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Allons au cinéma
En parlant de Tsui Hark,si il est vrai que il était une fois en chine est bien, le dernier (Detective Dee) est vraiment nul.

Combats nuls, histoire nulle, effet spéciaux nul.

Sans compter que le personnage, qui a vraiment existé, est sensé être un Sherlock Holmes. J'en ai pas eu l'impression.

Au passage, il était l'un des juges de l'impératrice Wu, alors qu'il part en Exil à la fin.

Bref, un film a éviter (Allez voir code source, car ça, c'est vraiment bien).
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Code Source, ça a l'air d'être de la bonne inspi pour du mindfuck à COPSBoidleau
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The Dirty Dozen (Les douze salopards) (1967, avec Lee Marvin, Ernest Borgnine, John Cassavetes, Donald Sutherland, Telly Savalas...). Un sergent est chargé d'enrôler douze condamnés à mort dans un commando qui préparera une attaque-suicide contre les Nazis.
Très bon film, réaliste, dur, sur le ton "la guerre, c'est sale et injuste".


Shade (2003, avec Stuart Townsend, Sylvester Stallone, Gabriel Byrne, Thandie Newton). Un jeune escroc, habitué des petites combines et des arnaques plus ou moins réussies, veut affronter le légendaire maître du poker. Mais, entre ses ennemis, la police et ses partenaires, tous menteurs et tricheurs, sur qui peut-il vraiment compter ?
Un bon petit film, avec plusieurs retournements et un bon twist final.


Rocknrolla (2008, de Guy Ritchie, avec Gerard Butler, Mark Strong, Tom Wilkinson, Tom Hardy, Thandie Newton). Presque le même film qu'Arnaque, crimes et botanique ou Snatch (mais sans Jason Statham pour une fois) : arnaques, trahisons et coups tordus dans l'underground londonien. Comme toujours, il y a trois ou quatre groupes d'escrocs qui s'affrontent, chacun pour son compte. Le rythme est moins frénétique cette fois-ci, l'ambiance plus travaillée.


The Bank Job (2008, avec Jason Statham). Un film à la Guy Ritchie : dans le Londres des années 70, des braqueurs mettent la main sur des documents très compromettants pour beaucoup de gens, ce qui va déclencher une série d'affrontement, d'alliances et de trahisons entre des politiciens, des hommes d'affaires, un producteur de porno et des truands à la petite semaine.
Très bon rythme, aussi réussi qu'un Guy Ritchie.


Machete (2010, de Robert Rodriguez, avec Danny Trejo, Steve Seagal, Robert de Niro, Michelle Rodriguez...). De la vraie-fausse série B façon années 70, bien caricaturale et marrante. On sent le réalisateur qui se fait plaisir à rejouer en un seul film tous les bons nanars qu'il adore. Danny Trejo n'a pas tant de réplique ni de temps à l'écran que ça, sans doute parce qu'il n'a pas la carrure pour un premier rôle. Heureusement, les seconds rôles sont là pour compenser. C'est le genre de film qui pourrait durer une heure grand maximum, parce qu'à la fin, on a l'impression que R. Rodriguez ne fait plus que des scènes qui feront rigoler son pote Tarantino.
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Dans le sondage du journal "Le monde" sur quel est le meilleur film avec Robert de Niro, ces incultes ont oublié de mentionner "Il était une fois l'Amérique" De Sergio Leonne. Heureusement bonne nouvelle, le film ressort le 22 Juin.
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bravo pour Il était une fois en Amérique.


The Asphalt Jungle (1950, de John Huston, avec Sterling Hayden). Un braquage mis au point par un génie du cambriolage finit par tourner mal pour tous les complices.
Du très bon film noir : une photographie parfaite, de très bons acteurs. Presque pas de musique de tout le film, un rythme apparemment jamais haletant, ce qui contribue, contre toute attente, à une ambiance prenante, qui colle aux personnages. A noter un second rôle pour la jeune Marilyn Monroe.


Nueve Reinas (2000, de Fabián Bielinsky). En Argentine, deux escrocs à la petite semaine, un jeune et un plus expérimenté, se rencontrent par hasard et décident de s'associer pour une journée. Ils tombent alors sur l'occasion de leur vie : toucher une fortune en servant d'intermédiaires pour vendre de (faux) timbres rarissimes. Mais l'opportunité semble trop belle pour être vraie...
Filmé comme un reportage, dans les rues de la ville, sans gros effets à l'Américaine (style Ocean's Eleven), le film respecte tous les codes du genre, avec tout ce qu'il faut de retournements de situation. Très réussi.


The Ghostwriter (2010, de Roman Polansky, avec Ewan McGregor, Pierce Brosnan, Ruth Lang, Tom Wilkinson). Un journaliste est engagé comme nègre pour finir l'autobiographie de l'ex-Premier ministre britannique, au moment où celui-ci est accusé d'avoir livre des terroristes aux tortionnaires de la CIA. Envoyé dans une île isolée, le journaliste commence à découvrir les dessous de la politique et à enquêter sur la mort du "nègre" précédent.
Un film d'un style très simple, qui est pourtant à la fois un thriller, un film policier et un grand film politique (le portrait de Tony Blair est transparent), avec un suspens tenu jusqu'au bout.
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The Score (2001, de Frank Oz, avec Robert de Niro, Edward Norton, Marlon Brando). Un voleur qui veut prendre sa retraite se laisse convaincre par un jeune de faire un dernier coup, le plus gros de sa carrière. Sur une trame vue mille fois, une réussite : très bon jeu d'acteurs, bonne photographie, pas d'esbroufe et une réalisation efficace. A noter : le dernier film de Marlon Brando.


El Laberinto del fauno (Le labyrinthe de Pan, 2006, de Guillermo del Toro, avec Sergi López). 1944 : la répression franquiste finit d'écraser les insurgés espagnols. Un capitaine, qui mène une troupe contre des Républicains réfugiés dans la montagne, fait venir sa femme sur le point d'accoucher. La fille de celle-ci, d'un précédent lit, découvre un labyrinthe dans le bois voisin. Un faune lui révèle qu'elle est une princesse et qu'elle devra passer trois épreuves pour revenir dans son royaume. Pendant ce temps, le capitaine poursuit impitoyablement son combat contre les insurgés, tenant ses hommes et son entourage dans une peur constante. Mais pour l'héroïne, le faune est-il moins dangereux que son beau-père ?
Entre film de guerre et merveilleux, un film cruel et baroque qui n'a rien d'un conte de fée pour enfants. Une très grande réussite.


Tokyo! (2008, de Michel Gondry, Leos Carax et Bong Joon-Ho). Triptyque sur la capitale japonaise.
- Interior Design raconte la vie d'un jeune couple de province qui vient loger chez une amie de Tokyo pour quelques jours. Ils finissent par se perdre dans cette ville, chacun de son côté, lui en cherchant à monter un film de série B, elle en étant victime d'une métamorphose inattendue.
Un beau film, qui retranscrit l'ambiance rêveuse et magique de Tokyo, ses rues, ses couleurs, ses labyrinthes.

- Merde raconte l'histoire d'un fou roux et hirsute, sorti des égouts, qui terrorise la population. Arrêté et jugé pour avoir déclenché une tuerie, il s'avère qu'il parle un dialecte inconnu, qu'il s'appelle M. Merde et qu'il déteste les Japonais. Un avocat français, qui parle sa langue, vient essayer de lui éviter la peine capitale.
Un style décalé qui peut plaire, mais facilement agacer par son côté très théâtral, surjoué, qui utilise les ficelles usées du fou exubérant, irrécupérable pour la société.

- Shaking Tokyo a pour protagoniste un hikikomori, un de ces Japonais qui ne sortent jamais de chez eux. Le héros vit enfermé depuis dix ans chez lui. Sa vie est organisée de façon réglée et maniaque. Son seul contact avec l'extérieur sont le facteur ou les livreurs... jusqu'au jour où un tremblement de terre secoue la ville, faisant s'évanouir dans ses bras la belle livreuse de pizza.
Troisième partie sympathique.
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J'ai été au cinéma aujourd'hui, et j'ai vu "Omar m'a tuer". Film à voir absolument.
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The First Great Train Robbery (1979, de Michael Crichton, avec Sean Connery, Donald Sutherland). Londres en 1855 : deux gentlemen cambrioleurs montent un coup inédit : le vol d'un chargement d'or à bord d'un train en marche.
Le film a un certain charme rétro, et tient sur les épaules de ses deux acteurs principaux, excellents en élégantes et cyniques fripouilles.


Heist (2001, de David Mamet, avec Gene Hackman, Danny DeVito). Un vieux voleur fait un coup dans une bijouterie mais se fait repérer par les caméras. Il accepte quand même un dernier coup, très risqué, et doit accepter dans son équipe le neveu inexpérimenté de son commanditaire...
Acteurs inégaux, réalisation assez décevante (des longueurs). Ce n'est pas raté, mais ce n'est pas bien réussi non plus. Un film à mettre en fond pour s'occuper.
Du même réalisateur, La prisonnière espagnole est bien plus réussi.


El secreto de sus ojos (2010, de Juan José Campanella, avec Ricardo Darín, Soledad Villamil). Argentine, 1999 : un officier de justice qui vient de prendre sa retraite décide d'écrire un roman sur une affaire vieille de 25 ans, le viol et le meurtre d'une jeune femme, dont le coupable n'a finalement pas été retrouvé. En déterrant cette affaire, il va se retrouver confronté à son propre passé, et à celui de son pays sous la dictature.
Un film à la hauteur de ses grandes ambitions : l'histoire commence comme une enquête policière déjà vue, et s'élève peu à peu à la tragédie, à force de dévoiler les souffrances de ses personnages. Quels secrets se cachent dans leurs yeux ? Le ton est tour à tour drôle, mélancolique, tragique, et le film de plus en plus passionnant à mesure qu'il avance.
A noter : un plan-séquence virtuose lors d'un match de football, qui commence avec une vue aérienne du terrain puis nous entraîne dans les tribunes et dans les couloirs tortueux du stade.
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[Image: TDKR-Poster-Teaser.jpg]
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Sur HFR ils ont trouvé un nom pour l'affiche Batman Vs Inception biggrin
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