Mon topic récit 1 (partie 14)

[vengeur77]

EXCELLENTISSIME!
Bravissimo!
Vraiment excellent. Merci et bravo.
:P

[vengeur77]

"Une détonation déchira le bruit de fond, frappa les vitres du SUV et s'y engouffra, atteignit ses tympans, se transforma et fila le long des os de son oreille interne, se transforma encore et remonta en un éclair son nerf auditif, pour enfin atteindre Jen qui souriait encore à son souvenir d'Anita Gracia, alors que depuis 5 dixièmes de seconde déjà son cortex visuel cherchait une signification à la couleur rouge vif qui venait d'apparaitre sur tout le pare-brise arrière du véhicule qui se trouvait devant eux."

Digne d'un Arthur Rimbaud "le conducteur du val"

[sdm]

Mise à jour dans le dernier post.

Toute l'opération Watts est là

Bon, vu mon emploi du temps je crains de pas pouvoir finir pour la partie de samedi, je propose qu'on annule






... Je plaisante hein Phil

[Gaeriel]

Cancellation accepted, captain mamar

[sdm]

Update du soir, esp... merde déjà fait.
Hmmm update de la nuit, ravioli et faites pas chier.

Bon j'ai enfin fini ce texte. Heureusement qu'on n'a pas fait d'autre partie depuis

Le titre de ce topic est un peu mensonger en fait, c'est plus un récit qu'un résumé vu que je parle que de mon perso:jmekiffe:Je sais pas encore comment je vais pouvoir parler de certain passage de la prochaine partie.

Ah j'oubliais, non Philou je parle pas encore de comment ton kimono t'a sauvé la vie, ça sera pour la prochaine fois.

[sdm]

De leur côté les cops qui escortaient le maire filèrent vers Downtown toutes sirènes hurlantes et ne s'arrêtèrent qu'une fois arrivés à destination, lorsque que la porte de sécurité du parking souterrain de la mairie se referma. Tous les visages des policiers étaient marqués par la fatigue et aucun n'avait le coeur à discuter. Jen reprenait son souffle adossée à son véhicule, elle venait de passer plusieurs heures en communication permanente et prononcer un simple mot la faisait souffrir. Le maire Kristin Lane s'approcha d'elle avec un air peiné qui semblait sincère.
- Lieutenant ? J'ai entendu qu'un de vos hommes avait été touché, est-ce qu'il est... gravement atteint ?
Jen la fixa dans les yeux sans répondre, en continuant seulement de respirer lentement et profondément. Allen qui s'affairait sur l'ordinateur de la voiture pour se changer les esprits coupa le silence.
- Il a eu la tête arrachée.
- Je... Je suis sincèrement désolée. Reprit le maire à l'attention de Jen. Vous devez comprendre qu'il fallait que j'aille là bas...
- Je n'ai pas très envie de discuter de l'intérêt de cette opération maintenant.
- Oui bien sûr lieutenant. N'hésitez pas à venir me voir plus tard.
Attention sincère ou promesse politicienne, la différence importait peu à ce moment pour Jen. Avec un salut poli elle s'excusa et donna l'ordre de retour au central aux trois voitures restantes.

Il fut lugubre.
- Putain de masque...
La remarque de Costigan sur l'étrange destin qui semblait frapper les porteurs du masque Terminator fut la seule phrase prononcée pendant le court trajet.
Au central la plupart des policiers étaient déjà au courant des évènements. Tous ceux qui croisaient dans le parking ou les ascenseurs la route de l'équipe à la triste allure compatissaient en leur tapant sur l'épaule, dans un rituel au moins aussi vieux que les hommes.
Jen ne cessait de revoir la scène de la mort du détective Gene « Terminator » Corelli. Elle ne le connaissait pas personnellement, il faisait parti des agents qui était déjà dans le groupe Sigma avant qu'elle n'en prenne le commandement. Elle ne l'avait même jamais vu en dehors du travail sauf le soir où peu après sa prise de fonction elle avait invité tout le groupe à l'Opera/Crimson pour fêter sa nomination. Mais c'était un bon agent et un homme bien, de ce qu'elle avait pu en juger. Et enfin surtout c'était un de ses hommes. Sur un plan théorique elle savait bien que la situation se présenterait un jour, comme le Big One avait été certain avant d'arriver. Mais pas si tôt. Et comme les Angelinos, malgré la certitude elle se retrouvait abasourdie par la situation. Condamnée à ressasser ce qu'elle aurait pu faire autrement pour éviter ce drame.

Elle alla se réfugier dans son bureau, s'assit et se prit la tête dans les mains pour en chasser ces images. Sans prendre la peine de frapper le lieutenant Hawkins fit irruption quelques minutes après dans le bureau avec une bouteille de scotch à moitié pleine et deux verres fatigués, si usés qu'ils avaient dû déjà claquer sur les comptoirs à l'époque de la prohibition. Il rempli d'un seul geste les deux verres sur le bureau, en prit un et tendit l'autre à Jen.
- Buvez ça.
Elle regarda un instant dans le verre le liquide ambré tanguer et déborder puis le saisit. Il y avait dans l'injonction d'Hawkins tout à la fois l'impériosité du supérieur qui ordonne, la familiarité du frère qui console et la sagesse du médecin qui prescrit. Et le fait qu'il n'était pour Jen aucun des trois ne gâchait en rien l'offre. Elle but d'un trait son verre en même temps que lui et sentit aussitôt le feu dévaler sa gorge. Plus accoutumée à la fraicheur d'une bière ou au piquant du champagne, elle ne put s'empêcher de tousser sous l'assaut de la force brute du scotch.

Elle se leva et alla se servir un verre d'eau pour calmer l'incendie qui continuait d'embraser sa gorge. Elle souffla ensuite et se détendit un peu. Elle savait que les effets d'une telle consommation n'allaient pas tarder à se faire sentir et elle avait bien l'intention ne pas s'opposer à cette légère perte de contact avec la réalité. En attendant elle nota en reposant sa bouteille d'eau qu'une lumière rouge clignotait sur son fax où s'entassait déjà une petite pile de feuilles noircies d'écriture. Les erreurs de réception étaient courantes avec le vieux matériels dont le LAPD disposait, les renouvellements étaient systématiquement refusés faute de budget. Par pur réflexe elle relança la réception, récupéra la page qui sortit de l'appareil et la lut machinalement


Alors que ses yeux accéléraient leurs va-et-viens, elle commença à parler de plus en plus fort :
- Qu'est-ce que... bordel... mais c'est quoi cette merde !
Hawkins se leva inquiet.
- Qu'est-ce qui se passe Jade ?
Elle lui tendit la feuille et récupéra en toute hâte son portable dans son blouson.
- Je ne sais pas, un malade parle de s'en prendre à Anita.
Elle composa le numéro de son amie et attendit anxieuse une réponse.
- Allo ? Alicia ? Fit enfin une voix enjouée.
Peu de gens connaissait l'existence de son deuxième prénom si typiquement Américain, héritage de la volonté d'intégration de ses parents, et seule son amie s'amusait à l'appeler ainsi.
- Anita, est-ce que tout va bien ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? Oui tout va bien. Et c'est toi qui devais m'appeler pour me dire comment s'était passée ton opération.
- Où es-tu ?
- Et bien je sors de chez moi, je vais à la voiture et je viens prendre mon service. Tu te rappelles que j'avais eu droit à quelques heures de congé pour service rendu à l'image de la police.
- Ecoute, dépêche toi de venir ici.
- Mais enfin qu'est-ce qui...
Au bout du fil Jen entendit un bruit sourd au moment où son amie s'interrompit, suivi presque aussitôt par le claquement de la chute du téléphone sur le trottoir.
- Anita ! Anita !

Les heures suivantes ne furent dans la mémoire de Jen qu'une succession d'images et de sons sans liens logiques. Déjà ébranlé par le choc de la mort de l'agent Corelli, l'équilibre biochimique de son cerveau sortit des normes lorsqu'elle comprit ce qui venait de se passer et il cessa brusquement d'ordonner les informations. Elle vit le lieutenant Hawkins l'entrainer hors du bureau, et les précipiter vers les ascenseurs. Elle l'entendit appeler Jet Allen. Elle vit les hommes en blanc affairés autour de la silhouette étendue de son amie avec à leur pied une marre de son sang s'écoulant dans le caniveau. Elle vit une femme se précipiter et le lieutenant Hawkins la retenir, elle entendit la femme crier. Il devait surement s'agir d'elle. Elle entendit le lieutenant Hawkins charger Jet Allen de diriger l'équipe et de retrouver le tireur. Elle entendit la femme pleurer dans le couloir du bloc opératoire. Elle vit le médecin à la blouse d'opération tachée de sang. Elle l'entendit qui parlait à la femme alors que le soleil était déjà couché. Elle vit son amie dans son lit, criblée de tuyaux. Elle entendit le souffle mécanique du respirateur artificiel. Elle vit le noir de ses paupières alors que le sommeil venait arrêter cette folie.

[baronpiero]

Je vois qu'on a étudié la période de la prohibition.

[sdm]

Hehe on avait joué une scène qqs parties avant où j'avais honteusement menti à un honnête employé de la municipalité en lui faisant croire que j'avais un ancêtre au fbi à LA du temps de la prohibition, j'm'en suis rappelé en écrivant

[Darth Nico]

Ambiance dark putain

Elle regarda un instant dans le verre le liquide ambré tanguer et déborder puis le saisit. Il y avait dans l'injonction d'Hawkins tout à la fois l'impériosité du supérieur qui ordonne, la familiarité du frère qui console et la sagesse du médecin qui prescrit. Et le fait qu'il n'était pour Jen aucun des trois ne gâchait en rien l'offre. Elle but d'un trait son verre en même temps que lui et sentit aussitôt le feu dévaler sa gorge. Plus accoutumée à la fraicheur d'une bière ou au piquant du champagne, elle ne put s'empêcher de tousser sous l'assaut de la force brute du scotch.

[Darth Nico]

Bon, on oublie 2mn la mort de Terminator et Anita sous respirateur artificiel et on se change les idées avec...



COPS, saison 2 : les scènes coupées au montage #2<!--sizec--><!--/sizec-->


Tôt le matin dans les bureaux de la section Sigma. Il n'est même pas 7h, et l'agent William Costigan, alias Alecto, est assis à son bureau, fébrile. Le lieutenant Jen Yu n'est pas encore là et les collègues de l'équipe de nuit sont pour la plupart sur le terrain.

Costigan (tapant nerveusement à l'ordinateur, les yeux embués) : Saleté de putain de rapport de merde, je te jure que je vais venir à bout de toi, saloperie !...

Costigan vient de passer une nuit blanche chez lui, à sa table, avec Maria, enceinte, qui l'a aidé jusque tard à se relire. Il est ensuite arrivé à 6h30 pétantes au bureau.
- J'ai le temps, putain, j'ai le temps... Encore une bonne demi-heure avant l'arrivée de Jade. [tacatacatacatactaca...] C'est bientôt fini.. allez, tiens... [tacatacatacatactaca...] et PAF ! Je sauvegarde !!... Là !!


Vue générale du building du LAPD, dans le jour naissant, avec le trafic du petit matin sur les boulevards... Un hélicoptère survole au loin le désert... Quelques coups de kalxon, un camion de pompiers passe...

Soudain, un cri :
Costigan : Nooooooooooooooooooooonnnnnnnnnn !!...

"Alecto" s'effondre sur son bureau : son ordi vient de planter.
Des larmes d'épuisement et de rage face à ce destin fatidique coulent sur ses joues, tandis qu'il vérifie tous les back-up possibles du réseau.
- Putain, là ! Ma version de 6h35 !!... J'ai tout à refaire...

Il est 6h55. Costigan a les doigts qui tremblent, il ne sait plus dans quel ordre sont les paragraphes de son rapport, les lignes se mélangent : il tue un suspect qui ressuscite après, il coffre une vieille dame qui vient de braquer un ganger toxicomane... Soudain, un bruit sinistre : les portes de l'ascenseur s'ouvrent, des escarpins tapent sur le parquet, des bip de télephone : le lieutenant.

Elle est tirée à quatre épingles et se dirige, tendue, vers son bureau. Costigan la voit et serre les dents : Jade est entrée en fonction il y a une semaine, donc elle ne laisse rien passer... Elle se dirige vers son bureau, en saluant vaguement Costigan. Il sait que ça va chauffer pour lui. Elle va être très énervée.
Costigan, plus haletant qu'il ne le fut lors de l'assaut des mercenaires de Felipe contre la résidence de Bogota, repart à l'assaut du clavier, dans la dernière ligne droite fatale. 7h05... 7h07, le cliquetis incessant du clavier, les derniers faits à rapporter, les aveux...


7h11 : la porte du bureau du lieutenant s'ouvre. Elle va le convoquer... Et lui n'a pas fini... C'est la fin pour Costigan...
Jade a les lèvres pincées, elle ressert sa cravate, le regarde dans les yeux en prenant une inspiration, mais comme si elle regardait dans le vide... et elle tourne les talons, appelle l'ascenseur...

Costigan ne comprend pas... Il ne comprend pas !
Il se lève, maladroit :
- Alici.. Lieutenant, enfin, euh, au sujet de...
- Plus tard, Costigan, plus tard...
L'ascenseur s'ouvre, Jade y monte et Costigan se retrouve seul dans les bureaux déserts. Il ignore quand Jade va revenir ! Il est 7h15 : Costigan profite de ce répit inattendu pour se remettre au travail d'arrache-pied !


8h25
Costigan ronfle sur sa chaise. Jet "Black Dog" Allen et quelques collègues arrivent en rigolant grassement.
- Et tu diras à ta soeur de me rendre ma boîte de capotes !
- Dès que ta mère m'aura rendu la mienne !

Costigan se réveille en sursaut et essaie de se remettre à écrire, les yeux à moitié clos.
- Putain, Jet, relis-moi ça je t'en supplie ! Il est quelle heure ? Oh merde, déjà !... Où est Jade ??...

Devant l'air tragique et déconfit de leur collègues, Jet et les autres éclatent de rire.
- Mon pauvre Billy, mais desserre ton string deux minutes ! Tu ne risques pas de voir Jade de la journée !
Costigan se frappe le front : il avait complétement oublié !... Bronstein, le chef du SAD dirige une série de réunions avec les lieutenants des différentes branches du LAPD !

- Allez, remets-toi, lance DNA, tiens !
Il lui lance une canette, pendant que Black Dog se met les pieds sur le bureau et que Confucius lance le dernier gros rap à la mode.


8h25

Jade est dans la grande salle de réunion du SAD depuis une petite heure. Elle tapote sur son organiseur personnel quelques notes, va et vient aux toilettes refaire son chignon et son maquillage, échange quelques mots avec Anita...
- Tout va bien aller ma chérie.. Tu es la meilleure...
Les lieutenants arrivent peu à peu, dossiers sous le bras, l'air bourru. Jade est dans ses petits souliers : c'est sa première réunion officielle, elle sait qu'on va la mettre sur la sellette.


8h30
Bronstein arrive, s'installe au pupitre et salue tout le monde, puis donne l'ordre du jour des différentes réunions.
- La coordination entre services, vous le savez, reste une priorité qui...
Jade s'efforce de ne pas trahir sa nervosité et écoute comme une première de classe.


8h35
Black Dog rote un coup et ouvre une autre bière. Alecto rigole avec DNA :
- Putain, la trouille que j'ai eue, tu parles !... Ce putain de rapport...
- Tiens. au fait, tu as écouté le dernier SuckM1-D'Hick ? Comment il déchire rolalalahh...
- Ouais, fait Costigan, pas convaincu, je préfère encore MC Blowjob, franchement, c'est ça qu'ils écoutent dans les gangs aujourd´hui...
- T'es bien au courant pour un gars qui revient de Colombie...
- A propos de Colombie, souffle Alecto, je connais un gars à la Nadiv... Il va passer tout à l'heure...

D'autres COPS arrivent en rigloant et tout le monde se tape dans les mains en pensant à la bonne journée qui s'annonce.


9h15
Jade prend une inspiration et marche jusqu'au pupitre, tous les regards braqués sur elle ; elle redresse ses lunettes, et déclare :
- Bien, je désire rendre compte de l'activité de la section Sigma dont j'ai, vous le savez, la charge, en particulier pour ce qui concerne le modus operandi des...


9h30

Alecto et quelques autres ont lancé un gros slam. DNA crache dans le micro, Terminator distribue des bières, et Confucius essaie de danser sur la tête.


9h45
Jade : ... et je vous remercie pour votre attention.
Petits applaudissements polis. Jade retourne s'asseoir. Skripnick lui passe un verre d'eau.
Bronstein : Bien, avant de continuer, je propose de marquer une pause.

Brouhaha, chaises, on ouvre une fenêtre, machines à café.
Un agent du SAD, trè pincé dans son costume, s'approche de Jade :
- Lieutenant, j'avais 2-3 petites questions...
Jade s'efforce de sourire comme une hôtesse de salon de voiture. Elle sait que sa pause vient de partir en fumée, pas moyen d'appeler Anita.


10h10

Les COPS - Sigma sont devant l'écran géant, où va bientôt commencer le match de Super Bowl... On a sorti les écharpes de supporters, d'autres bières.

A l'étage du SAD, la réunion reprend. Jade se ronge un ongle, énervée après cet emmerdeur. Elle sait qu'elle repasse à la casserole en fin de mâtinée, en compagnie des autres lieutenants de section COPS, pour présenter le bilan.


10h50
C'est la pause du match pour les COPS. Le slam de rap reprend, des gens de la NADIV arrivent, d'autres de la Métro, et tout le monde se tape dans les mains. Il y a de la musique dans tous les coins, et DNA, monté sur son bureau, se déhanche en imitant une danseuse à la barre.


11h25
Hawkins : Et je suis sûr que ce n'est pas le lieutenant Jen Yu qui dira le contraire.
Jade : Bien sûr que non, et à ce sujet, je désirais...
Agent du SAD : Un instant, je vous prie, lieutenant, j'avais une question à vous poser justement...
Jade pince les lèvres et rêve déjà de mille supplices raffinés pour ce type.


12h00

Le match est fini, certains sautent de joie, d'autres pleurent. Le livreur de sushis arrive. Alecto, à son bureau, épuisé et heureux, ne parvient toujours pas à croire à sa chance.

Au SAD, fin de mâtinée. On sort de la salle.
Bronstein (très confiant et paternel) : Et je vous dirais qu'à mon avis, nous aurons entièrement intégré ces nouvelles directives à notre pratique bien avant 2036...
Tout le monde s'empresse d'approuver en souriant, Jade la première.

Agent du SAD : À ce sujet, lieutenant Jen Yu, j'aimerais, si vous le permettez, visiter avec quelques collègues les bureaux de votre section, afin d'établir un inventaire de vos besoins en termes tant matériels que...
Jade n'écoute pas la fin de la phrase : derrière ce beau prétexte altruiste, c'est une inspection - surprise. Le salaud.
Bronstein : Vous aurez le temps vers 15h00 je pense, que'en dites-vous lieutenant ?
Jade : Dès que vous voudrez.
Agent du SAD : Nous ne voudrions pas déranger vos hommes au travail.
Jade : Mes hommes sont toujours prêts.



...


Jade parviendra-t-elle à éviter le pire ?Réponse au prochain épisode