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et hop un topik unik anti publik
Mon dieuxsurpris, j'ai corrompu l'éducation nationale.

Alerte, les prof de français lisent SASpolice

L'éducation nationale tombe bien bas.
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Paraît que l'auteur de celui-ci est une de mes connaissancessurpris

[Image: prixpayersasgt5.png]


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J'écris de bon romanOuimaisnon, moi, je ne lis pas SAS!:baton:
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Bientôt adapté au cinéma...Roll_fast

Monsieur le maire, j'ai l'impression que nous n'habitons pas dans la même ville...
\

[Image: 27.jpg]
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Oscar assuré:jmekiffe:
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Les couvertures des SAS sont mieux que la tienneredaface2
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Petit rappel:
Puis il y avait le Sud. Une personne extérieure penserait que le Sud appartient à une autre ville. Mais le Sud appartenait bien à cette même ville. Dans le Sud poussait des HLM et des immeubles hideux. Certain étaient en ruine. Le Sud accueillait les ASSEIC et l’ANPE ainsi que un fast-food. Il y avait aussi un commissariat. Les habitants du Sud étaient des immigrants d’Algérie et de pays musulmans. Leurs occupations étaient la télévision de masse. Parler le Français était pour les habitants du Sud un acte héroïque. Le lire et l’écrire était un luxe. C’est à peine si on savait qu’ils existaient. Les vieux se massifiait devant la télévision de masse. Les plus jeunes brûlaient les voitures, les bus et tout ce qui pouvait être brûlé. C’était comme un sport ou un défi. La morale n’existait pas. C’était chacun pour soi. Le travailleur honnête était le dernier des imbéciles. Les gens du Sud gagnaient plus avec la drogue, le racket et le vol. Toutes les combines existaient dans le Sud. Le Sud était divisé en bandes rivales qui se livraient une guerre sans merci. Les habitants du Sud croyaient en rien, excepté si c’était intéressant et rentable. Les femmes avaient un sort peut enviable. Les filles n’étaient que des produits de consommation. Elles étaient vendues à leur plus jeune age et jeté une fois vielle. Il y avait pourtant une école dans le Sud où il y échouait les enfants de la population. Les instituteurs étaient malheureusement dépassés et faisaient aussi assistants sociaux. Le collège, qui éliminait tous les élèves, qui ne savait à peine lire à leur entrée, regroupaient des professeurs qui méprisait leur consommateur. Chaque élève était présent pour justifier la paye du professeur. Chaque professeur se sentait comme l’agrégé en CAP. Les professeurs de mathématiques ne savaient plus intégrer ou dériver. Les professeurs de physiques voyaient leur matière comme une langue dont ils en ont oublié les significations profondes. Dans ce collège, Molière, Corneille, Racine n’existaient pas. Les cours étaient un mauvais produit de consommation. Après le collège, la majorité des élèves allaient s’échouer au CAP local qu’ils rataient brillamment. Un observateur étranger aurait pris le Sud pour une ville d’Amérique. En tout cas, c’est vrai que le Sud était une zone franche.
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Robert et George ramenèrent leurs trois prises au commissariat. Ils escortèrent leur trophée dans les cellules au sous-sol. D’une certaine façon, Robert et George avaient contribué à faire de bon chiffre sensé faire baisser la délinquance, ou du moins officiellement.
En remontant vers leur bureau, Robert et George croisèrent Monsieur le commissaire en train de discuter avec Monsieur le maire.

Monsieur le maire était une personne agréable et sympathique. Il était chaleureux et semblait s’intéresser au problème de ces concitoyens. Il était enveloppé et il est connu qu’il aimait la bonne nourriture. Par ailleurs, il connaissait personnellement plusieurs membres du gouvernement mais aussi des hommes d’affaires influents. Il était habillé d’un magnifique costard bleu marine et d’une cravate rouge qui avaient du être achetées dans le Nord.
Il avait un visage qui aurait séduit la plus difficile des femmes. Sa coupe de cheveux assez court, son rasage parfait donnait l’aspect d’un homme de confiance. Ses magnifiques yeux bleus donnaient un sentiment de malice. En tous cas, Monsieur le Maire était un élu qui connaissait tous les rouages de la vie politique, que ce soit localement ou à des échelons plus élevés.
Monsieur le commissaire était un homme normal, tout ce qu’il y a de plus banal. Il était habillé d’une façon élégante. Ses cheveux blancs marquaient coupé court marquait son expérience et sa minutie.
Monsieur le maire et Monsieur le commissaire se connaissaient très bien et était depuis longtemps. Ils étaient très proches et collaboraient depuis de longues années.

Robert s’inclina et salua le commissaire.
D’un ton banal et neutre, il dit :
« Bonjour Monsieur le commissaire. »
Le commissaire se tourna vers Monsieur le maire et déclara :
« Monsieur le maire, je vous présente l’inspecteur Robert Durand et son coéquipier l’inspecteur George Gérard. Je tiens d’ailleurs à signaler que l’inspecteur Durand est notre meilleur élément. »
Chaleureusement, Monsieur le maire serra la main de Robert.
Puis d’une voix douce et agréable, il interpella Robert.
- Monsieur l’inspecteur, je suis enchanté de faire votre connaissance. Avez vous bien travaillé ?
- Mon collègue et moi avons empêché le braquage d’une épicerie et arrêté les deux malfaiteurs.
- Je suis heureux de connaître une personne qui lutte efficacement au maintien de l’ordre dans ma ville. Ainsi, nous avons la commune la plus sure de la région.

Robert sourit et déclara d’un ton neutre et indifférent :
« J’ai souvent l’impression d’être Sisyphe poussant son rocher en haut d’une montagne. Tous les jours, j’arrête des malfaiteurs en vain. C’est devenu une habitude. Peut-être n’habitons nous pas la même ville. »
Monsieur le maire tapa sur l’épaule de Robert et répondit d’une voix amicale :
« Mon ami, je suis certain que vos efforts portent leurs fruits. »
Monsieur le maire sortit une boite de cigare. Il en proposa un à Robert qui refusa. Robert ne fumait pas. Il en huma un et l’alluma.
« Désolé de vous laisser, le devoir m’appelle. Je dois voir Monsieur le ministre de l’éducation nationale pour avoir des subventions pour mon lycée. »


Le texteAie On la refait!
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' Wrote:Petit rappel:
Puis il y avait le Sud. Une personne extérieure penserait que le Sud appartient à une autre ville. Mais le Sud appartenait bien à cette même ville. Dans le Sud poussait des HLM et des immeubles hideux. Certain étaient en ruine. Le Sud accueillait les ASSEIC et l’ANPE ainsi que un fast-food. Il y avait aussi un commissariat. Les habitants du Sud étaient des immigrants d’Algérie et de pays musulmans. Leurs occupations étaient la télévision de masse. Parler le Français était pour les habitants du Sud un acte héroïque. Le lire et l’écrire était un luxe. C’est à peine si on savait qu’ils existaient. Les vieux se massifiait devant la télévision de masse. Les plus jeunes brûlaient les voitures, les bus et tout ce qui pouvait être brûlé. C’était comme un sport ou un défi. La morale n’existait pas. C’était chacun pour soi. Le travailleur honnête était le dernier des imbéciles. Les gens du Sud gagnaient plus avec la drogue, le racket et le vol. Toutes les combines existaient dans le Sud. Le Sud était divisé en bandes rivales qui se livraient une guerre sans merci. Les habitants du Sud croyaient en rien, excepté si c’était intéressant et rentable. Les femmes avaient un sort peut enviable. Les filles n’étaient que des produits de consommation. Elles étaient vendues à leur plus jeune age et jeté une fois vielle. Il y avait pourtant une école dans le Sud où il y échouait les enfants de la population. Les instituteurs étaient malheureusement dépassés et faisaient aussi assistants sociaux. Le collège, qui éliminait tous les élèves, qui ne savait à peine lire à leur entrée, regroupaient des professeurs qui méprisait leur consommateur. Chaque élève était présent pour justifier la paye du professeur. Chaque professeur se sentait comme l’agrégé en CAP. Les professeurs de mathématiques ne savaient plus intégrer ou dériver. Les professeurs de physiques voyaient leur matière comme une langue dont ils en ont oublié les significations profondes. Dans ce collège, Molière, Corneille, Racine n’existaient pas. Les cours étaient un mauvais produit de consommation. Après le collège, la majorité des élèves allaient s’échouer au CAP local qu’ils rataient brillamment. Un observateur étranger aurait pris le Sud pour une ville d’Amérique. En tout cas, c’est vrai que le Sud était une zone franche.

Et c'est là qu'on voit tout le génie de l'adaptation par Hollywood.

DIE HARD 5<!--/sizec-->
THE PRICE TO PAY<!--/sizec-->


Vue aérienne de la ville. Lent survol des beaux quartiers, puis du ghetto.
"[Voix off de John McLane]Et puis, yavait ce putain de quartier sud. Le ghetto. Les quartiers des Chicanos, des Blacks et des Viets. C'est là qu'on m'avait affecté, dans un commissariat pourri du NYPD. Ici, c'est chacun sa merde. Les filles deviennent presque toutes des putes. La principale importation est la coke. Putain de vie... La principale zone de deal est le collège, et les dealers sont les profs. Les élèves apprennent en économie le cours de l'héroïne ; et en sport, le tir au AK-47. Ici, c'est la zone franche, mon pote. :x"
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Je refuse quelqu'un qui ne connait pas son texte!Ouimaisnon
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