10-12-2003, 10:36 PM
Trois ombres fondent sur la jeune femme. Ce sont des hommes de carrures différentes, mais témoignant d'une certaine agilité. Ils sont vêtus comme tout un chacun, des manteaux longs mis à parts. Mes sens m'indiquent qu'ils sont des notres, mais je ne les connais pas. Je me cache derrière une camionnette garée par côté, j'observe. Ma soif me prends de plus en plus, je commence à avoir du mal à me contenir. Du sang, il me faut du sang! J'ai toutes les peines du monde à minimiser mon envie de bondir sur la jeune femme... et puis ils sont trois, et je ne sais pas encore quelle est leur force. Dire qu'avec un peu de chance, je suis largement de taille à les affronter... Ils fondent sur la blonde, elle n'a pas le temps de crier. Ils l'étreignent, la saignent, la laisse choir sur la chaussée. La scène a été rapide. L'un d'entre eux semble flairer quelque chose. Il tourne la tête, les deux autres font de même. M'ont ils repéré? Mes sens sont en appel, mes griffes prêtes à sortir. Ils sont tournés vers moi, attendent probablement une réaction de ma part. Nous restons ainsi plusieurs minutes. Puis ils s'en vont, comme si ils avaient détecté ma présence, mais aussi comme si je ne les intéressais pas.
Après m'être assuré qu'ils sont bien partis, je m'approche de la jeune femme. Quelle folie! Ils l'ont vidée de son sang, plus un souffle de vie ne s'échappe de son corps. Qui sont ils? Ils n'ont utilisés aucun pouvoir connu. Des Camaristes? Ils auraient dissimulés le corps. Des Sabbatiques? Ils auraient eu un comportement plus vicieux, plus "théatral". Des bêtes, se sont des bêtes! Ils semblaient bien trop âgés pour être des Caïtiffs. Je ne sais pas... Je suis perplexe. Ils se sont jetés sur elle, comme s'ils l'attendaient. Ils ont pris ce qui les intéresait, mais n'ont pas cherchés à faire plus de vagues que ça. Que se serait il passé si j'étais intervenu? Ma soif est toujours là quant à elle.
Je pars en chasse d'une nouvelle proie. Non, pas une mais au moins deux. Il me faudra bien ça si je ne veux pas, à l'instar de la Bête, tuer ma victime. La Bête!!!!! Je ne veux pas lui succomber, juste l'utiliser à mes fins. Mais je ne suis pas encore suffisament puissant pour pouvoir la dompter. Ma soif m'étreint de plus en plus, et j'ai de plus en plus de peine à dissimuler ma vrai nature. Les gens se détournent de moi dans les rues, ma présence ne doit pas les rassurer. Ils me voeint probalement comme un zonard, ou quelque chose comme ça. peu importe! Les boites de nuits sont tentantes, mais il y a beaucoup trop de monde. Je ne supporte pas la foule bon sang! Je m'éloigne du quartier commerçant, et observe une voiture arrêtée en plein milieu d'une petite rue. Un couple s'embrasse, puis la jeune femme sort du véhicule. J'entends un "attend moi, je vais chercher mes affaires". Cette fois est la bonne. J'attends que la jeune femme entre dans l'immeuble pour m'approcher subrepticement de la Punto. Je griffe un peu la carosserie sur la coffre, le jeune homme sort... Il n'a pas le temps de me voir qu'il s'endort au moment du baiser. Son sang est bon, mais il m'en faut plus, et je ne peux le tuer. Je ne suis pas un animal, quoique... Je l'assied au volant de sa voiture, efface les marques de morsure, puis attends sa compagne à l'entrée de l'immeuble, dans le noir. Lorsque cette dernière sort, je la prends dans mes bras avant même qu'elle ait eu le temps de réagir, puis me nourris à nouveau. Elle sombre instantanément dans un profond sommeil, et semble éprouver du plaisir. Je l'allonge ensuite à la place du mort. Je défais un peu leurs vêtements, ils auront passés une folle nuit tous les deux...
Je reprends ensuite ma route, partant à l'aventure. Je parcours les rues, à la recherche de je ne sais quel évênement insolite. J'aimerais bien retrouver ces trois créatures, en savoir plus sur elles. Je connais un nosferatu du nom de Mykonas qui pourra peut être me renseigner. Il vit à deux patés de maison, dans une vieille cave désaffectée sous un luxueux pavillon.
Arrivé aux portes du pavillon, je détecte la caméra qui elle aussi m'a détecté. Je salue, Mykonas me connait bien et me doit un service. Je lui avais ramené un parchemin qu'il avait "perdu" un museum d'histoire naturelle, un parchemin appartenant à un giovanni du nom de Prosper Milano. J'avais du user de "persuasion" pour récupérer le bien de mon "ami". Les nosferatus ne sont pas les gens les plus fréquentables, mais il est toujours bon qu'ils vous doivent un ou deux services. C'est toujours plus intelligent que de les avoir comme serviteurs, on ne peut se fier à eux que lorsqu'ils vous sont redevables. La grille du pavillon s'ouvre, je n'ai donc pas à forcer l'entrée. Un chien me fixe du regard, à l'autre bout de la cour. Je tente de le calmer de mon regard... non, ce n'est pas un chien mais un gros rat. La bestiole se calme, mais je n'arrive pas à la mettre totalement sous mon contrôle. Je m'avance, une trappe se déroube alors tout à coup sous mes pieds...
To be continued
Après m'être assuré qu'ils sont bien partis, je m'approche de la jeune femme. Quelle folie! Ils l'ont vidée de son sang, plus un souffle de vie ne s'échappe de son corps. Qui sont ils? Ils n'ont utilisés aucun pouvoir connu. Des Camaristes? Ils auraient dissimulés le corps. Des Sabbatiques? Ils auraient eu un comportement plus vicieux, plus "théatral". Des bêtes, se sont des bêtes! Ils semblaient bien trop âgés pour être des Caïtiffs. Je ne sais pas... Je suis perplexe. Ils se sont jetés sur elle, comme s'ils l'attendaient. Ils ont pris ce qui les intéresait, mais n'ont pas cherchés à faire plus de vagues que ça. Que se serait il passé si j'étais intervenu? Ma soif est toujours là quant à elle.
Je pars en chasse d'une nouvelle proie. Non, pas une mais au moins deux. Il me faudra bien ça si je ne veux pas, à l'instar de la Bête, tuer ma victime. La Bête!!!!! Je ne veux pas lui succomber, juste l'utiliser à mes fins. Mais je ne suis pas encore suffisament puissant pour pouvoir la dompter. Ma soif m'étreint de plus en plus, et j'ai de plus en plus de peine à dissimuler ma vrai nature. Les gens se détournent de moi dans les rues, ma présence ne doit pas les rassurer. Ils me voeint probalement comme un zonard, ou quelque chose comme ça. peu importe! Les boites de nuits sont tentantes, mais il y a beaucoup trop de monde. Je ne supporte pas la foule bon sang! Je m'éloigne du quartier commerçant, et observe une voiture arrêtée en plein milieu d'une petite rue. Un couple s'embrasse, puis la jeune femme sort du véhicule. J'entends un "attend moi, je vais chercher mes affaires". Cette fois est la bonne. J'attends que la jeune femme entre dans l'immeuble pour m'approcher subrepticement de la Punto. Je griffe un peu la carosserie sur la coffre, le jeune homme sort... Il n'a pas le temps de me voir qu'il s'endort au moment du baiser. Son sang est bon, mais il m'en faut plus, et je ne peux le tuer. Je ne suis pas un animal, quoique... Je l'assied au volant de sa voiture, efface les marques de morsure, puis attends sa compagne à l'entrée de l'immeuble, dans le noir. Lorsque cette dernière sort, je la prends dans mes bras avant même qu'elle ait eu le temps de réagir, puis me nourris à nouveau. Elle sombre instantanément dans un profond sommeil, et semble éprouver du plaisir. Je l'allonge ensuite à la place du mort. Je défais un peu leurs vêtements, ils auront passés une folle nuit tous les deux...
Je reprends ensuite ma route, partant à l'aventure. Je parcours les rues, à la recherche de je ne sais quel évênement insolite. J'aimerais bien retrouver ces trois créatures, en savoir plus sur elles. Je connais un nosferatu du nom de Mykonas qui pourra peut être me renseigner. Il vit à deux patés de maison, dans une vieille cave désaffectée sous un luxueux pavillon.
Arrivé aux portes du pavillon, je détecte la caméra qui elle aussi m'a détecté. Je salue, Mykonas me connait bien et me doit un service. Je lui avais ramené un parchemin qu'il avait "perdu" un museum d'histoire naturelle, un parchemin appartenant à un giovanni du nom de Prosper Milano. J'avais du user de "persuasion" pour récupérer le bien de mon "ami". Les nosferatus ne sont pas les gens les plus fréquentables, mais il est toujours bon qu'ils vous doivent un ou deux services. C'est toujours plus intelligent que de les avoir comme serviteurs, on ne peut se fier à eux que lorsqu'ils vous sont redevables. La grille du pavillon s'ouvre, je n'ai donc pas à forcer l'entrée. Un chien me fixe du regard, à l'autre bout de la cour. Je tente de le calmer de mon regard... non, ce n'est pas un chien mais un gros rat. La bestiole se calme, mais je n'arrive pas à la mettre totalement sous mon contrôle. Je m'avance, une trappe se déroube alors tout à coup sous mes pieds...
To be continued