pas non plus des nombreux précédents élus de droite qui en ont profité. Le fait est que ça tombe toujours sur quelqu'un, qu'il soit de droite ou de gauche. Et puis là ça dépassait quand même franchement le raisonnable.

Clever au fait, ce n'est pas lui qui a dit travailler 120h/semaine?

après un calcaul rapide cela lui laisse moins de 7h par jour pendant lesquelles il doit se laver, manger et dormir... j'ai beaucoup de mal à y croire :roll:
Exactement,

Ca lui fait 6.8571428 Heures smile
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#30
Bon, on va essayer de conjurer le Troll... Troll1
Le forum n'est pas là pour qu'on se dispute à propors de jdr ou d'autre chose.

Donc même si les avis sont contradictoires ce n'est pas la peine de s'énerver. Personnellement je n'adhère pas à ce discourt selon lequels ls politicien sont "tous pourris", d'une part parce que je suis convaincu que ce n'est pas vrai . Il est difficile de ne pas utiliser un peu de son influence pour aider un ami, une petite partie des immenses privilèges qu'offre le pouvoir, le tout est de garder le sens de la mesure. D'autre part parce que ce genre de discours n'a jamais servis que ceux dont le but est d'obtenir un pouvoir personnel et total.

Tu es libre de ne pas utiliser tes droits, c'est dommage mais c'est aussi ça la liberté. Moi je vais continuer à les excercer. Si tu penses vraiment qu'aucun partis ne te représente, tu a également la liberté de créer ton propre mouvement d'opinions. Personnellement je suis de toutes façon opposé à l'existence des partis politiques qui sont selon moi une entrave à la démocratie. (Rousseau si j'ai bonne mémoire disait que tout ce qui divise le peuple en le regroupant en entités séparée était contraire au pouvoir du peuple. Il visait les ordres, mais sa démonstration s'applique très bien au partis... C'est quelque part dans le contrat social)

Enfin, oui le discourt actuel du PS m'énerve profondément et j'aimerais qu'ils proposent réellement quelque chose, qu'ils construisent un modèle, un système ou au moins des solutions plutôt que de critiquer bêtement et mécaniquement. Mais je ne peux en aucun cas approuver la plupart des mesures prises par le gouvernement actuel et moi aussi à leur place je crittiquerais. Mon seul regret c'est qu'en l'occurence la critique n'est pas constructive.

Bon, cela dit je n'ai pas d'opinions définitive et je suis réellement ouvert au débat, mais pas à la dispute idiote où chacun assène ses argument à coup de massue sans même écouter ceux d'en face et sans aucune intention de changer d'avis.
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