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L'ambition est une bonne chose mais n'oublie pas l'humilité en route quand même.
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(15-03-2012, 03:52 PM)Philou Wrote: Je n'ai juste que la méthode du meurtre.
Meurtre au code Java ?
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J'ai l'ensemble du chapitre. J'ai juste commencé à l'écrire, mais seulement quelques lignes.
Chapitre 5 : La rencontre entre Kogoro Columbo et le tueur
Le tueur, le seul, le vari, l’unique comme il le dit lui-même.
Une véritable légende vivante, n’ayant jamais été pris. Dès qu’un meurtre est non résolu, on pense tout de suite que c’est l’œuvre du tueur.
Pour ma part, je n’ai jamais cru à cette histoire. Pourtant, ce sinistre personnage existe vraiment.
Je pense que je peux dire que le tueur rentra dans ma vie le 22 août 2011.
Entra dans nos locaux une jeune femme. Il s’agissait de Sarah de Brinvilliers. Elle avait 25 ans à cette époque. Elle avait des cheveux blonds, et portait une robe de haute couture. Elle avait également des chaussures à talons et marchait avec classe.
Son visage était contradictoire. Elle avait la jeunesse insouciante de l’adolescence, mais également le visage inquiet de la personne ayant trop vécue.
Elle fut introduite dans mon bureau.
- Ça ne fait rien si je fume ? Me demanda-t-elle.
- Non.
Elle sortit sa cigarette et l’alluma. Elle en tira une bouffé, comme si elle voulait mourir vite. Puis elle commença son récit.
- Mon père Joseph de Brinvilliers est mort avec ma mère, Marie de Brinvilliers, il y a cinq ans dans un accident de voiture. Ce fut un choc pour moi, un nouveau choc. Mon oncle s’inquiétait de mon style de vie. Il réussit à me mettre sous tutelle. C’est mon oncle Borgia qui s’occupe de ma fortune.
- Votre oncle ?
- Oui, mais c’est un peu normal. A 16 ans, je sortais beaucoup avec les garçons. J’ai beaucoup couché. Mais j’ai eu un accident, j’ai été en sainte. J’ai accouché d’une fille, que j’ai appelé Hélène. Mais on me l’a enlevé. Je ne sais même pas si elle est encore en vie. Je pense qu’elle est morte. Par pitié, aidez-moi.
Elle se mit à pleurer.
- Je me pose cette question depuis 9 ans. Qu’est devenue ma fille. Cette question me hante. Cette fille, c’est ma chair. Je veux savoir. Où est-elle ?
- Avez-vous une piste ?
- Je pense que c’est le tueur. Le tueur l’a assassiné.
- Le tueur ?
- Oui, cet assassin légendaire. J’ai entendu parler de votre agence. Vous avez résolu l’affaire Stéphanie de Montpensier. Je me suis dit que vous pourriez traquer le tueur.
- Ecoutez, ma chère, c’est insuffisant. A mon avis, le tueur, c’est une histoire à dormir debout. Je ne crois pas à l’existence de ce personnage.
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Le tueur qui s'appelle le tueur, c'est pas possible. Regarde les tueurs en série célèbres, ils ont souvent des surnoms, même tout bêtes, mais c'est jamais "le tueur".
Le tueur de l'Essonne, le tueur du 11e, l'assassin de vieilles dames etc.
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Bon j'ai lu le chapitre 4, dans un soucis de t'indiquer ce qui ne va pas je vais insérer mes commentaires en italique, uniquement sur les plans de la construction et des idées, je laisse de côté le style.
(10-03-2012, 03:38 PM)Philou Wrote: Chapitre 4 : L’étrange maladie de Kogoro Columbo.
J’ai l’habitude de collectionner les filles, mais toutes ne me laissent pas un souvenir impérissable.
Toute, sauf une, Shimazu Kogoro Columbo.
Bon j'ai compris que c'était l'accroche de tous les chapitres de mettre une petite phrase du narrateur sur SKC mais je trouve que ça fait artificiel.
Il est à rappeler qu’elle est très belle, malgré son habituel kimono. Et la première fois où je lui ai fait l’amour, j’en garde un merveilleux souvenir.
Shimazu est la meilleure au lit.
Mais commençons ce grand moment par le début.
Le 4 Juillet 2011 arriva vers 9H Largo Messier dans nos locaux.
C’était, et c’est encore, l’un des plus grands patrons français.
En 2008, il avait pris la tête du groupe Eau INC. Ce fleuron de la distribution de l’eau était fortement endetté à son arrivé.
Largo Messier recentra le groupe sur ses métiers de base, fit un plan de licenciement, et réduisit ses dettes.
En 2010, la valeur de l’action Eau inca monta enfin. Aujourd’hui, Eau INC est l’une des entreprises les plus rentables du CAC40.
Pour la forme je n'y reviendrai plus après, Largo Messier qui dirige Eau Inc. c'est laid. Invente des vrais noms par pitié.
Largo arriva dans nos locaux. Il était habillé d’un costume, portait sa Rolex et des chaussures David Not. Il était très bien coiffé et très bien rasé, mais il semblait soucieux.
Je veux bien que tu cites des marques même si il ne me semble pas que ça soit beaucoup le cas dans les chapitres précédent, mais là on a une marque existante et une qui n'existe pas, ça fait bizarre.
Il fut introduit dans le bureau de Mallet Maigret.
- Bonjour, je suis Monsieur Mallet Maigret, directeur de cette agence de détectives.
- Bonjour, j’ai entendu grand bien de vous. Il paraît que vous avez démêlé l’affaire Stéphanie de Montpensier.
- Oui, j’ai la chance d’avoir une brillante détective qui a remarqué un détail anodin. C’est ce qui l’a mis sur la voie. Mais que puis-je pour vous.
Largo sorti une photo d’une femme blonde. Celle-ci était très belle. Il sorti une autre photo, où l’on voyait Largo Messier prendre en levrette cette même femme.
- Voyez-vous, il s’agit de ma maîtresse, Dalila Sanson. Ne vous trompez pas, j’aime beaucoup ma femme. Elle est formidable. Mais j’ai également une maîtresse, afin de pouvoir satisfaire un besoin.
- Je ne juge pas. Continuez.
- Un jour, j’ai reçu ces photos d’un dénommé Henry Hooker.
- Henry Hooker, l’escroc international.
- Je ne le savais pas.
- Si, c’est un escroc célèbre, mais il n’a jamais été pris la main dans le sac, ou mis en cause.
- Bien, il m’envoie des photos en disant que si je ne paye pas, il les enverra à ma femme.
- Et vous payez depuis quand ?
- 2010. Au début, c’est 10k€ par mois. Mais depuis, il est plus gourmand. J’en suis à 30k€. Il faut récupérer les négatifs.
- Bien, je m’en occupe.
Après recherche dans les bases de données, on localisa Henry Hooker à l’hôtel casino d’Hyères.
Non aucune base de données ne permet ça, il faudrait savoir qu'il est descendu dans cet hotel spécifique ou au moins dans cette chaine d'hotel et pirater leurs bases de client.
Je fus chargé avec Kogoro Columbo, de récupérer les négatifs.
Nous partîmes mardi 5 juillet à 8H. Nous arrivâmes vers 16H. Nous prîmes une chambre pour deux. La chambre contenait un lit. Comme ça, Shimazu et moi, on pouvait passer pour un couple.
Nous dinâmes vers 18H. A 19H, nous rentrâmes dans notre chambre.
On ne dine pas à 18h sur la côte d'Azur en juillet.
Shimazu enleva enfin son kimono. Elle avait sa culotte et son maillot de corps. Elle commença sa gymnastique.
- De la gymnastique ?
- Oui, et tu ferais bien d’en faire autant. C’est bon pour la forme.
- Et tu enlèves ton kimono ?
- Essaie de faire de la gymnastique avec un kimono.
- Et essaie de porter autre chose qu’un kimono.
Le visage de Shimazu se ferma, comme elle savait si bien le faire.
- Cette question, ne l’aborde jamais.
Au bout de deux heures, elle avait fini sa gymnastique. Il est vrai qu’elle était vraiment très souple.
Elle prit sa douche, et s’endormi sur le lit.
- Et moi ?
- Viens, après tout, on est censé être un couple.
Je me mis en caleçon, et je pris l’autre place du lit.
Elle s'est endormi déjà 3 lignes plus haut. Bon je suppose que tu voulais écrire [...] et s'allongea sur le lit.
Shimazu s’endormie. Mais je jurais que je n’en resterai pas là.
Je me réveillais le 6 juillet 2011 vers 8H. La place à côté de moi était vide. Shimazu faisait encore sa gymnastique.
Elle était vraiment excitante.
Puis vers 9H, elle enfila son kimono, et se coiffa devant un miroir.
- Bien, habille-toi, nous allons être en retard.
J’enfilai mon pantalon et ma chemise.
Nous allâmes prendre notre petit déjeuner.
Vers 10H, nous arrivâmes à la table de poker.
Il y avait Henry Hooker. Il était habillé comme un play-boy, avec une chemise à fleur et un pantalon patte d’éléphant. Derrière lui se tenait une femme, qu’il embrassa. Elle était très belle, avec une belle poitrine et de longs cheveux bruns.
La chemise à fleur et les pattes d'eph, un playboy des années 70 alors.
A la table se tenait un élégant homme. Il devait avoir la trentaine. Il portait un élégant costume. Il était brun, et sa moustache aristocratique était fort bien entretenue.
Je me retournais vers Shimazu :
- Bien, comme tu sais jouer, tu y vas.
Shimazu se dirigea vers la table de poker.
- Bonjour, puis-je m’installer ?
- Mais avec plaisir, mademoiselle… ? Demanda l’homme à la moustache.
- Kogoro Columbo. Mais appelez-moi Shimazu. Et vous ?
- Je suis Édouard Clark Gable.
- Et vous, fit Kogoro Columbo en se tournant vers Henry Hooker.
- Je suis Henry Hooker.
Ainsi débuta la partie de poker. Elle était très disputée.
A 18H, la partie se termina sans gagnant.
8h pour une seule partie et pas de gagnant, j'aurais pas aimé être spectateur... Enfin bon ça arrive peut-être au poker.
J’invitais Shimazu au restaurant.
- Alors.
- Rien de spéciale. Il n’a fait que de jouer. Ces gains ont été faibles. Mais la fille, je suis sure de l’avoir déjà vue quelque part.
- Mais non, tu rêves.
- Mais si, j’en suis sure, mais où ?
La je trouve que ça manque un peu de cohérence avec le sens de l'observation du personnage, elle ne se souvient pas d'une personne qu'elle a vu sur une photo la veille même avec une autre couleur de cheveux ? Et la réaction du narrateur est irréaliste, pourquoi diable lui dit-il non tu rêves, qu'est-ce qu'il en sait si SKC n'a pas déjà vu cette fille avant ?
Nous fume dans notre suite vers 20H. Puis j’embrassais Shimazu.
- Pourquoi ?
- Parce que ça va être difficile de te regarder faire ta gymnastique. Tu es très belle.
Puis elle me rendit mon baiser.
Le narrateur pourrait faire l'effort d'être un minimum surpris que SKC soit partante pour coucher avec lui vu le peu d'indice (comprendre l'absence totale) que tu as laissé dans ce sens dans les 3 premiers chapitres.
Y voyant une occasion unique, je lui dis :
- J’ai très envie de toi.
Je la serrais dans mes bras. J’enlevais son kimono, puis son maillot de corps. Puis j’embrassais son corps, je la caressai avec délicatesse, puis j’embrassais ses seins. Elle enleva mes vêtements, et elle embrassait mon torse. J’enlevais sa culotte. Elle me jeta sur le lit. J’enlevai mon caleçon. Elle me rejoignit.
Puis nous fîmes l’amour.
C’était sensuel et physique. Je n’avais jamais connu ça. On jouissait.
Au bout de quatre heures, j’avais passé le meilleur moment de ma vie. Elle s’endormit dans mes bras.
Vers 8H, je sentais un mouvement. Nue, Shimazu se levait.
- Que fais-tu ?
- Je me lève avant que tu me sortes l’excuse que je ne veux pas entendre.
- L’excuse ?
- Oui, pour dire que tu m’as bien fait l’amour et que maintenant tu vas allez voir ailleurs. Entre nous, ce n’est que sexuel.
D’habitude, c’est vrai que je sors vite une excuse pour passer à une autre fille. Mais là, refaire l’amour à Shimazu ne me déplaisait pas. Jamais ça n’avait duré aussi longtemps. Et puis, elle était nue devant moi.
J’attrapais sa main et je lui dis :
- En fait, j’en reprendrais bien.
- Vraiment ?
- Oui, vraiment.
Je la tirais vers le lit, et pendant quatre nouvelles heures, je lui refis l’amour.
Vers 12H, elle était habillée de son kimono. Elle croisa Édouard Clark Gable.
- Nuit agitée ? Fit-il.
- On peut dire ça.
La partie de poker repris vers 14H. A 15H, la copine de Hooker reçu un coup de téléphone sur son portable. Elle semblait inquiète.
Nous mangeâmes vers 19H, et nous couchâmes vers 20H.
Le soleil ne se couchera pas avant plus d'une heure, des sacré couche-tôt à ce niveau 
Le lendemain, vers 8H, Shimazu était pensive.
- Un problème Shimazu ? Demandais-je en la caressant, espérant encore du sexe.
- La copine à Hooker, je suis sure de l’avoir vu, mais où ?
- Tu as trop d’imagination.
- Mais quelle idiote fit-elle en se levant et en s’habillant de son kimono.
Puis elle se tourna vers moi et déclara :
- Sort les photos, et vite. Je vais faire quelques courses.
Puis elle revint avec des feutres. Elle sortit le feutre de couleur noire et coloria les cheveux de Dalila Sanson.
- Mon dieu, fis-je en regardant la photo, la maîtresse de Hooker.
Nous sortîmes en direction de l’accueil.
- Bonjour, avez-vous vu Monsieur Hooker demanda Shimazu.
- Non.
Puis elle se retourna vers moi et dit :
- Vite, a-t-on l’adresse de Dalila.
- Oui répondis-je, mais pourquoi ?
- J’ai un mauvais pressentiment. Vous allez voir dans la chambre de monsieur Hooker.
A qui elle parle là ? Elle donne des ordres aux employés de l'hotel maintenant ?
Nous sautâmes dans ma voiture et allâmes dans vers la maison de Dalila.
- Alors, demandais-je ?
- Je pense qu’il va se passer quelque chose. Une intuition, mais je n’ai pas de preuves. Mais après un coup de fil, elle semblait très inquiète.
Nous arrivâmes vers les lieux quand soudain, une explosion se fit entendre.
La maison de Dalida Sanson explosa violement.
L'explosion juste au moment où les héros arrivent, soit c'est justifié par le scénario soit c'est une coïncidence un peu facile. Mais bon celle là, elle est de bonne guerre on la voit tellement souvent dans les films 
J’appelais immédiatement la police. Elle arriva avec les pompiers et une ambulance.
Sorti de la voiture un homme ayant la trentaine. Il avait un long imperméable et un costume bon marché.
- Bonjour, vous devez être Shimazu Kogoro Columbo, j’ai eu votre description à l’hôtel. Pas facile de passer inaperçu avec un kimono. Je suis l’inspecteur Corto Lavardin. Bien, je vous écoute, et dites-moi tout, Nous avons retrouvez l’escroc Hooker dans sa chambre, et il était mort.
- Nous enquêtons sur un chantage, dont Monsieur Hooker est l’instigateur, fit Shimazu en sortant sa carte.
Y a une carte de détective privée ? Je croyais que c'était un truc des films américains ça.
- Et comment avez-vous su pour l’explosion et la mort ?
- Une intuition. La femme avec Hooker a reçu un coup de téléphone. Elle semblait inquiète. J’ai pensé qu’il y avait quelque chose d’anormal. Et puis, j’ai regardé les photos, et c’était la maîtresse de notre client. J’ai eu envie de voir. Appelez son portable.
Surpris, il appela le portable de l’habitante de la maison explosé. Le numéro n’existait plus.
Elle a bon dos l'intuition.
- Je pense que le portable a été déconnecté.
- Ah oui, fit l’inspecteur. Pourquoi ?
- Je prends comme hypothèse qu’elle a tué son patron, puis qu’on la fait taire après.
Elle a bon dos l'hypothèse.
La police scientifique fouilla les lieux sous l’œil attentif de Shimazu.
L’inspecteur Corto Lavardin nous demanda de rester sur place.
Il nous convoqua pour le 10 juillet.
Le 10 juillet au matin, j’emmenai Kogoro Columbo faire des achats.
Je me devais de refaire sa garde-robe et lui enlever son kimono ridicule.
- Pourquoi des achats, soupira-t-elle ?
- Je pense que tu seras très belle avec une robe, et c’est pour te faire un cadeau.
- Mais j’aime mon kimono.
- Certainement, mais je pense qu’une belle robe mettra ta beauté en valeur.
Nous allâmes au magasin Une femme à suivre.
Une vendeuse nous accueillit.
- Bonjour, que puis-je pour vous ?
- Je souhaite offrir une robe à mon amie répondis-je.
- Et que souhaite madame ?
- Je ne sais pas, répondit Shimazu.
- Que pense madame de cette robe.
- Je ne sais pas.
- Essayez-la. Les cabines sont par là. Je pense que ces chaussures iront bien avec cette robe.
Shimazu se dirigea vers la cabine d’essayage.
Puis elle ressorti.
Elle trébucha et se rattrapa aux rideaux de la cabine.
- Madame va bien.
- Oui, ça va répondit d’une voix sourde Shimazu.
En marchant de la cabine d’essayage vers la caisse, Shimazu trébucha plusieurs fois.
- Un problème Shimazu, demandais-je ?
- Non, ça va fit-elle d’une voix demandant quand est-ce que l’on allait passer à autre chose.
Shimazu était très belle dans sa robe. Et ses chaussures à talon étaient assorties à sanouvelle robe.
Nous allâmes au commissariat.
Pour quelle raison la robe et les chaussures à talons pour aller au commissariat ?
Le spectacle était incroyable. Shimazu luttait héroïquement pour marcher. Elle ne cessait de trébucher environ tous les deux mètres.
Arrivé, elle trébucha et se rattrapa à la poigné de la porte du commissariat.
Je la trainais vers le bureau de l’inspecteur Corto Lavardin.
Nous nous assîmes devant lui.
- Bon, commença Corto Lavardin, selon les autopsies, Dalila Sanson est morte d’une overdose. Elle aurait, selon les constatations faites, laissé le gaz allumé. L’explosion serait due à un accident.
Overdose ou le gaz, faudrait être plus clair.
- C’est un meurtre, interrompit Kogoro Columbo qui tombait de sa chaise.
Non.
- Qu’est-ce qui vous fait dire ça.
- Premièrement, quel a été l’étincelle.
- Nous essayons de le déterminer.
- Et le portable.
- Pas de trace.
- Ça fait beaucoup de question sans réponse. Et Henry Hooker.
- Selon les autopsies, il serait mort par injection de Fugu. On sait qu’il a eu un rapport sexuel. Les empreintes ADN montre que c’était avec Dalila Sanson. J’ai aussi trouvé le reste de ceci.
Ok pour l'idée du poison mais attention au terme, Fugu c'est le poisson, wiki me dit en 3 secondes que la toxine s'appelle Tétrodotoxine
Il sortit le reste de négatif carbonisé.
- Avez-vous une loupe, demanda Kogoro Columbo, qui venait de retomber de sa chaise.
Non. C'est physiquement impossible de tomber de sa chaise à cause d'une robe.
On apporta une loupe à Kogoro Columbo. Elle regarda avec attention les restes de négatifs.
Elle en pointa une.
- C’est le négatif que l’on devait récupérer.
J’aidais Shimazu à rentrer à l’hôtel. Elle en profita pour remettre son kimono.
- Quelque chose ne va pas ? Demandais-je.
- Oui, je ne suis capable de marcher que dans un kimono. C’est comme ça. Je n’ai jamais été à l’aise pour marcher dans un autre vêtement.
- Mais pourquoi ?
Shimazu sorti son kiseru, le rempli de tabac, sorti son carton d’allumette, alluma et se mis à fumer.
- Je te l’ai déjà dit, n’aborde jamais cette question. Je ne sais pas marcher avec autre chose qu’un kimono, c’est comme ça. Il est hors de question d’aborder le reste de cette question. Elle fâche.
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16-03-2012, 05:27 PM
(This post was last modified: 16-03-2012, 05:30 PM by Darth Nico.)
Donc, le gros secret du perso principal, c'est pas la mort de ses parents, sa soeur cachée, une rencontre qui a changé sa vie etc. Non, c'est... qu'il ne peut marcher qu'en kimono.
Franchement, on croirait que tu as écrit le scénar du prochain " Ya t-il un flic... ?"
Sinon, tu accumules vraiment trop de clichés. On croirait que tu le fais exprès. Pour une prochaine enquête, il ne manquerait que de retrouver sur la scène du crime un paquet de clope bulgare, qui n'est vendu en France que chez un seul bureau de tabac. Ou bien le coupable trop facile, que tous les indices désignent : à éviter aussi, parce que ça a été fait et détourné 150 fois.
Une bonne compile sur les clichés du polar :
http://www.linternaute.com/livre/magazin...-policier/
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Aller, je te le donne, c'est cadeau :
Voila une piste qui, bien qu'elle aiv c déjà été exploitée, est pas mal.
Derrick a inventé Shimazu pour combler un morcellement psychique très important.... d'autant que la personnalité déniée n'est autre que le tueur sur lequel il enquête!!!
En d'autre terme, Derrick EST le tueur qu'il recherche et Shimazu n'est qu'un produit de son univers délirant.
C'est ce délire qui lui permet de garder un semblant de cohésion psychique.
Mais en fait, plus je le relis, plus je me dis qu'en fait c'est exactement ce que tu fais! C'est pour ça que tout est absurde!
Le roman est en fait la retranscription d'un entretien clinique entre Derrick/Shimazu et un psychiatre.
Joli!
Là je redécouvre tout!
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16-03-2012, 11:15 PM
(This post was last modified: 16-03-2012, 11:18 PM by Philou.)
Derrick n'a pas inventé Shimazu, et l'embrouille principale va bientôt commencer.
Shimazu est le personnage principal de ce roman.
Le troisième personnage principal, le tueur, le seul, l'unique et le vrai arrive.
Quand à l'éducation de Shimazu, son enfance, sa tendance autodestructrice, j'en parlerai après, bien plus tard dans le roman (et le pourquoi elle ne marche qu'avec un kimono).
Note: je reprendrai l'intrique qui est ici.
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2006... J'avais aucun souvenir de ce texte
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Ah ouaiiiisss mais en fait tu n'as pas évolué... d'un iota.
Je sais pas si c'est impressionnant ou bien .. flippant.
2006 :
Bonjour, je m’appelle Henri Dupond. Un nom commun pour un métier commun.
J’habite et je travaille à Neuilly. C’est dans les Haut de Seine. Vous savez, c’est la ville du nabot.
Je suis donc détective privé. En fait non, je suis chef d’entreprise. Je dirige une agence de conseil en détective.
2012 :
Je m’appelle Derrick Palmer. Qu’est-ce que je fais dans la vie ?
Mon travail est détective privé. Je travaille au cabinet Mallet Maigret. Mallet Maigret est un ami de mon père. Il est ancien commissaire à la police judiciaire, et il a travaillé pour Interpol.
Mon père est préfet de Paris. On ne peut pas dire que l’on soit en bon terme.
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